- Comment Un abandonware désigne un logiciel commercial qui n'est plus vendu dans le commerce mais dont l'éditeur original autorise la diffusion gratuite. L'éditeur abandonne donc ses droits sur le logiciel. Concrètement, il peut s'agir d'une suite bureautique, un système d'exploitation ou un jeu.
- Comment Dans la langue française, un acronyme est un sigle dont la prononciation est syllabique. Ils sont utilisés par les internautes lors des échanges écrits ainsi que sur les SMS.
- Comment Un agrégateur est une application permettant de rassembler et synthétiser des informations publiées sur différents sites web. Il en existe de 2 types d'agrégateurs ; les logiciels à installer sur son ordinateur (RSS Reader par exemple) et les applications en ligne (Netvibes par exemple).
- Comment L'advertposting désigne une action qui consiste à laisser des messages favorables à propos d'une société, un service ou un produit sur différents espaces communautaires. L'objectif est de créer des commentaires positifs et d'y ajouter un lien pour améliorer sa visibilité et son référencement.
- Comment L'alias est une adresse e-mail associée à une boîte de courrier électronique. L'intérêt est de gérer une seule boîte de courrier électronique sur laquelle pointe plusieurs alias. Par exemple, le webmaster d'un site Internet possède webmaster@societe.ext ainsi que les alias info@societe.ext, admin@societe.ext et news@societe.ext qui vont toutes aboutir sur webmaster@societe.ext. Sur Macintosh, alias est aussi le nom donné à un raccourci vers un fichier ou un dossier.
- Comment L'Amstrad CPC (Color Personal Computer) est arrivé en France en 1984, cet ordinateur personnel destiné à une clientèle familiale coûtait environ 3500 francs (535 euros). Destiné aux novices, la mise en route était très simple avec un nombre de cables limité. Il était doté d'un processeur Zilog Z80A à 4 MHz disposant de 64 Ko de RAM pour 32 Ko de ROM. Il utilise comme langage le BASIC permettant d'écrire simplement de petits programmes compatibles. Son moniteur peut afficher jusqu'à 27 couleurs. Les sauvegardes et autres lectures de fichiers se font sur bande magnétique (cassette audio).
Le succès de cet ordinateur vendu à plus de 2 millions d'exemplaires réside dans le fait qu'il était fourni avec un écran couleur pour le même prix qu'une unité simple chez les concurrents de l'époque. En 1990 ses ventes déclinent et disparaît rapidement ne faisant pas le poids face à Amiga et Atari. Un grand nombre de jeux Amstrad ont été réédités sur les consoles qui ont suivies et nombre de ces jeux se trouvent sur Internet sous forme de jeux Flash. - Comment Né en 1994 à l'initiative de deux étudiants américains de l'université de Stanford, Yahoo! est l'archétype des annuaires thématiques. Les annuaires sont élaborés sous forme de répertoires organisés de manière hiérarchique répertoriant les sites web les plus importants par catégorie, sous-catégorie, etc.
C'est une recherche en entonnoir où l'on part d'un thème général pour arriver à thème spécifique, contrairement à un moteur de recherche qui restitue des pages de sites Web selon des mots clés. - Comment Applet (appliquette en français) est une petite application indépendante du matériel et du logiciel utilisés, téléchargée et exécutée localement au sein d'un navigateur web. Ce logiciel peut être de tout type, comme une interface de messagerie instantanée, un jeu, ou encore une animation.
- Comment L'arobase (Arrobe ou a commercial) désigne le caractère spécial @. On le retrouve essentiellement dans les adresses électroniques et se prononce [at] qui signifie "chez" en français. La plupart des claviers sont munis d'une touche spécifique et s'active en appuyant simultanément sur Alt Gr + é. Sur les anciens claviers il faut taper Ctrl + Alt + 0.
- Comment Arpanet (Advanced Research Projects Agency Network). En 1968, le groupe de recherche ARPA, qui faisait partie du département américain de la Défense, publia un appel d'offres qui consistait à relier des ordinateurs situés à 4 endroits différents. Le nouveau système de transmission par paquet, mis au point pour le réseau ARPAnet, avait l'avantage de dégrouper les données en paquets pour être restitué au final. C'est ainsi que sont nés les protocoles de la famille TCP/IP.
- Comment ASCII (American Standard Code for Information Interchange). La plupart des fichiers textes sont sauvés au format ASCII (prononcez aski). Mais ASCII est avant tout un standard développé par l'American National Standards Institute (ANSI), pour définir comment les ordinateurs écrivent et lisent les caractères.
- Comment ASP (Active Server Pages). Bien que ce terme désigne aussi la technologie de Microsoft (visant à rendre les sites plus dynamiques et interactifs), ASP est également l'abréviation d'Application Service Providers. Un prestataire de service met à la disposition de son client la location en ligne d'applications généralement bureautique. Les avantages sont multiples : aucune installation de logiciel, aucune licence, mises à jour et sauvegarde automatiques, accessible depuis n'importe quel ordinateur connecté à internet, etc.
- Comment L'azerty est une disposition spécifique des caractères de l’alphabet latin sur les touches de machine à écrire et de clavier d’ordinateur. Un clavier azerty est un clavier alphanumérique dont les touches sont marquées selon la disposition azerty. La disposition tient son nom de la position des six premières lettres de la première rangée des touches alphabétiques. Elle dérive de la disposition qwerty anglaise, tout comme le qwertz germanique, et est utilisée par les francophones avec ses propres variantes nationales en Belgique et en France. La plupart des Québecois utilisent un clavier qwerty adapté à la langue française.
- Comment L'assembleur est le langage le plus proche de celui compris par un microprocesseur. Il est également appelé "Langage machine".
- Comment Paul Allen de son nom complet Paul Gardner Allen (né le 21 janvier 1953), est un informaticien, chef d'entreprise, homme d'affaires et mécène américain. Pionnier et visionnaire dans le domaine de la micro informatique, il cofonde en 1975, avec Bill Gates, la société Micro-Soft (renommée depuis Microsoft). Il est aussi patron actionnaire d'un empire financier de multiples sociétés dans les domaines des hautes technologies, de la recherche, des médias et des sports, regroupées pour la plupart sous la société mère Vulcan Ventures. En 2007, il est considéré comme le dix-neuvième homme le plus riche au monde avec une fortune personnelle de 18 milliards de dollars (source : liste des milliardaires du monde, Forbes, mars 2007).
- Comment ANSI (American National Standards Institute). Principale standardisation aux Etats-Unis. L'ANSI est un organisme non gouvernemental, à but non-lucratif soutenu par des organisations commerciales, des associations professionnelles et l'industrie. Elle est le membre américain de l'ISO. Organisme qui définit certaines normes connu notamment par le fichier ANSI.sys par MS-DOS. Windows utilise la notation ANSI qui assigne à chaque caractère un Code qui le définit, compris entre 0 et 255.
- Comment Ad-award est un logiciel de l'éditeur Lavasoft permettant de chasser les spywares. Une fois téléchargé et installé, il scanne en quelques minutes le disque dur pour identifier les intrus et les détruire si nécessaire.
- Comment L'Actual Time est l'heure réelle.
- Comment Mettre à jour l'affichage d'une page Web ou d'une fenêtre dans un navigateur Internet. Le raccourci clavier est généralement la touche F5.
- Comment ActiveX est un langage de programmation conçu par Microsoft permettant d'enrichir les pages Web de fonctions avancées.
- Comment L'Active Matrix est un type d'affichage utilisé sur les ordinateurs portables où chaque pixel est contrôlé par un transistor TFT individuel.
- Comment L'Active Desktop est une fonctionnalité permettant d'utiliser des pages Web comme papier peint du bureau.
- Comment Acrobat Reader est un logiciel conçu par la société Adobe pour l'affichage des documents sous format PDF par exemple.
- Comment Abandonner un programme.
- Comment Access est un logiciel conçu par Microsoft permettant de construire des bases de données.
- Comment ABIOS (Advanced Basic Input Output System) est un système étendu principal d'entrée sortie des ordinateurs.
- Comment ABEND (ABnormal END) défini une fin anormale d'un programme, suite à un bug.
- Comment AARNET (Australian Academic Research NETwork) est le réseau de la recherche et de l'enseignement en Australie.
- Comment AAT (Average Access Time) est le temps d'accès moyen. Il s'agit du temps mis en moyenne pour accéder à une information sur un disque dur.
- Comment AA (Automatic Answer) indique qu'un modem est prêt à répondre à l'arrivée d'un appel.
- Comment AAAI (American Association for Artificial Intelligence). Association américaine en faveur de l'intelligence artificielle, fondée en 1979 en tant que société scientifique.
- Comment Archie est un programme de recherche de fichiers automatisée explorant des bases de données. Archie a été conçu en 1990 par Alan Emtage, Bill Heelan et J. Peter Deutsch. Archie est devenu obsolète depuis le développement des moteurs de recherche internet.
- Comment Répondeur téléphonique.
- Comment AOL (America On Line) est une société américaine de services internet proposant principalement la connexion et l'accès à l'Internet, la messagerie électronique et la messagerie instantanée (AOL en est l'inventeur). AOL fait partie des premiers FAI à proposer un accès internet (depuis février 1991 aux États-Unis) avec CompuServe.
- Comment Une mise en forme de police qui se trouve dans le menu Format / Police sous l'onglet Animation et qui permet d'assigner différentes animations à des sections du texte .
- Comment L'analogique qualifie des grandeurs physiques variant de façon continue ou des données représentées sous forme continue. Ce terme désigne des appareils électroniques, des instruments de mesure, etc. L'analogique est opposé au numérique ou digital.
- Comment Ampersand (ou en français esperluette, esperluète, perluette, perluète ou « et » commercial) désigne le logogramme & résultant de la ligature des lettres de la conjonction de coordination « et ». L'esperluette possède la même signification que la conjonction de coordination « et ».
- Comment L'esperluette ou esperluète, perluette, perluète ou « et » commercial (ampersand en anglais) désigne le logogramme & résultant de la ligature des lettres de la conjonction de coordination « et ». L'esperluette possède la même signification que la conjonction de coordination « et ».
- Comment L’Amiga est une famille d’ordinateurs personnels commercialisée par Commodore International entre 1985 et 1994. Dans les années 1990, l'Amiga est très populaire pour les amateurs de jeux vidéo et dans l'industrie du cinéma et de la télévision. L'Amiga offrait alors un affichage plus coloré et plus fluide et un multitâches supérieur à celles des produits concurrents, une interface graphique similaire à celle du Macintosh et des logiciels de traitement de texte, de musique assistée par ordinateur et de dessin.
- Comment AMD (Advanced Micro Device) est une société fabricant des puces, en particulier des microprocesseurs.
- Comment L' Altaïr IV est le premier micro-ordinateur de l'histoire de l'humanité. Vendu en kit, dans les années 1970, par la société MITS, Il disposait d'un Intel 8080 (8 bits) et de 256 octets de mémoire.
- Comment ALT (Alternative) est la touche qui se trouve entre la barre d’espace et la touche Windows sur les claviers PC. La touche Alt est toujours associée à une ou plusieurs touches. Par exemple, la combinaison des touches Alt et Tab est un raccourci clavier permettant le changer de fenêtre active sans utiliser la souris.
- Comment ALT GR (Alternate Graphic(s) est une touche de modification qui rend accessibles différents signes qui étaient à l’origine des symboles graphiques.
- Comment Alpha version est la version incomplète d’un logiciel. Vient ensuite la version bêta puis la mise en production réelle (commercialisation).
- Comment Nom d'une ligne de processeur mis au point par la société Digital.
- Comment AIBO (Artificial Intelligent Bot) est un petit robot-chien japonais.
- Comment Al-Khwarizmi (Khwarizmi Mohammed) est un mathématicien persan (IXème siècle) travaillant sur différentes matières (Algorithme, Algèbre, Astronomie).
- Comment Ordre du jour, carnet.
- Comment Association Française pour le Nommage Internet en Coopération, chargée d'attribuer les noms de domaines sur Internet pour la France.
- Comment Adware est un bandeau publicitaire rafraîchi périodiquement via Internet. Quelquefois les spywares se collent aux adwares, quand on les sépare, cela peut causer la destruction des logiciels utiles.
- Comment ADSL ( Asynchronus Digital Subscriber Line) désigne une connections Internet à haut débit.
- Comment Adultware est une ressource destinée à un public majeur et averti.
- Comment Une adresse Internet désigne un emplacement permettant de trouver des fichiers sur Internet ou sur un ordinateur. Les adresses Internet sont aussi appelées des URL.
- Comment Adobe Systems ou Adobe est une entreprise informatique éditant des logiciels graphiques (Photoshop, Illustrator, etc.), des logiciels de montage vidéo (Adobe Premiere Pro et After Effects) et audio (Adobe Audition). Ces logiciels sont des références mondiales dans leurs domaines respectifs. La société Adobe a été fondée en décembre 1982 par John Warnock et Charles Geschke qui avait quitté le Xerox PARC pour améliorer et commercialiser le langage de mise en forme PostScript, refusé par Xerox. Le 3 décembre 2005, Adobe a acheté Macromedia, propriétaire entre autres de Dreamweaver et du logiciel d'animation vectorielle Flash confortant ainsi son égémonie dans le secteur des logiciels professionnels. Adobe provient du nom de la rivière Adobe Creek à Los Altos en Californie qui coule derrière la maison de son fondateur John Warnock.
- Comment ADP (Automatic Data Processing). Traitement automatique de données.
- Comment Add-on est un patch destiné à améliorer le fonctionnement d'un système.
- Comment ADN (Advanced Digital Network) est un réseau digital avancé.
- Comment Additional (Additionnary). Additionnel, Supplémentaire.
- Comment Ajouter, Additionner.
- Comment Adder ou Additionneur est un circuit électronique logique que l'on trouve dans le système binaire. Half Adder est un demi additionneur.
- Comment ADC (Analogue to Digital Converter). Convertisseur des données analogiques aux numériques.
- Comment Assistant est un outil qui vous guide étape par étape pour effectuer une tâche complexe.
- Comment AVG (Average). Moyen(ne).
- Comment Nom courant donné aux programmes ou aux macros exécutés à chaque fois qu'un système ou qu'un logiciel est lancé, en particulier le fichier AUTOEXEC.BAT pour le DOS, sur les PC.
- Comment Audio-Frequency (AF) ou Radio-Frequency (RF). Gamme de fréquences perceptibles par l'oreille humaine. Il existe les Basses Fréquences (BF) les Hautes Fréquences (HF).
- Comment Attributs de caractère est une mise en forme telles que Gras, Italique et Souligné. Dans le logiciel Microsoft Word par exemple, il suffit de sélectionner le texte puis aller dans le menu Format > Police / Styles > ok.
- Comment Attachements (ou Pièces jointes en français) est un fichier (une image, un document, etc.) attaché à un e-mail. Le poids d'un e-mail est généralement limité à 20 Mo.
- Comment Il s'agit d'un assistant qui vous aide à créer de nouvelles pages Web et offre différentes possibilités pour configurer les pages Web.
- Comment Aparté (aside en anglais) est ce qu'un acteur prononce sur scène et qui est censé n'être entendu que par les spectateurs et non par les autres personnages.
- Comment Audimat (audience rating en anglais) est l'outil de mesure de l'audience de la télévision française.
- Comment Audio désigne l'enregistrement et la reproduction du son.
- Comment Audiovisuel est un terme qui désigne les techniques de communication joignant le son et l'image. En anglais : TV and radio (nom) ou audiovisual (adjectif).
Le 7 août 1974, le Premier ministre Jacques Chirac présente la réforme de l'audiovisuel. La loi prévoit le démantèlement de l'Office de la radiodiffusion-télévision française (ORTF) en 7 sociétés indépendante : 3 chaînes (Télévision Française1, Antenne2 et France-Régions3), la Société française de production (SFP), Télédiffusion de France (TDF), Radio France, et l'Institut national de l'audiovisuel (INA). Le monopole d'Etat est maintenu. La loi sera mise en application l'année suivante avec la colorisation de TF1. - Comment Taux maximal d'informations offert par une connexion qui relie des ordinateurs aussi bien en local que sur Internet.
Les premières connexions Internet (RTC) sont lentes, coûteuses et monopolisent la ligne. L'ADSL révolutionne l'accès avec un très haut débit, une facture forfaitaire et une superposition de la ligne téléphonique.
A partir de 2007, la fibre optique fait passer la bande passante au très haut débit dont la vitesse théorique se situe à 100 Gbits/s en téléchargement et en envoi. - Comment Tendance qu'ont les internautes expérimentés à ne pas regarder ce qui ressemble à une bannière publicitaire sur un site web.
- Comment Une bannière est un rectangle cliquable, statique (au format image) ou animé (au format Gif ou Flash), contenant un message publicitaire et dirigeant le plus souvent l'internaute vers un site à vocation commerciale.
Premier format publicitaire créé sur Internet en 1994, la bannière est également le support le plus répandu, sous les dimensions 468 x 60 pixels. - Comment BBS (Bulletin Board System) est un système informatisé de rencontres et d'annonces qui permet aux utilisateurs d'engager des conversations, de charger ou décharger des fichiers et de faire des annonces sans que les destinataires soient reliés à l'ordinateur au même moment.
- Comment Un baron est un qualificatif désignant les auteurs influents dans la blogosphère francophone. Le terme baron est souvent utilisé de manière péjorative pour pointer du doigt les blogueurs qui se prennent de haut.
- Comment Berners-Lee Tim est l'inventeur du World Wide Web en 1989 et fondateur du W3C.
- Comment Le big footer est l'espace en fin de page web contenant des informations diverses comme les derniers articles publiés, formulaire de contact, adresse, références, liens externes, plan du site, etc. De part sa disposition en fin de page, il regroupe généralement des informations secondaires. Ce système de navigation est de plus en plus fréquent surtout sur des sites complexes.
- Comment Un blog est la contraction des mots web et log désignant un site web personnel qui affiche régulièrement des nouvelles apparaissant sur la page d'accueil. La plupart des blogueurs n'étant pas spécialisés dans la conception de site web, ils ont recours à un système de gestion de contenu qui ne requiert aucune compétence technique.
- Comment Le Blog-crossing est une pratique consistant à inviter un ami blogueur à publier sur son propre blog en lui offrant un accès ou en diffusant simplement son message.
- Comment Blogroll (en français, blogoliste) est une liste de liens sur un blog qui pointe vers d'autres blogs.
- Comment BitMaP est un fichier graphique de Windows, permettant de manipuler des images en 16 millions de couleurs ; une façon de construire des images avec des bits (0 et 1).
- Comment On parle de bounce lorsqu'un e-mail est retourné à son expéditeur car il n'a pas pu arriver à bon port. Le message d'erreur a généralement pour nom d'expéditeur "Mail Delivery Subsystem" et informe sur la cause de l'erreur. Le plus souvent, l'adresse demandée n'existe pas (ou plus) ou, que l'adresse soit bien valide mais que la boîte de réception soit pleine, ou que le serveur soit momentanément indisponible.
- Comment Bookmark désigne une adresse préalablement enregistrée en mémoire du navigateur. Le navigateur Internet Explorer de Microsoft emploie le terme « favoris », Safari utilise le mot « signet » et Mozilla préfère « marque-page ».
- Comment Brick and mortar désigne les entreprises traditionnelles faites "de brique et de mortier" par opposition aux entreprises virtuelles, comme Amazon, par exemple, qui ne possèdent pas de magasin physique. Les anglophones opposent le brick and mortar au click and mortar.
- Comment Buzz (ou rumeur en français) est un terme apparu avec les nouvelles technologies de l'information et de la communication. Le buzz est une technique marketing qui consiste à faire du bruit autour d'un nouveau produit, une nouvelle offre à l'image des abeilles qui bourdonnent autour de la fleur. La publicité se fait du bouche à oreille grâce à un outil qui plaît à l'utilisateur (jeu, carte virtuelle, questionnaire, animation) et dont le message publicitaire est mis en arrière-plan.
- Comment Le Buzz seeding est une pratique marketing employée par les constructeurs consistant à confier à un blogueur un appareil multimédia pour qu'il en parle sur son blog et que la nouvelle se répande.
- Comment Backbone (ou epine dorsale en français) désigne l'ensemble des lignes à haut débit ou un carrefour d'information d'un réseau informatique.
- Comment Back-Forward (Page précédente / Page suivante) désigne deux commandes des Navigateurs Internet.
- Comment Domaine de la Bosnie-Herzégovine.
- Comment Bipolar Junction Transistor est une sorte de transistor à jonction utilisé dans le PC.
- Comment BIOS (Basic Input Output System) est un système principal d'entrée/sortie des ordinateurs. Sur les ordinateurs de type x86, ensemble des principales routines logicielles qui testent le matériel au démarrage, démarrent le système d'exploitation et prennent en charge le transfert des données entre les périphériques. Le BIOS est stocké dans une mémoire morte afin de pouvoir être exécuté au moment de la mise sous tension de l'ordinateur.
Bien qu'il revête une importance critique au niveau des performances, le BIOS est généralement invisible aux yeux des utilisateurs de l'ordinateur. - Comment Base de calcul binaire, calcul à base de 2 au lieu de 10 habituel, comprenant seulement 2 symboles (0 et 1).
- Comment Bill Brother est le surnom de Bill Gates fondateur de Microsoft
- Comment Big Blue est le surnom d'IBM, par référence d'une part à Big Brother, le personnage de Georges Orwell dans le roman « 1984 », et d'autre part à la taille et la couleur du logo de l'entreprise d'IBM
- Comment Domaine du Burundi.
- Comment Domaine du Bahrain.
- Comment BG (BackGround). Bruit de fond, parasites.
- Comment Domaine du Burkina-Faso.
- Comment Version d'un logiciel au stade final avant d'être commercialisé
- Comment Informaticiens chargés de tester les versions bêtas pour trouver et résoudre leur mal fonctionnement ( des bugs).
- Comment Benchmarks est un bancs de tests ou bancs d'essais. Il s'agit de programmes destinés à tester les performances de matériels ainsi que de logiciels.
- Comment Big Evil Grin (large sourire diabolique) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Bye Bye Now (maintenant au revoir) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Basic (Beginner's All purpose Symbolic Instruction Code) est un langage de programmation apparu en 1964 et conçu par Johnny Kemeny et Thomas Kurtz au Dartmouth College. C'est un langage simple de programmation.
- Comment Basculement est un ensemble de boutons sur lesquels vous cliquez pour effectuer des tâches courantes.
- Comment La Barre des tâches est un outil utilisé pour ouvrir des programmes et parcourir votre ordinateur. Située généralement en bas de l'écran, la barre des tâches contient le bouton Démarrer (sur Windows), des barres d'outils, une horloge, etc.
- Comment La Barre d'adresses permet d'ouvrir les fichiers situés sur Internet ou sur votre ordinateur. Lorsque vous tapez une adresse dans la barre d'adresses, vous ouvrez le fichier situé à cette adresse. Par exemple, lorsque vous tapez l'adresse d'un site Internet dans la barre d'adresse de votre navigateur, le site désigné s'affiche.
- Comment Bang est le nom anglais du caractère "!", le point d'exclamation.
- Comment Un backup est une sauvegarde de document qui consiste à enregistrer un fichier sur un autre support par exemple. En cas de défaillance du premier fichier, le backup peut être utilisé.
- Comment BOF (Begining Of File). Début de fichier, contraire de EOF pour fin de fichier.
- Comment Domaine de la Bolivie.
- Comment Domaine du Brunei.
- Comment Domaine des Bermudes.
- Comment Domaine du Bénin.
- Comment BIT (Binary digIT). Unité élémentaire d'information pouvant prendre deux valeurs codées 0 ou 1.
- Comment Bistable est un circuit intégré utilisé comme mémoire ayant 2 états distincts de 0,1 pour remplacer les deux états du système binaire
- Comment Octet (comprenant 8 bits).
- Comment Domaine de la Biélorussie.
- Comment Domaine du Botswana.
- Comment Paramétrage des boutons.
- Comment Un bus est un ensemble de fils conducteurs ou de circuits électriques, disposés en lignes parallèles, reliant différents composants d'un ordinateur, et permettant l'échange des données sous forme de signaux électriques. Un bus mémoire, par exemple, transporte les données de la mémoire centrale d'un ordinateur vers son processeur.
La taille d'un bus se mesure en bits. Si le bus fait 16 bits, 16 unités élémentaires d'information pourront être véhiculées en même temps. S'il en fait 32, le double d'information pourra circuler. - Comment Burn proof (gravure fiable en français) est une technologie intégrée dans certains graveurs permettant de palier les défaillances des PC qui n'arrivent parfois pas à soutenir un débit élevé de données.
- Comment Le bureau est l'espace de travail sur l'écran de l'ordinateur. L'image que l'on y voit est appelée "fond d'écran". On place généralement sur le bureau des raccourcis vers les documents et logiciels le plus souvent utilisés.
- Comment Bug (bogue en français) est une anomalie de fonctionnement d'un logiciel.
- Comment Buffer est la mémoire tampon utilisée pour le stockage temporaire de données lors du transfert d'informations afin de compenser la différence de débit, de vitesse de traitement ou de synchronisation entre les divers dispositifs d'un ordinateur et ses périphériques.
Par exemple dans une application de lecture de fichiers audio ou vidéo en streaming, le programme de lecture emploie des mémoires tampons pour stocker à l'avance des séquences. En gérant finement le vidage et le remplissage de ces mémoires, l'utilisateur aura la sensation d'écouter un flot continu de paroles ou de musique ou de visionner une vidéo continue. - Comment Bubble aids, Fast Help est une bulle d'aide qui apparait quand on pointe la souris sur une icône quelconque.
- Comment BT (British Telecom) est un Opérateur de Télécommunications britannique.
- Comment Domaine des Bahamas.
- Comment Browser Address désigne l'adresse d'un site Internet. Les adresses Internet sont aussi appelées des URL.
- Comment Be Right Back (je reviens tout de suite) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Bps (Bits per seconde) est l'unité de mesure de vitesse de transmission des informations par seconde.
- Comment Il s'agit d'une mise en forme sur le logiciel Microsoft Word que l'on utilise via la fonction Format / Bordure et Trame et qui insère des effets de remplissage, des images ou des motifs tels qu'une trame de fond.
- Comment Boot, Boot sector. Amorçage, secteur d'amorçage. Lorsque l'on redémarre un ordinateur, on utilise souvent le terme rebooter.
- Comment Algèbre de Boole ou algèbre logique travaillant avec des opérateurs de : OU, ET , NON (inverseur), NON-OU, NON-ET, OU exclusif.
- Comment Une Boîte de dialogue est une fenêtre dans laquelle vous fournissez des informations à un programme contenant généralement un bouton "Annuler" et un bouton "OK".
- Comment Sens 1 : Morceau beaucoup plus long que large d'une matière quelconque, souvent souple. Anglais strip
Sens 2 : Toute forme allongée, étroite.
Sens 3 : Groupe de personnes, troupe. Anglais band, group
Sens 4 : Ruban magnétique destiné à l'enregistrement et la reproduction de sons et/ou d'images ou de données informatiques. Anglais (vidéo) film, (audio) tape - Comment Captcha (Completely Automated Public Turning test to Tell Computers and Humans Apart) est une méthode de vérification qui a pour objectif de se prémunir contre le spam. Avant la validation d'un formulaire, l'internaute doit recopier une série de lettres ou caractère affichés dans une image.
En théorie, seul l'oeil humain est capable d'interpréter ce qu'il voit dans l'image. Pourtant les logiciels de reconnaissance des caractères sont capables de les déchiffrer dans plus de 80 % des cas. - Comment La Charte graphique définit l'ensemble des règles graphiques et typographiques à respecter lors de l'utilisation et/ou la déclinaison des supports de communication pour l'identité visuelle, le style graphique qui identifie la société.
Elle est généralement matérialisée en fin de projet par un document électronique qui reprend synthétiquement les indications de mise en forme du contenu, et des directives pour la mise en page (côtes, marges, dimensions, codes couleur) et les choix iconographiques. - Comment Chat ou tchat (causette en français) est un échange en temps réel de messages entre plusieurs personnes sur Internet.
- Comment Un Chatbot est un robot capable de comprendre et entretenir une conversation écrite intelligible avec un humain. Ils existent depuis quelques années mais depuis peu on en retrouve certains dans les messageries instantanées.
À titre d'exemple, Microsoft a sorti en juin 2005 la version française du robot Encarta Réponses instantané. Il suffit d'ajouter le contact fr.encarta@botmetro.net dans Messenger et de poser vos questions encyclopédiques au robot. - Comment Click and mortar se dit d'une entreprise traditionnelle, ayant ajouté des activités en ligne (click) à son modèle classique (mortar).
- Comment Un Client léger est un poste utilisateur avec lequel il est possible d'exploiter des services sans avoir à installer des applications, plug-in, etc. Il suffit d'avoir un navigateur compatible et de se rendre sur le site en question. Les avantages sont nombreux : pas d'installation software, pas de licence, les mises à jour sont automatiques, moins sujet aux pannes.
- Comment CMYK (Cyan Magenta Yellow blacK). En français CMJN (Cyan Magenta Jaune Noir). Ce modèle colorimétrique concerne l'impression papier, par opposition au modèle RVB qui concerne l'affichage écran. Comme ses initiales l'indiquent, CMJN dispose de 4 couches de 8 bits chacune, ce qui fait une image en 32 bits.
L'impression permet d'obtenir 60 000 nuances différentes. - Comment CHMOD (CHange MODe) est une commande Unix exécutable dans un environnement de type Unix qui permet de changer les permissions d'accès sur un fichier. Le chmod permet d'attribuer des permissions sous forme de lettres ou de chiffres additionnés :
- autorisation de lecture [4]
- autorisation d'écriture [2]
- autorisation d'exécution [1] - Comment CMS (Content Management System). Traduit par « système de gestion de contenu », le CMS est un programme généralement lié à une base de données, qui rend simple et rapide la création et la maintenance de sites Internet. Le premier CMS notoirement connu a sans doute été PHP-Nuke.
- Comment Colophon est un terme d'imprimerie qui servait à désigner, à la fin des volumes, un certain nombre d'informations telles que le nom du copiste, du typographe ou du libraire, le lieu et la date d'impression. Par extension, le colophon comporte un certain nombre de notes ou de renseignements concernant un ouvrage, un site web, etc.
- Comment Les cookies sont de petits fichiers textes stockés par le navigateur web sur le disque dur du visiteur d'un site et qui servant à enregistrer des informations sur le visiteur ou son parcours dans le site. Souvent mal perçus, ils peuvent néanmoins faciliter la navigation par l'enregistrement des données.
- Comment Un Copyleft offre la possibilité de reproduire, modifier et distribuer une ouvre avec pour seule restriction de laisser l'oeuvre sous les mêmes conditions d'utilisation, y compris dans les versions modifiées ou étendues.
- Comment Un Copyright désigne un ensemble de lois en application, notamment, dans les pays du Commonwealth des Nations et aux Etats-Unis. Le Copyright est symbolisé par ©.
- Comment Le courriel est le terme français pour désigner du courrier électronique ou tout simplement l'e-mail. Il s'agit d'un document informatisé qu'un utilisateur saisit, envoie ou consulte en différé, par l'intermédiaire d'Internet.
Le courriel se présente classiquement sous la forme suivante: utilisateur@nomdedomaine.pays. Son contenu peut être brut (texte uniquement), enrichi avec du HTML (images, liens hypertexte) ou encore des animations. - Comment Un crack est un petit programme permettant de faire sauter la protection d'un logiciel pour l'utiliser. Les cracks sont souvent employés pour prolonger la durée d'utilisation des sharewares.
- Comment Un Cracker est une personne qui sévit sur Internet et Intranet ainsi que les applications ou les jeux électroniques. Il n'a souvent pas la déontologie du hacker et n'hésite pas à casser (crack) les codes pour copier illégalement des jeux, faire de l'espionnage industriel ou du cyberterrorisme.
- Comment Un Crawler est un robot qui parcourt le web à la recherche de nouveaux sites. Dès qu'il en repère un, il en référence dans les banques de données du moteur de recherche.
- Comment Crowdsourcing traduit littéralement par « approvisionnement par la foule ». Néologisme né en 2006 consistant à alimenter un site web grâce à la contribution des internautes. C'est le cas de nombreux wiki, blogs multi-rédacteurs, digg-like, mais aussi des sites de partage de photos, vidéos, favoris, etc.
- Comment CSS (Cascading Style Sheets). En français, feuilles de style en cascade. Les CSS sont utilisées pour décrire la présentation d'un document structuré écrit en HTML ou en XML: couleur, fond, polices, position des images, etc. L'objectif est de bien séparer la structure (écrite en HTML ou similaire) et la présentation (en CSS) du document.
- Comment Le cyberflying consiste à modifier le nom et les coordonnées du propriétaire d'un nom de domaine dans l'intention d'interrompre une procédure judiciaire en cours.
- Comment En français, cybersquattage. Pratique qui consiste à réserver un ou plusieurs noms de domaine en vue de négocier sa revente. Le cybersquatting est parfois l'oeuvre d'un concurrent qui profite de l'imprévoyance d'une marque éponyme pour rediriger les internautes.
- Comment CAE (Computer Aided Engineering).
1. Common Applications Environnement, Standard défini par X/OPEN.
2. Computer Aided EngineeRing, ingénierie assistée par ordinateur. - Comment CIF (Common Intermediate Format). Formats de base standard pour la communication entre les systèmes de vidéoconférences de différents vendeurs. CIF est un format progressif pour une animation ordinateur avec 360x288 pixels par image et 30 images par secondes.
QCIF est un format progressif pour anImation Ordinateur avec 180x44 pixels par images et 30 images par seconde. La communication entre les systèmes de vidéoconférences de différents vendeurs. La résolution de QCIF équivaut au quart de la résolution de FCIF (Full Intermediate Format). - Comment Dossier qui stocke temporairement des fichiers sur votre ordinateur.
- Comment CA (Certification Authority). Autorité de certification.
- Comment Le C est un langage de programmation.
- Comment Domaine de la République Tchèque.
- Comment CYM (Check Your Mail) signifie regardez votre courrier en français. Ce terme est utilisé dans le Chat après avoir envoyé un e-mail.
- Comment Cyber (Cybercafe, Cyberspace, Cybernaute...). Le terme cyber désigne tout ce qui relève d'Internet, café, espace, personnages de jeux vidéo, univers virtuels, (utilisé depuis 1992).
- Comment Domaine de Chypre.
- Comment Déguisement d'un message de données en vue d'en masquer la substance.
- Comment CR (Carriage Return). Retour de chariot, la touche "Entrée".
- Comment CPU (Central Processing Unit). Unité centrale de traitement dans un ordinateur.
- Comment Connecteur pour câbles coaxiaux qui se verrouille par insertion dans un second connecteur et par rotation de 90 degrés.
- Comment Entreprise qui utilise Internet pour vous fournir des informations, par exemple des actualités, des bulletins météorologiques, des rapports économiques ou des divertissements.
- Comment Document mélangé de textes, image et son.
- Comment Commodore 64, Commodore 128. Machines les plus connues de la société Commodore.
- Comment Daltonien, daltonisme
- Comment Couleur, teinte
- Comment AAF (Advanced Authoring Format). Cette norme ouverte de l’industrie de la post-production et de la création multimédia a été adoptée par de nombreuses sociétés, y compris Avid. Elle assure aux créateurs de contenu un échange plus facile de leurs médias numériques (vidéo, audio et métadonnées) d’une plate-forme ou d’une application à l’autre. Elle simplifie la gestion de projet et permet de gagner un temps précieux et de conserver les métadonnées indispensables, souvent perdues au cours des transferts.
Alors que c’est en phase de montage et de post-production que le volume de métadonnées est le plus important, l’incompatibilité des différents systèmes et applications a freiné leur interaction, interopérabilité et utilité. Le format de fichier AAF permet de transférer l’intégralité des informations entre applications conformes à cette norme.
Ainsi, les ressources audio et vidéo, les métadonnées, ainsi que les informations relatives à la manipulation et à l’assemblage du matériel (correction des couleurs, effets vidéo et coupures) sont disponibles en permanence.
Les métadonnées transmettent également des informationsd’origine relatives au timecode, au code de fabrication, à la propriété, aux montages précédents, etc. facilitant ainsi l’extraction ultérieure d’archives et le contrôle des versions. - Comment Commande du logiciel Excel permettant d'insérer des objets depuis le Presse-Papier et de créer une incorporation ou un lien. Si le Presse-Papier contient un contenu de cellules, la commande ouvre une boîte de dialogue où l'utilisateur peut choisir les parties à insérer. Si vous choisissez Valeurs, la commande remplacera la formule par son résultat.
- Comment COdeur / DECodeur. Matériel ou logiciel qui traduit des sons ou des vidéos enregistrés sous forme analogique en données numériques. Pour que la transmission de ces informations prennent le moins de bande possible, les Codec remplissent également une fonction de compression des données. Parmi les Codec les plus célèbres, on peut citer : Cinepak, MPEG, QuickTime, DivX, MP3, etc.
- Comment CNIL (Commission Nationale pour l'Informatique et les Libertés) veille au respect de la loi sur l'informatique et les libertés. Cette loi identifie des droits pour les personnes fichées : droit d'être informé, droit de s'opposer au traitement, droit d'accès et droit à rectification ou suppression.
- Comment Domaine de la Chine.
- Comment CMOS (Complementary Metal Oxide Semiconductor) est l'un des circuits électroniques de mémoire. Ce circuit de mémoire stocke les paramètres de configuration de PC ainsi que la date et l'heure à l'aide d'une petite batterie.
- Comment Pulsations de l'horloge principale de PC.
- Comment Dessin, symbole utilisé pour illustrer un document avec la plupart des logiciels.
- Comment Ordinateur qui se connecte à un autre ordinateur central appelé serveur. L'ordinateur client utilise les fichiers, imprimantes et autres ressources partagées par le serveur.
- Comment Clic (Right Clic, Left Clic). Clique (Clique droit, clique gauche) actionné en enfonçant les boutons de la souris.
- Comment Effacer / supprimer
- Comment Jeu de composants placé sur une carte mère et déterminant ses capacités. Il est soudé et ne peut être remplacé, ce qui explique son importance au moment du choix de cet élément.
- Comment Moyen d'atteindre un emplacement précis sur un ordinateur ou un réseau. Un chemin d'accès peut comprendre un nom d'ordinateur, une désignation de lecteur de disque, des noms de dossiers et un nom de fichier
- Comment Discussion directe sur le net (bavardage), à l'aide d'un logiciel IRC.
- Comment Signet dans un document principal de publipostage qui durant l'impression est remplacé par les contenus du champ de la source de données. Les champs de fusion sont caractérisés par les symboles << >>.
- Comment Domaine de la Confédération Helvétique (la Suisse).
- Comment CE (Communauté Européenne) signifie que la machine est conforme à des normes de rayonnement électromagnétique.
- Comment CD-ROM (Compact Disk Read Only Memory) est un disque compact identique au CD de musique, avec une capacité de 650 MO. Il sert dans l'informatique pour le stockage des données.
- Comment CD-RW (Read & Write) est un disque compact, avec une capacité de 650 MO (équivalent à plus d'une heure de son). On peut effacer et enregistrer de nouveau plusieurs fois sur ce type support.
- Comment CD-R (CD Recordable) est un disque compact enregistrable une seule fois, avec une capacité de 650 Mo (équivalent à plus d'une heure de son).
- Comment CCD (Charge Coupled Device) est la façon de construire les images de caméscope à partir des charges électriques.
- Comment CC (Carbone Copy). La Carbone Copy (ou Copie Carbone ou Copie Conforme) est une fonction qui permet d'envoyer une copie d'e-mail à des personnes en plus des destinataires concernés. Il existe aussi la fonction CCI (Carbone Copy Invisible) qui permet d'envoyer un e-mail à d'autres destinataires conservant l'anonymat (leur adresse e-mail sera masquée).
- Comment Une Carte vidéo est une carte d'extension qui s'enfiche dans un ordinateur personnel afin de lui donner des possibilités d'affichage. Chaque carte propose plusieurs modes vidéo différents appartenant aux deux catégories de base : le mode texte et le mode graphique.
Certains moniteurs permettent en outre de choisir la résolution du mode texte et du mode graphique. - Comment Uen Carte réseau est un périphérique qui connecte un ordinateur à un réseau. Ce périphérique est appelé aussi carte d'adaptateur ou carte d'interface réseau.
- Comment Les Caractères à deux octets sont codés sur deux octets ! Certaines langues comme le japonais, le chinois et le coréen nécessitent des jeux de caractères spéciaux.
- Comment Caps Lock est une touche bloquant le clavier sur les lettres majuscules.
- Comment Le CANARIE est un réseau canadien créé en 1980 pour l'avancement de la recherche, de l'industrie et l'enseignement.
- Comment Canadian Standards Association (CSA) est un organisme sans but lucratif fondé sur l'adhésion des membres dont les activités visent à répondre aux besoins des industries, des gouvernements, des consommateurs et des autres parties intéressées du Canada et du monde entier.
Chef de file en matière d'élaboration des normes et des codes, CSA propose des produits, des services et de la formation qui contribuent à accroître la santé et la sécurité publiques, à améliorer la qualité de la vie, à faciliter les échanges commerciaux et à protéger l'environnement. - Comment CAM (Computer Assisted Manufacturig). Fabrication Assistée par Ordinateur.
- Comment Call Detected / Call Cancelled . Appel détecté / appel annulé.
- Comment Appareil de prises de vues. Anglais camera
- Comment Boîtier contenant une bande magnétique et permettant l'enregistrement audio et vidéo. Synonyme vidéocassette.
- Comment La fibre noire est un câble à fibre optique installé, mais qui n'est pas encore relié pour transmettre des signaux. Il existe uniquement en prévision d'un futur usage. Le but est de planifier à l'avance la demande et réduire ainsi les coûts d'installation.
- Comment Une attaque par déni de service consiste à envoyer à un site distant un grand nombre de requêtes simultanées ou encore un paquet de données très important. Ceci dans l'objectif de générer une montée en charge ingérable par le serveur Web sous-jacent, et pour finir une saturation puis une mise hors service de celui-ci.
- Comment DHTML (Dynamic HyperText Markup Language). HTML dynamique visant au travers de différentes technologies (Javascripts, CSS) à étendre les possibilités du HTML.
- Comment Petit programme permettant de composer un numéro de téléphone automatiquement. Ce genre d'application était utilisé dans les années 90 grâce aux anciens modems RTC, appelés 56 K. Certains sites adultes proposaient de relancer la connexion pour diriger l'appel vers des lignes surtaxées.
- Comment Néologisme récent et faisant allusion au nom du pionnier : Digg. Un digg like fait allusion à un site web dont le contenu est enrichi par les internautes inscrits qui proposent de l'actualité venant d'autres sites. Les visiteurs votent pour leur préférence et si la nouvelle atteint un certain score, elle apparaît en première page.
- Comment DNS (Domain Name Service). Système qui permet d'associer un nom de domaine à un serveur bien précis, désigné par sa véritable adresse à savoir son adresse IP. Il est bien plus commode de surfer en mémorisant ou en devinant des noms de domaine plutôt que des adresses IP, le DNS se chargeant de la traduction en toute transparence.
- Comment Pratique qui consiste à tester un nom de domaine pendant une courte période pour en évaluer sa rentabilité. Cette durée de 5 jours est la période de grâce (add-grace) pendant laquelle le nouveau locataire peut renoncer au nom de domaine sans rien payé (faute de frappe par exemple).
Cette clause permet à des sociétés de tester des millions de noms de domaine et de garder ceux générateurs d'un trafic. Aussi, les pages sont souvent envahies par la publicités, histoire de s'offrir rapidement des vacances. Google a d'ailleurs annoncé, la mise en place d'un système bloquant l'affichage des Adsense durant ces 5 jours. L'ICANN planche également sur le sujet.
Outre l'aspect vénal, le domain tasting pose problème aux personnes et sociétés légitimes qui souhaitent un nom adapté. - Comment En français : glisser-déposer. Action de la souris qui consiste à cliquer sur un élément, de maintenir appuyer et de le déplacer jusqu'à un autre endroit pour le déposer.
- Comment DA (Destination Address). Adresse du destinataire, couche de reconnaissance de l'adresse du destinataire sur un paquet de données.
- Comment DAB (Digital Audio Broadcasting). Diffusion des fréquences radio-numériques faisant partie du projet Eurêka-147, mis en marche par plus de 15 producteurs d'Europe en 1997.
- Comment DAC (Digital Analog Converter). Convertisseur de signaux numériques à analogiques.
- Comment DACL (Discretionary Access Control List). Liste de contrôle utilisée pour les informations de protection discrétionnaire.
- Comment DACS (Digital Access & Cross-connect System). Système de commutation utilisé dans des réseaux publics pour regrouper les circuits.
- Comment DAD (Direct Access Device). Périphérique ou unité à accès direct.
- Comment Daemon est un ordinateur serveur qui devient l'hôte pour un protocole base de données Internet.
- Comment DAF (Destination Address Field). Champ d'adresse du destinataire, espace réservé à l'adresse du destinataire sur un paquet de données, l'emplacement et la taille de cet espace dépendent de la topologie de connexion.
- Comment DALI (Delivery & Access to Local Information & services). Réseau étendu des services municipaux d'accès aux informations, projet télématique de la Commission Européenne.
- Comment Dalnet est l'un des principaux réseaux de serveurs IRC. Dalnet utilise Nickserv pour gérer les pseudos et Chanserv pour les salons de discussion.
- Comment Damping (amortissement en français) est la réduction amplitude et de fréquence une oscillation ou une onde.
- Comment DANTE (Delivery of Advanced Network Technology in Europe). Entreprise pour la coordination entre les réseaux européens à Cambridge.
- Comment 1. DAP (Data Access Protocol). Protocole d'accès distant de DEC.
2. DAP (Directory Access Protocol). Protocole de transmission utilisé entre les agents utilisateurs et des serveurs X.500. - Comment Darpanet (Defense Advanced Research Projects Agency Network) est un réseau créé en 1969 par le département de la défense américaine. En 1972, il devient ARPAnet.
- Comment Projet qui consiste à livrer à la communauté des développeurs la source de certains modules des technologies Apple (MacOS X server, Quicktime Streaming server). Apple espère ainsi profiter de l'effet ''Linux'' et améliorer son système grâce aux contributions des développeurs.
- Comment DASD (Direct access storage device). Dispositif de stockage des données autorisant l'accès direct aux informations (contrairement à un accès séquentiel).
- Comment DAT (Digital Audio Tape). Le DAT est un système de sauvegarde sur bande magnétique de 3,8 mm de largeur logée dans une cassette en plastique servant à l'archivage de données sous la forme numérique.
- Comment Data Center (DC). Les Data Centers (centres de données) sont les lieux où sont situés les milliers de serveurs destinés à faire fonctionner les sites Internet. Par exemple, les principaux Data Centers de Google sont aux USA et en Europe. Ils sont accessibles soit par un DNS du Typre www-XX.Google.com soit directement par une Adresse IP : San Jose (Californie) / www-sj.Google.com ou Herndon (Virginie) / www-va.Google.com.
Pendant une Google Dance, il peut y avoir de grosses différences de positionnement selon les Data Centers. Les PageRank peuvent être différents également. A tout moment, il peut y avoir des différences sur le nombre de pages indexées affiché pour un site donné, selon les Data Centers. C'est le cas surtout pour les très gros sites (plusieurs dizaines de milliers de pages indexées dans Google).
Pour connaître à l'avance le positionnement d'un site dans Google, il est important de pouvoir faire des requêtes sur l'un ou l'autre des Data Centers. Pour analyser un site sur les différents Data Centers, il est possible d'utiliser la solution online proposée par WebRankInfo ou la solution logicielle proposée par AgentWebRanking. - Comment Data Frame. En français, capsule de données. Structure logique qui fait partie du paquet. Cette section est entourée par différentes couches telles que l'adresse de source, destinataire et CRC.
- Comment Data Mining (exploitation des données en français) se dit de techniques logicielles permettant de faire apparaître de nouvelles relations utiles entre des données extraites des gigantesques bases de données gérées par certaines grandes entreprises.
- Comment Data Stream est une chaîne de caractères, un flux de données.
- Comment Data-Link Layer est une couche de liaison de données qui prépare les paquets de données pour la couche physique, responsable de l'intégrité des données. En modèle IEEE 802 cette couche comprend deux sous-couches, LLC (Logical Link Control) qui est la couche supérieure et MAC (Media Access Control) qui est la couche inférieure.
- Comment Database (base de données en français) désigne une compilation ordonnée, interrogeable et modifiable d'informations. Par extension, elle désigne tout stock d'informations.
- Comment Information à transmettre sur le réseau est découpée en paquets de données appelés datagrammes.
- Comment Datawarehouse est un système d'information indépendant de tout système de production, dont le rôle est de stocker les informations.
- Comment DAVIC (Digital Audio Visual Council). Conseil audio visuel numérique.
- Comment DB2 est un système de gestion de base de données (SGBD) éditée par l'entreprise IBM.
- Comment DBAM (Data Base Access Method) est une méthode d'accès aux bases de données.
- Comment DBDL (Data Base Description Language) est le langage de description de la base de données.
- Comment 1. La définition (graphique) pour une imprimante est exprimée en PPP (Points Par Pouce), équivalent français de DPI (Dot Per Inch) : 1 Pouce = 2.54 Centimètres.
2. La définition d'un moniteur (ou résolution) s'exprime en nombre de points (pixels) en hauteur et en largeur. Exemple : résolution de 1024 X 968. - Comment DDR SDRAM (Double Data Rate SDRAM). Mémoire de 200 à 266 MHz, composée de 184 broches aussi appelée PC1600 et PC2100.
- Comment DRAM (Dynamic Random Access Memory). Mémoire la plus utilisée dans les anciens ordinateurs, mais ne disposant que d'une seule voie de transfert.
- Comment Dennis Ritchie est un ingénieur des laboratoires Bell, auteur du Langage C. En 1973, avec K. Thompson, il réécrira dans ce nouveau langage le système d'exploitation UNIX. Puis, avec B. Kernighan, il publiera un ouvrage de référence: "The C Programming Language" de Kernighan et Ritchie.
- Comment En français, Pilote. Anglicisme couramment utilisé pour gestionnaire de périphérique.
- Comment DOS (Disk Operating System) est le nom générique employé pour désigner les anciens systèmes d'exploitation. Le DOS est constitué des trois fichiers qui sont Io.sys, Msdos.sys et Command.com. Plusieurs éditeurs ont sortis leurs version : MS-DOS (Microsoft Disk Operating System), PC-DOS (IBM), DR-DOS, FreeDOS, Apple DOS et le ProDOS (Apple).
- Comment DVD (Digital Versatile Disc) est un disque vidéo numérique, utilisé pour le son et l'image avec une capacité supérieure au CD. Un disque DVD peut stocker toutes les données d'un long métrage. Un lecteur DVD est nécessaire pour la lecture de celui-ci.
- Comment Disque vidéo numérique enregistrable une seule fois, pour stocker des données jusqu'à 15 GO (pour les double face), servant seulement pour la lecture.
- Comment Disque vidéo numérique réinscriptible plusieurs fois, avec une capacité d'environ 9,4 Go.
- Comment Disque vidéo numérique enregistrable une seule fois.
- Comment DVD Decoder est un composant matériel ou logiciel qui permet à un lecteur de DVD d'afficher des films sur l'écran d'ordinateur.
- Comment DSL (Digital Subscriber Line) est un type de connexion à haut débit utilisant les lignes téléphoniques standard qui est également appelé connexion à large bande.
- Comment Drag and View est un logiciel courant fait pour PC ou Mac destiné à ouvrir des documents textes, images, etc.
- Comment DPI (Dot Per Inch) ou PPP en français (Point Par Pouce) désigne la résolution d'une image.
- Comment Download est l'action de télécharger un fichier (document, image, etc.) sur Internet (par exemple).
- Comment Emplacement où l'on stocke des fichiers ou d'autres dossiers.
- Comment Groupe d'ordinateurs connectés en réseau qui partagent des informations et des ressources.
- Comment Un document est un fichier créé lors de l'enregistrement d'un travail effectué dans un programme. Un document peut-être un fichier texte ou une image par exemple.
- Comment DLL (Dynamic Link Library). Fichiers liens.
- Comment Domaine de Djibouti.
- Comment Hors tension.
- Comment DIMM (Dual in-line Memory Module) est une barette de mémoire vive avec 2 rangées de connecteurs.
- Comment Dans Word par exemple, le dictionnaire des synonymes, propose des synonymes et des mots semblables relatifs aux termes sélectionnés. Pour l'activer, aller dans le menu Word > Outil > Langue > Dictionnaire des synonymes.
- Comment Dialing ou Fast Dialing. Composer ou composer rapidement un numéro de téléphone.
- Comment Delete ou Suppr (supprimer) est la touche du clavier destinée à effacer le caractère précédent le curseur à l'écran.
- Comment La défragmentation est un processus de réécriture de parties d'un fichier dans des secteurs contigus d'un disque dur afin d'augmenter la vitesse d'accès et de récupération des données. Lorsque des fichiers sont mis à jour, l'ordinateur les enregistre sur le plus grand espace continu du disque dur, qui se trouve souvent sur un secteur différent de celui sur lequel sont enregistrées les autres parties du fichier.
Lorsque des fichiers sont ainsi fragmentés, l'ordinateur doit examiner le disque dur chaque fois qu'il ouvre le fichier afin d'en rechercher les différentes parties, ce qui réduit son temps de réponse. - Comment Par défaut désigne le choix sélectionné quand l'utilisateur ne choisi pas lui-même.
- Comment DECT (Digital Enhanced Cordless Telecomunication) est un norme européenne de téléphonie numérique sans fil.
- Comment DCTL (Direct Coupled Transistor Logic) est une sorte de circuit logique utilisé dans l'électronique et PC.
- Comment DéciBel (db) est l'unité de mesure d'intensité du son.
- Comment Data est une donnée informatique (texte, image, vidéo, etc.)
- Comment Un décodeur est un appareil permettant de décoder des signaux de télévision cryptés.
- Comment Désinformer est l'action de diffuser dans les médias des informations donnant une image erronée ou mensongère de la réalité.
- Comment Emission radiophonique ou télévisée différée (ou prerecorded en anglais) signifie qu'elle est diffusée après son enregistrement.
- Comment Diffuser (broadcast en anglais) signifie transmettre par la radio ou la télévision . Par exemple, une émission est diffusée à la radio.
- Comment Une émission en direct (live broadcasting en anglais) signifie qu'elle est diffusée instantanément, sans avoir été préenregistrée.
- Comment Pièce de théâtre retransmise à la télévision ou à la radio.
- Comment Easter egg (oeuf de Pâques en français) est la trace laissée volontairement par un créateur (programmeur généralement) dans un logiciel. Ces traces, dont la forme est très variable (texte, animation, jeu, photo), ne figurent pas dans la documentation officielle et n'ont pas d'utilité si ce n'est un clin d'oil aux utilisateurs. On en trouve également dans certains sites web, les films, les DVD, la musique, etc.
- Comment Echelon est un nom de code utilisé pendant de nombreuses années par les services américains de renseignements pour désigner une base d'interception des satellites commerciaux. Par extension le Réseau Echelon désigne le système mondial d'interception des communications privées et publiques, élaboré par les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie et la Nouvelle-Zélande.
- Comment L'egosurf consiste tout simplement à entrer ses propres nom et prénom dans les moteurs de recherche afin de mesurer sa popularité sur le web. Si certains peuvent se targuer d'une liste impressionnante de résultats, l'egosurf sera pour d'autres l'occasion de découvrir leurs homonymes. Pour des recherches optimales, ayez soin d'écrire "prénom nom" (les guillemets sont importants).
- Comment E-learning (formation en ligne en français) est un mode d'apprentissage basé sur les nouvelles technologies qui permet l'accès à des formations en ligne, interactives et parfois personnalisées, diffusées par l'intermédiaire d'Internet, d'un Intranet ou autre média électronique, afin de développer les compétences, tout en rendant le processus d'apprentissage indépendant de l'heure et de l'endroit.
A ne pas confondre avec l'apprentissage à distance qui ne nécessite pas forcément un ordinateur et pour lequel les travaux sont envoyés par courrier postal. - Comment Émoticône (smiley en anglais) est une suite de caractères qui expriment un état d'esprit, un sentiment.
- Comment Sur le web on parle d'entrelacement d'image pour désigner l'affichage progressif qui s'affine au fur et à mesure qu'elle se charge dans le navigateur.
- Comment L'ergonomie (usability en anglais) est confiée au webdesigner qui doit s'assurer que son site web est utilisé intuitivement par les visiteurs. L'objectif est d'améliorer le confort et la rapidité de la consultation.
- Comment Ethernet est un protocole de réseau. Il permet de relier plusieurs PC en réseau, aisni qu'a l'ADSL.
- Comment Eye tracking (oculométrie en français) est l'ensemble des techniques permettant d'enregistrer la position du regard d'un lecteur devant un écran. On peut ainsi savoir si l'internaute regarde l'écran, lit vraiment ou se contente de balayer les zones. On peut connaître également l'intensité de l'attention qu'il porte sur des parties précises de l'écran. Cela permet de plus de vérifier qu'un internaute a vu ou non une information à l'écran.
- Comment E-zine désigne un magazine diffusé sur Internet. De nombreux auteurs de diffusent ainsi leurs articles librement. Le terme e-zine provient de magazines, fanzines.
- Comment L'Explorateur Windows est une fonctionnalité qui permet d'afficher sous forme hiérarchisée le contenu d'un ordinateur.
- Comment L'Explorateur de document est un affichage qui partage une fenêtre en deux verticalement. La structure du document est affichée dans la partie de gauche, alors que celle de droite présente le document lui-même.
- Comment Fichier exécutable de MS-DOS ou un autre logiciel. Il s'agit souvent d'un fichier d'installation de logiciel.
- Comment Excel est un logiciel pour PC ou Mac permettant de créer et gérer des feuilles de calcul, des tableurs, des graphiques, etc.
- Comment ESS (Electronic Switching System) est un central téléphonique électronique.
- Comment Esc (Escape) est une touche de clavier destinée à sortir d'un programme.
- Comment Domaine de l'Érythrée.
- Comment Service d’urgences.
- Comment E-Mail (Electronics Mail) ou courrier électronique est un message électronique sur Internet.
- Comment EviL Grin (sourire diabolique) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment EEL (Emitter Emitter Coupled Logic) est un circuit logique utilisé dans l'électronique et PC.
- Comment Domaine de l'Estonie.
- Comment Un Ecran plat est à cristaux liquides offrent une surface d'affichage réellement plane avec un gain de place contrairement aux anciens écrans à tubes cathodiques (CRT).
- Comment Le commerce électronique n'a besoin ni de boutiques, ni de vendeurs puisque ces échanges n'ont lieu que par l'Internet. Certaines marques n'exercent leur commerce que par ce moyen.
- Comment ECL (Emitter Coupled Logic) est un circuit logique utilisé dans l'électronique et PC.
- Comment Les cartes de vœux électroniques s'envoient par l'Internet à partir des sites qui les proposent (ni timbres ni enveloppes).
- Comment Domaine de l'Équateur.
- Comment Un E-book est un livre virtuel sous forme de fichier électronique consultable sur un ordinateur ou une liseuse.
- Comment E-business (e-buz). Commerce via Internet.
- Comment Un écouteur est un appareil qui transmet du son. En anglais earpiece (téléphonique) ou headphones (casque).
- Comment Electroacoustique est la technique de la production, de l'enregistrement et de la reproduction des sons par des moyens électriques.
- Comment Une enceinte (speaker en anglais) est un haut-parleur.
- Comment Un électrophone (record player en anglais) est un appareil électrique qui reproduit des sons enregistrés à partir de disques.
- Comment Le Fournisseur d'Accès à Internet (Fournisseur d'Accès à Internet) est un organisme qui permet à ses clients d'accéder au réseau Internet, en général contre le paiement d'un droit d'accès. Un modem est généralement nécessaire, vendu à ce jour sous l'appelation commerciale "Box". Le fournisseur d'accès peut aussi offrir des services en ligne.
- Comment FAQ (Frequently Asked Questions) est un ensemble de questions les plus fréquemment posées accompagnées de leurs réponses. Elles sont constamment enrichies au fur et à mesure des questions posées.
- Comment Fansub est la contraction du mot fan et du diminutif du mot anglais subtitle (sous-titre). Il s'agit d'une pratique qui consiste à ajouter des sous-titres à une vidéo en langue étrangère, pas encore sortie dans le commerce. Ce travail est fait par des professionnels de la traduction qui ne prennent généralement que quelques jours pour mettre en ligne leur travail.
- Comment Le faux blog est un blog qui tente de tromper son lectorat soit pour le plaisir soit plus souvent pour vendre un produit, une marque ou faire circuler une image positive grâce à de faux commentateurs. À ne pas confondre avec le splog (spam blog).
- Comment La fibre optique est une connexion très haut qui devrait être l'avenir dans les différents modes de connexion à Internet. Rapide aussi bien en téléchargement qu'à l'envoi, la fibre optique utilise le réseau électrique traditionnel. Le Japon est l'un des premiers pays a en être équipé. La France est pionnière en Europe puisqu'elle est en train d'équiper les grandes villes.
- Comment Sur un site web, le fil d'ariane aide à la navigation sous forme de signalisation de la localisation dans un document. La forme se présente comme une suite de liens, en partant de la page d'accueil pour arriver sur la page en question en passant par tous les niveaux intermédiaires. Ce nom fait allusion à la mythologie grecque, dont le fil d'Ariane sauva Thésée dans le Labyrinthe.
En anglais, Breadcrumbs rappelle le conte de Hansel et Gretel, dans lequel les deux enfants retrouvent leur chemin grâce à la mie de pain laissée derrière eux. - Comment Le Flood est une quantité importante de messages envoyés vers une boîte électronique, un serveur, etc. provoquant la saturation de celle-ci.
- Comment FLV (FLash Video). Nom de l'extension des fichiers vidéos générés par le logiciel Adobe Flash. Ce dernier ne dispose pas de lecteur ad hoc comme le ferait Quicktime pour un fichier .mov. Il faut pour cela trouver des ressources sur Internet (ex: FLV Player).
- Comment FOAF (Friend of a Friend) est un projet collaboratif qui permet de décrire un individu selon des critères définis et les relations qu'il entretient avec d'autres. Ce système repris dans un fichier XML, appelé profil FOAF, permet aux machines d'interpréter et traiter ces données. À titre d'exemple, on peut indiquer le nom, e-mail, site web, état civil, études suivies, adresse, etc.
- Comment Folksonomie est un mot-valise issu de la contraction des mots folks (potes) et taxonomy (science du classement). Ce néologisme désigne un système de classification collaborative, c'est-à-dire que les utilisateurs classent le contenu en lui attribuant des mots-clés (tag en anglais) spécifiques.
De cette manière, un mot-clé regroupera plusieurs contenus venant de différents contributeurs. Il existe de nombreux sites qui exploitent cette classification : Flickr pour le partage des photos, DailyMotion pour le partage de la vidéo, etc. - Comment Le Format est un élément de langage spécifiant la représentation, sous forme de caractères, des objets désignant les données sur un support d'information. Sur un PC, le format est désigné par une extension de trois caractères : .jpg, .png, .svg, .mp3, .mov, etc.
- Comment FOUC (Flash Of Unstyled Content) est un phénomène propre au navigateur Internet Explorer qui apparaît lorsqu'une feuille de style externe de type @import est demandée : pendant un court instant, le navigateur affiche une page dénuée de style.
- Comment Un Forum de discussion est un service permettant l'échange de messages écrits sur un thème donné. Chaque utilisateur peut lire à tout moment les interventions de tous les autres et apporter sa propre contribution après une inscription dans la plupart des cas.
- Comment Fracture numérique est une expression désignant les inégalités d'usage et d'accès à la société de l'information. Un grand nombre de personnes n'ont pas la possibilité d'utiliser l'informatique, l'Internet et profiter de l'information. Les raisons sont souvent socio-économiques. Les initiatives politiques prises pour lutter contre la fracture numérique sont appelées e-inclusion.
- Comment Freeware (gratuiciel en français) est un programme informatique gratuit sans limitation de temps.
- Comment En français, logiciel intégré et littéralement traduit par charpente, ossature. Un Framework est un logiciel d'application qui combine sur un même support les logiciels courants d'un bureau.
- Comment FTP (File Transfer Protocol) est un protocole de transfert de fichiers utilisé aussi bien sur Internet que sur des réseaux locaux. Sur Internet, un serveur FTP met à disposition des fichiers que d'autres ordinateurs peuvent télécharger à l'aide de FTP.
Pour cela il faut disposer d'un accès Internet et d'une autorisation d'accès au serveur FTP et un programme compatible comme CuteFTP ou FTP Expert. Ce sont les plus connus et les plus faciles à utiliser. Ils sont disponibles en sharewares. - Comment Page suivante / Page précédente.
- Comment Police des caractères.
- Comment Domaine des Îles Faulkland.
- Comment Domaine des Îles Fidji.
- Comment Le FireWire est une Norme et un câble de transmission des données entre un ordinateur et un périphérique (caméscope, disque dur, etc.)
- Comment Le FireWall (Par Feu en français) est un système de protection de l'Internet. Il empêche l'entrée des autres internautes sans autorisation afin de contrer l'espionnage.
- Comment Fédération Internationale des Associations Multimédia.
- Comment FF (Fast Forward). Dérouleur rapide pour rejouer le son voulu.
- Comment FET (Field Effect Transistor). Une sorte de transistor utilisé dans le PC.
- Comment FCB (File Control Block). Bloc de contrôle de fichier.
- Comment Un favori désigne une adresse préalablement enregistrée en mémoire du navigateur. Le navigateur Internet Explorer de Microsoft emploie le terme « favoris », Safari utilise le mot « signet » et Mozilla préfère « marque-page ».
- Comment Lien qui ouvre une page Web favorite en l'absence de toute connexion à Internet. Vous pouvez planifier la mise à jour régulière de favoris hors connexion avec un nouveau contenu.
- Comment FAT32 (File Allocation Table with 32 Bits). Table d'allocation des fichiers. Formatage des ordinateurs avec 32 bits.
- Comment Fast Help ou bubble aids. Ce sont les informations (bulle d'aide) qui apparaissent lorsque l'on pointe la souris sur une icône.
- Comment Fabrication Assistée par Ordinateur.
- Comment Logiciel de partition virtuelle du disque dur.
- Comment Adobe Flash (anciennement Macromedia Flash, nom original FutureSplash Animator), ou simplement Flash, se réfère à Adobe Flash Player et à un logiciel multimédia utilisé pour créer le contenu de Adobe Engagement Platform (tel qu’une application Internet, jeux ou vidéos). Flash Player, développé et distribué par Adobe Systems (qui acheta Macromedia en 2005), est une application client fonctionnant sur la plupart des navigateurs Web. Ce logiciel permet la création de graphiques vectoriels et de bitmap, un langage script appelé ActionScript et un stream bi-directionnel de l’audio et video.
Adobe Flash est un environnement de développement intégré (IDE), une machine virtuelle utilisée par un player Flash ou serveur flash pour lire les fichiers Flash. Mais le terme « Flash » peut se référer à un lecteur, un environnement ou à un fichier d’application.
Depuis son lancement en 1996, la technologie Flash est devenue une des méthodes les plus populaires pour ajouter des animations et des objets interactifs à une page web ; de nombreux logiciels de création et OS sont capables de créer ou d’afficher du Flash. Flash est généralement utilisé pour créer des animations, des publicités ou des jeux vidéo.
Il permet aussi d'intégrer de la vidéo en streaming dans une page, jusqu'au développement d'applications Rich Media. Les fichiers Flash, généralement appelés « animation Flash » sont au format .swf. Ils peuvent être inclus dans une page web et lus par le plugin Flash du navigateur, ou bien interprétés indépendamment dans le lecteur Flash Player.
N'étant pas compatible avec tous les smartphones, cette technologie disparait peu à peu au profit du HTML5. - Comment Un Flash (newsflash en anglais) est une brève séquence à la télévision ou la radio.
- Comment Un geek est un passionné, voir obsédé, d'informatique.
- Comment Un nerd est une personne solitaire, et obnubilée par des sujets liés aux sciences notamment les mathématiques, la physique et la logique. Un nerd est plutôt péjoratif car il est asocial et polarisé sur ses centres d'intérêts.
- Comment GIF (Graphics Interchange Format). Format graphique, très courant sur Internet, mis au point par CompuServe. Il convient parfaitement pour les dessins, icônes, logos et supporte un maximum de 256 couleurs. C'est une compression sans perte de qualité contrairement au jpg.
Suite à des problèmes de copyright, il risque d'être abandonné et remplacé par le format libre PNG recommandé par le W3C. - Comment La loi de Godwin fait partie du folklore usenet. En 1990, Mike Godwin énonça l'adage suivant : "Plus une discussion s'allonge, plus la probabilité d'y trouver une comparaison avec les nazis ou avec Hitler s'approche de 1". Cette "loi" s'appuie sur l'hypothèse selon laquelle une discussion sur les forums de discussion qui dure dans le temps, amène peu à peu les esprits à s'échauffer et à remplacer les arguments par des insultes.
- Comment En français, bombardement Google. Technique qui consiste à créer des liens hypertextes vers un site, lesquels sont associés à un mot, ou une expression dénigrante. L'objectif est d'influencer les premiers résultats de la recherche d'un ou plusieurs mot(s) vers un site en question.
C'est également un moyen pour rediriger les internautes vers un site concurrent au mot recherché. - Comment Un gopher est un petit rongeur natif de l'Amérique du Nord qui creuse des tunnels avec de nombreux embranchements. Il est la mascotte de l'université du Minnesota où le service Gopher fut développé.
Aujourd'hui dépassé, ce dernier permettait de localiser des fichiers et des textes sur Internet. Ainsi, il était possible de se frayer un chemin dans les répertoires, d'aller de serveur en serveur à la recherche d'informations et de télécharger des fichiers via FTP sur son ordinateur. Gopher utilisait pour cela le programme de recherche Veronica. - Comment Gravatar (Globally Recognized avatar). Image de taille réduite qui apparaît dans les commentaires des blogs prévus pour cette utilisation. Le choix de l'image est tout à fait personnel mais est censé représenter la personne qui commente.
- Comment Groupware (logiciel de groupe de travail en français) est un logiciel permettant à un groupe d'utilisateurs de travailler en collaboration sur un même projet sans être nécessairement réunis.
- Comment William Henry Gates III KBE dit Bill Gates, né le 28 octobre 1955 à Seattle est un informaticien et chef d'entreprise américain, pionnier dans le domaine de la micro informatique et célèbre pour avoir fondé en 1975, à l'âge de 20 ans, avec son ami Paul Allen la société de logiciels de micro-informatique Micro-Soft (renommée depuis Microsoft).
Son entreprise a acheté le système d'exploitation QDOS pour en faire MS-DOS puis a conçu Windows, tous deux en situation de quasi-monopole mondial. Il est également devenu, grâce au succès commercial de Microsoft l'homme le plus riche du monde de 1996 à 2007 avec une fortune personnelle estimée à plus de 59 milliards de dollars. Il est Chevalier de l'Empire Britannique. - Comment GNU (Gnu's Not Unix). Système d'exploitation composé exclusivement de logiciels libres.
- Comment Domaine du Guyana.
- Comment Domaine de la Guinée-Bissau.
- Comment Domaine de Guam.
- Comment Domaine du Guatemala.
- Comment Ensemble d'ordinateurs connectés en réseau qui partagent généralement les mêmes ressources, telles que des imprimantes. Un réseau peut se composer de plusieurs groupes de travail.
- Comment Domaine de la Grèce.
- Comment Domaine de la Guinée Équatoriale.
- Comment Domaine de la Guadeloupe.
- Comment Google est une société fondée le 27 septembre 1998 dans la Silicon Valley, en Californie, par Larry Page et Sergey Brin, créateurs du moteur de recherche Google concurrencé historiquement par AltaVista puis par Yahoo! et Bing. Google s'est donné comme mission d'organiser l'information à l'échelle mondiale et de la rendre universellement accessible et utile.
- Comment Domaine de la Guinée.
- Comment GMT (Greenwitch Meridian Time). Temps universel de Greenwitch.
- Comment Un Giga multiplie l'unité devant laquelle il est placé par 10 puissance 9. Par exemple, un GigaOctet est égal à un milliard d'octets.
- Comment Document Adobe Photoshop.
- Comment Document Adobe Illustrator.
- Comment Domaine de Gibraltar.
- Comment Giga Hertz équivalent de mille méga Hertz (10 ^ 9)
- Comment Domaine du Ghana.
- Comment Domaine de la Guyane Française.
- Comment Graphisme Assisté par Ordinateur. (comme PAO pour publication)
- Comment Gamme dynamique est un terme audio définissant la gamme de volumes comprise entre les niveaux sonores les plus bas et les plus élevés que peut produire une source, sans faire apparaître de distorsion.
- Comment Un Gamepad est une Manette de jeu pour l'ordinateur. Elle s'utilise des deux mains comme une manette traditionnelle de console de jeu.
- Comment Go Ahead (allez à vous, je vous écoute) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Processeur 32 ou 64 bits utilisé dans les anciens ordinateurs Macintosh. Aujourd'hui, les Macintosh utilisent des processeurs Intel.
- Comment Un hacker est une personne passionnée d'informatique qui, par jeu, curiosité, défi personnel ou par souci de notoriété, sonde les possibilités matérielles et logicielles des systèmes informatiques afin de pouvoir éventuellement s'y immiscer. Le mot vient du verbe anglais to hack qui fait référence au martèlement des doigts sur le clavier.
- Comment Happy slapping se traduit littéralement par joyeuses baffes. Le happy slapping est le fait de gifler un inconnu pendant que d'autres filment la scène et la diffusent ensuite sur des plateformes gratuites d'hébergement et de partage vidéo. Ce comportement inquiétant peut dégénérer en bagarre, au plus grand bonheur du caméraman spectateur.
- Comment Un Hardcore gamer est un joueur passionné et acharné qui passe beaucoup de temps à son jeu préféré en ligne. Le harcore gamer explore et exploite toutes les possibilités du jeu. Généralement ce sont des jeux de type MMORPG comme World of Warcraft, des FPS comme Counter Strike, ou encore de la stratégie en temps réel. Certains cas très rares sombrent dans la dépendance maladive qui peut avoir des conséquences néfastes pour le joueur : isolement, perte de repères temporels, désordre alimentaire, agressivité, manque de confiance en soi, etc.
- Comment Un Hébergement conserve un site web ou une page personnelle sur un serveur, afin de les rendre accessibles sur Internet. Traditionnellement on distingue l'hébergement dédié qui consiste à stocker ses données sur une machine en location, et l'hébergement mutualisé qui propose aux utilisateurs un espace sur un serveur également exploité par d'autres clients.
- Comment Hoax (ou canular en français) est un message envoyé, généralement par e-mail, dont l'information est volontairement erronée pour gagner en popularité ou pour infecter l'ordinateur. Pour tenter de convaincre le destinataire, l'auteur n'hésite pas à utiliser tous les sujets : sensibilisation pour une noble cause (cancer, droits de l'homme), prévention par rapport à un prétendu virus, une mise à jour indispensable, etc.
La missive se termine bien souvent en insistant sur l'importance de redistribuer ce courrier à tout son carnet d'adresses. - Comment HTML (HyperText Markup Language). Langage dans lequel sont écrites les pages Web. Il ne s'agit pas d'un langage de programmation mais plutôt d'un langage de description de pages dont les bases sont assez faciles à assimiler.
- Comment Un Hub est un concentrateur, boîtier d'aiguillage des câbles d'ordinateurs.
- Comment Domaine de la Hongrie.
- Comment HTTP (Hyper Text Transfer Protocol). Un protocole de transfert de pages Web (textes, images et autres objets) sur le Internet.
- Comment HTML5 (Hyper Text Markup Language version5). Le HTML5 est la dernière version en date du langage de développement web HTML. Le HTML5 comprend de nouvelles balises et de nouveaux attributs pour les pages web, solutions alternatives aux formats propriétaires tels que Flash ou Silverlight.
Avec un navigateur mobile compatible, le HTML5 doit permettre d’utiliser et d’échanger avec des fonctionnalités propres aux smartphones (carnet d’adresse, géolocalisation, appareil photo, etc.).
Avant le HTML5, seules des applications mobiles natives pouvaient utiliser ces fonctionnalités. - Comment Hope This Helps (j'espère que ça aide) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Domaine de Haïti.
- Comment HRC (Home Location Register). Les fichiers qui contiennent les infos de clients dans le système de téléphone mobile.
- Comment HP (Hewlett-Packard). Nom d'une société de constructeurs informatique.
- Comment How to register (Comment s'inscrire en français) est une page expliquant comment établir son inscription au site Internet en question.
- Comment La page d'accueil est la première page d'un site Internet. Elle présente les services proposés par le site et contient tous les liens pour se rendre dans les différentes parties du site.
- Comment Curseur à la ligne / curseur en fin de ligne.
- Comment Domaine du Honduras
- Comment Domaine de Hong-Kong.
- Comment Surbrillance, sélection du morceau de texte.
- Comment Calcul à base de 16 au lieu de base de 10 habituel avec 16 symboles : 0,1, 2,...,8,9,A,B,C,D,E,F.
- Comment Aide d'un logiciel qui s'active souvent avec la touche F1 du clavier.
- Comment HDC (Hard Disk Controler). Contrôleur de disque dur / Hard Disk Drive.
- Comment HD (Hard Disk). Disque dur (DD).
- Comment Hardaware est le Matériel informatique. Un software est un logiciel informatique.
- Comment Microphone mains libres
- Comment Combiné de téléphone
- Comment Head To Head (en "Tête à Tête") est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment IBSN (Internet Blog Serial Number). Sorte de code-barres numérique pour les blogs.
- Comment ICQ (I seek you). En 1996, Mirabilis, entreprise israélienne, révolutionne l'Internet en lançant ICQ. Il s'agit d'un petit programme qui permet de voir ses amis en ligne, d'échanger des messages écrits instantanément, d'envoyer un fichier, etc.
- Comment ICRA (Internet Content Rating Association). L'ICRA est l'association internationale et indépendante dont le but est double: protéger les enfants du contenu non adapté à leur âge tout en garantissant la liberté d'expression sur Internet. Le système développé par l'ICRA repose sur un étiquetage volontaire de la part des éditeurs de sites Web, que ceux-ci soient ou pas réservés aux adultes.
Sur base des renseignements fournis par l'éditeur (présence de nudité ou de langage cru par exemple), une étiquette (un court code informatique) est générée en ligne et intégrée facilement dans les métatags du site Web concerné. L'ICRA ne dispose donc pas d'une équipe propre qui serait chargée de passer les sites en revue et de les étiqueter. Les étiquettes sont lues par le navigateur Web et les parents ont la possibilité de paramétrer celui-ci afin que certains types de contenu ne puissent être affichés sans le mot de passe parental. - Comment IDN (Internationalized Domain Name). En français, Nom de Domaine Internationalisé (NDI) ou Nom de Domaine Multilingue. Nom de domaine comportant des caractères autres que ceux contenus dans l'ASCII (lettres de A - Z, chiffres de 0 - 9, tiret, etc.).
L'IDN est capable de gérer des adresses contenant des signes diacritiques tels que les accents ou des caractères non latins comme le chinois ou l'arabe. Un système convertit automatiquement les caractères spéciaux en caractères ASCII. Un exemple : www.académie-française.fr. - Comment IMAP (Interactive Mail Access Protocol). Protocole de gestion de messagerie, destiné à remplacer le POP3 nettement moins performant. IMAP stocke le courrier sur le serveur de manière sécurisée et pas sur le client. C'est le protocole privilégié des utilisateurs itinérants.
- Comment Internet est un système d'interconnexion de machines et constitue un réseau informatique mondial, utilisant un ensemble standardisé de protocoles de transfert de données. C'est donc un réseau de réseaux, sans centre névralgique, composé de millions de réseaux aussi bien publics que privés, universitaires, commerciaux et gouvernementaux.
Internet transporte un large spectre d'information et permet l'élaboration d'applications et de services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée et le World Wide Web. Internet ayant été popularisé par l'apparition du World Wide Web, les deux sont parfois confondus par le public non averti.
Le World Wide Web n'est pourtant que l'une des applications d'Internet. L'accès à Internet peut être obtenu grâce à un fournisseur d'accès à Internet via divers moyens de communication électronique : soit filaire (réseau téléphonique commuté (bas débit), ADSL, fibre optique jusqu'au domicile), soit sans fil (WiMAX, par satellite, 3G+). Un utilisateur d'Internet est désigné par le néologisme « internaute ». - Comment Site Internet ancré sur le réseau interne d'une entreprise et réservé à ses membres, l'Intranet permet une meilleure communication dans les entreprises, ainsi qu'un échange et une mise à disposition de documents beaucoup plus performants qu'avec un réseau classique. Le contenu du site est publié par un ou plusieurs membres de l'entreprise.
- Comment IP (Interconnection Protocol). Chaque ordinateur connecté à Internet possède un numéro d'identification qui se compose d'une série de 4 nombres compris entre 0 et 255 et séparés par des points. Si vous passez par un provider pour vous connecter au Net, le numéro IP sera renouveller chaque semaine environ et correspond à l'adresse IP fixe d'un des modems de votre fournisseur d'accès.
- Comment IRC (Internet Relay Chat). Technique de communication qui vous permet de dialoguer sur des milliers de channels (canaux), dont le sujet peut varier autant que la langue. Si aucun canal ne vous convient, vous pouvez créer et gérer le vôtre.
Les conversations ont lieu en public ou en privé et rien ne vous empêche de mener plusieurs discussions de front. IRC nécessite un logiciel, le plus populaire est sans nul doute mIRC. - Comment ISBN (International Standard Book Number). En francais, numéro international normalisé du livre. Chaque ouvrage publié possède un numéro d'identification international unique composé de 10 chiffres. Ce numéro ISDN se trouve généralement au-dessus du code-barre du livre.
Le numéro ISBN comporte 10 chiffres, répartis en 4 segments: la zone linguistique (le 2 pour les pays francophones), l'éditeur, l'identification du titre et la clé de contrôle. - Comment Une imprimante est un périphérique de sortie permettant l'impression de documents sur papier. Il exite plusieurs type d'imprimantes utilisant des technologies différentes (jet d'encre, laser, etc.)
- Comment Une interface est un point à la frontière entre deux éléments, par lequel ont lieu des échanges et des interactions. C'est un pont matériel (exemple : carte réseau) ou logiciel (windows) qui permet de transférer des informations d'un milieu à un autre ou encore la communication entre l'ordinateur et son utilisateur.
En informatique, l'interface permet au microprocesseur de communiquer avec un périphérique au sens restreint, c'est une prise de X broches. Au sens large, c'est le mécanisme de traduction et de transmission des données. Pour ce dernier, il est exact de parler de contrôleur.
Le Port série, le Port parallèle, les interfaces SCSI et IDE, le format PCMCIA sont les principales interfaces des micro-ordinateurs. - Comment ISO (International Standard Organisation). Organisation internationale de standardisation visant à définir des référentiels d'audit du système qualité.
- Comment L'informatique, contraction d'information et automatique, désigne, dans son acception populaire, le domaine scientifique, technologique et industriel en rapport avec le traitement automatique de l'information par des machines telles que les ordinateurs, les consoles de jeux, les robots, etc.
- Comment L'interface homme-machine ou interaction humain-machine (IHM) ou interface personne-machine (IPM) étudie la façon dont les humains interagissent avec les ordinateurs ou entre eux à l'aide d'ordinateurs, ainsi que la façon de concevoir des systèmes informatiques qui soient ergonomiques, c'est-à-dire efficaces, faciles à utiliser ou plus généralement adaptés à leur contexte d'utilisation.
- Comment L'interactivité est une activité nécessitant la coopération de plusieurs êtres ou systèmes, naturels ou artificiels qui agissent en ajustant leur comportement. L'interactivité est souvent associée aux technologies permettant des échanges homme-machine (voir interface homme-machine). Toutefois elle est présente dans toutes les formes de communication et d'échange où la conduite et le déroulement de la situation sont liées à des processus de rétroaction, de collaboration, de coopération entre les acteurs qui produisent ainsi un contenu, réalisent un objectif, ou plus simplement modifient et adaptent leur comportement.
- Comment ITU (International Telecommunications Union). Autrefois CC ITT devenu ITU en 1993. Responsable des normes de télécommunications internationales. Union internationale des télécommunications, située à Genève.
- Comment ISP (Internet Service Provider). Fournisseur d'accès à Internet.
- Comment IRQ (Interruption ReQuest). Ligne de requête d'interruption. IRQ sont des demandes d'interruption à l'attention du processeur, quand la périphérie est prête à accepter ou envoyer des infos.
- Comment Domainede l'Iran.
- Comment Domaine de l'Irak.
- Comment IPX/SPX sont des protocoles de transport utilisés sur les réseaux Novell NetWare, qui correspondent globalement à la combinaison des protocoles TCP et IP dans la suite de protocoles TCP/IP.
- Comment IPI (Interconnect Peripheral Initials). Interconnexion de composants périphériques, un standard de bus local mis au point par la société Intel.
- Comment Logiciel pour PC destiné à naviguer sur Internet.
- Comment Insulated Gate FET (Field Effect Transistor). Une sorte de transistor à gate isolé utilisé dans le PC.
- Comment Touche du clavier qui efface les caractères situés après le curseur au fur et à mesure de la frappe de texte.
- Comment INIT (INITialisation). Petit programme se chargeant au démarrage d'un Mac.
- Comment Domaine de l'Inde.
- Comment Transformation ou transport des informations des tables entre deux programmes différents (de Excel à Access par exemple)
- Comment In My Opinion (à mon avis) est une expression utilisée dans le Tchat et les SMS.
- Comment Domaine d'Israël.
- Comment IDS (Infrared Data Association). Port utilisé dans les PC pour des commandes infra rouge.
- Comment IDE (Integrated Drive Electronics). Système pour relier les lecteurs de disque dur ou lecteur de CD-ROM à la carte mère directement.
- Comment Icône ( Représentation graphique d'un fichier ou d'une fonction conçue pour être reconnue facilement)
- Comment ICM (InComing Message). Message entrant (une des fonctions du répondeur téléphonique)
- Comment ICC (Invisible Carbone Copy). Copies de mails envoyées à une personne sans faire savoir le nom aux autres destinataires.
- Comment IBM (International Business Machines). Société fondée en 1924 par Thomas Watson Sr. On lui prête le surnom de Big Blue en référence au bleu sombre, couleur longtemps associée à l'entreprise. IBM était autrefois très centrée sur la conception et la commercialisation de matériels informatiques et en particulier d'ordinateurs centraux (souvent appelés mainframes) auxquels son image est longtemps restée associée.
IBM a en effet eu un rôle décisif dans leur développement et leur utilisation par la plupart des grandes organisations publiques ou privées. IBM a lancé en 1981 le premier PC équipé de Microsoft MS-DOS. - Comment I/O (Input / Output). Système d'entrée/ Sortie.
- Comment Indicatif (ou theme tune en anglais) est une petite musique annonçant le début d'une émission de radio ou de télévision.
- Comment Langage de programmation de haut niveau. Le Langage J succède à APL et peut être exécuté sur de nombreuses plates-formes (MS-DOS, OS/2 et Macintosh). Comme APL, le J est surtout utilisé par les mathématiciens.
- Comment Version optimisée de la plate-Forme ''Java 2'' optimisée pour les petits appareils électroniques grand publics. Il est ainsi possible d'enrichir le téléphone avec des applications interactives et dynamiques, téléchargées, conservées et utilisées dans le téléphone mobile.
- Comment Version standard de la plate-Forme ''Java 2''.
- Comment Logiciel de messagerie instantanée basé sur le XML et compatible avec ICQ, AIM et Yahoo Messager. Il fonctionne sous Windows, Linux, Palm et Java avec une licence open Source.
- Comment Le visual Java de Microsoft, un environnement graphique de développement Java.
- Comment JAMES-RM (Joint ATM Experiment on European Services). Projet AC111 de l'ACTS lancé par la Commission Européenne dont le but est le développement d'un WAN basé sur le transfert asynchrone ATM à large Bande passante dans toute l'Europe.
- Comment JUNET (Japan Unix NETwork). Réseau japonais de Unix.
- Comment Junction FET (Field Effect Transistor). Une sorte de transistor à effet de champ utilisé dans le PC.
- Comment Court-circuiter avec un fils à résistance zéro deux points dans un circuit imprimé électronique.
- Comment Saut dans un programme, vers une autre portion du code.
- Comment Boîte qui contient virtuellement des centaines de disques ou de chansons.
- Comment JPEG (Joint Photographic Expert Group). Extension des fichiers image pour le format JPEG. Le format JPEG (Joint Photographic Experts Group) est une méthode de compression d'images fixes normalisée ISO et UIT-T offrant des taux de compression compris entre 2 et 100 %. Ce format possède trois niveaux de traitement : baseline (minimal), extended (étendu) et lossless (sans perte).
Le codage JPEG baseline est le plus utilisé en télévision et en informatique. Lors de la première phase de compression JPEG, les blocs de matrice de 8 pixels de côté sont compressés au format DCT, pour ensuite être convertis en fréquences et amplitudes. Cette conversion ne réduit pas en soi le volume de données mais elle permet de diviser les fréquences : aux fréquences élevées moins visibles correspond un facteur de quantification élevé (réduisant la plupart des fréquences à zéro) et aux plus faibles, un facteur moins élevé.
Afin d'ajuster au mieux le taux de compression, le facteur de quantification peut être défini en fonction du volume de données (débit de données constant) ou de la qualité d'image (qualité constante). La dernière phase de la compression JPEG consiste en un codage Huffman, c'est-à-dire un traitement mathématique sans perte, permettant de réduire par 2:1 (voire plus) le volume des données déjà compressé.
Le JPG est un format d'image universel (PC, Mac, etc.) très utilisé pour numériser des photos (16,7 millions de couleurs). Il permet des taux de compression impressionnants et supérieurs au format Gif mais au détriment de la qualité de l'image avec une certaine limite. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce n'est pas un format ouvert mais propriétaire de la société Forgent Networks depuis 1986. - Comment Domaine du Japon.
- Comment Manettes de jeu pour ordinateur, elles s'utilisent des deux mains.
- Comment Steven Paul Jobs (né le 24 février 1955) est, avec Steve Wozniak, le co-fondateur de la société Apple. Ils sont tous deux considérés comme les pionniers de la micro-informatique pour avoir introduit l'ordinateur dans les foyers bien avant l'avènement de l'IBM PC.
La société Apple prendra un réel envol après la visite à une équipe d'ingénieurs du centre de recherche Xerox à Palo Alto (le Xerox PARC) qui lui présentera plusieurs innovations comme le couple interface graphique / souris. Ce principe sera repris par apple qui commercialisera l'Apple Computer de l'équipe Macintosh sortant ainsi le premier ordinateur grand public. Il est en 2009 la 43ème fortune américaine. - Comment Domaine de la Jamaïque.
- Comment Just In Time (juste à temps) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment JISC (Japanese Industrial Standards Committee). Comité de standardisation japonais.
- Comment Just In case (juste au cas où) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Domaine de Jersey.
- Comment Langage de programmation pour de petites applications dans une page web.
- Comment Créé par Sun Microsystems, Java est un langage de programmation censé supplanter HTML mais qui, dans la pratique, le complète. Il permet de créer des interfaces et des effets visuels sophistiqués. La principale caractéristique de Java est qu'il peut être interprêté par n'importe quelle machine (Mac, PC, Silicon Graphics, Sun, etc).
- Comment JARA (JApanese Robot Association). Association des sociétés robotiques du Japon.
- Comment JANET (Joint Academic NETwork). Réseau anglais de la recherche, semblable à ARPANET (en Amérique)
- Comment Just A Minute (juste une minute) est une expression utilisés sur le tchat et les SMS.
- Comment JAIR (Journal of Artificial Intelligence Research). Journal américain de la recherche en intelligence artificielle.
- Comment Connecteur audio, le plus souvent utilisé pour brancher des casques ou des micros aux cartes son.
- Comment J2EE (Java 2 Enterprise Edition). Version entreprise de la plate-Forme ''Java 2'' qui se compose de l'environnement ''J2SE'' ainsi que de nombreuses API et composants destinés à une utilisation ''côté serveur'' au sein du système d'information de l'entreprise.
- Comment Un Keylogger est un logiciel espion qui est capable d'enregistrer les touches frappées sur le clavier et de transmettre ces informations via un réseau. Ils sont habituellement utilisés pour mémoriser des données confidentielles, mots de passe par exemple.
- Comment K ou Ko. Abréviation de Kilo octet. 1 Koctet = 1024 octets. (et non pas 1000 octets)
- Comment Domaine du Kazakhstan.
- Comment Domaine du Koweit.
- Comment Ensemble des composants d' un appareil à monter soi-même.
- Comment Keep It Simple and Stupid (ne donnez pas beaucoup d'importance) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Kilo-octet (Ko). 1 024 octets, souvent ramenés à 1 000 octets.
- Comment Kilo-Hertz (KHz). Egale à 1000 Hertz, unité de pulsation ou fréquence.
- Comment Domaine du Cambodge.
- Comment Domaine du Kirghizistan.
- Comment Mot-clé.
- Comment Pavé numérique de clavier.
- Comment Keyboard Shortcuts (raccourcis clavier en français) est une combinaison de touche permettant d'envoyer une instruction à l'ordinateur sans utiliser la souris.
- Comment Un Keyboard (clavier en français) est un périphérique muni de touches permettant de donner des instructions à l'ordinateur.
- Comment L'un des inventeurs d'Unix et gourou du C, avec Thompson et Ritchie.
- Comment Domaine du Kenya.
- Comment KDC (Key Distribution Center). Centre de distribution de clés.
- Comment Egale à 1024 bits ( 2 puissance 10 ),
- Comment Kilo bits par seconde, unité de mesure de vitesse de transmission des informations.
- Comment Karnaugh (1815-1864) mathématicien britannique. La table de Karnaugh est une représentation graphique d'une fonction de Boole.
- Comment Processeur conçu par AMD, compatible avec les x86, contenant 22 millions de transistors.
- Comment Une landing page est optimisée pour apparaître dans les résultats des moteurs de recherche sur des mots-clés précis afin de capter l'internaute.
La recherche en ligne permet de trouver toutes sortes de documents et notamment des pages web. Le visiteur accède donc à un site par une page parmi d'autres. Dans cette optique, il est conseillé de soigner toutes ses pages web pour qu'elles puissent informer, guider et accueillir l'internaute. Une landing page est une page à ne pas confondre à la traditionnelle page d'accueil. - Comment Lamer se traduit littéralement par estropié. Dans les jeux vidéo, le lamer est une personne désagréable dans son comportement ou son style de jeu. En informatique, le lamer se prend pour un expert du piratage alors qu'il utilise des techniques simples ou élémentaires.
- Comment LAN (Local Area Network). Réseau informatique à une échelle géographique relativement restreinte, par exemple une salle informatique, une habitation particulière, un bâtiment ou un site d'entreprise. Dans le monde du jeu, une LAN est une rencontre de plusieurs joueurs à un même endroit pour partager leur passion.
- Comment La traduction littérale est sangsue. Sur les réseaux d'échange de fichiers, le leech est la personne qui télécharge sans jamais mettre ses fichiers à disposition des autres utilisateurs. Ce comportement égoïste est assez mal vu par la communauté. D'ailleurs, l'avènement des échanges de type bittorent à rendu cette pratique difficile grâce à la mise en place d'un ratio qui empêche le pompage unidirectionnel.
- Comment Le langage Leet (élite) est une forme d'écriture un peu particulière qui consiste à remplacer les lettres par des chiffres et des caractères spéciaux qui s'y rapprochent graphiquement. Par exemple, haricot devient H4R|c0T, leet devient l337. Aucune règle n'est définie, seules l'imagination et l'originalité sont de mises. Il est d'ailleurs fréquent d'alterner aléatoirement les majuscules et les minuscules.
Ce langage écrit est né à la fin des années 80 et utilisé à la base par les pirates pour rendre leurs messages compréhensibles que par les initiés. Aujourd'hui, le leet speak très utilisé chez les adolescents et les joueurs. Il permet de se différencier par son originalité et à impressionner les novices. Ce langage est parfois fort critiqué par son ridicule et son amateurisme. - Comment Pratique de référencement qui consiste à écrire un article à forte valeur ajoutée ou suscitant la polémique pour inciter les sites externes à pointer vers lui.
- Comment Lip Dub se traduit littéralement par « doublage de lèvres ». Un Lip Dub est un clip vidéo (souvent d'une agence en communication) et diffusée largement sur le web pour créer le fameux buzz. Une chanson est chantée en play-back par toute l'équipe à tour de rôle et en un seul plan séquence.
L'objectif est de donner une image dynamique de l'entreprise où il fait bon vivre. L'idée est née du succès des play-back cocasses d'adolescents sur les plateformes vidéo en ligne. - Comment En anglais, mailing-list. Méthode de diffusion d'informations, dans laquelle les abonnés de la liste peuvent envoyer des messages qui seront diffusés aux autres lecteurs. L'abonnement est souvent gratuit et il traite d'un thème en particulier ou est envoyé périodiquement pour tenir informer les internautes. Sur les listes de diffusion à forte fréquentation, la quantité de messages peut devenir un obstacle.
- Comment Sur Internet, un livre blanc est un dossier exhaustif sur un sujet particulier rédigé par une ou plusieurs personnes. Ce document n'a pas nécessairement de valeur officielle.
- Comment SuperKaramba est un outil qui permet de créer facilement une interface graphique dans l'environnement KDE. Il a pour équivalent Konfabulator, gDesklets et Apple Dashboard. Inclus dans KDE depuis la version 3.5. C'est un logiciel libre distribué selon les termes de la licence GNU GPL. permet de réaliser très facilement des applets pour le bureau. Pour réaliser leurs thèmes les auteurs peuvent utiliser le «langage natif» de Karamba dont la syntaxe est très simple d'utilisation (prévision météorologique interactives, calendrier, notes, horloge).
- Comment Longue traîne (long tail en anglais) est un phénomène économique particulier qui s'est développé grâce à Internet. L'idée est la suivante: un petit nombre d'offrants engendre un grand nombre de demandes ; un grand nombre d'offrants entraîne un petit nombre de demandes.
Par exemple, Amazon.fr vend des livres à succès (beaucoup de demandes pour un petit nombre de livres) mais également un grand nombre de livres spécialisés (peu de demande pour un grand nombre de livres). Ce phénomène n'est possible que sur des espaces où les coûts de stockage et de distribution sont minimes (Internet). L'effet de longue traîne peut augmenter considérablement le niveau culturel d'une société. - Comment Lurking (babaudage ou babauderie en français) est un forum de discussion populaire pour son interactivité. On peut lire et/ou poster des messages. Les membres actifs contribuent à enrichir et alimenter l'espace de discussion. Les utilisateurs passifs quant à eux sont appelés lurkers sans que ça soit péjoratif.
- Comment Un langage est un l'ensemble des caractères, des symboles, des mot-clés et des règles utilisé pour donner des instructions à un ordinateur.
- Comment Un Logiciel libre est un logiciel livré avec son code source afin qu'il puisse être copié, modifié et redistribué, évoluant ainsi de façon continue vers une version plus perfectionnée, dans un contexte de développement coopératif et communautaire. Ce droit est souvent donné par une licence libre.
Richard Stallman a formalisé la notion de logiciel libre dans la première moitié des années 1980 puis l'a popularisée avec le projet GNU et la Free Software Foundation (FSF). Le terme anglais free software est ambigu dans le sens où le mot free signifie également gratuit. Un logiciel peut être gratuit mais pas libre. - Comment Au sens strict, Linux est le nom du noyau de système d'exploitation libre, multitâche, multiplate-forme et multi-utilisateur de type UNIX créé par Linus Torvalds souvent désigné comme le noyau Linux. Par extension, Linux désigne couramment le système d'exploitation libre combinant le noyau et un ensemble d'utilitaires système. Pour désigner cet ensemble, la Free Software Foundation (FSF) soutient la désignation GNU/Linux afin de rappeler que le noyau Linux est généralement distribué avec de nombreux logiciels du projet GNU.
Pour l'utilisateur final, Linux se présente sous la forme d'une distribution Linux, c'est-à-dire du système d'exploitation accompagné d'une collection de logiciels très variés.
Originellement développé pour les compatibles PC, Linux est utilisé sur tout types de matériel, du téléphone portable au superordinateur. Son premier marché est celui des serveurs informatiques, suivi par les systèmes embarqués. Sa part d'utilisation sur ordinateur personnel est de l'ordre du pourcent. La mascotte de Linux est Tux, un manchot. - Comment Lucida Handwriting est une police de caractère au style manuscrite.
- Comment Login est une procédure d'identification sanctionnant l'accés à un réseau, à un compte Internet, à une messagerie, etc. généralement définie par un couple Identifiant / Mot de passe.
- Comment Un logiciel de navigation ou plus communément un naviagteur Internet permet d'explorer le World Wide Web, des documents HTML et d'autres sources d'information. Internet Explorer est le logiciel de navigation sur le Web fourni avec Windows fortement concurrencé par d'autres navigateurs extrêmement performants comme Firefox ou Chrome.
- Comment Logical partition est un volume que l'on crée avec l'espace non alloué sur un disque dur de base (partition virtuelle).
- Comment OR, AND, NOT, NOR, NAND, XO... sont des portes logiques : OU, ET , NON (inverseur), NON-OU, NON-ET, OU exclusif.
- Comment Log Book est un journal de bord.
- Comment Live Update est une mise à jour directe (en ligne) d'un logiciel par exemple.
- Comment U lien epeut être placé sur du texte ou image. Il permet de se déplacer d'un endroit à un autre en cliquant dessus. Le pointeur de la souris prend, en règle générale, la forme d'une main lorsqu'il se trouve sur le lien. Le lien est le principe de base de la navigation sur Internet.
- Comment Lecture en mode hors connexion permet de lire une page Web en l'absence de toute connexion à Internet. Vous pouvez télécharger une page Web sur votre disque dur et vous déconnecter d'un réseau ou d'Internet, puis lire votre document ultérieurement.
- Comment Un Lecteur de disque est un matériel sur lequel vous pouvez stocker des fichiers. Les lecteurs de disque sont désignés par des lettres. Par exemple, la plupart des utilisateurs stockent leurs fichiers sur leur disque dur qui est, en règle générale, le lecteur « C ».
- Comment LCD (Liquid Cristal Display). Affichage sur les écrans plats en monochrome ou en 3 couleurs principales RVB, Type d'affichage utilisé par les montres numériques et de nombreux ordinateurs portables.
Les affichages à cristaux liquides utilisent deux feuilles de matériaux polarisant et une solution de cristal liquide entre les deux. Un courant électrique passé dans le liquide provoque l'alignement des cristaux de sorte qu'ils bloquent le passage de la lumière. Chaque cristal agit dès lors comme un volet, bloquant ou permettant le passage de la lumière. - Comment Instrument technique qui permet de traduire en sons et/ou en images des signaux enregistrés sur un support mécanique, magnétique ou optique.
- Comment Machinema est un mot valise de la contraction de machine (ordinateur) et cinéma. Autrement dit, c'est une animation en rapport à un jeu vidéo et projetée dans un cinéma.
- Comment Mail bombing (bombarderie en français) est l'action d'envoyer une quantité importante de messages à une adresse de courrier électronique afin de la saturer.
- Comment Malware (logiciel malveillant en français) est un mot-valise venant de malicious (malveillant) et software (logiciel) conçu pour endommager un ordinateur ou nuire à son bon fonctionnement : virus, vers, chevaux de Troie, etc. À ne pas confondre avec le spyware qui ne détériore pas le matériel mais piste et espionne l'utilisateur.
- Comment Mangeur cigogne est le nom de code pour le tout premier concours français de référencement lancé en avril 2004. L'objectif des participants était d'optimiser le référencement d'un site web créé de toutes pièces pour être le premier dans la recherche Google avec les deux seuls mots: "mangeur cigogne". Depuis, d'autres concours ont suivi: Oupouaout, Lumitra, Sorcier Glouton, Loupanthère, etc. Cet exercice permet d'apprendre et de mieux comprendre le fonctionnement des moteurs de recherche mais aussi de tester leur performance et leur pertinence.
- Comment Le Marketing viral est la propagation de l'annonce publicitaire par la logique du bouche à oreille. L'internaute teste un produit offert et le recommande à des connaissances. Les modes de propagation du marketing viral et sa vitesse sont peu maîtrisés mais il a l'avantage d'être économique et très efficace.
- Comment Une marque blanche repose sur le principe commercial de mise à disposition d'outils sans citer la marque ni l'origine de l'information transmise. C'est également le cas pour des photographies : l'acheteur peut utiliser librement les photos sans devoir spécifier le crédit.
- Comment Mashup est un site web qui combine plusieurs applications web pour créer un nouveau service unique. À titre d'exemple, HousingMaps utilise les petites annonces de CraigListe et les possibilités de GoogleMaps. EarthAlbum combine les services de Google Earth et ceux de Flickr.
- Comment Une messagerie instantanée est un logiciel via lequel on peut échanger des messages écrits en temps réel entre plusieurs ordinateurs connectés à Internet. Après le téléchargement du logiciel, il suffit d'ajouter l'e-mail de vos amis et d'entamer la discussion. Le logiciel le plus utilisé en Europe est MSN Messenger de Microsoft, mais il en existe d'autres comme AIM, ICQ, Yahoo Messenger, etc. Leur gros défaut reste leur manque d'interopérabilité.
- Comment Les Métachercheur sont des robots qui ne possèdent aucune base de données propre mais lancent une recherche simultanée sur plusieurs moteurs de recherche. Ces machines analysent les 10 premières propositions trouvées, puis vous présentent le résultat sous forme de liste.
- Comment MIME (Multipurpose Internet Mail Extension) est un protocole de communication permettant d'inclure autre chose que du texte dans le courrier électronique, c'est-à-dire des caractères spéciaux, des illustrations, des photos en couleur, des images vidéo ou du son haute-fidélité. L'originalité du protocole MIME consiste à convertir tous les éléments qui ne sont pas du texte en format reconnu par toutes les passerelles de messagerie, surtout celles qui ne supportent pas cette norme.
- Comment MMORPG (Massively Multiplayer Online Game). En français, jeux en ligne massivement multijoueurs.
- Comment Moblog est un mot-valise des termes "mobile" et "blog". Un weblog mobile, ou moblog, est alimenté instantanément et directement depuis un appareil mobile (téléphone portable, assistant personnel). Il s'agit bien souvent de photos ou vidéos envoyées par MMS sur son blog personnel.
- Comment Modem (MOdulateur / DEModulateur). Appareil qui permet de se connecter via une ligne téléphonique classique. Les données numériques sont converties en données analogiques (modulation) propres à transiter sur le réseau. A l'arrivée, les données analogiques sont reconverties en numériques (démodulation).
- Comment Premier navigateur web à l'interface véritablement conviviale, développé en 1993 principalement par Marc Andreesen, qui a ensuite été cofondateur de Netscape. Ce navigateur (ou browser en anglais) a continué d'évoluer (jusqu'en janvier 1997), mais a été depuis largement dépassé par ceux de Netscape (Navigator et Communicator) et de Microsoft (Microsoft Internet Explorer).
- Comment Robot (appelé aussi spider) très performant qui exécute une recherche par mots-clés. Contrairement à l'annuaire, le moteur de recherche n'a pas besoin de l'intervention humaine. Il passe au peigne fin l'ensemble des pages web enregistrées dans sa base de données. Les pages trouvées contenant le mot-clé sont affichées sous forme de liste.
- Comment Un mot-valise est un jeu de mots qui regroupe le début d'un premier mot et la fin d'un second. Par exemple "caméscope" est la contraction de caméra vidéo et magnétoscope.
- Comment MP3 (MPeg audio layer 3). Le MP3 est un format de fichier son compressé obtenu par suppression de données. Avec cet encodage il est possible de diviser par 12 la taille d'un fichier son (wav) et cela sans perte audible de qualité sonore. La technique de compression utilisée, basée sur une particularité de l'oreille humaine à ne plus percevoir certaines fréquences dans des conditions sonores précises, permet de conserver une qualité parfaite.
- Comment MP3blog est un blog ayant pour sujet la musique. L'auteur s'intéresse à un groupe, un artiste, une chanson, un phénomène et apporte sa contribution, son point de vue, ses critiques. Généralement, le billet est complété par l'écoute du morceau de musique. Ce n'est pas seulement de la mise à disposition de fichiers audio comme le peer-to-peer mais il y a un véritable intérêt pour la musique et l'envie de partager une passion.
- Comment MPEG (Moving Picture Experts Group).
MPEG est un Groupe d'experts chargés de mettre au point un format de compression vidéo.
MPEG est aussi une norme constituée d'un ensemble de formats de compression développés par ce groupe d'experts dans le domaine de la vidéo et du son. Outre les formats de compression vidéo et audio, la compression MPEG inclut des formats standards destinés au matériel d'indexation, de remplissage et d'étiquetage. - Comment Un nabaztag (lapin en arménien) est un gadget ressemblant à un lapin blanc et se connecte à l'ADSL en Wi-Fi. Il peut annoncer la météo, bouger les oreilles quand on pense à lui, lire les flux RSS, annoncer l'arrivée d'un courriel en changeant de couleur, etc. En novembre 2006, une nouvelle version fait son apparition avec plus de fonctionnalités. Il est muni notamment d'un nombril qui fait office de microphone et un nez fonctionnel.
- Comment Navigateur (browser en anglais) est un logiciel pour consulter le World Wide Web. Il en existe plusieurs mais le plus connu est sans nul doute Internet Explorer de Microsoft mais certainement pas le plus complet ni le plus sécurisé. Depuis quelques années sont apparus des navigateurs alternatifs comme Firefox de Mozilla. Respectueux des standards du web, gratuits et libres ils sont régulièrement mis à jour par une équipe motivée de bénévoles.
- Comment Périphérique d'ordinateur permettant de visualiser les informations. C'est un écran.
- Comment Société américaine fondée en 1975 par Bill Gates et Paul Allen dont le siège se situe à Seattle aux Etats-Unis. L'un des produits les plus réputés de Microsoft est le système d'exploitation MS-DOS lancé en 1981 sur les ordinateurs IBM-PC. Puis vinrent l'interface Windows, le traitement de texte Word et le tableur Excel. Microsoft est un des acteurs les plus importants de l'informatique et est présent dans tous les domaines.
MS-DOS est longtemps resté la base des systèmes d'exploitation grand public de Microsoft, bien que l'installation de Windows en modifie in-situ des portions de plus en plus grandes. A la sortie de Windows 95 il perdit en théorie son statut de système d'exploitation. Mais en réalité, l'interface graphique était simplement lancée par-dessus le DOS directement au démarrage. MS-DOS est resté une sous-couche des versions grand-public de Windows (comme Windows 98 et Me) jusqu'à l'avènement de Windows XP qui marque son abandon réel par Microsoft au profit du système NT. Le DOS en était alors à sa version 7.
Les versions récentes de Windows possèdent toujours un "interpréteur de commandes" (command prompt), dont les commandes sont héritées de celles de MS-DOS et qui permet d'exécuter des programmes Windows en mode texte, ainsi que des programmes MS-DOS grâce à un émulateur intégré. Cependant, cet interpréteur (cmd.exe) n'est pas celui de MS-DOS à proprement parler (command.com), et certains anciens programmes DOS ne peuvent s'exécuter dans ce mode.
MS-DOS n'étant plus maintenu par Microsoft, un autre DOS a été développé, il s'agit de FreeDOS, un logiciel libre. IBM, pour sa part, dispose d'un DOS 7, qui sait lire des fichiers FAT32 et lui est utile pour certains travaux ponctuels. "data-ajax="false">Comment MS-DOS (Microsoft Disk Operating System). L'origine de MS-DOS remonte à 1981, lors du lancement de l'IBM PC par IBM. La société avait demandé à Digital Research, créateur de CP/M qui dominait le marché à l'époque, de porter son système sur le PC, mais devant le peu d'empressement de son directeur Gary Kildall, elle s'était adressée également à Microsoft.
Microsoft était réputé pour ses réalisations d'interpréteurs BASIC, mais n'avait rien dans ses cartons pour écrire rapidement un DOS. Elle porte alors son choix sur le QDOS (pour « Quick and Dirty Operating System ») créée par une petite firme de Seattle, qu'elle lui rachète pour quelques milliers de dollars (50 000 $) et améliore petit à petit. La version vendue à IBM s'appelera PC-DOS. Elle ne diffère de la version distribuée par Microsoft que par deux choses, dont les plus importantes sont juste que * les fichiers IBMBIO.COM et IBMDOS.COM se nomment IO.SYS et MSDOS.SYS sur la version Microsoft. * l'interpréteur BASIC nommé simplement BASICA sur IBM se nomme GWBASIC sur la version Microsoft.
IBM commercialisera le PC à parité avec au choix de l'utilisateur trois systèmes d'exploitation payants (PC-DOS, CP/M 86, PC/IX) Par la suite, PC-DOS faisant plus de 2/3 des ventes de système pour PC à lui seul, Microsoft demanda et obtint qu'il soit facturé d'emblée avec chaque PC vendu. La "taxe Microsoft" était créée.
MS-DOS est longtemps resté la base des systèmes d'exploitation grand public de Microsoft, bien que l'installation de Windows en modifie in-situ des portions de plus en plus grandes. A la sortie de Windows 95 il perdit en théorie son statut de système d'exploitation. Mais en réalité, l'interface graphique était simplement lancée par-dessus le DOS directement au démarrage. MS-DOS est resté une sous-couche des versions grand-public de Windows (comme Windows 98 et Me) jusqu'à l'avènement de Windows XP qui marque son abandon réel par Microsoft au profit du système NT. Le DOS en était alors à sa version 7.
Les versions récentes de Windows possèdent toujours un "interpréteur de commandes" (command prompt), dont les commandes sont héritées de celles de MS-DOS et qui permet d'exécuter des programmes Windows en mode texte, ainsi que des programmes MS-DOS grâce à un émulateur intégré. Cependant, cet interpréteur (cmd.exe) n'est pas celui de MS-DOS à proprement parler (command.com), et certains anciens programmes DOS ne peuvent s'exécuter dans ce mode.
MS-DOS n'étant plus maintenu par Microsoft, un autre DOS a été développé, il s'agit de FreeDOS, un logiciel libre. IBM, pour sa part, dispose d'un DOS 7, qui sait lire des fichiers FAT32 et lui est utile pour certains travaux ponctuels.- Comment Minix est un système d'exploitation, clone d'UNIX, basé sur un micro-noyau créé par un professeur nommé Andrew S. Tanenbaum à des fins pédagogiques, volontairement réduit afin qu'il puisse être compris entièrement par ses étudiants en un semestre, et qui a servi de source d'inspiration à Linus Torvalds pour créer Linux.
- Comment MOE (Maîtrise d'OEuvre). Il s'agit de la personne ou de l'entité qui réalise le projet afin de répondre à la demande d'une maîtrise d'ouvrage (MOA). Elle définit et conçoit la solution, la réalise et assiste souvent la MOA dans le démarrage du projet.
- Comment MOA (Maîtrise d'OuvrAge). Lors du développement ou la mise en place d’un projet de système d’informations, activité consistant à définir l'expression des besoins, les fonctionnalités à réaliser, leur priorité, également à effectuer la recette.
- Comment Le mot multimédia est apparu vers la fin des années 1980, lorsque les CD-ROM se sont développés. Il désignait alors les applications qui, grâce à la mémoire du CD et aux capacités de l'ordinateur, pouvaient générer, utiliser ou piloter différents médias simultanément : musique, son, image, vidéo, et interface homme-machine interactive (IHM).
- Comment MSN (MicroSoft Net) est un logiciel de communication via Internet de la société Microsoft.
- Comment La souris des ordinateurs destinée à manipuler les information à l'écran.
- Comment la carte mère (Mother Board en anglais) est la principale carte à circuits imprimés d'un micro-ordinateur. La carte mère contient les connecteurs qui permettent le raccordement des autres cartes.
- Comment Le Morphing est un effet permettant la transition imperceptible d'une image à une autre. Il a été popularisé par le clip Black and White de Michael Jackson utilisé dans la Pub et cinéma.
- Comment Mode Web est une option d'affichage du bureau. Ce mode vous permet d'explorer votre ordinateur selon des conventions propres au Web et notamment d'ouvrir un fichier avec un simple clic.
- Comment Mirror (miroir en français) est une copie d'un volume de disque dur. Chaque miroir d'un volume réside sur un disque différent. Si l'un est indisponible on peut faire appel à l'autre pour récupérer les données.
- Comment MIDI (Musical Instrument Digital Interface). Protocole de communication et de commande permettant l’échange de données entre instruments de musique électronique. Un ou plusieurs de ces « instruments » pouvant être des ordinateurs. Il est géré par l’International Midi Association. La liaison est unidirectionnelle (semi-duplex).
Le grand atout de ce protocole est son interactivité : il sert à la fois pour la commande et pour l’enregistrement. Sous ce terme sont regroupées plusieurs normes, relatives au protocole logique, à l’interface physique, au format de fichier et à l’attribution des sons (GM). La première démonstration publique eut lieu lors du NAMM de 1983, entre un Jupiter-6 (Roland) et un Prophet-600 (Sequential Circuits), par leurs deux représentants et fondateurs, Mr K pour Roland et Dave Smith pour Sequential Circuits. Dave Smith est un des concepteurs de la norme MIDI. - Comment Logiciel informatique pour PC ou Mac destiné à la création de livres, brochures, etc.
- Comment Emission d'un message
- Comment Menu qui s'affiche lorsque vous cliquez avec le bouton droit sur un objet.
- Comment Liste de commandes qui s'affiche en haut de la plupart des fenêtres.
- Comment Mémoire
- Comment Logiciel courant pour PC ou Mac ( pour multimédia et son)
- Comment MDTL (Modified Diode Transistor Logic). Une sorte de circuit logique utilisé dans l'électronique et PC.
- Comment Maître / Esclave. Quand on a deux disques durs dans son PC on a le choix, pour chaque disque entre maître et/ou esclave
- Comment Société faisant différents logiciels le plus important pour Antivirus
- Comment Appareil servant à transformer les vibrations sonores en impulsions électriques. Il sert à enregistrer et à amplifier le son.
- Comment Micro miniature que l'on peut fixer aux vêtements.
- Comment Ancien terme pour micro.
- Comment Chaîne hi-fi miniaturisée.
- Comment Ensemble d'images géométriques projetées par un écran de télévision et servant à régler l'appareil.
- Comment Mélanger plusieurs signaux (sonores ou visuels) sur un seul support. Anglais to mix
- Comment Forme de modulation permettant de transmettre des informations sonores à distance. Anglais frequency modulation
- Comment Procédé de transmission d'un signal sonore par un seul canal.
- Comment Dispositif permettant la diffusion d'émissions de plusieurs studios différents sur un seul canal de communication. Anglais multiplex system
- Comment Contraction de l'expression anglaise network etiquette. La nétiquette est l'ensemble des recommandations, non officielles mais reconnues par les internautes, pour une conduite responsable et respectueuse sur Internet. Elle s'applique principalement dans les espaces de discussion (forum, IRC) et la correspondance électronique.
- Comment Newbie est un terme anglais pour désigner un utilisateur néophyte sur Internet. Il est particulièrement utilisé dans les groupes de discussion ainsi que certains jeux multijoueurs en ligne. On trouve des variantes comme noobie ou rookie.
- Comment Un nom de domaine (ou URL) est l'adresse d'un site sur Internet. Une personne souhaitant se rendre sur votre site Internet devra donc taper cette adresse dans la barre d'adresse de son navigateur.
- Comment Dans les jeux en ligne, expression qui désigne un joueur acharné qui consacre la grosse majorité de son temps à jouer et ne subvient qu'à ses besoins vitaux. Ce comportement extrême entraîne une dégradation progressive et complète de sa vie sociale, d'où le terme. Le temps d'investissement peut facilement atteindre les 18h de jeu effectif par jour. On les retrouve principalement sur des MMORPG.
- Comment Numérateur
- Comment Câble spécial permettant à deux PC de communiquer directement l'un avec l'autre.
- Comment Norton Antivirus est un logiciel informatique destiné à protéger son PC contre les virus.
- Comment Pas de tonalité
- Comment News Group est u groupe de discussion sur un sujet déterminé
- Comment Two late (Two l Eight) (trop tard) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment I for one (a mon avis) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment For me (pour moi) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment As Far As I Know (autant que je sache) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Away From Keyboard (loin du clavier) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment As Soon As Possible (dès que possible) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Before (avant) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Back At Keyboard (de retour au clavier) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment By The Way (à propos) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Do What I Say ! Say Not What I Do (faites ce que je dis, ne dites pas ce que je fais) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment End Of File (fin de fichier) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Face to Face (face à face) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Frequently Asked Questions (questions fréquemment posées) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment For Your Information (pour votre information) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Grin (sourire) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Go ahead (avance, vas-y , je t'écoute) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment I see (je vois) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment In My Opinion (à mon avis) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment In Other Words (en d'autres mots) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment In Real Life (dans la vraie vie) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment It Seems To Me (il me semble) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment It Would Be Nice If… (ce serait gentil si…) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment If You See What I Mean (si vous voyez ce que je veux dire) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Just A Minute (juste une minute) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Laughing Out Loud (éclat de rire) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Multi-User Dungeon (jeux de rôle en ligne) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Multi-User Games (jeux en réseau) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment No Reply Necessary (réponse pas nécessaire) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment are you ok ? (êtes-vous d'accord ?) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Signifiant Others (les amis ou personnes chères) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Smiling Out Loud (rire très fort) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Thanks In Advance (merci d'avance) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Thanks (merci) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Virtual Community (communauté virtuelle) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Virtual Reality (réalité virtuelle) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment You're Out Of Luck (vous n'avez pas de chance) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment OCR (Optical Character Recognition). En français, reconnaissance optique des caractères. Grâce à un logiciel, l'ordinateur récupère le texte présent dans une image et le sauvegarder. C'est utilisé principalement avec un scanner pour permettre de rendre éditable avec un traitement de texte, un document texte scanné.
- Comment OLED (Organic light-emitting diode). Technologie d'affichage pour écrans plats avec un large potentiel. Les diodes électroluminescentes organiques reposent sur des matériaux semi-conducteurs organiques (plastiques) qui sont soumis à une tension électrique et qui émettent alors une lumière. Chaque pixel d'un écran OLED est composé de trois diodes, une rouge, une verte et une bleue.
La technologie OLED offre plusieurs avantages par rapport au LCD : un meilleur angle de vision, un meilleur contraste, une palette de couleurs (gamut) plus large le tout pour un prix de fabrication et une consommation électrique inférieurs. Le principal inconvénient est une durée de vie relativement réduite, ce qui réserve pour le moment la technologie OLED aux petits écrans d'appoint (téléphones portables, appareils photo). - Comment OSI (Open System Interconnection). Définition normalisée d'un modèle en 7 couches assurant la compréhension entre les différents systèmes de communication des fournisseurs.
Couche Application : transfert des informations entre programmes.
Couche présentation : mise en Forme de texte et conventions d'affichage.
Couche Application : transfert des informations entre programmes.
Couche Session : établissement, gestion et coordination des communications.
Couche transport : remise correcte.
Couche réseau : détermination des routes de transport, traitement et transfert de messages.
Couche Liaison de données : codage, adressage et Transmission des informations.
Couche physique : connexions matérielles. - Comment Ordinateur est le nom donné par J. Perret aux premières machines d'IBM en 1955. Toutes les autres langues utilisent le terme ''calculateur'' et non ''ordinateur''. Les ordinateurs sont basés sur l'architecture de Von Neumann John. Un ordinateur est une machine dotée d'une unité de traitement lui permettant d'exécuter des programmes enregistrés.
C'est un ensemble de circuits électroniques permettant de manipuler des données sous forme binaire, ou bits. En lui appliquant des instructions prédéfinies (programme), l'ordinateur permet d’effectuer des traitements automatisés de données. - Comment Overwrite est l'action d'écraser des données dans un fichier.
- Comment Overloading circuit breaker est un fusible de surcharge
- Comment Overclocking est un procédé accélérant le fonctionnement du processeur d'une carte graphique ou d'un ordinateur. On peut ainsi gagner 5 à 10 % de sa vitesse au risque de provoquer des disfonctionnements dus à un dégagement de chaleur plus important. Le fait de brancher un processeur sur une carte fonctionnant à une fréquence plus élevée que la sienne
- Comment Output sont les données qui sortent de l'ordinateur ; les résultats des traitements.
- Comment Outlook est un logiciel informatique de la société Microsoft utilisé pour gérer ses e-mails.
- Comment On The Other Hand (d'autre part, d'un autre côté) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Off Topic (hors-sujet) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment OSD (On Screen Display). Affichage directement sur l'écran des informations de configuration de l'écran.
- Comment OS (Operating System). Système d'exploitation. Cette appellation est communément utilisée pour désigner le système d'exploitation des ordinateurs Macintosh de la firme Apple. Basés sur une interface utilisateur graphique, l'OS des ordinateurs Apple est à sa sortie connus sous le nom de Système (versions de 1 à 7), avant de devenir Mac OS (7.6, 8 et 9). A l'aube des années 2000, cette lignée est remplacée par Mac OS X, développé à partir de NeXTSTEP.
- Comment O-ROM (Optical Read Only Memory). CD-ROM optique au format 3"½
- Comment Version anglaise du logique "OU".
- Comment Représentation de police rendue à partir de commandes de lignes et de courbes qui peuvent être mises à l'échelle et pivotées.
- Comment Out-Of-Order (hors-service, dans le désordre) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment ON-LINE Se dit d'un service connecté au réseau (en direct).
- Comment Fonction Marche / Arrêt d'un appareil.
- Comment Domaine d'Oman.
- Comment OLE (Object Linking and Embedding). Liaison et incorporation d'objets (insertion d'objets dans les documents).
- Comment OGM (OutGoing Message). Message sortant (fonction du répondeur téléphonique)
- Comment Offshore (Loin des côtes en français) caractérise les délocalisations et les réalisations délocalisées diverses.
- Comment OAM (Operations And Maintenance). Opérations maintenance, c'est-à-dire le fonctionnement quotidien du système.
- Comment La page d'accueil est la première page d'un site Internet. Elle présente les services proposés par le site et contient tous les liens pour se rendre dans les différentes parties du site.
- Comment Pager est une messagerie instantanée permettant entre autre de voir si ses amis sont connectés et d'échanger des messages de manière instantanée. La plupart de ces logiciels ne sont pas compatibles entre eux : MSN Messenger, Yahoo Messenger, Wanadoo Messenger, Google Talk, etc.
- Comment Domaine réservé mais dont le contenu n'est pas encore disponible en ligne. Le propriétaire profite de cette période d'attente pour injecter sur la page d'accueil des liens publicitaires ciblés. Cette source de revenus est calculé sur un pourcentage de clics des visiteurs. Les noms de domaines « parqués » les plus rentables sont génériques (.com, .net) et évocateurs.
- Comment Patch (rustine en français) est un ajout temporaire de code, en général pour corriger rapidement un bug. Le patch est utile car il est tout petit et permet de corriger des bugs sans diffuser la totalité d'un logiciel.
- Comment PayPal, du groupe eBay, est un système de payement sécurisé via e-mail. Un internaute X dispose d'un compte PayPal et peut envoyer de l'argent à un destinataire Y également titulaire d'un compte Paypal. L'avantage est qu'aucune coordonnée bancaire ne transite sur Internet lors de la transaction.
- Comment PC (Personal Computer) est le nom du premier micro-ordinateur de marque IBM né en 1981. PC est à présent le terme générique désignant les ordinateurs personnels embarquant un processeur de type Intel, AMD, etc.
- Comment PDF (Portable Document Format). Format de document compatible PC et Macintosh. Il est conçu pour transmettre des documents de types variés (formulaires, brochures, livrets, livres, etc.) via Internet, tout en respectant la mise en page originale et en compressant au maximum la taille du document à transférer.
- Comment P2P (Peer to peer). En français, poste-à-poste. Le P2P permet une communication directe entre plusieurs internautes sans que les données transitent par un serveur. Dès lors les utilisateurs peuvent être clients ou serveurs alternativement ou les deux à la fois. Les modèles de P2P les plus connus comme Napster, eMule ou KaZaA était utilisé dans les 2000 pour échanger principalement des fichiers MP3.
- Comment Menace informatique, le pharming ou DNS poisonning (empoisonnement DNS) exploite une vulnérabilité des serveurs de noms de domaine pour rediriger le trafic Internet d'un site Web vers un autre site de manière transparente pour l'internaute.
- Comment Phishing (hameçonnage en français) est une technique illicite visant à récupérer des données confidentielles via Internet : mot de passe, numéros de carte de crédit. Le pirate piège ses victimes en envoyant un e-mail frauduleux ayant l'apparence d'une entreprise reconnue (banque, entreprise commerciale, etc.) lui demandant de fournir un numéro de carte de crédit par exemple. Il faut noter qu'il est fortement recommandé de ne jamais fournir d' informations confidentielles par e-mail.
- Comment PHP (PHP Hypertext Preprocessor). Langage de script orienté objet permettant de gérer un site web dynamique de A à Z, en allant de la simple génération de documents HTML à la production d'images GIF à la volée en passant par les requêtes aux serveurs de données, l'envoi automatique de mail ou encore le chiffrement. Il est très complet et évolue vite. C'est un logiciel libre.
- Comment PHP Nuke est un système de gestion de site Internet basé sur PHP. Modulaire et permettant la mise en oeuvre de thèmes, il a été développé par Francisco Burzi à partir de 2000 et a rencontré un franc succès. Cet outil gratuit (traduit en 25 langues) comporte en standard de nombreuses fonctions : publications de news, moteurs de recherche et archivage automatique, sondages, looks personnalisables, gestion de bandeaux publicitaires, etc.
- Comment Plug-in (module d'extension en français) est un petit programme qui s'ajoute à un logiciel pour lui adjoindre de nouvelles fonctionnalités.
- Comment PNG (Portable Network Graphics). Ce format graphique est recommandé par le W3C, car il réunit la plupart des atouts des autres formats d'images tout en étant libre de droit. Malheureusement, le PNG est encore mal géré par les navigateurs. Par exemple, Internet Explorer 6 ne gère pas le PNG-24 bits autrement dit, il est incapable d'afficher différents niveaux de transparence.
- Comment Un message publirédactionnel est un texte signé par l'auteur d'un blog mais dont le contenu est une publicité. Un des premiers à avoir utilisé ce système est Loïc Lemeur en octobre 2006 et dont les réactions des visiteurs furent assez partagées.
- Comment Le terme podcast est un néologisme né de la contraction du célèbre baladeur d'Apple et de broadcast qui signifie diffusion. Un podcast est un fil de syndication RSS sauf que celui-ci est audio et parfois vidéo. Il ne fonctionne qu'avec RSS2. L'accès à l'information nécessite un logiciel capable de lire le flux appelé lecteur RSS. Il suffit ensuite d'ajouter les podcasts (URL) au lecteur qui va alors télécharger les fichiers musicaux. Il sera alors possible d'écoute le podcast sur l'ordinateur ou un baladeur numérique.
- Comment POP3 (Post Office Protocol version 3) est le protocole utilisé pour télécharger le courrier électronique du serveur à l'ordinateur client. À l'inverse, pour envoyer un message électronique il vous faut utiliser le protocole SMTP.
- Comment En français, fenêtre intruse (très peu utilisé). Fenêtre qui s'affiche soudainement à l'écran sans que l'utilisateur en ait fait la demande. Il s'agit généralement de fenêtres publicitaires. La plupart des navigateurs actuels disposent d'un système pour bloquer les pop-up.
L'e-mail repose sur deux ports: le 25 (SMTP, pour l'envoi) et le 110 (POP3, pour la réception). On peut également citer le port 21, réservé au FTP et le 23, affecté au Telnet. Le port est un nombre entre 0 et 65535. Un firewall est en mesure de bloquer certains ports pour empêcher l'usage de telle ou telle application (celles de chat notamment). Enfin, il existe pratiquement autant de ports que d'applications. "data-ajax="false">Comment Tout comme un ordinateur dispose de ports physiques (ports série, parallèle, USB) pour se relier à des périphériques, il dispose de ports logiques lui permettant de communiquer, via Internet notamment. On pourrait comparer ces ports à des fréquences radio.
A chaque grande application du Net correspond un port TCP bien précis. Pour le Web (HTTP), il s'agit du port 80. Libre à certains sites de fonctionner avec un autre port, mais celui-ci devra dans ce cas être mentionné dans l'URL: "www.site.be:8888" par exemple. Cette technique est surtout utilisée pour des sites de tests que l'on ne souhaite pas rendre publics.
L'e-mail repose sur deux ports: le 25 (SMTP, pour l'envoi) et le 110 (POP3, pour la réception). On peut également citer le port 21, réservé au FTP et le 23, affecté au Telnet. Le port est un nombre entre 0 et 65535. Un firewall est en mesure de bloquer certains ports pour empêcher l'usage de telle ou telle application (celles de chat notamment). Enfin, il existe pratiquement autant de ports que d'applications.- Comment Un portail est une page d'entrée de site Internet offrant le maximum de liens vers les différentes parties de ce site ou d'autres sites sur généralement une thématique précise. Dans les années 1990, les Fournisseurs d'Accès Internet proposaient leurs propres portail via un logiciel qui modifiait la page d'acceuil du navigateur du client. Ils s'assuraient ainsi un maximum de trafic.
- Comment Un Progamer (PGM) est un individu dont le métier est jouer aux jeux vidéos en réseau. Les joueurs sont rémunérés grâce aux sponsors et aux primes des nombreux tournois.
- Comment En informatique, un proxy est un programme ou un matériel (un serveur par exemple) servant d'intermédiaire entre deux réseaux Internet.
- Comment Un packet est une unité de données binaires pouvant être acheminé à travers un réseau informatique.
- Comment Pixel est la contraction de "picture element". Il s'agit du plus petit élément qui compose une image affichée sur un écran ou imprimée. Le nombre de pixels exprime généralement la résolution d'une image ou d'un écran.
- Comment Les pilotes sont associés à un matériel bien précis et contiennent des routines permettant un accès direct au matériel en question. Un pilote fait le lien entre le matériel et le système d'exploitation.
- Comment La programmation informatique est la création ou maintenance de programmes qui implique la connaissance d'un ou plusieurs langage de programmation, par exemple le C, le Java ou l'Assembleur.
La programmation requiert, de plus, une bonne connaissance de la théorie des algorithmes, de la conception d'interfaces utilisateur et des caractéristiques des dispositifs matériels.
Les ordinateurs sont essentiellement des machines logiques, et la programmation nécessite une approche logique similaire pour concevoir, écrire le code, tester et déboguer un programme. Les langages de bas niveau, tels que l'assembleur, supposent aussi de bien connaître les capacités d'un processeur et ses instructions de base. Dans l'approche modulaire préconisée par de nombreux programmeurs, un projet est scindé en modules plus petits et plus faciles à gérer. Ce sont des unités fonctionnelles qui peuvent être conçues, écrites, testées et déboguées séparément et qui sont ensuite incorporés dans de plus vastes programmes. - Comment Domaine du Paraguay.
- Comment Domaine du Portugal.
- Comment Un protocole est un ensemble de règles utilisé par les ordinateurs pour communiquer entre eux à travers un réseau. C'est un format d'échange d'informations entre ordinateurs.
- Comment Un programme est un logiciel informatique utilisé par un ordinateur pour exécuter des tâches précises. Par exemple, Microsoft Word est un programme de traitement de texte. Les programmes sont également appelés applications.
- Comment Fichiers des Programmes ou applications sur chaque disque dur.
- Comment Imprimante
- Comment Imprime ce que l'on voit à l'écran
- Comment PPP (Point to Point Protocol). Protocole permettant d'accéder à distance aux réseaux de type Internet à partir d'une ligne téléphonique et d'un modem.
- Comment Fonctionnalité qui vous permet de gérer les fichiers stockés sur votre ordinateur ou des lecteurs réseau. Elle vous permet aussi d'accéder à des outils système. L'icône Poste de travail s'affiche sur le bureau d'un PC.
- Comment Interface de système d'exploitation portable pour Unix
- Comment POP (Point Of Presence). Point d'accès à Internet par un usager
- Comment Le Pointeur de la souris est l'icône représentant généralement une flèche, qui s'affiche à l'écran et qui est contrôlée par les mouvements de la souris.
- Comment Plug and Play (branche et ça marche en français) est l'action de brancher un périphérique sans installer de pilote.
- Comment Domaine du Pakistan.
- Comment PIM (Personnal Information Manager). Gestionnaire d'informations personnelles.
- Comment PIF (Program Information File). Fichier contenant des informations sur le fonctionnement d'un programme DOS aujourd'hui souvent utilisé par les virus ou archive sous Mac OS.
- Comment Unité de mesure typographique.
- Comment Domaine des Philippines.
- Comment Domaine de la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
- Comment Domaine de la Polynésie Française.
- Comment PCI (Peripheral Component Interconnect). Spécification d'Intel Corporation définissant un système de bus local permettant jusqu'à 10 cartes d'extension PCI d'être installées dans l'ordinateur.
- Comment Path est le chemin d'accès à un fichier, c'est-à-dire la liste des répertoires qu'il faut traverser pour l'atteindre.
- Comment Le mot de passe.
- Comment Type d'affichage utilisé sur les ordinateurs portables reposant sur une grille de fils horizontaux et verticaux sur une plate-forme de cristaux liquides. L'intersection de chaque grille constitue un élément affiché sous forme de pixel.
- Comment Langage de programmation structuré mis au point par Wirth Niklaus en 1968, et nommé en honneur du mathématicien français.
- Comment Parcourir signifie naviguer sur Internet. Ce terme est utilisé aussi pour parcourir le contenu d'un ordinateur.
- Comment Par défaut se dit d'un paramètre prédéfini.
- Comment Le Papier peint est le fond du bureau.
- Comment PAO (Publication Assistée par Ordinateur). Ensemble des techniques associées à la publication, c'est-à-dire le traitement du texte et sa mise en page (comme GAO pour Graphisme Assistée par Ordinateur).
- Comment Groupe d'outils qui permet de modifier les paramètres matériels et logiciels de votre ordinateur.
- Comment Touche du clavier pour aller une page en haut.
- Comment Touche du clavier pour aller une page en bas.
- Comment P2P (Peer to peer). En français, poste-à-poste. Le P2P permet une communication directe entre plusieurs internautes sans que les données transitent par un serveur. Dès lors les utilisateurs peuvent être clients ou serveurs alternativement ou les deux à la fois. Les modèles de P2P les plus connus comme Napster, eMule ou KaZaA était utilisé dans les 2000 pour échanger principalement des fichiers MP3.
- Comment La télévision est appelée le petit écran en opposition au cinéma appelé le grand écran.
- Comment Déformation d'un son.
- Comment Plate-forme amovible pour placer les projecteurs et la caméra. Au cinéma, il s'agit d'un partie du décor où les acteurs peuvent évoluer.
- Comment A la télévision, tranche horaire correspondant à la plus grande écoute.
- Comment Action de produire un film ou un spectacle (production en anglais).
- Comment Produire (produce en anglais) est l'action d'assurer le financement et l'organisation matérielle d'une oeuvre.
- Comment Prévoir un film ou une émission dans une grille de programmes audiovisuels.
- Comment Ecran sur lequel défile le texte que doit lire un présentateur de télévision.
- Comment Technologie multimédia développée par Apple, que l'on peut utiliser tant sur Macintosh que sur PC. QuickTime peut lire des fichiers vidéo et convient également pour le streaming (diffusion en continu sans téléchargement complet préalable) et les panoramiques à 360° (VR). Concrètement, QuickTime est à la fois une application de plus en plus complète et un plug-in pour navigateur Web.
- Comment QAM (Queued Access Method). Méthode d'accès basée sur Queue (file d'attente)
1. Quality Assurance Management, Gestion d'assurance qualité.
2. Quadrature Amplitude Modulation, mode de transfert dans lequel les données numériques sont modulées en signal analogique et représentées avec un nombre de combinaisons de 16 pour chaque 4 BITS. Utilisé dans la Transmission par FAX. - Comment QBE (Query By Example). Langage spécifique de requête pour les bases de données. L'utilisateur introduit un exemple du résultat qu'il recherche et le logiciel met au point la commande correspondante.
- Comment QCIF (Quarter Common Intermediate Format). Format d'image vidéo utilisé en vidéoconférence ayant une fréquence de 30 images secondes et une taille de 144 lignes par 176 colonnes soit le quart de la résolution CIF.
- Comment Format de Sauvegarde sur bandes magnétiques.
- Comment QL (Quantum Leap). Ordinateur mis en vente à partir de 1984 par la société Sinclair. Il était composé d'un microprocesseur 68008 de Motorola, 128ko de RAM, 48ko de ROM d'un écran de 24 lignes de 32 caractères et d'une résolution graphique de 256x256 jusqu'à 512x256.
- Comment Le QWERTY est une disposition des touches de clavier de machine à écrire breveté en 1868 par Christopher Latham Sholes. Il tire son nom des six premières touches de la rangée alphabétique supérieure. La configuration des claviers d'ordinateurs en QWERTY a été copiée sur le modèle des claviers des machines à écrire, elle-même créé pour ralentir la frappe des dactylographes qui, en allant trop vite, cassaient ou emmêlaient les baguettes. Les touches correspondant aux paires de lettres les plus usitées dans la langue anglaise sont réparties aux extrêmes du clavier, ce qui limite les risques de blocage des tiges. En france, la disposition du clavier est AZERTY
- Comment Norme d'affichage composée de 320 pixels de largeur et 240 pixels de longueur, d'où la notation 320x240 pixels. Le nombre pixels est en cette Résolution de 76800.
- Comment Reprise dans un message une partie ou la totalité du texte auquel vous répondez.
- Comment Norme de codage permettant le transport des caractères accentués. Transforme un caractère accentué en une chaîne de caractère composée du signe "=" suivi du Code ISO-8859-1 en hexadécimal du caractère ("é" devient =E9). Cette norme tombe petit à petit en désuétude, même si elle reste parfois utilisée pour transporter le courrier électronique. L'usage du quoted-printal est interdit sur Usenet. Pour envoyer des articles comportant des caractères accentués dans les news, il faut utiliser l'encodage 8BITS ISO-8859-1.
- Comment Quote ou guillemet en français. Caractère utilisé dans un système de messagerie pour différencier la réponse du texte ayant suscité celle-ci. Il est à noter que tout caractère peut être utilisé même si il est d'usage de se servir du « supérieur à ».
- Comment Ensemble des routines graphiques de MacOS pour l'affichage sur écran ou imprimante. gère à la fois le graphisme et le texte. cette technologie sera remplacée dans MacOS X par la nouvelle technologie ''quartz''.
- Comment Technologie proposée par Intel pour accélérer le chargement des pages web. La technique consiste à compresser les images en éliminant certains pixels inutiles.
- Comment Quantum Leap ou saut quantique en français. Ordinateur mis en vente à partir de 1984 par la société Sinclair. Il était composé d'un microprocesseur 68008 de Motorola, 128ko de RAM, 48ko de ROM d'un écran de 24 lignes de 32 caractères et d'une résolution graphique de 256x256 jusqu'à 512x256.
- Comment Bibliothèque d'objets graphiques en language C++ créée par une société norvégienne du nom de TrollTech. Cette bibliothèque permet de créer des applications pour MS-Windows et XWindows/UNIX. Qt est utilisé dans la création du bureau KDE pour Linux.
- Comment QSTN (Quadruple Super Twisted Neumatics). Standard des écrans portables.
- Comment QPI (Quote Part Internationale). QPI définie dans le cadre du système des taxes de répartition.
- Comment QDOS (Quick-and-dirty Operating System). QDOS est l'ancêtre du MS-DOS de Microsoft. QDOS signifie Quick-and-dirty Operating System, soit "système d'exploitation rapide et sale".
- Comment Terminer l'exécution d'un programme.
- Comment Mot existant aussi bien en français qu'en anglais, et utilisé dans le sens de « file d'attente ». Par ex.: file d'attente des documents à être imprimés dans l'imprimante.
- Comment La requête (dans logiciel Access)
- Comment QC (Quality Control). Contrôle de Qualité.
- Comment Enregistrement et reproduction des sons utilisant quatre canaux.
- Comment Le référencement est une technique qui consiste à améliorer la visibilité (positionnement dans les pages de résultats) d'un site web sur différents moteurs de recherches et annuaires thématiques. Il existe 2 stratégies distinctes et complémentaires de référencement : le référencement naturel (ou organique) et le référencement payant (ou liens sponsorisés).
- Comment Information précieuse indiquant au webmaster le site qui a permis au visiteur d'arriver sur sa page web. Cette information se trouve dans les statistiques de visite et plus particulièrement dans le fichier referer-log du serveur. Ces données peuvent être vides si l'internaute accède à la page via son agrégateur de nouvelles, ses favoris ou un lien présent dans un e-mail.
- Comment Société commerciale ou association qui a pour vocation de maintenir une base de données unique par TLD où sont regroupées certaines informations sur les noms de domaine.
- Comment Organisme habilité à enregistrer le dépôt des noms de domaine. L'habilitation est décernée par l'ICANN en ce qui concerne les gTLD. Le registrar est en contact direct avec le client final. Il s'est inscrit auprès des divers registres en fonction des extensions qu'il souhaite commercialiser pour lesquelles il paye une redevance annuelle.
- Comment En français, média enrichi. Appellation générique désignant l'ensemble des technologies nouvelles qui permettent d'inclure des contenus multimédias (vidéo, son, animation), parfois accompagnés d'effets spéciaux. L'efficacité publicitaire des créations rich media est généralement reconnue, mais leur bonne réception exige que les internautes soient équipés de connexions haut débit.
- Comment En français, effet de survol. Technique qui consiste à faire changer l'apparence d'un élément graphique dans une page web lorsque le pointeur de la souris survole cette zone.
- Comment Langage particulier utilisé sur les forums pour crypter la solution à une énigme ou la fin d'un film afin de ne pas révéler trop vite le dénouement d'une situation. Rot-13, comprenez rotation de 13 est utilisé dans l'alphabet latin et fait avancer les lettres de 13 positions tout simplement.
- Comment Read The Fucking Manual (relis ton foutu manuel) est une expression d'exaspération utilisée dans le chat qui indique qu'avant de poser une question il convient de se documenter en consultant le manuel d'utilisation.
- Comment RTL (Resistor Transistor Logic). Une sorte de circuit logique utilisé dans l'électronique et PC.
- Comment RPC (Remote Procedure Call). Appel de procédure à distance.
- Comment ROM (Read Only Memory). Mémoire morte (on inscrit une fois pour toujours), portant les 1ères instructions d'un PC pour démarrage. Il en existe de plusieurs sortes : ROM Stock (version officielle du constructeur), ROM Opérateur (version modifée par un opérateur de téléphonie mobile, comme Orange par exemple), ROM Custom (version modifiée par un utilisateur).
- Comment Opération consistant à transférer le contenu d'un CD audio vers le disque dur d'un ordinateur, souvent en le transformant en fichiers MP3 moins volumineux et plus facile à manipuler.
- Comment Clique du bouton droit de la souris
- Comment RFC (Request for Comments). Document officiel de l'IETF (Internet Engineering Task Force) qui fournit des informations détaillées sur les protocoles de la famille TCP/IP.
- Comment Paramètre qui détermine la quantité d'informations (mesurée en pixels) qui s'affiche à l'écran. Une résolution basse, par exemple, 640 x 480, donne l'impression que les éléments affichés sont de grande taille, alors que la zone d'écran est petite. Une résolution élevée, par exemple 1024 x 768, agrandit globalement la zone d'écran, bien que les différents éléments affichés semblent être de petite taille.
- Comment Deux ordinateurs ou plus connectés entre eux. Les réseaux permettent de partager des ressources telles que des documents, des programmes et des imprimantes.
- Comment Secours, sauver
- Comment Accès à distance a été installé
- Comment Base de registre, stock des paramètres des logiciels de PC
- Comment Actualiser, souvent utilisé sur une page Internet avec le raccourci touche F5.
- Comment Liste de destinataires.
- Comment Logiciel de musique fait pour PC ou Mac multimédia
- Comment Lisez moi ( des fichiers dans les rubriques d'aide)
- Comment Radio-Frequency (RF). Haute Fréquence (HF), Gamme de fréquences non perceptibles par l'oreille humaine.
- Comment Icône qui permet d'établir une liaison vers un fichier ou un dossier. Lorsque vous double-cliquez sur un raccourci, l'élément vers lequel il mène s'ouvre. Le terme utilisé sur Macintosh est "Alias".
- Comment Poste radiophonique. Anglais radio
- Comment Personne qui émet et reçoit des émissions radiophoniques.
- Comment Appareil qui combine un récepteur radiophonique et un lecteur de cassettes.
- Comment Emettre à la radio. Anglais to broadcast
- Comment Action de radiodiffuser.
- Comment Détermination de la position d'un émetteur radioélectrique.
- Comment Radio.
- Comment Reportage diffusé à la radio.
- Comment Appareil qui combine une radio et un réveil. Anglais radio alarm, clock radio
- Comment Diffusé à la radio et à la télévision. Synonyme radiodiffusé Anglais broadcast on both television and radio
- Comment Mise en scène d'un film ou d'une émission.
- Comment Produire un film ou une émission. Anglais to produce
- Comment Appareil qui reçoit des ondes ou des signaux électriques et les transforme en sons ou en images. Anglais receiver
- Comment Action de rediffuser quelque chose ou émission rediffusée à l'écran. Anglais repeat
- Comment Retransmettre une émission par le biais d'un satellite ou d'un relais hertzien.
- Comment Nouvelle version d'un film ou d'un sujet déjà abordé. Anglais remake
- Comment Diffuser une émission. Anglais to broadcast
- Comment Emission diffusée. Anglais broadcast
- Comment Prises de vue faites avant le montage d'une émission télévisée ou d'un film.
- Comment L'arnaque nigériane, appelée aussi scam 419 (du numéro de l'article du code nigérian sanctionnant ce type de fraude), est un courriel signé par un prétendu haut responsable et vous demande votre aide pour la transaction de plusieurs milliers ou millions de dollars. Une participation pour les frais administratifs est exigée avant le payement (imaginaire) de la somme additionnée des intérêts. Voir un exemple de scam nigérian.
- Comment Technique frauduleuse pratiquée par les entreprises d'enregistrement de noms de domaine et qui s'approprient la liste des auteurs dont le nom de domaine arrive à expiration. Les clients potentiels sont ensuite invités à renouveler leur abonnement auprès de cette société.
- Comment En français, capture d'écran animée. Enregistrement numérique sous forme de vidéo de ce qui est affiché à l'écran d'un ordinateur. Le screencast est souvent accompagné d'un commentaire audio. Il est employé comme didacticiel animé pour expliquer en pratique l'utilisation d'un logiciel.
- Comment SEA (Search Engine Advertising). Ensemble des actions payantes dans le cadre d'un référencement. L'achat des liens sponsorisés est un exemple parmi d'autres.
- Comment SEM (Search Engine Marketing). Ensemble de méthodes visant à augmenter la visibilité d'un site dans les pages de résultat des moteurs de recherche. Elles regroupent les actions payantes (SEA) et naturelles (SEO).
- Comment En français, paratagiciel ou logiciel à contribution (rare). Logiciel mis à disposition du public gratuitement pendant une certaine période, généralement 30 jours. Après ce délai, l'utilisateur a le choix entre l'abandonner ou l'acheter s'il en est satisfait. Ce système permet d'évaluer le programme avant d'en faire son acquisition.
- Comment En français, habillage (très rare). Fichier à télécharger qui permet de modifier l'apparence de l'interface graphique d'un logiciel en fonction de ses goûts. L'utilisation d'un habillage personnalisé permet également de se différencier de la masse.
- Comment Logiciel de téléphonie sur IP. Il permet de communiquer vocalement avec une ou plusieurs personnes via une connexion Internet haut débit. La qualité audio transmise par un microphone est équivalente ou supérieure à celle du téléphone.
L'application permet de contacter une personne sur son téléphone fixe ou mobile depuis un ordinateur à des prix attractifs par rapport à la téléphonie traditionnelle. - Comment Néologisme pour désigner un service d'audio conférence pouvant réunir jusqu'à 100 personnes simultanément en utilisant le logiciel de téléphonie par Internet Skype.
Un sujet est lancé sur le site web de Skype et le jour J les participants se réunissent pour échanger leur point de vue. - Comment Pratique peu scrupuleuse qui consiste à inciter les propriétaires des noms de domaine à renouveler leur abonnement chez un tiers hébergeur sous peine de suppression.
Le payement coûteux de ce renouvellement transfert la gestion du nom de domaine sans aucune garantie. Domain Registry Of America est le nom du registar souvent cité. - Comment SLL (Secure Sockets Layer). Protocole de sécurisation de transmission de données couramment utilisé dans le cadre du commerce électronique ou pour accéder à des informations protégées. Lors de leur transmission uniquement, les données sont encryptées (c'est-à-dire codées), ce qui a pour résultat de les rendre illisibles à celui qui les intercepterait.
SSL est intégré aux navigateurs web ainsi qu'aux serveurs et constitue la garantie de sécurité minimale: si le site n'est pas sécurisé, ne transmettez pas de données de cartes de crédit, par exemple. Vous remarquez que vous passez en mode sécurisé lorsque le cadenas apparaît dans votre navigateur. - Comment Smiley (émoticône en français) est une suite de caractères qui expriment un état d'esprit, un sentiment. Pour les interpréter, il convient de tourner la tête vers la gauche et d'imaginer un visage.
- Comment SMTP (Simple Mail Transport Protocol). Protocole servant au transfert de messages électroniques entre différents serveurs Internet. Il régit l'envoi de messages mais n'intervient pas dans le rapatriement par l'utilisateur des messages stockés sur le serveur hôte. D'autres protocoles, tels que POP3 ou IMAP4, prennent le relais.
- Comment Littéralement traduit par courrier escargot. Le snail mail désigne simplement le courrier postal, par opposition au courrier électronique.
- Comment En français, renifleur. Sorte de sonde que l'on place sur un réseau pour l'écouter et récupérer à la volée des informations sensibles à l'insu des utilisateurs ou des administrateurs réseau.
Le renifleur peut être un équipement matériel ou un logiciel. - Comment Née le 9 décembre 1968, la souris est apparue la première fois lors de la conférence des sociétés d'informatique tenue à l'université de Stanford en Californie.
- Comment Courrier électronique commercial non sollicité par l'internaute qui le reçoit. Le spam est un fléau qui ne cesse de grandir et pour lequel il existe peu de moyens réellement efficaces.
- Comment Spamdexing est une pratique de référencement consistant à tromper les moteurs de recherche, notamment par la répétition abusive de mots-clés et de balises, ou par l'emploi de mots-clés non pertinents, afin d'obtenir le meilleur positionnement possible dans les moteurs de recherche. La technique la plus courante (mais dépassée) est la répétition massive de mots-clés, dont la couleur est identique à celle du fond de la page pour ne pas être visible par les internautes mais bien par les moteurs de recherche. Une autre pratique très fréquente est celle d'ajouter des mots-clés dans les metatags qui n'ont absolument aucun rapport avec le contenu (sex, Britney Spears, etc).
- Comment En français, robot web. Composante d'un moteur de recherche qui analyse le contenu des pages web pour les indexer.
- Comment Spim (spam over Instant Messaging). Message publicitaire inopportun dans l'utilisation de messagerie instantanée. La majorité est à caractère pornographique et profite des failles de sécurité du logiciel ou du manque de prudence des utilisateurs.
- Comment Aussi appelé splash screen. En français, page de garde (très peu utilisé). Première page d'un site web qui affiche une composition graphique, une animation flash ou le choix de la langue. Cette page redirige - automatiquement ou non- le visiteur vers la page d'accueil proprement dite.
- Comment Contraction des mots spam et blog. Blog bidon tenu par un anonyme dont le contenu a été pompé ailleurs et qui contient des liens externes vers le site publicitaire de l'auteur. Le but étant de gagner en popularité dans les moteurs de recherche. Un splog est aussi un commentaire laissé sur un vrai blog et qui pointe vers un site publicitaire à visiter.
- Comment En français, usurpation. Méthode de piratage pour accéder à des informations en se faisant passer pour une machine de confiance. Le web spoofing est une version plus élaborée dont le principe est de remplacer un site web par une version pirate transparente ou non.
- Comment En français, logiciel espion. Application qui s'installe sur l'ordinateur de l'internaute à son insu et collecte des informations sur ses habitudes de navigation, les adresses des sites web visités, la configuration exacte de l'ordinateur, le contenu du disque dur, etc. Ils sont fournis généralement avec des freewares et ne peuvent être supprimés qu'avec des programmes adaptés (ex : Ad-aware).
- Comment En français, diffusion en flux. Diffusion en continu d'un document audio ou vidéo. À la différence de la méthode originale qui consiste à télécharger un fichier dans son intégralité puis à le visionner ou l'écouter avec le logiciel adéquat, le streaming permet la lecture du document pendant le téléchargement. Un système de buffering (mémoire tampon) permet d'atténuer les effets de la variation de la bande passante. Les technologies de streaming les plus utilisées sont RealOne (.ram), SHOUTcast, Windows Media (.asx) et QuickTime (.mov).
- Comment La "période sunrise" est la période qui précède l'enregistrement d'un nom de domaine au grand public. Elle est destinée à l'enregistrement des noms de domaine pour les entreprises et les organisations évitant ainsi les risques de cybersquatting.
- Comment SVG (Scalable Vector Graphics). Format open source et reconnu comme un standard par le W3C. Le SVG est basé sur XML permettant de décrire des ensembles de graphiques vectoriels.
- Comment SGBDR (Système de Gestion de Bases de Données Relationnelles). Programme permettant de manipuler des bases de données relationnelles.
- Comment Richard Matthew Stallman est né à Manhattan, le 16 mars 1953, connu aussi sous les initiales RMS, est un programmeur et militant du logiciel libre. Il est à l'origine du projet GNU et de la licence publique générale GNU connue aussi sous l'acronyme GPL, qu'il a rédigée avec l'avocat Eben Moglen. Il a popularisé le terme anglais copyleft (que l'on peut traduire par « copie laissée » mais qui est au départ le fruit d'un jeu de mots avec le terme copyright, et l'opposition « gauche d'auteur » / « droit d'auteur » ). Programmeur renommé de la communauté informatique américaine et internationale, il a développé de nombreux logiciels dont les plus connus des développeurs sont l'éditeur de texte GNU Emacs, le compilateur C de GNU, le débogueur GNU mais aussi, en collaboration avec Roland McGrath, le moteur de production GNU Make. Depuis le milieu des années 1990, il consacre la majeure partie de son temps à la promotion du logiciel libre auprès de divers publics un peu partout dans le monde. Depuis quelques années, il fait campagne contre les brevets logiciels et la gestion des droits numériques (DRM). Le temps qu'il alloue encore à la programmation est dédié à GNU Emacs, bien qu'il ne soit plus mainteneur principal depuis février 2008. Il gagne sa vie avec les cachets de conférencier qu'on lui donne à l'occasion.
- Comment Structure générale selon laquelle les fichiers sont nommés, stockés et organisés par le système d'exploitation. Par exemple, MS-DOS et les versions antérieures de Windows utilisent le système de fichiers FAT16. Windows 98 peut utiliser les systèmes FAT16 ou FAT32.
- Comment Une fonction qui fait automatiquement une synthèse du document. Cette synthèse peut être mise en évidence, insérée au début du document ou dans un nouveau document.
- Comment Société faisant différents logiciels dont le plus important est Norton Antivirus.
- Comment Domaine de la Syrie.
- Comment Un standard téléphonique
- Comment Un Swap est l'utilisation simultanée de la mémoire vive et du disque dur par un programme pour cause de saturation de mémoire vive. La conséquence est un ralentissement significatif des opérations.
- Comment SVGA (Super Video Graphics Array). Norme d'affichage dont la définition commence à 640×480 pixels, soit 307 200 pixels en 256 couleurs, puis 800×600 pixels, 480 000 pixels en 16 couleurs et le 1 024×768 pixels, 786 432 pixels en 16 couleurs. La norme SVGA permet d'atteindre des définitions supérieures au VGA. Dans le cadre des moniteurs, la proportion de l'écran est de 4/3 (largeur / hauteur) ; c'est-à-dire que la largeur est 1,333… fois plus grande que la hauteur.
- Comment Domaine du Salvador.
- Comment Diffusion d'un message à un grand nombre d'internautes.
- Comment Domaine du Sénégal.
- Comment Domaine de la Slovaquie.
- Comment Un site Web (ou site Internet) est un groupe de pages Internet liées entre elles. Un site Web est accessible via son adresse Internet (URL).
- Comment SIMM (Single in-line Memory Module). Barette de mémoire vive avec 1 rangée de connexions.
- Comment Moyen dont dispose le créateur d'un message d'un fichier ou de toute autre information codée numériquement, de lier son identité à l'information. Le processus de signature numérique des informations implique la transformation de celles-ci, ainsi que de quelques informations secrètes connues de l'expéditeur, en une balise appelée signature. Les signatures numériques sont utilisées dans les environnements de clés publiques et fournissent des services d'intégrité et de non-répudiation.
- Comment Shote noise est le bruit de fond en l'électronique
- Comment Bouton MAJ sur le clavier, pour faire des lettres majuscules par exemple.
- Comment Paramétrage d'imprimante, scanner, etc.
- Comment Ordinateur qui contrôle l'accès des utilisateurs à un réseau. Un serveur stocke et contrôle les ressources partagées que d'autres ordinateurs, appelés clients, peuvent utiliser.
- Comment Envoyer vers , s' utilise souvent sur le Web
- Comment Moteurs de recherches sur le Web
- Comment SCSI (Small Computer System Interface). Désigne une interface utilisée sur les Macintosh mais aussi sur les PC. Cette interface est plus rapide que les interfaces séries et parallèles. Un port additionnel faisant partie d' une carte d'extension enfichée dans un emplacement de la carte mère.
- Comment Enregistrer, sauvegarder (sauver), épargner
- Comment Fréquence d' échantillonnage afin de ne pas utiliser toutes les informations , ayant pour cause l'encombrement
- Comment Fonctionnalité de la barre d'adresses. Lorsque vous commencez à taper une adresse utilisée précédemment, cette fonctionnalité termine la saisie à votre place.
- Comment Série télévisée.
- Comment Téléfilm découpé en plusieurs épisodes.
- Comment je souris, je suis heureux, content. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je suis très heureux, très content. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je ris, je me moque. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je pleure de rire, de joie. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je suis sarcastique. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je ris jaune. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je suis complice, je te fais un clin d'œil. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment ça m'est égal, sans commentaire. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je suis choqué. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je suis étonné, je suis stupéfait. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je suis sceptique, je suis dubitatif. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je suis malheureux, je suis triste. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je suis très malheureux, je suis très triste. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je n'ai pas envie de rire, je boude. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je suis dégoûté, je bave. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je suis très fâché. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je suis fou de rage. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je suis disjoncté. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment j'ai le cœur brisé. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je crie, j'appelle au secours. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment j'ai dit une bêtise. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je te fais une bise. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment je t'embrasse, bisous. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment n'en parlons plus. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment parlons-en. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment j'ai une moustache. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment c'est un mensonge. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment ha, ha, ha. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment quoi ?. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment bof !. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment soyons amis. Les smileys sont très utilisés dans les SMS par exemple.
- Comment En français, nuage d'étiquettes. Il s'agit d'un regroupement de mots-clés sur un site web. Une nouvelle manière d'organiser l'information. La taille des mots varie en fonction du nombre d'occurrences. Un texte écrit en très gros est plus populaire que celui écrit en tout petit. Les tag clouds se retrouvent surtout sur les blogs et les sites de partage et d'échange.
- Comment TCP/IP (Transmission Control/Internet Protocol). Les deux protocoles de communication qui forment les fondements de l'Internet.
- Comment En français, fil de discussion. Discussion qui découle d'un message initial au sein d'un espace de discussion sur Internet (forum et mailing-list).
- Comment En français, vignette. Image réduite à la taille d'un timbre-poste sur laquelle l'internaute peut cliquer pour accéder à une version agrandie de celle-ci.
- Comment TIFF (Tagged Image File Format). Format de fichier graphique surtout utilisé sur Mac. Système basé sur le marquage développé par Aldus Corporation pour le stockage et l'échange d'images ligne par ligne. Pour la norme OMFI, TIFF constitue le format courant d'échange de graphiques ; TIFF avec extensions, le format courant des données d'image vidéo.
- Comment TLD (Top Level Domain). En français, domaine de premier niveau. Le TLD correspond à l'extension d'une adresse web. On distingue le gLTD au ccTLD qui concerne le pays.
- Comment En français, barre d'outils. Rangée de boutons qui permet de lancer les fonctions spécifiques d'une application sans chercher dans les menus.
Certaines de ces barres sont modulables par l'utilisateur qui peut rajouter ou supprimer des boutons ou les réorganiser. Les barres d'outils sont soit fournies avec le logiciel, soit installées indépendamment. - Comment Utilitaire permettant de déterminer le trajet emprunté par les données entre deux machines connectées à Internet.
On obtient la liste des relais (hops) avec leur nom de domaine, leur adresse IP et leur temps de réponse en millisecondes. À noter que le chemin emprunté n'est pas toujours le plus logique du point de vue géographique: il se peut très bien qu'un e-mail envoyé d'un serveur belge à un autre serveur belge transite par les États-Unis. Pour connaître le traceroute d'un site web sous Windows : Démarrer > Exécuter > tapez cmd puis tracert monsite.com (sans www.) - Comment En français, pistage. Enregistrement et analyse discrète de toutes les activités d'un individu, à des fins plus ou moins honnêtes.
C'est parfois considéré comme une technique importante pour le marketing. - Comment Le tri de cartes (card sorting) est notamment utilisé avant la conception d'un site web. Il permet de lister plusieurs informations et de les regrouper par sujet.
- Comment Offre commerciale, à l'origine française, combinant un triple service : une connexion Internet haut-débit, un accès téléphonique et un accès à la télévision.
- Comment Personne qui, sur un forum, aborde un sujet à controverse provoquant de vives réactions et des discussions à n'en plus finir. Le troll relance souvent les mêmes sujets qui provoquent systématiquement les mêmes réactions. Par extension, on qualifie également de "troll" une discussion qui s'éternise, même sans la présence de trolls avérés.
- Comment Appelation propre à Goole pour désigner le résultat d'un calcul savant destiné à mesurer la crédibilité d'un site web.
Contrairement au PageRank critère quantitatif, le TrustRank mise sur l'aspect qualitatif. Il privilégie les liens en provenance de sites considérés comme faisant référence: ministères, universités, médias, etc. - Comment En français, tutoriel (pl. tutoriels). Didacticiel qui guide l'utilisateur dans l'apprentissage d'un logiciel, de données techniques ou encore la mise en ouvre d'un matériel. Les tutoriels sont souvent pragmatiques et largement illustrés pour faciliter la compréhension.
- Comment Tux viendrait de la contraction de Torvalds (créateur de Linux) et Unix. C'est un manchot, et non un pingouin, qui a inspiré Linus pour son logo lors d'un voyage en Australie. Un concours sur le dessin du logo a ensuite été lancé en 1996 qui donna naissance à la mascotte.
- Comment En français, typosquattage. Pratique abusive consistant à enregistrer et à utiliser un nom de domaine fortement apparenté à une marque connue, afin d'attirer les visiteurs égarés sur son site.
Les erreurs les plus courantes sont des fautes de frappe, d'orthographe, la répétition d'un caractère, l'inversion de deux lettres (rueducommrece.com), l'erreur linguistique (amazone.com) ou tout simplement de distraction (wwwgoogle.com). - Comment Linus Benedict Torvalds (né le 28 décembre 1969 à Helsinki en Finlande) est un informaticien finlandais. Il est connu pour avoir créé le noyau Linux en 1991 et avoir dirigé son développement depuis.
- Comment Application destinée à créer des feuilles de calculs constituées de cellules, qui permettent d'entrer du texte, des nombres, des calculs, des fonctions mathématiques. Les cellules s'actualisent automatiquement.
Un Tableur permet de tenir une comptabilité, d'effectuer des calculs prévisionnels ou des simulations. Microsoft Excel est un exemple très répandu de Tableur. - Comment Lien privé et sécurisé entre un utilisateur ou un hôte distant et un réseau privé, par une connexion d'accès à distance.
- Comment TTL (Transistor Transistor Logic) est un circuit logique utilisé dans l'électronique et PC.
- Comment TT (Truth Table). La table de vérité des fonctions logiques.
- Comment Domaine du Trinidad et Tobago.
- Comment Caractère de type réel, en dessin vectoriel permettant ainsi l'augmentation de la taille de la police sans perte de qualité.
- Comment Un Trackball est une souris dotée d'une boule tournante pour déplacer le curseur sur l'écran de PC
- Comment Le Touch pad équipe les ordinateurs portables. Il s'agit d'une alternative à la souris.
- Comment Encre pour imprimantes laser et photocopieurs : poudre fine chauffée à haute température pour adhérer au papier.
- Comment Thanks In Advance (merci d'avance) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment 3D fait référence à des techniques de représentation d'une image en 3 dimensions.
- Comment ThML (Theological Makerup Language). Langage de marquage basé sur XML conçu pour les textes théologiques.
- Comment L'entête du fax.
- Comment Domaine de la Thaïlande.
- Comment Domaine du Togo.
- Comment TFT ( Thin Film Transistor). Transistor de couche mince utilisé dans une matrice active.
- Comment Données qui ne sont pas cryptées.
- Comment Raccord en forme " T "
- Comment Domaine du Tchad.
- Comment Norme de lignes de transfert de données numériques, permettant des débits de 128 ko/s; 1,544Mo/s; 2Mo/s; 45Mo/s
- Comment Abréviation de télévision ou téléviseur.
- Comment Réalisateur d'émissions de télévision.
- Comment Film réalisé pour la télévision.
- Comment Télégénique désigne une image qui passe bien à la télévision. On dit par exemple d'une personne qu'elle est télégénique.
- Comment Télé-réalité (oureal TV en anglais) est une émission de télévision présentant la vie quotidienne de personnes sélectionnées.
- Comment Personne qui regarde la télévision. Anglais television viewer
- Comment Transmis par télévision. Anglais televised
- Comment En Télécommunications, il s'agit de la transmission à distance de sons et d'images. Il s'agit aussi du récepteur appelé téléviseur ou TV. La télévision représente aussi l'organisme qui diffuse des émissions par télévison.
- Comment Tube à vide dans lequel un faisceau d'électrons, émis par une cathode, vient frapper un écran et produisent une image.
- Comment Un tuner est un récepteur radio.
- Comment UGC (User Generated Content). Littéralement traduit par contenu créé par l'utilisateur. Concept basé sur la création et la production de contenu par l'internaute.
Par exemple, les blogs sont des outils alimentés par des UGC. C'est une des caractéristiques de ce qu'on a appelé le web 2.0. - Comment Les adresses des pages web générées par une base de données sont souvent longues en caractères et peu explicites pour les moteurs de recherche.
Avec un peu de programmation, il est facile de les convertir pour optimiser son référencement selon des règles précises. - Comment Domaine de discussion international qui contient des informations sur tous les sujets imaginables. les utilisateurs accèdent à Usenet via des applications comme tin, News xpress et News watcher.
Usenet est aussi connu sous le nom de Newsgroups ou Forums. - Comment Domaine de l'Ouzbékistan.
- Comment Domaine de l'Uruguay.
- Comment Personne qui se connecte à un réseau à l'aide d'un modem et de la fonctionnalité Accès réseau à distance.
- Comment USSS (United States Secret Service). Créé par A. Lincoln au XIXème siècle et tout d'abord chargé de lutter contre les faux monnayeurs puis de protéger le président US, le USSS est aussi l'équivalent du SEFTI, c'est-à-dire qu'il lutte contre le piratage informatique.
- Comment Se dit d’un système simple d'utilisation, intuitif et facile à maîtriser.
- Comment Domaine des États-Unis.
- Comment UPS (Uninterruptable Power System). Onduleur, alimentation à base de batteries convertissant 12/24v.DC à 110/220 AC.
- Comment Action de d'envoyer un programme ou un fichier par Web aux fournisseurs d'accès (contraire de download).
- Comment Mise à niveau d'un logiciel.
- Comment Norme de codage de caractères couvrant toutes les langues écrites du monde qui utilise 16 bits de codage.
- Comment Domaine du Royaume-Uni.
- Comment Nom de domaine de l'Ouganda.
- Comment UCS (Universal Character Set). Jeu de caractères universel, défini par la norme ISO 10646, aussi connu sous le nom d'Unicode.
- Comment You too (vous aussi) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment En français, visionneur. Logiciel permettant d'afficher un document sans disposer du programme qui a servi à le produire.
Un visionneur comme ACDSee permet d'afficher n'importe quel format d'image (.gif, .png, .tiff, .bmp, .psd), de renommer rapidement un groupe de photos, de les retoucher rapidement, etc. - Comment Code-barre de forme carrée apposé sur un site Internet ou tout autre support matériel.
Pour le lire, il faut le prendre en photo avec un téléphone portable compatible ou installer un logiciel ad hoc. Ce tag apposé sur une carte de visite permet d'avoir plus d'informations sur la personne. Trouvé dans une revue, il peut pointer vers la bande-annonce d'un film ou d'un site web. - Comment Logiciel parasite destiné à perturber le fonctionnement d'un ordinateur. Il en existe de différentes sortes : cheval de Troie, ver, Malware, etc.
- Comment En français, blog vidéo. Blog dont le contenu est composé essentiellement d'enregistrements vidéo.
- Comment VOD (Video On Demand). En français, vidéo à la demande. Mode de diffusion de programmes vidéo dans lequel le téléspectateur choisit à la carte le film qu'il souhaite voir.
- Comment VRML (Virtual Reality Modeling Language). Standard permettant au Web de représenter des objets ou même des mondes en trois dimensions. On peut se déplacer dans ces mondes, effectuer des zooms ou même interagir avec des objets ou des représentations d'autres utilisateurs (appelées avatars).
Un plug-in gratuit est nécessaire pour que le navigateur prenne en compte le VRML. - Comment V-ROM (Video Read-Only Memory). Mémoire vive pour la vidéo fonctionnant à double entrée, donc plus rapidement que les autres types de mémoire, puisqu'on peut y écrire et y lire en même temps.
- Comment VRL (Visitors Location Register). Informations des abonnés qui entrent dans le centre. (mobile de passage)
- Comment VRAM (Video RAM). Mémoire de cartes graphiques qui améliore la performance d'affichage des PC.
- Comment Sur Internet Explorer, il s'agit du volet qui s'ouvre à gauche de la fenêtre lorsque vous cliquez sur le bouton Rechercher ou Favoris.
- Comment VoIP (Voice Over IP). Principe consistant à faire passer des communications téléphoniques numérisées dans des paquets IP.
- Comment Domaine du Viet-Nam.
- Comment Les antivirus sont des logiciels conçus pour identifier, neutraliser et éliminer des logiciels malveillants (virus, cheval de Troie, ver,...).
Ceux-ci peuvent se baser sur l'exploitation de failles de sécurité, mais il peut également s'agir de programmes modifiant ou supprimant des fichiers, que ce soit des documents de l'utilisateur de l'ordinateur infecté, ou des fichiers nécessaires au bon fonctionnement de l'ordinateur. - Comment VESA (Video Electronics Standard Association). Association de constructeurs d'électronique vidéo destinée à émettre des normes dans le domaine de la vidéo pour ordinateur.
- Comment Domaine du Vénézuéla.
- Comment VCR (Vocal Character Recognition). Un logiciel VRC reconnaît les caractères à la sortie d'un Microphone pour les convertir et les utiliser dans les fichiers.
- Comment VC (Virtual Community). Communauté virtuelle.
- Comment VBA (Visual Basic for Application). Langage de programmation développé par Microsoft et intégré dans les logiciels de sa suite Office afin de permettre à leurs utilisateurs de développer eux-mêmes des applications plus sophistiquées.
- Comment VB (Visual Basic). Langage de programmation dont le code est basé sur le BASIC.
- Comment VAO (Vente Assistée par Ordinateur).
- Comment VAN (Vide Area Network). Réseau étendu (Internet par exemple)
- Comment Norme de transmission de modem, (capable d'envoyer les données à la vitesse de 33,6ko/s et d'en recevoir à 56 ko/s).
- Comment Norme de transmission de modem capable de communications des données à la vitesse de 33,6 ko/s.
- Comment Cassette contenant une bande magnétique sur laquelle est enregistré un film vidéo.
- Comment Court-métrage relatif à une chanson.
- Comment Boutique où l'on vend et loue des DVD enregistrés.
- Comment Disque sur lequel de la vidéo a été enregistrée.
- Comment Appareil qui permet de conserver et de copier un document vidéo.
- Comment La Vidéographie (videography en anglais) est une technique permettant de transmettre de la vidéo.
- Comment Appareil qui permet de lire des disques vidéo.
- Comment Appareil qui projette des images vidéo.
- Comment Une Vidéothèque (video library en anglais) est une collection de cassettes vidéo ou lieu où l'on stocke et consulte des cassettes vidéo.
- Comment Transmission d'un programme par la vidéo.
- Comment Examiner un film ou des diapositives d'un point de vue professionnel.
- Comment Appareil permettant de visionner un film ou des diapositives.
- Comment W3C (World Wide Web Consortium). Organisme de promotion du web créé en 1994 sous l'impulsion de Tim Berners Lee. Son principal objectif est la mise au point de normes et de protocoles ouverts et libres, dans un souci d'interopérabilité maximale.
- Comment WAI (Web Accessibility Initiative). Projet du W3C destiné aux handicapés afin d'utiliser le web efficacement.
Le projet travaille sur cinq axes principaux: la technologie, les guides de style, les outils, l'éducation et la recherche d'une façon générale. - Comment Un Warez est une copie pirate d'un logiciel.
- Comment Watermark (filigrane en français) est l'ensemble des informations dissimulées dans un fichier, généralement les photographies : auteur, copyright, date de création, etc.
- Comment Abréviation de wave qui signifie onde en anglais. Ce format de fichier audio est très répandu. Format mis au point par Microsoft, essentiellement utilisé sous Windows.
- Comment Le Web (ou la toile) est un système hypertexte public fonctionnant sur Internet qui permet de consulter, avec un navigateur, des pages accessibles sur des sites. L’image de la toile d'araignée vient des hyperliens qui lient les pages web entre elles.
- Comment Le Web 2.0 est une évolution du Web vers plus de simplicité (ne nécessitant pas de grandes connaissances techniques ni informatiques pour les utilisateurs) et d'interactivité (permettant à chacun de contribuer, d'échanger et de collaborer sous différentes formes).
L'expression « Web 2.0 » désigne l'ensemble des techniques, des fonctionnalités et des usages du World Wide Web qui ont suivi la forme initiale du web, en particulier les interfaces permettant aux internautes ayant peu de connaissances techniques de s'approprier les nouvelles fonctionnalités du web.
Ainsi, les internautes contribuent à l'échange d'informations et peuvent interagir (partager, échanger, etc.) de façon simple, à la fois avec le contenu et la structure des pages, mais aussi entre eux, créant ainsi notamment le Web social. L'internaute devient, grâce aux outils mis à sa disposition, une personne active sur la toile.
L'expression « Web 2.0 » utilisée par Dale Dougherty en 2003, diffusée par Tim O'Reilly en 2004 et consolidée en 2005 avec l'exposé de position « What Is Web 2.0 »3 s'est imposée à partir de 2007. L'expression « 2.0 » est maintenant utilisée comme un terme générique pour appliquer le concept du web 2.0 à d'autres domaines d'application. - Comment Image invisible, de la taille d'un pixel, insérée dans une page Web ou un courriel en HTML, qui s'active lors du téléchargement de la page, lance une requête au serveur qui collectera des informations sur l'internaute à son insu, lesquelles seront transmises à un serveur distant pour exploitation ultérieure, notamment par des agences de marketing.
- Comment En français, webcaméra. Petite caméra numérique, branchée sur l'ordinateur, et permet l'enregistrement d'un flux vidéo. Elle est surtout utilisée dans la messagerie instantanée, la visioconférence et plus rarement dans la surveillance.
- Comment Traduit littéralement par diffusion sur le web. Diffusion en ligne de contenu audio ou vidéo.
- Comment Partie du web correspondant à l'ensemble des documents qui ne sont pas indexés par les moteurs de recherche: animation, base de données, page protégée, page dynamique, page non référencée volontairement ou non, Intranet, etc. On estime que cette partie occupe 40 % du contenu total.
- Comment Un Webmail est un service gratuit de messagerie électronique en ligne accessible par un navigateur web. Il en existe une multitude: Hotmail, Yahoo!, Gmail, etc.
- Comment En français, administrateur de site ou webmestre (peu utilisé). Littéralement traduit par maître du web ou plus exactement maître d'un site web. Dans le langage courant, un webmaster est la personne chargée de la création, la maintenance et le suivi d'un site web.
- Comment En français, anneau de sites. Chaîne de sites relatifs à un même sujet. Chacun de ces sites est muni d'une petite interface permettant de visiter le site précédent et le site suivant dans la chaîne, ou encore un site de cette même chaîne au hasard.
- Comment Mot-valise formé de la contraction de web et magazine. Site web regroupant des articles originaux, réalisé par des amateurs bénévoles ou par des salariés, mais dans les deux cas sans existence sur imprimé. Les sujets traités sont variés: musique, bande dessinée, cinéma, Internet...
- Comment Contraction de la question « Who is ? ». Il s'agit d'un service gratuit en ligne dont le but est de rechercher et fournir les informations concernant un nom de domaine ou une adresse IP. AllWhois est un exemple parmi d'autres. Il affiche le nom du propriétaire, l'hébergeur, l'e-mail du responsable, les dates d'achat et de fin du nom de domaine.
- Comment Widget (gadget logiciel en français) est la contraction des mots Windows et gadget. Il s'agit dune petite application qui permet d'utiliser des fonctions fréquemment utiliser dans une interface graphique : afficher la météo, son horoscope, afficher des alertes, mettre des post-it sur son bureau, etc.
- Comment De l'hawaïen « wiki wiki » signifiant vite. Site web collaboratif dans lequel n'importe quel visiteur à la possibilité d'éditer directement le contenu. Le plus connu est sans nul doute l'encyclopédie libre et gratuite Wikipédia.
- Comment Abrégé par www, web ou w3. Méthode d'exploitation de l'Internet, par l'usage de l'hypertexte, et mis au point par un chercheur du CERN, Tim Berners Lee.
- Comment WYSIWYG (What You See Is What You Get). Principe de fonctionnement des logiciels à destination du grand public, dans lequel les affichages à l'écran sont aussi proches que possible du résultat final. D'abord utilisé en PAO en raison de la différence entre ce qui est affiché à l'écran et ce qui sera imprimé.
Actuellement on utilise ce sigle également pour désigner les logiciels de conception web qui affichent un rendu aussi fidèle que dans un navigateur. - Comment Contraction des WWW, soit 3 W. On préfère en général utiliser le terme Web.
- Comment WAE (Wireless application Environment). Environnement d'Application utilisé dans l'Architecture WAP.
- Comment Sous-ensemble du Protocole Z39 qui permet aux clients WAIS de faire des recherches qui ont été préparés par la construction d'un Index.
- Comment WAL (Wats Acces Line). Ligne réservée entre un Client et un opérateur local.
- Comment WAN (Wide Area Network). Réseau qui s'étend sur de longues distances, à large couverture nationale ou internationale. Inter-connextion de plusieurs LAN.
- Comment Nom donné, en décembre 1994, par IBM, à son système d'exploitation OS/2.
- Comment Wasar (Wide Area Service ARchitecture). Foire industrielle européenne, service télématique au travers d'une infrastructure de communication WAN, projet lancé par la Commission Européenne.
- Comment WATM (Wireless ATM). Technologie des services sans fils sur les réseaux d'ATM.
- Comment WATS (Wide Area Telecommunications Services). Services de télécommunications à longue distance portant un préfixe 800.
- Comment WATTC (Worldwide Administration Telegraph and Telephone Conference). Conférence mondiale des opérateurs et représentants des télécommunications dans le cadre de l'ITU
- Comment En français, table de sons. Il s'agit de sons pré-existant sur une carte son. Le procédé de restitution est en théorie des plus simples. Les sons numériques sont stockés dans des mémoires et il suffit d'aller les chercher pour les diffuser.
- Comment Windows est une gamme de systèmes d'exploitation produite par Microsoft, principalement destinées aux machines compatibles PC.
C'est le remplaçant de MS-DOS. Depuis les années 1990, avec la sortie de Windows 95, son succès commercial pour équiper les ordinateurs personnels est tel qu'il possède alors un statut de quasi-monopole. - Comment WWW (World Wide Web). Toile d'araignée mondiale. Partie graphique et multimédia d'Internet. Le Web comprend plusieurs millions de pages Web. Pour l'explorer, vous devez utiliser un logiciel de navigation sur le Web.
- Comment WTAC (World Telecommunication Advisory Council). Commission mondiale de Télécommunications.
- Comment WSS (Windows Sound System). Système du son dans Windows.
- Comment With Respect To (salutations) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment WP (Word Processor). Traitement de texte.
- Comment Version de Windows compilée pour tourner sur une architecture 64 bits.
- Comment Image d'un texte fantaisie que vous pouvez adapter et importer dans un document.
- Comment Format de fichiers son géré par le lecteur Window Media de Window XP dont les caractéristiques sont en concurrence avec le format MP3.
- Comment WLAN (Wireless Local Area Network). Réseau local sans fil.
- Comment Il s'agit de systèmes d'aides facilitant la mise en œuvre de certaines fonctions des logiciels, grâce à des petits questionnaires guidant l'utilisateur dans ses opérations.
- Comment Logiciel de compression (degré de compression >60%)
- Comment Logiciel de compression (degré de compression >60%)
- Comment Tableau blanc utilisé par les internautes lors des forums pour s'exprimer entre eux (textes, images, etc.)
- Comment Logiciel informatique de montage multimédia et son.
- Comment Chien de garde.
- Comment Attention / précaution.
- Comment Montage mural.
- Comment Etat d'attente.
- Comment When All Else Fail (Quand rien d'autre ne marche) est une expression utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment XHTML (eXtensible HyperText Markup Language). Langage de balisage Hypertexte extensible. Langage normalisé par le W3C servant à la publication de pages WEB sur Internet.
Le XHTML offre les mêmes possibilités que le HTML tout en étant conforme à la Norme XML.
Les documents HTML devraient peu à peu être remplacés par leur équivalent en XHTML, dont la Structure se doit d'être rigoureuse pour en faciliter l'accès à d'autres machines que des ordinateurs, comme les téléphones mobiles par exemple. - Comment XML (eXtensible Markup Language). Version allégée du HTML élaboré par le W3C et dérivé du SGML. Le XML est un langage ouvert. En effet, il est possible de créer ses propres variables, ses propres balises.
- Comment Protocole de transmission par modem avec contrôle d'erreurs.
- Comment Processeur conçu par Intel qui équipe à l'heure actuelle une grande majorité des Pocket PC.
- Comment Recommandations développées par le CCITT définissant un protocole pour la communication entre des réseaux de données publics commutés et des périphériques utilisateur en mode de commutation par paquets.
- Comment Connexion de X.25 avec la carte réseaux pour PC, mais NE passe pas par les lignes réservées mais synchrones.
- Comment Norme ITU/TSS qui définit la forme du message ainsi que le contenu de son enveloppe en messagerie électronique, utilisée en transmission e-mail, standard 10021 de ISO.
- Comment Norme X.400, qui définit les services annuaires, standard 9594 de ISO.
- Comment Standard de sécurité certifiant l'authenticité de l'utilisateur.
- Comment Protocole qui permet l'interconnexion entre les protocoles X.25, utilisé pour l'interconnexion entre les réseaux de différents pays.
- Comment En Angleterre regroupe les fabricants, les fournisseurs et les utilisateurs de matériel et de logiciels informatiques. Il a définit le CAE.
- Comment X-window system Version 11 : la première et seule Version de X à avoir quitté les laboratoires pour être massivement utilisée.
- Comment Technologie développée par quelques constructeurs et qui doit permettre aux modems d'atteindre une vitesse de réception de 56000 Bps sur une simple ligne téléphonique.
- Comment Protocole d'accès direct distribué de manière étendue et séquentielle.
- Comment XDR (eXternal Data Representation). Standard de la définition de structure des données développé par SUN, RFC 1014 et 1832, similaire à ASN-1 d'ISO.
- Comment Version d'UNIX adaptée à l'origine par Microsoft pour les ordinateurs personnels à processeur Intel. Bien qu'ayant été distribué par de nombreuses entreprises (Microsoft, Intel et SCO), Xenix est en fait connu comme un produit SCO.
- Comment XGA (Extended Graphics Array). Standard d'affichage de bonne qualité. il représente une résolution de 1024x768 pixels en 256 couleurs.
- Comment Forme de DLL qui peut exécuter des commandes VBA spécifiquement adaptées à Microsoft excel.
- Comment XMS (eXtended Memory Specification). Mémoire étendue.
- Comment XNS (Xerox Network System). Protocole routable pour des réseaux éthernet de Xerox.
- Comment XSL est un langage qui permet de décrire la manière dont des documents XML doivent être présentés. Ainsi, là où XML structure le fond d'un document, son contenu, XSL est utilisé pour structurer sa forme.
Il est intéressant de noter qu'une feuille de style décrite à l'aide de XSL est elle-même un document XML. La portée de XSL ne se résume pas à la mise en forme de documents XML puisque ce langage permet également de transformer un document XML en un autre document XML, reprenant tout ou partie du contenu original. XSL est donc en réalité une famille de langages qui se compose de :
XSLT (XSL Transformations) : le langage de transformation de documents XML ;
XPath (XML Path) : le Langage utilisé par XSLT pour naviguer dans un document XML ;
XSL-FO (XSL Formatting Objects) : le Langage permettant de mettre en forme un document XML. XSL et les langages associés sont des standards définis par le World Wide WEB Consortium. - Comment XSLT (eXtensible Stylesheet Language Transformations). Les transformations XSLT ont pour objet de convertir un fichier XML d'un format de document à un autre. Par exemple pour afficher un document XML sur un navigateur web, en le convertissant en XHTML. Elles permettent ainsi :
1. une mise en forme des données plus propice à l'impression ou à l'affichage sur un terminal d'ordinateur ;
2. une extraction automatique des éléments utiles d'un document, pour en générer un résumé ou une table des matières ;
3. une conversion du contenu d'un document en un format plus aisément manipulable. Au même titre que XSL-FO, le langage de formatage d'objets, XSLT constitue un sous-ensemble de XSL. Les feuilles de style écrites dans ces différents langages ont toutes pour propriété de définir des règles propres à chaque type d'éléments du document auxquels elles s'appliquent. Ces éléments (titres, sous-sections, paragraphes, ...) sont transformés en d'autres éléments (titres mis en page, éléments d'index ou de sommaire, paragraphes justifiés, ...) suivant les règles choisies. Les spécifications XSL(T) sont à ce titre un prolongement des feuilles de styles CSS. - Comment XUL (XML-based User interface Language). Acronyme pour ''XML-based User Interface Language'' ou langage de définition d'interface utilisateur basé sur XML. XUL (prononcer ''zool'') est une création du projet Mozilla qui l'utilise pour définir les interfaces graphiques de sa plate-forme et de logiciels comme le navigateur Mozilla ou Firebird.
XUL est un Langage de balisage qui permet de créer simplement des interfaces utilisateurs, à l'aide d'une panoplie de balises correspondant à des boutons, des listes, des menus déroulants, etc. - Comment Famille de protocoles de transfert de fichiers (X, Y et Z)
- Comment Format d'image de X11, pratique pour les petites images ne contenant pas beaucoup de couleurs.
- Comment Porte logique eXclusive OR
- Comment Xerox est une entreprise américaine qui a inventé le premier photocopieur, le XeroX Model A. L’essor de Xerox provient donc de son exploitation du brevet de reproduction xérographique avec une exploitation exclusive du procédé sur vingt ans ; elle s’est donc investie dans l'innovation afin de survivre à cette échéance.
Dans les années 1970, le centre de recherche Xerox à Palo Alto (le Xerox PARC) invente la souris informatique, l’interface graphique (système de fenêtres) et les icônes. Ces innovations sont exploitées l’ordinateur Alto, puis sur le Star. Mais ces machines révolutionnaires sont à la fois trop chères et trop lentes avec les technologies et les coûts de l’époque. - Comment Pentium 2 introduit par Intel sur le marché en 1998.
- Comment Fait référence aux microprocesseurs qui possèdent ou émulent l'architecture 32 bits d'Intel.
- Comment Unité de mesure de vitesse de lecteurs ou de graveurs CD. (1X=150KO/sec); pour DVD 1X=1,385 MO/sec
- Il s'agit aussi de l'abréviation pour le protocole Ymodem. "data-ajax="false">Comment Un "câble Y", ou "câble en Y", est un câble d'alimentation permettant de dédoubler une prise, permettant ainsi de brancher un périphérique supplémentaire à un Ordinateur.
Il s'agit aussi de l'abréviation pour le protocole Ymodem. - Comment Variante du Protocole de Transfert de fichiers xModem qui comporte les améliorations suivantes :
Possibilité de transférer des informations dans des blocs de 1 kilo-Octet (1 024 octets) ;
Possibilité d'envoyer de nombreux fichiers (Transmission Batch de fichiers) ;
Vérification par Redondance cyclique (crc);
Possibilité d'abandonner le transfert en transmettant deux caractères CAN à la suite. - Comment MétaCompilateur UNIX.
- Comment Spécifications publiées par Philips et Sony. Le Yellow Book décrit le format physique (les microcuvettes) et le format Logique des données numériques sur le support CD. Le Yellow Book fait suite au Red Book qui décrivait le CD-da (CD audio). Le Yellow Book, édité en tant que Norme sous la référence ISO 9660, est le point de départ de tous les formats d'écriture de données numériques sur disques compacts 8cm et 12cm. Inspiré du Red Book, qui ne concerne que les CD audio.
- Comment Domaine de la Yougoslavie.
- Comment Domaine de Mayotte.
- Comment Terme utilisé en électronique pour qualifier un système particulièrement instable.
- Comment 2 puissance 80 octets.
- Comment Pages jaunes en Amérique et en Angleterre.
- Comment Domaine du Yémen.
- Comment Affichage vidéo séparant les signaux de chrominance et de luminance sur deux câbles différents. On obtient ainsi une qualité bien meilleure vis-à-vis de la vidéo composite
- Comment Fournisseur d’accés américain.
- Comment Y2K (Year 2000). L'année 2000.
- Comment Microprocesseur 8 BITS conçu par Zilog. Sorti en 1976, il était à peu près compatible avec le 8080 d'Intel.
- Comment Théorie apparue au début des années 90 qui se proposait de supprimer l'usage du papier au profit des échanges par ordinateur. Ce projet a été abandonné en 1995.
- Comment Fonction qui permet d'agrandir un dessin ou un texte affiché à l'écran afin d'en observer les détails.
- Comment Dans un appareil photo numérique il s'agit de l'agrandissement de l'image de façon logicielle par interpolation des pixels. L'utilisation du zoom numérique réduit la résolution de l'image,
- Comment Sur un appareil photo numérique il s'agit d'un agrandissement fait par l'objectif lui-même et non par interpolation logicielle.
- Comment Successeur du ZX 81 construit en 1982 par Sinclair. Le spectrum avait lui aussi un processeur Z80 mais mais 16 Ko de mémoire en standard.
- Comment Un interpréteur de commandes UNIX.
- Comment Stockage dans une mémoire Tampon des coordonnées Z (profondeur) d'un Point. C'est l'une des fonctions les plus basiques des cartes 3D.
- Comment Méthode de Compression des données de proFondeur Z. Ces données, codées pour chaque Pixel en 16, 24 ou 32 BITS, prennent donc moins de place.
- Comment Protocole de Transmission plus avancé que X-Modem, avec une méthode performante de détection et correction automatique d'erreurs.
- Comment Technique intégré au GPU Geforce3 visant à déterminer si un Pixel sera visible ou non au final, AFIN de savoir s'il est utile d'en effectuer le rendu.
- Comment Norme américaine reconnue internationalement sous le nom de Norme ISO 239.50. Son objectif est de permettre l'interrogation de bases de données, notamment bibliographiques, indépendamment des systèmes qui les gèrent. La Norme permet de construire des applications Serveur, à implémenter en aval d'une Base de donnée, et des applications Client.
- Comment ZAA (Zone à Autonomie d’Acheminement). Sur le réseau de France Télécom, à chaque catégorie de Commutateur correspond une Zone technique qui représente le nombre d'abonnés desservis par un ou plusieurs commutateurs d'un niveau donné. La ZAA : (Zone à autonomie d'acheminement) correspond au CAA ; la ZT (Zone de transit) au CT.
- Comment ZBR (Zone-Bit Recording). Méthode d'enregistrement sur disque permettant de plAcer plus d'informations sur les pistes extérieures du supPort circulaire.
- Comment Constructeur de PC ayant commencé en 1918 par vendre des équipements radio. C'est le constructeur qui est à la Base du Z100.
- Comment 2 puissance 70 octets, soit 1,180,591,620,717,411,303,424 octets.
- Comment ZIF (Zero Insertion Force). Type de support comportant un système de levier pour libérer facilement le microprocesseur et le retirer facilement sans l'abîmer.
- Comment Groupe de presse éditant par exemple PC ExPERT et PC Direct.
- Comment Zil (Zork Implementation Language). Langage de programmation utilisé dans les jeux d'Infocom.
- Comment Lecteur de disque développé par Iomega ; il utilise des disques amovibles de 3,5 pouces (disques Zip), capables de stocker 100 Mo de données.
- Comment Amélioration du protocole de transfert de fichier xModem, qui gère de plus grands transferts de données avec moins d'erreur. Zmodem comporte une procédure de relance qui reprend la transmission au point d'interruption plutôt qu'à son début, si la Liaison de communication s'est interrompue pendant le transfert de données.
- Comment Un ordinateur ''Zombie'' est en fait un ordinateur piraté qui va servir, à l'insu de son propriétaire, à des actes de piratages. Les ''zombies'' sont utilisés, par exemple, dans une attaque de type DOS. Les machines ''Zombies'' vont officier à l'insu de leurs propriétaires respectifs, AFIN que ces machines envoient des millions de messages en direction des serveurs-cibles, ou des routeurs qui aiguillent le trafic. Une machine Zombie permet de créer plusieurs attaques, rendant la traque du pirate difficile.
- Comment Zone (Area).
1. Sur un réseau local, sous-groupe d'utilisateurs dans un plus grand groupe de réseaux interconnectés.
2. En programmation Macintosh, partie de la mémoire allouée et réallouée par le gestionnaire de mémoire lorsque de la mémoire est requise et libérée par les applications et par d'autres parties du système d'exploitation.
3. Dans une Base de données DNS, sous-arbre de celle-ci qui est géré sous la forme d'une entité unique distincte, appelée serveur de noms DNS. Cette unité administrative peut être constituée d'un domaine unique ou d'un domaine comprenant des sous-domaines. l'administrateur d'une Zone DNS configure un ou plusieurs serveurs de noms pour la Zone. - Comment L'opérateur de boucle locale n'achemine vers le transporteur choisi par l'appelant que les appels destinés à des appelés extérieurs à la Zone locale de tri ; il conserve et achemine lui-même les appels internes à la Zone locale de tri, quelle que soit la séquence de numérotation composée par l'appelant. En France, la Zone locale de tri correspond le plus souvent au département.
- Comment Programme de compression pour UNIX et DOS distribué gratuitement (freeware). L'extension des fichiers compressés avec ce programme est ''.zoo''.
- Comment Agrandir une fenêtre, ou une partie d'une image ou d'un document. Le Zoom est une fonctionnalité de nombreux programmes de dessin, de Traitement de texte, de tableurs, qui permet à l'utilisateur de sélectionner une petite partie de l'écran, de l'agrandir, et de faire des modifications sur cette partie avec un niveau de détail plus grand.
- Comment Entre serveur d'applications et système de gestion de contenu, ZOPE fournit en open source les moyens de créer rapidement et simplement des applications et des sites web dynamiques. Ecrit principalement en Python (Langage Objet dynamique multi-plateformes), ZOPE est programmé de façon modulaire et intègre de nombreux composants, dont certains peuvent être exploités indépendamment de l'ensemble.
L'un des principaux attraits de ZOPE est de permettre à des utilisateurs non-programmeurs d'installer et de configurer selon leurs besoins des composants logiciels prêts à l'usage qui s'intègrent sur la plateForme. On trouve sur le site www.zope.org les références à plus de cinq cents de ces composants, baptisés ''produits'' dans la terminologie ZOPE. - Comment ZTA (Zone de Télécommunications Avancées). Lieu géographique dans lequel sont regroupés des moyens d'accès à des systèmes de communications de grande capacité accessibles à plusieurs utilisateurs (réseau en fibre optique, antennes satellites...). Synonyme de téléport.
- Comment Extension du Bus PCMCIA pour afficher de la vidéo plein écran sur un ordinateur portable. il s'agit d'une extension des spécifications du Bus PCMCIA. ZVPORT est formé des initiales de zoomed video accolées au Mot Port. Ce port permet de connecter une caméra vidéo sur un PC.
- Comment Navigateur et environnement de développement en Java pour le XML.
- Comment Nom d'un fabricant de modem.
- Comment Domaine du Zimbabwe.
- Comment Ingénieur allemand (1910-1995). Il a fabriqué son ordinateur Z3 en 1941.
- Comment Champ de l'écran dans la fenêtre de programme de Word où les document peuvent être affichés et modifiés
- Comment Domaine de la Zambie.
- Comment Les fichiers résultant d'une compression portent souvent l'extension Zip.
- Comment Une disquette de 100 ou 250 Mo.
- Comment Format de compression des fichiers dans les PC
- Comment Equivalent de code postal aux Etats Unis.
- Comment Inventeur du logiciel de cryptage de qualité militaire.
- Comment Concepteur de processeur Z80 dans les années 1970 et 1980
- Comment ZDS (Zenith Data Systems). Systèmes de données utilisés dans les ordinateurs Zenith
- Comment Terme anglais issu de la contraction des mots Web et seminar. En toute logique, la traduction française est webinaire, contraction de web et de séminaire. De quoi s'agit-il ? D'un séminaire multimédia et interactif, réunissant des spécialistes, qui est accessible en ligne sur inscription, et que l'on peut suivre, en direct ou en différé, sur le Web, afin de parfaire ses connaissances sur des sujets d'actualité, notamment dans le domaine des technologies de l'information. Un webinaire comprend généralement des transparents associés, des commentaires audio voire vidéo, la possibilité de poser des questions, soit en direct par chat si la session se déroule en temps réel, soit par courrier électronique si le retransmission se fait en différé. Pour accéder à un webinaire, on doit généralement choisir la session et s'inscrire en remplissant le formulaire en ligne. Une fois l'inscription validée, on reçoit une confirmation automatique par le Web, suivie d'une confirmation par courrier électronique avec les instructions pour visualiser le webinaire.
- Comment Dépassement de mémoire tampon. Phénomène qui se produit lorsqu'on envoie dans la mémoire tampon plus de données qu'elle ne peut en contenir. Il faut savoir que les pirates informatiques profitent de ce dysfonctionnement pour glisser dans la mémoire tampon des codes permettant de faire exécuter des programmes d'accès.
- Comment Crénelage. Effet visuel indésirable provoqué par l'insuffisance de la définition d'une image ou par un filtrage inadéquat des contours d'objets, et qui prend habituellement la forme de dentelures et de contours brisés.
- Comment Codec audio utilisé par les lecteurs MiniDisc MDLP et les lecteurs MP3 Sony.
- Comment Nombre maximal d'éléments binaires transmis par seconde sur une voie de transmission. On mesure ce débit binaire en bit par seconde ou en multiple de cette unité, par exemple en mégabit par seconde (Mbit/s).
- Comment Dans le domaine audiovisuel, désigne la différence colorimétrique existant entre une couleur donnée et une couleur de référence. En informatique, désigne la partie du signal vidéo relative à la couleur de l’image.
- Comment Prise audio stéréo composée de deux connecteurs blanc et rouge, appelée Cinch ou RCA. Ce type de fiche est très utilisé en hi-fi pour relier les appareils jusqu'à l'amplificateur. De nombreuses qualités de fiches et câbles de ce type sont disponibles.
- Comment AC3 (encodage dolby). Système de codage Dolby pouvant transporter des programmes audio de 1 à 5.1 canaux selon diverses configurations, développé pour la transmission de l’audio chez les consommateurs par une diffusion télévisuelle SD/HD numérique. Contrairement au Dolby E, cette technologie n’est pas adéquate pour des cycles de codages répétés.
- Comment Le terme est appliqué aux spécifications dignes des standards de l'académie du cinéma (Academy of Motion Picture Arts and Sciences), telles que bande amorce académique, le format académique (pour les pellicules de film vierges), le décompte académique, etc.
- Comment Possibilité de déplacement instantané vers un point de la vidéo, sans avoir recours à la recherche rapide.
- Comment Mixage des effets sonores, de la musique et des pistes audio du présentateur avec la piste audio de la bande principale du montage, généralement réalisé lors du mixage d'une production. Egalement appelé postproduction audio pour vidéo.
- Comment 1. Automatic Display Replacement (remplacement automatique de l'affichage). Processus de lecture en boucle d'une partie spécifique de séquence et d'enregistrement automatique de plusieurs prises de vue de remplacement.
2. Remplacement automatique du dialogue dans un film. Egalement appelé doublage. - Comment Audio Engineering Society. Principale organisation internationale des utilisateurs et producteurs de l'audio au niveau professionnel. L'AES régit un comité de standards qui supervise le travail de plusieurs sous-comités et groupes de travail représentant les divers domaines de renforcement du son.
- Comment Audio Engineering Society/European Broadcasting Union. Organisation de normalisation qui définit une structure de signal numérique pour entrée audio professionnelle sur les systèmes de montage vidéo Avid utilisant la carte SA 4. Cette structure de signal s'utilise généralement pour introduire du son directement sur des systèmes de montage vidéo Avid via une bande audionumérique (DAT), en évitant ainsi la numérisation ou l'enregistrement sur bande vidéo.
- Comment Audio Interchange File Format- Condensed. Format de fichier son échantillonné permettant le stockage de données audio. Ce format est utilisé principalement comme format d'échange de données, mais peut aussi l'être comme format de stockage. Le format OMFI (Open Media Framework Interchange) inclut le format AIFF-C comme format d'échange usuel pour les données audio non comprimées.
- Comment Audio Interchange File Format- Condensed. Format de fichier son échantillonné permettant le stockage de données audio. Ce format est utilisé principalement comme format d'échange de données, mais peut aussi l'être comme format de stockage. Le format OMFI (Open Media Framework Interchange) inclut le format AIFF-C comme format d'échange usuel pour les données audio non comprimées.
- Comment Ce terme qualifie une image dont les proportions d'origine ont été modifiées. Le processus anamorphique, ou anamorphose, s'effectue grâce à une lentille auxiliaire qui compresse l'un des axes de l'image, généralement l'axe horizontal, à un taux donné. De cette manière un format d'affichage 1,85:1 ou 2,35:1 peut être réduit horizontalement afin de produire une image au format cinématographique 1,33:1 (4:3). Lors de sa projection, le film anamorphosé passe par une autre lentille anamorphique qui étire l'image afin de lui rendre ses proportions d'origine. L'anamorphose est courante sur les écrans larges SD. En effet, elle permet d'augmenter les dimensions de l'image de près de 33 % en étirant simplement les 720 pixels qui la constituent. Ce procédé s'applique également aux lentilles de caméra et permet de tourner en 16:9 avec une simple puce CCD de 4:3.
- Comment Opération permettant de revenir à l'état précédant immédiatement le dernier montage, ou de répéter une annulation.
- Comment Procédé permettant de réduire le phénomène de crénelage. Grâce à ses filtres, l'anticrénelage spatial est particulièrement utile pour atténuer les contours en dents de scie des lignes diagonales ou le scintillement des zones très détaillées. Rien ne vaut cependant un meilleur échantillonnage et un traitement plus précis pour éviter le crénelage.
- Comment Pour visionner un montage sans le réaliser (l'enregistrer).
- Comment Final Cut Pro 6 présente ProRes 422, le nouveau format de post-production d'Apple permettant d'obtenir une qualité HD non compressée avec des tailles de fichiers SD.
Utilisez ProRes 422 lorsque vous collaborez sur un réseau de stockage Xsan, lorsque vous travaillez avec des formats de caméra non natifs ou pour conserver une qualité optimale des composites et des travaux d'étalonnage couleur exigeants. - Comment ransfert sur des fichiers médias de segments pour que les utilisateurs des autres groupes de travail puissent accéder aux médias et les utiliser avant l’envoi des fichiers complets.
- Comment Toute combinaison du regroupement de plusieurs pistes. Chaque montage effectué sur une piste est également répercuté sur les pistes asservies.
- Comment ATM (Asynchronous Transfert Mod). Le Mode de transfert asynchrone est une technologie réseau basée sur le transfert de données en paquets de taille fixe. Le paquet utilisé avec le mode asynchrone est de taille modeste comparé aux unités utilisées avec les technologies plus anciennes. La taille modeste et constante des paquets permet à l'équipement ATM d'acheminer des données audio, vidéo et informatiques sur le même réseau et de s'assurer que la ligne n'est pas mobilisée par un seul type de données. A l'heure actuelle, le mode de transfert asynchrone prend en charge des débits de 25 à 622 Mo/s (mégaoctets par seconde). Ce chiffre peut être comparé au maximum de 100 Mo/s pour Ethernet, technologie utilisée par la plupart des réseaux locaux.
- Comment Marque déposée d'Avid Technology, Inc. Système de montage audio numérique non-linéaire qui verrouille la vidéo numérique en synchronisation avec l'audio pour le montage et l'adoucissement de l'audio.
- Comment Authoring : organisation des séquences vidéo dans le but de créer un CD/DVD interactif. Ces séquences sont ensuite traduites en fichiers adéquates pour être gravé sur le support
- Comment Fonction enregistrant le travail à intervalles réguliers (dont vous spécifiez la valeur). Les sauvegardes sont placées dans le dossier Attic.
- Comment Piste auxiliaire. Canal réservé à la connexion d'un dispositif audio ou vidéo externe, ou les deux, dans un système de montage vidéo.
- Comment L'AVC Intra est un format de tournage HD basé sur le codec H.264. L'AVC-Intra, est un format intra frame et n'utilise donc pas de long-GOP. Chaque frame est présente et entier sans interpolation. L’AVC-Intra va avoir deux versions. L’une 50Mb/s 4:2:0 10bit qui qualitativement va venir légèrement en dessous du DVCPROHD, et une version très haut de gamme à 100Mb/s. Cette version à 100Mb/s 4:2:2 10bit est sur le même débit que le DVCPROHD mais à base d’un codec plus optimisé qui offre donc une qualité supérieure. La version AVC-Intra 50 va être intéressante sur un usage news, offrant donc une qualité HD proche du DVCPROHD mais à des débits deux fois moindres, avec beaucoup de place économisée sur les cartes P2. L’AVC-Intra 100 va être tourné vers la production haut de gamme comme la publicité ou le digital cinéma. L’AVC-Intra exploite une écriture en 1920x1080 en AVC-Intra 100 et en 1440x1080 en AVC-Intra 50. Si on prend notre caméra la plus haut de gamme en P2 aujourd’hui, la HPX-3000, cela permet donc de disposer d’une chaîne Full HD d’un bout à l’autre de la captation, avec un capteur full-HD de 2,2 Millions de pixels et une écriture Full HD en 1920x1080 en l’AVC-Intra 100. Pour rappel, sur cet aspect, pouvez-vous nous rappeler la résolution de captation du DVCPROHD ? C’est en 1440x1080. Donc comme pour d’autres formats c’est un système de pixel shifting qui lui permet de passer sur un format 16/9ème en 1920x1080. Aujourd’hui l’AVC-Intra 100 va être ce que l’on va proposer de mieux en terme qualitatif, il va venir remplacer progressivement notre D5-HD qui était relativement confidentiel en France mais qui est un format de mastering très utilisé dans le monde, et il va petit à petit être utilisé sur des productions.
- Comment La compression d’images peut se faire selon deux méthodes : la compression intra-image (dite I-Frame), qui compresse chaque image (compression spatiale) et la compression en « Long GOP », qui compresse les images par groupes (compression spatiale + compression temporelle). Les codecs AVC-Intra et DVCPROHD utilisent une compression intra-image, alors que des codecs comme le HDV utilisent une compression en Long GOP. Le MPEG-4 AVC/H.264 utilise quant à lui les deux méthodes de compression. Lorsque le contenu d’images adjacentes est assez similaire, la compression Long GOP permet d’obtenir de bons résultats, avec l’avantage de bénéficier d’un débit faible. Cependant, il arrive fréquemment que le contenu d’images qui se suivent varie beaucoup comme par exemple, lors du tournage d’une conférence de presse avec de nombreux flashs, pendant des événements sportifs où les sujets filmés bougent très rapidement ou encore pendant la captation de concerts. De plus, en mode intra-image, le processing est effectué image par image, ce qui permet d’exploiter au mieux les processeurs multi-core de dernière génération qui permettent de travailler en parallèle sur plusieurs images simultanément. La compression intra-image est ainsi plus adaptée au montage virtuel que la compression Long GOP, dont la structure de compression rend les images dépendantes les unes des autres et rend donc plus difficile le processing. Deux fois plus efficace que le MPEG-2 ! En exploitant au mieux toutes les techniques de compression apportées par l’algorithme H.264, l’AVC-Intra est devenu deux fois plus efficace que le MPEG-2, même en utilisant uniquement la compression intra-image. Son mode de prédiction intra-image et son encodage entropique qui s’adapte de manière dynamique aux images sont les deux outils principaux qui permettent d’améliorer drastiquement l’efficacité de la compression. Mode de prédiction intra-image (« intra prediction ») Ce processus génère des images prédictives basées sur des blocs adjacents de 8x8 pixels. En sélectionnant le meilleur mode de prédiction parmi 9 modes de signaux de luminance et 4 modes de signaux de chrominance, il permet de générer des images prédictives d’une grande précision. Les données résiduelles, obtenues en soustrayant l’image prédictive de l’image originelle, sont enregistrées avec l’image prédictive. Grâce à la précision de la prédiction, les données résiduelles sont minimes et ainsi une compression importante peut être obtenue. Du fait que ce processus est appliqué l’intérieur même de l’image, la précision de la prédiction reste constante même avec des images en mouvement rapide.
- Comment Codec Haut de gamme de Panasonic (supèrieur à l'AVC Intra à 100Mb/s en 422 10Bit), le codec AVC-Ultra proposera un débit de 200Mb/s. Ce format est avant tout dédié aux besoins particulièrs de post production DI , de projets 3D ou de réalité virtuelle ou l'AVC-Ultra permettra de travailler en HD 1080 50 / 60P en 4:2:2 10 bits. Le débit de 200Mb/s permettra de passer en 12 bits / 4:4:4 en HD et 2K 24p.
- Comment Ombre se prolongeant de manière uniforme à partir des bords d'un titre ou d'une forme, pour leur conférer un aspect tridimensionnel.
- Comment Ombre décalée par rapport au titre ou à la forme pour donner une impression de représentation spatiale.
- Comment AVI (Audio Video Interleaved). Fichier conteneur standard pour les fichiers vidéo et audio numériques (propre à l'environnement Microsoft).
Un fichier AVI est un fichier contenant un flux video numérique compressé la plupart du temps et un flux audio lui aussi très généralement compressé. Ces deux flux de données sont multiplexés au sein du conteneur. C'est-à-dire qu'il sont joint, de manière à être lu simultanément.
L'extension du fichier, renseigne sur la nature du contenu mais pas sur sa forme. On peut donc être en précense d'un fichier AVI contenant un flux video DV, Mpeg, divx, etc. et un flux audio MP3, PCM, etc.
Le fichier Quicktime est l'équivalent conceptuel de l'AVI dans l'environnement MAC (bien qu'il existe un lecteur Quicktime pour plateforme windows). - Comment Avid Video Resolution (Résolution vidéo Avid). Niveau de compression en fonction duquel le média visuel est stocké par le système Avid. Le système crée des fichiers médias avec la résolution AVR, en utilisant des algorithmes de conversion qui lui sont propres et permettent de convertir des signaux vidéo analogiques en signaux vidéo numériques.
Le format AVR a été mis au point par Avid Technology. Il est constitué de différentes méthodes de compression vidéo M-JPEG compatibles avec ses systèmes matériels ABVB non linéaires. En compression AVR, la même table de quantification (des coefficients) est appliquée à chaque image du clip vidéo lors de sa numérisation. Ceci permet de conserver une résolution M-JPEG uniforme sur l'ensemble du clip. Dans ce format, le taux de compression des données augmente en fonction de la complexité de l'image.
Par exemple, un très gros plan possèdera généralement un faible taux de compression tandis qu'un plan d'ensemble réalisé lors d'une compétition sportive sera rendu à un taux de compression élevé. Pour ne pas encombrer la bande passante des systèmes, le format AVR utilise le principe d'invalidation (aussi appelé "rollback"). Ce mode de contrôle continu du débit des données évite que ce dernier dépasse la valeur maximale prédéfinie. Il suffit donc que cette limite d'invalidation soit atteinte sur une image donnée pour que les fréquences spatiales élevées de cette image soient supprimées des images suivantes, jusqu'au retour à un débit de données raisonnable. - Comment Axe vertical dans un système à trois dimensions.
- Comment Axe horizontal dans un système à trois dimensions.
- Comment Axe perpendiculaire aux axes X et Y dans un système à trois dimensions.
- Comment Méthode de calcul du point d'entrée par soustraction de la durée depuis un point de sortie connu, afin que, par exemple, la musique et la vidéo ou le film se terminent sur la même note.
- Comment Synchronisation des appareils dans les systèmes de montage informatisés.
- Comment Longueur de film, de bande ou clip numérique placé en début de bobine ou de séquence pour faciliter le repérage et la synchronisation du matériel.
- Comment Enregistrement ou transmission en direct d'un programme faisant intervenir plusieurs caméras et plusieurs sources d'images. Egalement connu sous le nom de director's cut dans les productions de comédies de situation.
- Comment Différence entre la limite supérieure et inférieure de la fréquence d'une composante d'échantillon audio.
- Comment Bande son contenant tous les éléments sonores requis (dialogues, musique et effets sonores mixés selon les proportions appropriées).
- Comment Bande magnétique en plastique recouverte d'un revêtement métallique à base d'oxyde, utilisée pour l'enregistrement des signaux vidéo et audio.
- Comment Barre rectangulaire située sur le bord droit ou le bas d'une fenêtre. Le fait de cliquer ou de déplacer la barre de défilement permet à l'utilisateur de se déplacer ou d'obtenir une vue panoramique du fichier.
- Comment Commande située dans la fenêtre de la timeline permettant d'agrandir ou de réduire la zone de la timeline centrée autour de l'indicateur de position bleu.
- Comment Zone rectangulaire horizontale située sous les fenêtres Source, Record, Playback et Composer, et sous la fenêtre contextuelle Source contenant l'indicateur de position.
- Comment Nom donné à un projet ou un chutier, placé en haut d'une fenêtre.
- Comment Signal standard de test de couleur, affiché sous forme d'un motif vidéo à huit colonnes (c'est-à-dire de barres) de couleurs de largeur égale. Les barres couleur SMPTE représentent la norme courante. Vous ajustez les réglages vidéo en fonction des barres couleur de la bande vidéo source avant l’enregistrement ou la numérisation.
- Comment Nombre d'oscillations électriques générées chaque seconde. Le baud était la principale unité de mesure pour la bande passante et le transfert des données, mais les bps (bits par seconde), plus précis, sont l'unité de mesure la plus utilisée actuellement.
- Comment Marque déposée d'Apple Computer, Inc. Interface de programme d'application (API) de format d'enregistrement et de structure informatique généraux. Bento est utilisé par le format OMFI comme système de stockage et d'accès aux données des fichiers OMFI.
- Comment Transfert télécinéma réalisé avec les réglages optimaux des contrôles d'étalonnage de la couleur, mais sans correction précise de la couleur scène par scène.
- Comment Marques de Sony Electronics, Inc. Deux normes d'enregistrement vidéo et de composantes vidéo. Sony Betacam fut le premier système haut de gamme fonctionnant avec des cassettes permettant d'enregistrer la vidéo sur une bande magnétique de 1/2 pouce. La version SP fit son entrée sur le marché 3 ans après celle du premier Betacam ; elle présente de nombreuses améliorations, parmi lesquelles les rapports signal sur bruit, les réponses en fréquence, le nombre de canaux audio et la quantité de bande magnétique disponible sur les cassettes. SP est actuellement la seule version commercialisée.
- Comment ype de courbe que vous pouvez utiliser pour les segments incurvés sur les formes Intraframe ou dans certains types de graphes, tels que les graphes d’incrustation. Un point de Bézier sur la courbe permet de contrôler la régularité ou la netteté de la courbe en ce point.
- Comment 1. Roue à moyeu central et côtés plats sur laquelle est embobinée la bande magnétique. De manière générale, un rouleau de bande est appelé bande et un rouleau de film est appelé bobine.
2. Longueur de film embobinée sur une roue ou un tube. Suivant le cas, un rouleau de pellicule peut faire référence à une bobine de film ou à une bande. - Comment Méthode de conformation nécessitant le transfert de tous les effets multicouches sur une simple couche (y compris les fondus et fondus enchaînés standard) avant assemblage. Egalement appelée montage sur simple couche.
- Comment 1. Méthode de conformation permettant de gérer la plupart des fondus et fondus enchaînés au moyen de deux couches d'un film afin de limiter la quantité de travail optique. Egalement appelé montage sur double couche.
2. Scènes en alternance, enregistrées sur des bandes magnétiques source ou des bobines de film différentes, pour réaliser des fondus enchaînés ou par volets et autres types de transitions. - Comment Copie exacte du matériel original de la bobine A, ou du nouveau matériel original d'une bobine séparée, pour utilisation dans le montage de bobine A et B.
- Comment Duplicata de la bande source originale, créé afin que les superpositions puissent être fusionnées sur une bande source unique.
- Comment Bobine dédiée à l'enregistrement et la lecture des contretypes (prises de vue dupliquées) au moment du montage de la bande vidéo.
- Comment Bobine de film utilisée sur un système de montage horizontal KEM. Une bobine KEM combine des prises multiples en une seule bobine (elle constitue une copie de travail et non un négatif). La longueur maximale d'une bobine KEM est d'environ 300 m (en 35 mm).
- Comment Acheminement de l'audio ou de la vidéo d'un canal ou d'une piste de la séquence vers un autre canal ou une autre piste.
- Comment Transfert d'un programme enregistré sur une bande vidéo de qualité médiocre sur une bande de qualité supérieure (tel que le transfert d'une bande de 3/4 de pouce sur une bande de 1 pouce, ou du format S-VHS au format MII).
- Comment Fusion des couches d'effets destinée à créer un flux unique de vidéo numérique pour la lecture en temps réel.
- Comment Dérouler une bande vidéo jusqu'à un emplacement prédéterminé.
- Comment Effectuer un réglage précis des niveaux de la vidéo pour assurer une clarté maximale pendant l'enregistrement sur disque (à partir de la bande vidéo).
- Comment 1. Entrée ou sortie audio physique.
2. Combinaison d'une ou de plusieurs composantes de couleurs permettant de former une image en couleur. Une image RVB se compose des canaux de couleur rouge, vert et bleu. Lors de la correction des couleurs, il est possible de redéfinir les canaux de couleur en mélangeant les composantes de couleurs dans des proportions différentes. - Comment Représentation 8 bits en échelle de gris d'une image utilisée pour créer un cache lors de l'incrustation d'images.
- Comment L'un des signaux de différence de couleur du système couleur des composantes de la norme vidéo NTSC.
La formule du signal est : Cb = 0,299R (rouge) – 0,587V (vert) + 0,886B (bleu) - Comment Comité Consultatif International des Radio Communications. Organisation en grande majorité européenne, semblable à la SMPTE (Society of Motion Picture and Television Engineers) aux Etats-Unis et qui réunit les représentants des utilisateurs et des fournisseurs. Elle est maintenant désignée sous l'acronyme ITU (International Telecommunication Union).
- Comment 1. Bobine de pellicule vierge prête à être placée dans l'appareil. Le standard courant est une charge de 1000 pieds.
2. Groupe de bobines de plusieurs caméras, filmées simultanément, partageant le même timecode, et numérotées en conséquence. - Comment Boîtier abritant les modules de disques amovibles. Le châssis contient une prise d'alimentation électrique, des lecteurs et des connecteurs pour chacun des modules.
- Comment Réglage du niveau de volume d'une piste audio réalisé en faisant « tomber » ce dernier à un niveau inférieur, plutôt que de le faire disparaître complètement.
- Comment Base de données dans laquelle les master-clips, les sub-clips, les effets et les séquences sont organisés pour un projet. Les chutiers offrent des fonctions de base de données permettant de simplifier l’organisation et la manipulation du matériel, en vue de l'enregistrement, de la numérisation et du montage.
- Comment Le format d'image CIF (Common Image Format), tel qu'il est défini par l'UIT, est un format d'image commun actuellement très utilisé et destiné à simplifier les échanges d'informations au format image au niveau national et international.
- Comment C’est le nom que Sony a donné à sa famille de produits qui font le pont entre le cinéma et la télévision haute définition (TVHD). La gamme inclut des caméscopes HDCAM, des magnétoscopes de studio, ainsi que des systèmes complets de production et de postproduction. La toute dernière série HDCAM SR fait la part belle au cinéma avec des taux de données d’enregistrement plus élevés et un accès direct aux images RVB d’origine, par opposition aux images au gamma corrigé utilisées en télévision.
- Comment Il s’agit de l’application de la technologie DLP de Texas Instruments à la projection cinématographique. Une attention particulière a été apportée à ce format afin de produire des rapports de contraste et de luminosité élevés sur grand écran. Les Dark Chips ont joué un rôle important, en permettant de réduire de manière considérable la lumière réfléchie superficielle issue des micromiroirs numériques (DMD). Pour cela, il a fallu supprimer la propriété réfléchissante de l’ensemble des matériaux de base, à l’exception des faces des miroirs. En outre, une lampe de projection normale produit un niveau de lumière pouvant atteindre 12 ft/l sur un écran d’environ 18 mètres.
- Comment Autrefois, de nombreux documentaires, séries et films télé étaient tournés sur pellicule. Aujourd’hui, les progrès réalisés par les technologies du numérique et de la haute définition (HD) ont mis un frein à cette tendance et le cinéma lui-même se tourne vers le format numérique. Si le tournage cinématographique s’effectue encore sur pellicule, c’est tout le processus intermédiaire qui est entré dans l’ère du numérique. Un nombre croissant de films, y compris le célèbre Sin City et les derniers épisodes de la Guerre des étoiles, sont tournés à l’aide de caméras numériques et les salles de cinéma équipées de systèmes numériques se multiplient. Le cinéma numérique possède de nombreux points en commun avec la télévision, même s’il possède ses propres normes et sa propre terminologie.
- Comment Petit tableau d'identification tenu brièvement à la main devant la caméra au début d'une prise de vue pour en afficher les détails. Un clap électronique comporte également l'affichage du timecode provenant de l'appareil d'enregistrement du son à des fins de synchronisation.
- Comment Informations du clap enregistrées en fin de prise de vue au lieu du début, généralement enregistrées à l'envers.
- Comment Dispositif servant de clé pour contrôler l'utilisation de logiciels sous licence. Le logiciel peut être installé sur n'importe quel système mais ne fonctionne que sur celui où la clé électronique est installée. La clé électronique se branche sur le bus Apple Desktop des systèmes Macintosh, le port USB ou sur le port parallèle (imprimante) des PC.
- Comment Points temporels auxquels vous avez défini les valeurs des paramètres d’effets (ou dans Marquee, les valeurs de propriété d’objets). Le système utilise les valeurs définies dans les clés pour interpoler les modifications apportées aux effets et aux titres animés.
- Comment 1. Segment de matériel source enregistré ou numérisé dans le système, comportant des points d’entrée et de sortie et référencé dans un chutier de projet. Le clip contient des pointeurs vers les fichiers médias dans lesquels les données audio et vidéo numériques réelles sont stockées.
2. Dans un enregistrement de dérushage, représentant une seule prise de vue, le clip contient des informations sur le début et la fin du timecode de la prise, le nom de la bande source et les pistes sélectionnées pour le montage.
3. Dans OMFI, classe générale d'objets de la hiérarchie de classes OMF Interchange, représentant les propriétés communes des clips source, de remplissage et attribut, des références de piste, ainsi que des clips de timecode et de code de bord. Un clip est une sous-classe d'un composant. - Comment Mécanisme pouvant être utilisé par les applications pour enregistrer des informations supplémentaires sur une piste spéciale synchronisée aux autres pistes du groupe.
- Comment Segment d'une séquence ne contenant aucune information vidéo ou audio. Le remplissage peut être ajouté dans la fenêtre Source (ou dans la fenêtre contextuelle), puis monté dans la séquence.
- Comment L'un des blocs de construction de plus bas niveau dans la composition d'une séquence.
- Comment L'un des blocs de construction de plus bas niveau dans la composition d'une séquence.
- Comment 1. Ajout de données techniques, telles que le timecode, les calages ou les informations de sous-titrage à l'enregistrement vidéo.
2. Conversion de la vidéo RVB-S en vidéo composite. - Comment Cette méthode de compression de données recherche les motifs répétés, auxquels elle attribue un code (variable selon sa fréquence d'apparition). Ainsi, les répétitions très fréquentes posséderont un code court et celles moins fréquentes un code long. Ces codes sont attribués en fonction de la table d'Huffman. L'envoi de codes au lieu de données permet uniquement l'obtention d'une compression 2:1 sans perte. Pour cette raison, le codage Huffman est souvent associé à une compression vidéo JPEG ou MPEG.
- Comment Timecode ajouté au négatif du film au moment du tournage par le biais d'un générateur de code caméra. Les numéros de code caméra sont synchronisés aux numéros de bord sur les épreuves de tournage pendant le processus de transfert télécinéma. Un lecteur de code spécial est requis pour l'affichage du code caméra.
- Comment Système de numérotation de référence additionnel, tel que les numéros de bord, utilisé par Film Composer pour comparer les séquences numériques possédant des versions de copies de travail en progrès lors de la consultation des listes des modifications.
- Comment Partie du timecode réservée au codage des données choisies par l'utilisateur, comme le compte de la vidéo et les numéros de Keykode.
- Comment Motif de bandes verticales de largeur et d'espacement variables représentant des informations codées. Les codes-barres peuvent être utilisés pour coder le timecode sur le film.
- Comment Procédé au cours duquel les trames supplémentaires sont ajoutées ou « compensées » pendant la conversion d’un support 24 i/s en support 30 i/s NTSC ou en bande vidéo PAL à 25 i/s. Cette conversion est un transfert télécinéma film à bande ou une conversion haute-définition (HD) 24i. Des procédures spéciales sont nécessaires lors de l’enregistrement ou de la numérisation pour éliminer les champs de compensation supplémentaires et pour obtenir un véritable montage 24 i/s (à l’heure actuelle, la vidéo PAL avec compensation n’est pas prise en charge par les systèmes Avid).
- Comment Procédé au cours duquel les trames supplémentaires sont ajoutées ou « compensées » pendant la conversion d’un support 24 i/s en support 30 i/s NTSC ou en bande vidéo PAL à 25 i/s. Cette conversion est un transfert télécinéma film à bande ou une conversion haute-définition (HD) 24i. Des procédures spéciales sont nécessaires lors de l’enregistrement ou de la numérisation pour éliminer les champs de compensation supplémentaires et pour obtenir un véritable montage 24 i/s (à l’heure actuelle, la vidéo PAL avec compensation n’est pas prise en charge par les systèmes Avid).
- Comment Terme standard utilisé pour désigner une séquence montée composée de plusieurs clips, dans le format OMFI. C'est en quelque sorte l'équivalent OMF d'une séquence dans un système Avid.
- Comment Composition (Montage vertical en couches). Processus consistant à ajouter des couches de vidéo statique ou animée pour créer une scène. Il fait appel à l’incrustation et à la correction des couleurs, et requiert de nombreux outils, notamment un générateur d’effets vidéo pour le redimensionnement et le positionnement. Cette opération impliquant généralement l’ajout de nombreuses couches, il est recommandé d’utiliser des équipements non linéaires et de la vidéo non compressée afin d’éviter les pertes de génération. Les nouvelles technologies maintenant très pointues sont un élément clé de la production moderne aussi bien pour le film que pour la télévision – permettant de réduire les coûts tout en apportant de nouvelles possibilités et de nouveaux effets.
- Comment 1. (Audio) Processus de réduction de la gamme dynamique du signal audio.
2. (Vidéo) Perte de niveau de détail dans les zones blanches ou noires de l'image vidéo due à une mauvaise séparation du niveau du signal.
3. Réduction des niveaux de détail du signal vidéo ou audio, ou les deux, afin de minimiser l'espace de stockage pendant la conversion du format analogique au format numérique Avid.
Dans la compression JPEG, par exemple, des algorithmes correspondants à des longueurs d'image variables analysent les informations contenues dans chaque image, et réalisent des réductions permettant de conserver un maximum d'informations. La compression ne supprime aucune image du matériel original. Le type et le niveau de compression dépendent du domaine d'application. Les équipements destinés au marché de la consommation (DVD, transmission, etc.) disposent d'une bande passante relativement faible et utilisent donc en principe un niveau de compression très élevé (faible débit).
Dans le domaine de la production et du montage en ligne, le niveau de compression est bien inférieur (débit plus élevé), car la qualité de l'image doit être conservée tout au long du processus d'élaboration de la bande originale. Les procédés de compression vidéo reposent tous sur le principe de suppression des informations jugées superflues, appelées détails d'image « redondants ». Cette technique s'applique aussi bien aux images fixes qu'aux métrages vidéo et cinématographique. Plusieurs procédés peuvent être utilisés simultanément.
La technologie numérique a permis le recours à des méthodes complexes, par la suite intégrées dans des puces de compression économiques produites en série. Tout d'abord, notre perception des couleurs (la chrominance) n'est pas aussi développée que pour le noir et le blanc (la luminance). La résolution couleur est donc réduite de moitié par rapport à celle de la luminance (par exemple, 4:2:2). Ce procédé s'utilise pour la télévision (NTSC, PAL et numérique). De même, la perception des détails à faible contraste est inférieure à celle des objets de plus grande taille dont le contraste est plus important. Pour ce faire, un procédé appelé DCT décompose les blocs de 8 pixels de côté des images numériques en différentes fréquences et amplitudes permettant ainsi de réduire (quantifier) les coefficients DTC (fréquences et amplitudes) et donc la quantité de données. Ce procédé intervient dans la plupart des méthodes de compression vidéo numérique utilisées à l'heure actuelle, notamment dans la compression AVR, DV, HDV, JPEG (à l'exception de JPEG2000) et les images I des formats MPEG-1, 2 et 4 et Windows Media 9. Les images sont ensuite retraitées à l'aide d'un procédé de compression exclusivement mathématique appelé codage Huffman (procédé permettant de réduire les données répétées). Les compressions MPEG-2 et plus récemment MPEG-4 ajoutent une couche de compression en analysant les modifications d'une image à l'autre grâce à l'étude des mouvements des macroblocs de 16 pixels de côté. Seules les données relatives aux mouvements (appelées vecteurs cinétiques) sont transmises. Ces vecteurs constituent des images prédictives (B et P) contenant pour une durée identique beaucoup moins de données que les images I. En comparaison, la fréquence d'envoi des images entières (images I, plus de données) à la seconde est très limitée.
La compression MPEG-2 s'utilise dans toutes les formes de transmission numérique au format DVD et HDV.
La compression MPEG-4, plus évoluée et plus efficace, est désormais utilisée pour certains services HD et sera appelée à se répandre très largement dans le cadre du développement des services de télévision nouvelle génération.
Ces différents procédés permettent d'obtenir des résultats intéressants. Toutefois, leur utilisation au niveau de la chaîne de production reste soumise à des impératifs de qualité. Plusieurs cycles de compression (compression/décompression) peuvent intervenir tout au long du processus de production et risquent donc de constituer un facteur d'erreur assez important. De plus, de nombreux procédés de compression se basent la perception humaine et peuvent se révéler inadaptés aux tâches de production, de post-production et de montage. C'est notamment le cas des processus nécessitant une qualité d'image supérieure aux limites de perception de l'oeil humain (par exemple, les tâches d'incrustation et de retouche de couleur). Le rendu après décompression peut alors laisser apparaître certains défauts. - Comment Méthode de compression au cours de laquelle des données sont perdues, avec détérioration de la qualité de l'image. Le degré de perte dépend de l'algorithme utilisé.
- Comment Compression inter-image Compression vidéo générant les images prédictives compressées à partir des informations de plusieurs images successives. La compression MPEG-2 avec un GOP supérieur à 1 constitue un exemple typique de compression interimage. Le flux MPEG-2 contient un mélange d'images I et d'images prédictives de type B (prédiction bidirectionnelle) et de type P (prédiction simple). Les images prédictives ne peuvent pas être décodées séparément des autres images du GOP ; c'est donc l'ensemble du GOP qui doit être décompressé. Ce système de codage offre des performances satisfaisantes pour la transmission, mais ne possède pas la flexibilité nécessaire aux opérations de montage avancées (le montage s'effectue uniquement au niveau des limites du GOP). Il nécessite également une estimation du mouvement entre chaque image. Cette opération peut s'avérer à la fois très complexe et peu fiable, et générer des artefacts de blocs au niveau de l'image.
- Comment Compression intra-image (compression d'i). Compression vidéo effectuée sur la base des informations contenues dans une seule image vidéo. Toutes les informations permettant de recréer l'image sont donc contenues dans les données compressées correspondantes et fonctionnent indépendamment des images adjacentes. La compression vidéo intra-image facilite les tâches de montage qui peuvent s'effectuer au niveau des limites de chaque image sans nécessité de décodage ni de recodage. Les résultats obtenus suite à l'édition vidéo basée uniquement sur les images I constituent la première génération du montage. Les autres opérations (substitutions, fondus, mixages, génération d'effets vidéo de mouvement, etc.) peuvent s'effectuer au niveau du signal de bande de base. Pour cela, les données vidéo doivent dans un premier temps être décompressées.
- Comment Méthode de compression sans perte de données. En compression vidéo, les fichiers de données sans perte sont généralement de très grande taille.
- Comment La compression vidéo permet de réduire la quantité de données ou la largeur de bande passante utilisée pour la description des images cinématographiques. La vidéo numérique nécessite une quantité importante de données. Durant l'ère de la SD, de nombreuses méthodes de réduction du volume des données numériques ont donc été développées. La HD nécessite jusqu'à six fois plus de données à 1,2 Gbits/s et 560 Go par heure de stockage. Le besoin en compression se fait donc plus pressant que jamais.
- Comment Procédé mathématique utilisé par le système de montage pour garantir la précision à l'image des points de montage de la version bande vidéo d'un projet cinématographique (30 i/s), lorsqu'ils sont appliqués à la version finale du film (24 i/s).
- Comment Opération consistant à effectuer des copies intégrales ou partielles de fichiers médias et à les enregistrer sur le disque. La fonction de consolidation se comporte différemment avec les master-clips, les sub-clips et les séquences.
- Comment Préparer une version complète du projet à présenter. Il peut s'agir d'une version intermédiaire de la version de travail ou du montage définitif.
- Comment Tout matériel achevé, prêt à être diffusé. Le contenu est le résultat de l’application de métadonnées à une essence (télé, vidéo et audio).
- Comment Tout matériel achevé, prêt à être diffusé. Le contenu est le résultat de l’application de métadonnées à une essence (télé, vidéo et audio).
- Comment Dupliquer. Partie d'une source vidéo ou de film répétée (dupliquée) une ou plusieurs fois dans une séquence montée.
- Comment Dispositif électronique, généralement informatisé, permettant au monteur de contrôler, de lire et d'enregistrer le matériel avec précision, sur divers appareils à bandes vidéo.
- Comment Processus permettant de passer de la cadence d'images d'un film à la cadence d'images d'une vidéo.
- Comment Convertisseur analogique-numérique. Dispositif permettant la transformation d'un signal variable en continu (analogique) en bits binaires discrets représentant les éléments numériques du signal original.
- Comment Tirage positif du négatif du film réalisé en laboratoire.
- Comment Copie du montage final destinée à l'examen avant création de la copie d'exploitation finale.
- Comment Copie prête à être présentée au public. Les copies d'exploitation contiennent généralement les pistes image et son.
- Comment Copie de film réalisée à partir du négatif original, utilisée pendant le montage pour créer une liste de conformation ou de points de montage pour l'assemblage de la séquence finale. Les copies de travail sont de manière générale bon marché et à lumière unique, et subissent une détérioration rapide due à leur manipulation intensive.
- Comment Positif contenant à la fois le son et l'image.
- Comment Autrefois, procédé de réglage chromatique visant à harmoniser les couleurs de plusieurs images ou à donner un aspect particulier à une image. En télévision, la correction des couleurs en HD et SD est devenue un procédé hautement sophistiqué pouvant inclure la retouche des couleurs secondaires, par exemple, sur des zones d’une image ou des gammes de couleurs spécifiques. Il est donc possible de changer la couleur d’une voiture dans une annonce publicitaire. En fonction des équipements, cette opération peut s’effectuer de manière interactive et en temps réel. En quelques instants, des ajustements précis permettent d’obtenir des résultats de grande qualité.
- Comment Premier niveau de réglage de couleur (parmi les deux niveaux disponibles) en matière de correction de couleurs. Les corrections apportées au niveau de la source permettent généralement de rétablir les caractéristiques initiales des couleurs d'un clip ou d'assurer l'homogénéité des couleurs, clip par clip, de tous les clips dans une séquence.
- Comment Deuxième niveau de réglage de couleur (parmi les deux niveaux disponibles) en matière de correction de couleurs. Les corrections effectuées au niveau du programme apportent généralement une touche finale à une séquence terminée (réglage minutieux des valeurs de couleur, par exemple, pour donner plus d'éclat à un programme dramatique).
- Comment Correction s'appliquant à chacune des parties d'une image vidéo ou à l'ensemble des parties d'une image vidéo comprises dans une plage de luminance précise.
- Comment Correction s'appliquant à des parties précises d'une image en fonction des valeurs de teinte et de saturation spécifiées. Ce type de correction vous donne la possibilité de remplacer les parties vertes d'une image par du jaune sans changer les autres couleurs de l'image.
- Comment Processus consistant à retoucher les caractéristiques des couleurs du matériel vidéo, visant à obtenir une représentation plus précise et plus fidèle des couleurs et d'assurer une meilleure homogénéité des couleurs, d'un clip à l'autre d'une séquence. Ce terme fait généralement référence aux différents réglages effectués, à l'aide d'un programme, sur la totalité de la vidéo, et non pas aux retouches de couleurs individuelles au niveau des effets.
- Comment Réglage des couleurs d'une partie d'une image vidéo identifiée au moyen d'outils de dessin.
- Comment Couleur unie utilisée pour réaliser une incrustation
- Comment 1. Transition instantanée entre une source vidéo et une autre.
2. Section d'une bande source ou d'une bande d'enregistrement. - Comment En montage, effectuer une coupure dans la fin de la scène précédente, souvent par erreur. En général, couper court.
- Comment Voir montage par chevauchement.
- Comment Montage dans lequel des points d'entrée et de sortie différents sont attribués aux signaux audio et vidéo, afin que le montage se déroule avec un signal précédent l'autre. Cette façon de procéder n'a aucune incidence sur la synchronisation audio et vidéo. On parle également de coupe L, de montage par délai ou de montage par recouvrement.
- Comment Enlever un segment donné d'une séquence de montage et joindre les extrémités résultantes pour clore l'intervalle.
- Comment Ondes sonores représentées sous forme de graphe d'intensité relative du signal audio.
- Comment Représentation de l'audio sous forme d'échantillon d'onde.
- Comment L'un des signaux de différence de couleur du système couleur des composantes de la norme vidéo NTSC.
La formule du signal est : Cr = 0.701R (rouge) – 0.587V (vert) – 0.114B (bleu) - Comment Artefacts provoqués par un échantillonnage ou un traitement vidéo insuffisant. Conséquence de la nature pixellisée de l'image numérique, le crénelage spatial produit des contours en dents de scie sur les lignes courbes et diagonales de l'image, ainsi qu'un effet de scintillement sur les zones de détails. Ce phénomène est dû à des fréquences d'échantillonnage trop basses ou à une précision de traitement trop faible pour s'étendre aux détails. Le crénelage dit temporel se produit lorsque la vitesse de l'action est supérieure à la fréquence d'images. Un exemple classique : les roues du train qui semblent tourner en sens inverse.
- Comment Colour Separation Overlay, superposition par séparation des couleurs. Synonyme d’incrustation en chrominance.
- Comment Séquence de trames vidéo requise pour la production d'un cycle complet de synchronisation des trames et images d'une part, et de la sous-porteuse couleur d'autre part. Le système NTSC requiert quatre trames, le système PAL en requiert huit.
- Comment Le terme D-cinema ou Digital Cinema, qui signifie cinéma numérique, désigne l’ensemble de la chaîne de production de la scène à l’écran, mais il caractérise plus précisément la distribution et la diffusion de ressources cinématographiques par des moyens numériques.
Aucune règle absolue ne distingue le D-cinéma du E-cinéma, si ce n’est l’opinion selon laquelle les images de D-cinéma doivent être au minimum en 2K. Les formats SD et HD plus petits entrent dans la catégorie E-cinéma. Il n’en reste pas moins vrai que les projections HD impressionnent généralement le grand public. Nouvelle norme de qualité des projections cinématographiques, la diffusion numérique se caractérise par sa fixité latérale et l’absence d’éraflures ou d’éclats.
Contrairement à la pellicule, l’image numérique ne s’altère jamais et ce, quel que soit le nombre de projections. Les films numériques se distribuent sur disques ou sur réseaux, contrairement aux films 35 mm dont chaque copie, d’une valeur comprise entre 1 000 et 2 000 dollars, ne survit pas aux 200 projections. La production et la distribution des copies d’exploitation s’évaluent, pour les studios, à quelque 800 millions de dollars par an.
Le E-cinéma a pris de l’avance sur le D-cinéma et il a déjà prouvé sa viabilité comme format de support pour les principales fonctions. Il facilite la production à bas prix d’annonces publicitaires locales et offre une plus grande souplesse en matière d’ajout de contenu télévisuel. Parmi les progrès récents ayant permis l’avènement de la projection numérique, il faut compter le développement rapide de la haute résolution et les projecteurs numériques grand écran. Ces progrès s’articulent autour de trois technologies : D-ILA, DLP et SXRD. Les normes D-cinéma ont récemment fait l’objet d’une recommandation de la Digital Cinema Initiatives. - Comment Direct-drive Image Light Amplifier (D-ILA). Cette technologie utilise une puce CMOS réfléchissante à cristaux liquides permettant de moduler la lumière d’un projecteur numérique. Dans la course aux résolutions, JVC a fini par produire une matrice 2K (2 048 x 1 536) conforme à la recommandation SMPTE DC 28.8 qui préconise une résolution de 2 000 lignes pour le cinéma numérique. La puce diagonale de 1,3 pouce contenant 3,1 millions de pixels répond numériquement au signal source. Le pas de 13,5 microns entre les pixels permet d’éliminer le bruit de bande et de produire ainsi des images claires, lumineuses et contrastées. Structure réfléchissante efficace, la technologie D-ILA permet de refléter plus de 93 % (ouverture) de la lumière des pixels.
- Comment Deux formats d'enregistrement de bande vidéo numérique conformes à la norme ITU-R 601 (CCIR-601) pour vidéo composite numérique 4:2:2 non comprimée. D5 est très similaire à D1 car, lui aussi, représente un format d'enregistrement numérique à composantes. Toutefois, la précision d'enregistrement de D1 est de 8 bits, tandis que celle de D5 est de 10 bits.
- Comment Format de bande numérique dédié à l’enregistrement, sur des cassettes de 19 mm (1/3 pouce), de vidéo numérique SD à composantes et non compressée, 4:2:2, 525 et 625 lignes. Lancé par Sony en 1987, ce format utilisait alors des processus haut de gamme pour lesquels la qualité multigénération nécessitait un contrôle permanent, et son prix de revient était relativement élevé. Aujourd’hui, il n’est plus très employé.
- Comment Lancé en 1988 par Ampex, ce format permet d’enregistrer des vidéos NTSC ou PAL composites, numérisées et non compressées sur des cassettes de 19 mm (3/4 pouce). Utilisant un volume de données moindre que le D1, donc moins de bande, ce format paraissait efficace pour la rediffusion analogique. Toutefois, le signal était affecté par les restrictions d’origine du PAL et du NTSC. Il s’est avéré peu utile dans le cadre de la post-production sophistiquée. Un décodage aurait été nécessaire pour la transmission numérique. Ce format est peu employé aujourd’hui.
- Comment Deux formats d'enregistrement de bande vidéo numérique pour vidéo composite. La différence principale existant entre D2 et D3, réside dans le fait que D2 utilise une bande vidéo numérique de 3/4 de pouce, tandis que D3 en utilise une d'1/2 de pouce.
- Comment Proposé par Panasonic, le format D3 est similaire au format D2 : il est dédié à l’enregistrement de vidéos PAL ou NTSC composites. En revanche, le format D3 utilise des cassettes 1/2 pouce. Il présente des avantages et inconvénients identiques au D2 et, en outre, il n’est plus très employé.
- Comment Proposé par Panasonic en 1994, ce format permet d’enregistrer des vidéos numériques à composantes, 10 bits, 4:2:2, 525 et 625 lignes. Les enregistrements sont effectués sur des cassettes, comme pour le format D3.
En tant que format de vidéo à composantes, il s’avère efficace en post-production. Plus économique que le D1, il reste largement employé aujourd’hui. Ce format peut également être utilisé pour les enregistrements HDTV via une compression de 4 ou 5:1 (voir HD-D5).
D5-HD Employé depuis longtemps pour la gravure masterisation haute définition, ce format constitue la version HD du format d’enregistrement numérique sur bande magnétique pouce de Panasonic, le D5. Il permet d’enregistrer plus de deux heures de données sur une cassette D5 standard dans divers formats vidéo : 1080/60I, 1035/60I, 1080/24P, 720/60P, 1080/50I, 1080/25P et 480/60I. - Comment Le D5-HD permet de modifier les enregistrements 24 Hz afin de les utiliser directement dans les applications 25/50 Hz, fonctionnalité qui s’avère précieuse lors de l’adaptation de films au marché européen.
Huit canaux discrets d’audio numérique 24 bits/48 kHz permettent des mixages stéréo et 5.1. La technologie Panasonic réduit le débit de données vidéo numérique à composantes HD-SDI 4:2:2 brut, jusqu’à 1 240 Mb/s, grâce à un procédé de compression propriétaire.
Le format D5-HD permet en outre de compresser la vidéo selon un rapport de 4:1 (en mode 8 bits) ou de 5:1 (en mode 10 bits). - Comment Le format de bande D6 utilise une cassette de type D1 de 19 mm pour enregistrer 64 minutes de données HD non compressées dans la majorité des normes TVHD.
Le débit d’enregistrement monte jusqu’à 1 020 Mb/s, avec une luminance de 10 bits et une chrominance de 8 bits. 12 canaux d’audio numérique stéréo AES/EBU sont enregistrés.
Le seul magnétoscope D6 existant est le VooDoo de Thomson, utilisé pour convertir des productions cinématographiques en cassettes vidéo. - Comment DAS (Direct Attached Storage). Le DAS est un stockage à connexion directe sur le serveur (un disque dur par exemple).
- Comment DCDM (Digital Cinema Distribution Master). Original de distribution contenant toutes les données pour une projection (images, sons, soustitres). A partir du DCDM, un DCP (compressé et crypté) et une clé primaire sont fabriqués.
- Comment Fondée en 2002 par un groupe de grands studios hollywoodiens, Digital Cinema Initiatives a établi une norme ouverte garantissant un haut niveau de performances techniques, de fiabilité et de contrôle de qualité en matière de cinéma numérique. Achevée en 2005, cette norme est actuellement mise en application par plusieurs fabricants. Parmi ses nombreuses recommandations, notamment sur la sécurité, la norme préconise l’utilisation des formats d’image 2K et 4K, ainsi que la compression JPEG 2000.
- Comment DCP (Digital Cinema Package). Copie numérique d’exploitation. Jeux de fichiers compressés et cryptés envoyé aux salles.
- Comment Discrete Cosine Transform (transformation en cosinus discrets). Cette opération constitue la première étape de nombreux procédés de compression vidéo numérique, notamment la compression JPEG, MPEG-2 et MPEG-4. Elle consiste à convertir les blocs de 8 pixels de côté des images pour les retranscrire sous forme de fréquences et d'amplitudes. Les données obtenues ne sont pas forcément réduites. En revanche, une fois traitées, les informations deviennent compressibles. Plus la fréquence augmente, moins les détails de faible amplitude sont visibles. Les coefficients sont progressivement réduits, souvent jusqu'à atteindre une valeur nulle, de manière à correspondre à la taille de fichier requise par image (débit constant) ou au niveau de qualité souhaité. Ce processus de réduction, connu sous le nom de quantification, effectue la compression des données. Pour les applications d'enregistrement magnétique, la taille de fichier est fixe et le procédé de compression doit pouvoir occuper l'espace disponible sans dépasser le seuil limite. Ceci explique pourquoi le taux de compression ne constitue pas en soi une indication suffisante pour déterminer la qualité de l'image. La transformation DCT intervient au sein d'une image et constitue par conséquent une compression intra-image (image I). Ce type d'opération s'inscrit dans le procédé de compression le plus utilisé à l'heure actuelle dans le secteur télévisuel.
- Comment Le débit et la quantité de données transmisses durant un espace de temps. Généralement exprimé dans le monde IT/Audiovisuel en Mbits/sec ou Mo/sec. / Mega bits par seconde, ou en Méga octets par seconde ( 1Mo = 8Mbits). Largeur/Width pixels x Hauteur pixel x Pixel Byte Size (8bit/10bits/16bits, etc...) x Cadence-Frame rate (24,25,50,etc...) / 1024² = Débit en MB/sec ou Mo/sec MB/sec = Mo/sec / les Mbits/sec sont par contre différents des MB/sec (1MB ou 1Mo est équivalent à 8Mbits)
- Comment Méthode de repérage d'une image particulière d'un groupe, identifiée par le numéro de bord sur un morceau de film. Le décalage d'image + 12 désigne, par exemple, la douzième image à partir de celle repérée par le code de bord.
- Comment Unité de mesure du niveau de volume audio.
- Comment Point de référence du signal vidéo, le point le plus noir de l'image visible.
- Comment Créer des master-clips plus courts à partir du matériel monté et inclus dans la séquence uniquement.
- Comment Démagnétiser (effacer) tout le matériel enregistré sur une bande magnétique vidéo, une bande audio ou l'écran d'un moniteur couleur.
- Comment Dernière image du clip d'un film ou d'un segment de vidéo.
- Comment Liste d'informations relatives à une bobine de film ou à une série de bande vidéo, généralement organisées par ordre chronologique.
- Comment Consigner des informations au sujet du média dans des chutiers au début du processus de montage. Cette opération peut être effectuée de façon automatique ou manuelle.
- Comment Positionnement des têtes vidéo pendant la lecture d'une bande afin de reproduire le meilleur signal possible. Le réglage de la détection de trajectoire se fait sur l’appareil avant l'enregistrement ou la numérisation.
- Comment Perturbation horizontale de l'image au niveau d'un point de montage, généralement causée par des réglages incorrects de la synchronisation dans le système de montage.
- Comment DI (Digital Intermediate, intermédiaire). Le DI représente l’alternative numérique au processus photochimique traditionnel, qui produit les internégatifs de la copie d’exploitation d’un film à l’aide du négatif original de la caméra. Ce processus a toujours exigé de nombreuses étapes d’étalonnage colorimétrique afin d’harmoniser les prises pour la copie d’exploitation finale. Pour cette raison, les multiples atouts du DI font de plus en plus l’unanimité.
Selon le système employé, le DI peut être instantané, interactif et projeté sur grand écran. Il peut aussi inclure du son.
Enfin, il permet de modifier à volonté l’étalonnage de l’internégatif numérique étalonné et monté, avant la copie numérique finale. Ainsi, l’étalonnage peut s’effectuer sur le matériel monté, déjà doté de toutes les prises d’effets. Il est également possible de produire des bobines entièrement étalonnées, au lieu d’appliquer des finitions lors de la fabrication des copies d’exploitation La première étape du traitement DI consiste à numériser la pellicule 35 mm.
Le 2K et l’échantillonnage logarithmique sur 10 bits RVB (4:4:4) utilisés permettent généralement de numériser dans les moindres détails les zones de lumière et d’ombre de la pellicule et ainsi de conserver la netteté et le contraste d’origine. La latitude de contraste offre plus de liberté au moment de réaliser l’étalonnage ultérieur. La numérisation du métrage, qui peut se révéler onéreuse, n’est pas requise pour les prises réalisées avec une caméra numérique. - Comment Lancé en 1993, le Digital Betacam numérique, ou Digibeta, a remplacé les formats Betacam analogiques. Plus économique que le format D1, il assure une bonne qualité audio et vidéo et permet d’enregistrer jusqu’à 124 minutes de données. La vidéo numérique SD 4:2:2 à composantes 720 x 576 ou 720 x 480 est compressée par DCT pour obtenir un débit de données de 90 Mb/s (compression d’environ 2:1) et 4 canaux d’audio 48 kHz PCM non compressé.
- Comment Equipement d'entrée/sortie utilisé pour envoyer des signaux de données ou d'informations depuis et vers un ordinateur de montage.
- Comment Support utilisé pour le stockage des données dans un format reconnu par l'ordinateur.
- Comment Disque de secours d'un système RAID. Ce disque est intégré à une grappe RAID en cas de défaillance d'un disque actif.
- Comment Disque magnétique d'enregistrement des données intégré de façon permanente à une unité de lecture.
- Comment Disquette contenant les fichiers du système d'exploitation. Les informations relatives au système d'exploitation sont indispensables au fonctionnement de l'ordinateur.
- Comment Acronyme de Digital Light Processing, traitement de la lumière numérique. Cette technologie de projection numérique de Texas Instruments Inc. s’appuie sur l’utilisation de micromiroirs numériques (DMD) et s’applique aussi bien à la télévision (HD compris) qu’au cinéma (voir Cinéma DLP ci-dessous). Les puces DMD intègrent une matrice de miroirs microscopiques, orientables de +/- 10 degrés, réfléchissant ou non la lumière de la lampe à travers la lentille du système de projection. Doté d’un temps de réponse d’environ 10 microsecondes, ces miroirs font varier très rapidement la réflexion de la lumière à travers la lentille, créant ainsi des niveaux de gris.
En vidéo, chaque champ est sous-divisé en intervalles temporels (temps de bit). Ainsi, pour de la vidéo 8 bits, ce sont 256 niveaux de gris qui sont produits. Un prétraitement adapté permet de projeter directement des images numérisées. Obtenue par microfabrication, la matrice est créée à partir d’un circuit intégré SRAM CMOS traditionnel.
Pour la vidéo SD, les matrices comportent quelque 442 368 miroirs et 768 x 576 pixels.
Pour les projections HD et D-cinéma, l’utilisation de DMD 1 280 x 1 024 semble la plus répandue. L’opinion partagée est que la qualité obtenue est aussi bonne que celle de la projection analogique. Si toute l’attention se porte sur les puces DMD, il ne faut pas oublier pour autant la technologie qu’elles renferment, notamment le “degamma”, procédé consistant à supprimer la correction gamma du signal afin de s’adapter à la linéarité de l’affichage DMD. Habituellement, une table de conversion LUT (Look Up Table) permet de convertir des plages données de valeurs de signal. - Comment Dolby Digital™:(AC3). Système de codage Dolby pouvant transporter des programmes audio de 1 à 5.1 canaux selon diverses configurations, développé pour la transmission de l’audio chez les consommateurs par une diffusion télévisuelle SD/HD numérique. Contrairement au Dolby E, cette technologie n’est pas adéquate pour des cycles de codages répétés.
- Comment Dolby E™. Système de codage Dolby optimisé pour la distribution d’audio en multicanaux sur deux canaux, à l’intérieur d’infrastructures professionnelles de production. Ce procédé n’entraîne pas de dégradation significative de la qualité audio même après plusieurs cycles de codage.
- Comment Dolby® Surround, Pro Logic™. Technologie de Dolby qui combine quatre canaux audio en un signal codé matricé sur deux canaux audio Lt/Rt, permettant de fournir de l’audio en multicanaux aux téléspectateurs ayant accès uniquement à une distribution stéréo. Des systèmes grand public munis d’un décodeur Pro Logic permettent de restituer les quatre canaux. En tout temps, le signal Lt/Rt peut être écouté comme un signal stéréo conventionnel.
- Comment Données médias créées par enregistrement ou numérisation depuis une source physique. Un échantillon est une unité de données que peut mesurer le dispositif d'enregistrement ou de numérisation. Les applications peuvent lire les données d'échantillon numériques depuis des fichiers sur le disque.
- Comment Données provenant d'une source média. Les données média peuvent être :
1. des données analogiques : images de film, audio de bande Nagra, ou vidéo et audio de bande vidéo.
2. des données numériques : données qui ont été enregistrées ou numérisées sur disque, telles que des données d’images vidéo et des échantillons audio, ou données créées sous forme numérique, telles que des graphiques de titres, des enregistrements sur bande audionumérique ou des images d’animation. - Comment Dossiers contenant des sauvegardes de vos fichiers ou de vos chutiers. A chaque enregistrement du travail ou à chaque sauvegarde automatique par le système, des copies de vos fichiers ou de vos chutiers sont placées dans le dossier Attic, jusqu'à ce que ce dernier atteigne la limite spécifiée. Les copies figurant dans le dossier Attic possèdent l'extension de fichier .bak et un numéro est ajouté à leur nom. Vous pouvez modifier le nombre des fichiers de sauvegarde d'un projet (l'augmenter ou le diminuer) dans la boîte de dialogue Bin Settings.
- Comment Dossier contenant vos projets.
- Comment Dossier contenant les fichiers de prise en charge du protocole HIIP (Host Image Independence Protocol).
- Comment 1. En production vidéo, copie de l'audio ou de la vidéo d'une bande sur une autre.
2. En production cinématographique, remplacement des dialogues sur une piste son. - Comment Solution vedette de montage et d’effets d’Avid Technology pour les résolutions HD et film. Lancée en septembre 2000, elle se fonde sur la fameuse version 4 du code DS (Digital Studio). Entièrement basée sur des composants logiciels, à l’exception des opérations d’E/S, la version d’origine ne disposait pas de l’accélération matérielle.
Désormais, le matériel Nitris DNA comble cette lacune en tirant profit des progrès constants réalisés en matière de vitesse de traitement des processeurs. Le système est pris en charge par la plupart des fabricants de composants et n’est pas dépendant de la résolution. L’importation transparente des fichiers d’effets OMF multicouches à partir de produits tels que Avid Media Composer ou Pro Tools de Digidesign permet d’établir un lien efficace entre les opérations offline et online. - Comment Nom du format de cassette numérique (Digital Tape Format) de Sony offrant une capacité de stockage de données élevée (jusqu’à 200 Go) sur des cartouches d’un demi pouce. Ce format est souvent utilisé pour stocker de la vidéo numérique (HD par exemple) et la mettre à la disposition des clients sur un réseau de post-production.
- Comment DTV (Digital Television), ou télévision numérique, désigne de façon générale les formats numériques SD et HD.
- Comment Copie de deuxième génération de l'original d'une séquence utilisée pour réaliser des copies de distribution ou de prévisualisation supplémentaires, protégeant ainsi l'original d'une utilisation excessive.
- Comment Intervalle de temps (exprimé en heures, minutes et secondes ou en pieds et images) pendant lequel se déroule un effet particulier ou un extrait vidéo ou audio.
- Comment Vidéo numérique transférée via un équipement conforme à la norme IEEE 1394. Cet équipement est parfois appelé FireWire ou i.LINK. Lancé en 1996, le format DV (CEI 61834) définit à la fois le codec (système de compression vidéo) et le format de bande du premier format de bande numérique SD destiné aux utilisations semi-professionnelles et au grand public. Il assure notamment la compression intra-image pour les montages simples, présente une interface IEEE 1394 pour les transferts vers les systèmes de montage non linéaires et offre une meilleure qualité vidéo que les formats analogiques destinés au grand public. DVCPRO et DVCAM constituent des variantes de ce format. Par ailleurs, le HDV doit beaucoup au DV, notamment la bande MiniDV. En revanche, seul le HDV utilise la compression MPEG-2.
- Comment DVC est un format de compression utilisé pour les équipements DV conformes à la norme CEI 61834. Basé sur le format DCT, il garantit une compression spatiale (intra-image) au format 5:1 et permet de rendre les échantillonnages vidéo 8 bits (720 x 480 NTSC 4:1:1 ou 720 x 576 PAL 4:2:0) à un débit de données de 25 Mb/s. La compression DVC s'utilise en DV, DVCAM, Digital8 et DVCPRO (avec PAL 4:1:1). Ses résultats de compression sont particulièrement bons lorsqu'on lui applique simultanément plusieurs quantificateurs. Dans ce cas, il sélectionne systématiquement le débit le plus proche du débit optimal pour l'enregistrement sur bande (25 Mb/s).
- Comment Proposé par Sony, le DVCAM est une variante de la norme DV destinée aux professionnels. Les cassettes et le procédé de compression de ce format sont identiques au DV et au MiniDV. Cependant, comme la bande est 50 pour cent fois plus rapide, les risques d’erreurs et de pertes sont minimisés.
- Comment anasonic a créé la gamme DVCPRO dédiée aux applications professionnelles de la technologie DV d’origine. Également appelé DVCPRO 25, DVCPRO est identique au format DV pour l’enregistrement. Celui-ci s’effectue selon un débit de 25 Mb/s. Ce format présente deux pistes audio de 16 bits et 48 kHz, tandis que la vidéo est échantillonnée selon un rapport de 4:1:1 pour les versions 576/50I et 480/60I. Le DVCPRO présente une structure hiérarchique qui double le débit de données. La version supérieure est DVCPRO 50 : un débit de 50 Mb/s à partir de la bande permet de réduire la compression vidéo, tandis que l’échantillonnage 4:2:2 assure la qualité d’image supérieure requise par les studios de production. Quatre pistes audio de 16 bits/48 kHz sont disponibles.
- Comment Ce format constitue la version HD de la technologie d’enregistrement numérique DVCPRO de Panasonic.
Les formats DV et DVCPRO enregistrent à 25 Mb/s ;
Le format DVCPRO 50 enregistre à 50 Mb/s et le DVCPRO HD à 100 Mb/s.
Tous se basent sur un procédé de compression numérique DCT intra-image DVC et une cassette vidéo DV de 6,35 mm (1/4 pouce). Pour ce qui est du format d’enregistrement, l’échantillonnage vidéo est de 4:2:2/8 bits. Les formats 1080I et 720P sont pris en charge. Ce format présente huit canaux audio 16 bits/48 kHz. En raison du débit d’enregistrement des données, il faut utiliser une compression vidéo considérable pour ramener les données audio et vidéo à environ 1 Gb/s. Le format annoncé par le constructeur est une compression vidéo à 6.7:1.
Les caméscopes DVCPRO HD proposent notamment la fonctionnalité VariCam. Celle-ci permet d’appliquer des fréquences d’image progressives variables, pour le tournage d’images allant de 4 à 60 Hz par incréments d’une image. - Comment Générateur d'effets numériques.
- Comment EBU (European Broadcasting Union). Equivalent de la SMPTE pour l'Europe. Organisation de normalisation des formats du film et de la télévision où seuls les utilisateurs (non les revendeurs) sont consultés.
- Comment Mesure de la valeur d’un signal analogique à intervalles réguliers au cours de l'enregistrement ou de la numérisation. Ces mesures (échantillons) sont utilisées pour construire une représentation numérique du signal.
- Comment Echantillonnage simultané des informations en luminance et en chrominance. Il assure la symétrie du temps relatif de chaque composante et évite toute dérive temporelle. L'échantillonnage de mêmes coordonnées spatiales est le plus courant, mais il existe également un échantillonnage interstitiel générant des échantillons de chrominance entre les échantillons de luminance.
- Comment arrangement employé dans le cadre de la numérisation des films, l’échantillonnage sur 10 bits décrit l’image en 210 ou 1 024 nombres distincts ou niveaux de luminosité sur une échelle logarithmique, par opposition à l’échelle linéaire utilisée en télévision.
Cela permet de souligner une différence essentielle entre le tournage cinéma et télé.
Au cinéma, le négatif permet de saisir autant de détails que possible dans une vaste plage de luminosité comprenant jusqu’à 11 grades différents, soit l’équivalent d’un rapport de contraste supérieur à 2000:1. La caméra peut ainsi filmer des objets en plein soleil ou dans la pénombre. Cela offre plus de liberté au moment de l’étalonnage et du réglage, avant de sélectionner le type de gamme de contraste de la copie d’exploitation qui, malgré ses limitations, doit rendre tout son effet en salle.
En télévision, une représentation exacte des images est toujours disponible. Par conséquent, les réglages et les choix s’effectuent en direct, au cours du tournage. En d’autres termes, les téléspectateurs voient plus ou moins ce que la caméra enregistre. L’image à l’écran est de bonne qualité, même si l’enregistrement ne présente que 8 grades de luminosité, soit un rapport de contraste de 256:1. Ainsi, une image télé et un négatif contiennent des informations très différentes. Si 10 bits (linéaire) sont plus que suffisants pour ajuster en douceur les niveaux de contraste de l’image télé, environ 13 bits (linéaire) sont requis, en revanche, pour le négatif. Toutefois, les plus petites différences de luminosité ne pouvant être détectées que dans les zones sombres, il convient d’attribuer aux zones peu éclairées un plus grand nombre de niveaux numériques. - Comment Procédure d'effets spéciaux dans laquelle le sujet photographié est placé devant un fond bleu ou vert uniformément éclairé.
Une nouvelle image de fond peut être substituée au bleu ou au vert lors du tournage ou de la postproduction, à l'aide de l'incrustation en chrominance.
Le tournage sur écran ou fond bleu permet de découper et d’incruster des objets sur des arrière-plans différents. L’image de fond doit être entièrement bleue et les éléments de premier plan à incruster ne doivent pas contenir de bleu, pour faciliter la dérivation du signal d’incrustation destiné à la découpe des objets. Il est également important de prendre en compte le remplissage couleur des bords des objets.
Par exemple, si l’objet est placé dans une forêt, il sera plus judicieux d’utiliser un fond vert. Grâce aux procédés actuels de correction et de traitement des couleurs, les professionnels disposent d’un plus vaste choix de couleurs et peuvent désormais améliorer les prises médiocres.
Malgré tout, la phase de post-production peut se révéler plus laborieuse. La précision du signal d’incrustation dérivé des prises sur fond bleu dépend de la résolution et de l’exactitude des informations chromatiques. Contrairement aux équipements SD qui, comme le fameux Betacam numérique ou le DVCPRO 50, peuvent enregistrer de la vidéo échantillonnée en 4:2:2 à un taux de compression 2:1 ou 3:1, la plupart des appareils HD proposent une qualité inférieure avec des caméscopes 100-140 Mb/s, où la faible bande passante de chrominance peut limiter l’efficacité de l’incrustation HD. Le HDCAM SR fait figure d’exception. En effet, il permet un échantillonnage à 440 Mb/s sur 10 bits avec un échantillonnage 4:2:2 (voire 4:4:4) et une compression sans perte. - Comment Effet vidéo spécial divisant l'affichage en deux images séparées par une ligne de volet horizontale ou verticale.
- Comment Procédure d'effets spéciaux dans laquelle le sujet photographié est placé devant un fond bleu ou vert uniformément éclairé. Une nouvelle image de fond peut être substituée au bleu ou au vert lors du tournage ou de la postproduction, à l'aide de l'incrustation en chrominance.
- Comment Acronyme de Edit Decision List, liste des décisions de montage. Ce sont les informations qui décrivent comment les plans doivent être montés, par exemple pour passer du offline au online, ou quelles opérations ont eu lieu lors du processus de montage. Conçues avant l’avènement du montage non linéaire, les EDL n’ont pas su s’adapter aux progrès apparus dans le domaine du numérique (générateurs d’effets vidéo, incrustation, correction des couleurs, etc.). Pourtant, leur utilisation en tant que méthode de communication des principales décisions de montage (coupures, fondus, effets de volet, ralentis, etc.) n’a pas connu le déclin prévisible. Les formats les plus usités sont le CMX 3400 et le CMX 3600. Plus récemment, de nouvelles initiatives (AAF et OMF) ont répondu aux besoins actuels de la production. Par exemple, la norme OMF permet le transfert de toutes les données décisionnelles entre les opérations offline et online.
- Comment Equilibrage des diverses fréquences d'un son pour le rendre harmonieux, en atténuant ou en accentuant des fréquences spécifiques.
- Comment Association des industries de l'électronique (Electronic Industries Association) aux Etats-Unis. La plus grande organisation commerciale couvrant les domaines de la télévision et de l'audio. EIA publie un très vaste catalogue de normes ; les normes les plus importantes pour les industries de la télévision et de l'audio étant celles développées par son service de pièces détachées et son Consumer Electronics Group.
- Comment Pour supprimer des images sélectionnées d'une séquence en laissant du noir ou du silence à leur place.
- Comment Forme courante d'enregistrement magnétique au cours duquel le signal de l'onde enregistré conserve la forme du signal de l'onde originale. Toutes les séquences sur bande vidéo sont analogiques. Lors de l'enregistrement ou de la numérisation (par transfert télécinéma), la vidéo est convertie du format analogique au format numérique.
- Comment Enregistrement immédiat de toutes les pistes audio, vidéo, timecode et de contrôle sur un appareil d'enregistrement magnétique. L'enregistrement brut crée des ruptures dans le timecode ou la piste de contrôle existant sur la bande, il est par conséquent souvent réalisé sur une bande vierge lorsqu'un montage n'est pas nécessaire ou en cas d'urgence.
- Comment Enregistrement de plusieurs prises de dialogue ou d'effets sonores.
- Comment Processus automatisé d'enregistrement sur disque (enregistrement numérique) de groupes de clips, de séquences, ou les deux.
- Comment Méthode d'enregistrement au cours de laquelle le signal enregistré est codé sur la bande sous forme d'impulsions, puis décodé lors de la lecture.
- Comment Convertir un signal audio et vidéo analogique en signal numérique.
- Comment Méthode d'organisation des lignes de balayage des images sous forme de deux trames (ou plus) entrelacées par image. La plupart des télévisions utilisent un entrelacement à 2:1 : les trames de lignes impaires (1, 3, 5, etc.) sont suivies de trames de lignes paires (2, 4, 6, etc.), ce qui permet de doubler la fréquence de rafraîchissement vertical. En effet, le nombre de trames entrelacées correspond au double du nombre d'images entières. Cette méthode garantit une meilleure interprétation du mouvement et une limitation du phénomène de scintillement sans augmenter le nombre d'images entières ni la fréquence de bande passante du signal. L'inconvénient de ce type d'organisation se situe toutefois au niveau de la résolution verticale et du traitement de l'image.
- Comment Entrelacé ou progressif: il s'agit là de deux modes de balayage de l'écran du tube à rayons cathodiques utilisé pour l'affichage de l'image. Dans un cas (le progressif), chaque image est reconstituée au moyen d'un spot décrivant une suite simple de lignes, qui commence en haut et à gauche de l'écran pour s'achever en bas et à droite avant de revenir, évidemment, à son point de départ. Il n'y a pas d'impératif sur la parité du nombre de lignes (ce nombre peut être choisi pair ou impair) Dans l'autre (l'entrelacé), le spot descend deux fois plus vite et le nombre de lignes constituant l'image doit être impair. Une première trame débute encore en haut et à gauche de l'écran mais pour s'achever, cette fois, en bas et au milieu tandis que pour la suivante, le spot repart du même milieu mais en haut de l'écran pour terminer son parcours, cette fois, en bas et à droite. Deux petits dessins (animés) pour mieux comprendre ? Progressif: Entrelacé: Pour ces deux exemples, l'image est composée d'un nombre identique de lignes et affichée un nombre égal de fois par seconde. La quantité d'informations à transmettre est donc la même. En tenant compte de la rémanence de l'écran, on peut constater que l'affichage entrelacé atténue la perception de défilement sur l'écran. Tous les systèmes de télévision analogique actuels pratiquent le balayage entrelacé de l'image, pour des raisons de compromis technico-économique concernant l'acheminement hertzien (dit plus simplement: pour réduire autant que possible l'occupation des bandes de fréquences ) L'affichage sur écran informatique, par contre, est progressif.
- Comment Tirages ou transferts vidéo de matériel filmique récemment tourné, préparé rapidement afin que l'équipe de production puisse visualiser et évaluer le tournage de la veille avant de poursuivre. Egalement appelées rushes, notamment au Royaume-Uni.
- Comment Ajustement des niveaux relatifs des signaux de couleurs, afin de produire une image ou un effet de la meilleure qualité possible.
- Comment Variation affectant la relation stable existant entre les informations de l'image, les informations de couleurs et l'impulsion de synchronisation vidéo au cours du processus de lecture par le magnétoscope.
- Comment Espace couvert par un système colorimétrique. Exemples : RVB, YCrCb, TSL (Teinte, Saturation et Luminance) pour la vidéo, CMJN pour l'impression et XYZ pour le cinéma. Un nouvel espace colorimétrique peut s'avérer nécessaire lorsque vous changez de média, de plate-forme ou l'applications. Opérez avec précaution, car tout changement suppose un traitement d'image complexe. Notez également que des changements répétés risquent de provoquer une dérive des couleurs. Par ailleurs, sachez qu'après avoir converti un espace YCrCb en RVB, ce dernier nécessitera davantage de bits pour maintenir le niveau de la plage dynamique. Par exemple, si l'affichage vidéo d'un espace colorimétrique YcrCb est de 8 bits par composante, celui de l'espace colorimétrique RVB après conversion devra être de 10 bits.
- Comment Espacement entre les caractères de texte tels que les titres.
- Comment En télévision, désigne le matériel essentiel qui apparaît sur l’écran et sort des hauts-parleurs, vidéo, audio et texte. Il s’agit des éléments enregistrés qui peuvent être incorporés par montage, mixage ou composition d’effets au produit fini (contenu).
- Comment L’étalonnage colorimétrique, également appelé correction colorimétrique, consiste à régler la couleur d’un plan enregistré. Cette opération impliquant des ajustements d’une extrême précision requiert des compétences très poussées. Il n’est généralement pas nécessaire d’étalonner les prises enregistrées en télévision, car toutes les caméras du programme télé sont harmonisées.
Cependant, si le tournage a lieu sur plusieurs jours avec des caméras isolées ou si le montage implique le mélange de plusieurs sources, l’étalonnage permet de donner la même apparence de couleurs aux différentes prises. L’étalonnage primaire est appliqué à l’ensemble de l’image. L’étalonnage secondaire permet d’ajuster la couleur d’une zone spécifique de l’image, telle qu’un objet, ou d’affecter une gamme de couleurs précise (modifier le vert des feuilles en nuances automnales pour changer la saison, par exemple). La définition de la zone à modifier implique une incrustation. - Comment Procédure de sélection des valeurs de la couleur et de la densité d'un film avant son tirage.
- Comment Numéro affecté par le système de montage à chaque montage réalisé. L'événement définit une action ou une séquence d'actions réalisée par l'ordinateur en un seul passage sur la bande d'enregistrement dans la plupart des systèmes de montage informatisés.
- Comment Augmentation de la capacité d'un système RAID sans reconfiguration complète du système.
- Comment L'utilisation du balayage entrelacé (par opposition au balayage progressif) n'entraîne aucune répercussion au niveau de la résolution des images fixes. Toutefois, si l'un des éléments de l'image subit un quelconque déplacement, le facteur d'entrelacement entraîne une diminution de la résolution, qui peut alors atteindre une valeur inférieure ou égale à 0,7. Cette diminution est liée au décalage temporel entre les deux trames entrelacées. Lors du mouvement, les détails apparaissent en dents de scie, ligne par ligne, et il en résulte un léger lissage global de la résolution verticale.
- Comment Basculement d'une machine vers une autre en cas de défaillance, applicable aux clusters de serveur comme aux contrôleurs RAID redondants.
- Comment File Allocation Table (table d'affectation des fichiers). Système de fichiers utilisé sur les ordinateurs MS-DOS et Windows.
- Comment Il peut arriver qu'après un montage particulièrement long et complexe, certaines bribes de données vidéo ne soient accidentellement pas retirées de la séquence. En effet, lorsque la timeline est agrandie à 100 pour cent, ces données ne sont pas visibles. Un monteur peut localiser ces données à l'aide de la commande Find Flash Frame.
- Comment Federal Communications Commission. Conseil d'administration américain de la radio et de la télévision.
- Comment Bruit ou grincement aigu provoqué lorsque le son d'un haut-parleur est capté par un microphone situé à proximité et réamplifié. Egalement causé par le retour dans le circuit d'enregistrement du son en sortie d'un magnétophone.
- Comment Fenêtre répertoriant les informations système actuelles et les fonctions effectuées récemment. Elle contient également des informations au sujet d'éléments particuliers du montage, tels que les prises de vue de la séquence ou les clips sélectionnés dans les chutiers.
- Comment Fenêtre auxiliaire servant à visualiser et à marquer les clips et les séquences.
- Comment Le standard Fibre Channel définit une interface de transmission de données à haute vitesse qui peut être utilisée pour connecter des stations de travail, des ordinateurs, des mémoires de masse et de systèmes de visualisation. Le standard s'applique au transfert à haute vitesse d'un volume important d'informations. Il décharge les concepteurs de systèmes de l'utilisation de canaux et réseaux en les remplaçant par un seul protocole permettant la connexion d'ordinateurs entre eux (réseau) et la connexion de périphériques aux ordinateurs (canaux). Les ports Fibre Channel (FC) peuvent être reliés en point à point, en boucle ou en commutateur. Dans une connexion point à point les ports sont appelés N_Port. Dans une connexion en boucle on les nommes NL_Port. Un commutateur ou switch est appelé Tissus ou Fabric, les ports qui y sont connectés sont appelés F_Ports. On peut utiliser soit des supports optiques soit des supports électriques à une vitesse de 133 Mb/s à 4,4 Gb/s sur une distance allant jusqu'à 10 Km Fibre Channel permet de transporter de nombreux protocoles comme le trafic IP et SCSI.
- Comment Fichiers contenant les données audio et vidéo numériques comprimées nécessaires à la lecture des clips et des séquences Avid.
- Comment Pellicule de film vierge perforée sur les deux bords.
- Comment Pellicule de film vierge perforée sur un seul bord.
- Comment La perforation triple s'effectue via une fenêtre d'exposition modifiée qui permet de créer un format d'image de trois perforations de haut au lieu des quatre perforations habituelles. Le rouleau de film dure donc 25 % plus longtemps. Le format à trois perforations convient particulièrement aux programmes filmés par plusieurs caméras car les 25 % de négatif vierge supplémentaire sont comme une caméra additionnelle.
- Comment Affichage des clips répondant à des critères bien définis dans un chutier.
- Comment Le bus IEEE 1394 suit à peu près la même structure que le bus USB, si ce n’est qu’il utilise un câble composé de six fils (deux paires pour les données et pour l’horloge, et deux fils pour l’alimentation électrique) lui permettant d’obtenir un débit de 800 Mb/s (il devrait atteindre prochainement 1.6 Gb/s, voire 3.2 Gb/s dans le futur).
Ainsi, les deux fils dédiés à une horloge montrent la différence majeure qui existe entre le bus USB et le bus IEEE 1394, c'est-à-dire la possibilité de fonctionner selon deux modes de transfert :
1. le mode de transfert asynchrone : le mode de transfert asynchrone est basé sur une transmission de paquets à intervalles de temps variables. Cela signifie que l’hôte envoie un paquet de données et attend de recevoir un accusé de réception du périphérique. Si l’hôte reçoit un accusé de réception, il envoie le paquet de données suivant, sinon le paquet est à nouveau réexpédié au bout d'un temps d’attente.
2. le mode isochrone : le mode de transfert isochrone permet l’envoi de paquets de données de taille fixe à intervalle de temps régulier. Un noeud, appelé Cycle Master est chargé d'envoyer un paquet de synchronisation toutes les 125 microsecondes. Les échanges étant simplifiés, les vitesses de transfert sont plus élevées. - Comment Fire Wire ou IEEE 1394
- Comment Il s'agit des sons figurant en arrière-plan ajoutés lors de l'adoucissement de l'audio afin d'accroître le réalisme.
- Comment 1. Transition vidéo ou audio dans laquelle l'image d'une source devient de moins en moins nette au fur et à mesure que l'image d'une seconde source la remplace. Un fondu audio est également appelé une transition musicale.
2. Fondu réalisé à partir d'une vidéo couleur jusqu'au noir intégral ou à partir d'un son intégral jusqu'à son absence totale, ou vice versa. - Comment Transition audio dans laquelle le son sortant devient progressivement moins audible tandis que le son entrant l'est de plus en plus.
- Comment Méthode de montage simultané de deux scènes l'une à la suite de l'autre ; également appelée une coupe.
- Comment Transition sous forme de volet entre sources vidéo, dans laquelle une marge ou bordure se déplace en travers de l'écran, effaçant l'image d'une scène pour la remplacer par une autre.
- Comment Rapport numérique entre la largeur d'affichage d'une zone et sa hauteur. Dans le domaine de la vidéo et de la télévision, le rapport largeur/hauteur standard est 4:3, lequel peut être réduit à 1,33:1 ou simplement 1,33. Le rapport largeur/hauteur du format vidéo HDTV est 16:9. Pour les films, les rapports largeur/hauteur incluent : 1,33:1, 1,85:1 et 2,35:1.
- Comment Rapport largeur/hauteur d'une image. Les images HD utilisent un format d'affichage 16:9, également exprimé sous la forme 1,77:1, permettant d'augmenter d'un tiers le format télévisuel 4:3 (1,33:1). Il est supposé produire des images plus spectaculaires, avec un champ visuel plus large qui permet d'attirer davantage l'attention du téléspectateur. Le format d'affichage d'une image exprimé en pixels représente le rapport largeur/hauteur d'un pixel. Comme la plupart des applications informatiques, la haute définition utilise des pixels carrés, contrairement au SD. La diffusion en SD d'images au format 4:3 et 16:9 (écrans larges) s'avère plus complexe, puisque le nombre de lignes et de pixels des écrans SD reste le même. Veillez donc ne pas altérer les formes de l'image en modifiant avec prudence le format d'affichage en pixels lors du passage d'un système à un autre. Les deux formats (4:3 et 16:9) étant utilisés pour l'image et pour l'affichage, faites preuve de discernement au moment d'associer l'image avec l'écran. Les images HD, et de plus en plus d'images SD, sont tournées en 16:9 alors que la plupart des écrans SD possèdent encore un format d'affichage 4:3. Ces écrans étant encore très répandus, il est donc recommandé d'afficher vos productions HD au format 4:3 letterbox, c'est-à-dire, de centrer l'image au format 4:3.
- Comment Format de bande vidéo créé par Panasonic pour concurrencer le Betacam de Sony. MII est une extension du format grand public VHS qui, tout comme Sony Betacam, est une extension de la technologie vidéo Betamax destinée au grand public.
- Comment Le format 1080/24P est parfois désigné sous l'appellation « format universel » pour la télévision. En effet, il peut être converti dans tous les autres formats et sa conversion produit des résultats de haute qualité dans tous les cas.
- Comment Le format 1080/24P est parfois désigné sous l'appellation « format universel » pour la télévision. En effet, il peut être converti dans tous les autres formats et sa conversion produit des résultats de haute qualité dans tous les cas.
- Comment 1. (Vidéo) Affichage graphique représentant le motif électronique du signal vidéo. Il est utilisé pour régler le décollement du niveau de noir et le gain à l'aide d'une référence stable, telle que les barres couleur. La forme d'onde Avid utilise un affichage à ligne unique.
2. (Audio) Représentation visuelle des variations de fréquence. - Comment Fréquence des unités d'échantillons.
- Comment 1. Mesure de la quantité de blanc d'une image vidéo.
2. Niveaux ou volumes audio. - Comment Mesure de la valeur centrale dans la plage de luminance d'une image. La valeur gamma permet de contrôler les proportions des zones claires et foncées d'une image au cours du réglage des couleurs.
Appelé également point gris, le gamma décrit la différence entre la courbe de transfert de luminosité des périphériques de source vidéo, tels que les capteurs CCD des caméras, et la réponse des périphériques d’affichage, généralement les tubes cathodiques.
La correction gamma est habituellement appliquée aux signaux R, V et B de la vidéo source dans le cadre du traitement interne des caméras. Elle est nécessaire pour rendre le signal vidéo imperméable au bruit atmosphérique lors des transmissions analogiques “en liaison aérienne par onde”.
En outre, l’utilisation plus récente de nouveaux systèmes d’affichage, tels que les écrans plasma, LCD et DLP, dotés de technologies et gammas très différents, exige également ce type de correction pour satisfaire leur caractéristiques de transfert. Par exemple, la technologie DLP se base sur les DMD, périphériques constitués de millions de micro miroirs à modulation temporelle. La quantité de lumière qu’ils réfléchissent sur l’écran est fonction de la durée de service en activité.
Ainsi, les systèmes DLP programment le gamma d’affichage pour tout niveau de luminance donné en réglant la durée d’exposition à partir d’une table de conversion (LUT). Les composants ou couleurs corrigés sont accompagnés d’une prime, par exemple : R´, G´, B´ et Y´, Cr´, Cb´. La plupart des entrées de ce glossaire se référant au signal corrigé en gamma, les primes n’ont pas été incluses pour faciliter la lecture. - Comment Effet vidéo permettant d'immobiliser l'action en cours. Les gels d’images peuvent être créés au moment de l'enregistrement, de la numérisation ou au cours de la session de montage. Les compositions peuvent générer cet effet en utilisant un objet de répétition de piste, pouvant spécifier l'affichage d'une image unique pour une période donnée.
- Comment Dispositif électronique ou combinaison de périphériques informatique et logiciel, produisant des lettres et des nombres pouvant être superposés comme titres sur la source vidéo.
- Comment Appareil électronique émettant un signal indiqué comme noir pur lorsqu'il est enregistré sur bande vidéo.
- Comment Nombre d'enregistrement des données. Les données originales enregistrées sur bande sont dites de première génération. Une copie de cet original représente une bande de deuxième génération et ainsi de suite. Chaque génération révèle des signes de détérioration progressive de la qualité de l'image. Avec les copies numériques, la qualité n'est pas affectée ou très peu.
- Comment Group Of Pictures (Groupe d'images) est un terme utilisé notamment dans la compression vidéo MPEG-2 et MPEG- 4. Il correspond au nombre d'images intercalées entre deux images I intégrales : les images intermédiaires sont des images prédictives (de type B et P).
Le « GOP long » désigne en principe le codage MPEG-2 et 4. Pour la transmission, le GOP atteint souvent une demi-seconde, 13 ou 15 images (25 ou 30 images par seconde), ce qui permet d'obtenir le taux de compression requis. Le montage MPEG avec GOP long constitue une opération délicate, dans la mesure où la précision dépend de la longueur du GOP. Pour contourner le problème, les images doivent être retraitées, généralement à l'aide d'un décodeur.
Le format HDV utilise la compression MPEG-2 avec un GOP de 6 images (format HDV1 ) ou de 15 images (format HDV2) permettant un montage basé sur des intervalles de 1/4 ou 1/2 seconde.
Un GOP de 1 correspond à une vidéo « image I uniquement » modifiable à chaque image sans nécessité de traitement supplémentaire.
Les applications studio de la compression MPEG-2 utilisent des GOP extrêmement réduits, de l'ordre de 2 pour le Betacam SX et de 1 pour l’IMX (image I uniquement, sans image prédictive), ce qui permet de simplifier le montage au niveau de chaque image. D'autres formats comme les DV, DVCPRO HD, HDCAM ou D5-HD n'utilisent pas la compression MPEG mais se basent également sur un découpage en image I uniquement. - Comment Gros plan.
- Comment Graphe X, Y représentant les valeurs des couleurs d'entrée sur l'axe horizontal et les valeurs des couleurs de sortie sur l'axe vertical. Il permet de changer la relation entre les valeurs des couleurs d'entrée et de sortie à partir de l'outil de correction des couleurs.
- Comment Alternative à la double boucle Fibre Channel, cette technologie repose sur une topologie réseau en maillage, avec des commutateurs de taille réduite et des modules, ou lames, de stockage qui intègrent non seulement des disques, mais aussi un micro-ordinateur avec des connexions réseau. • Chaque lame possède ainsi un premier niveau de gestion de fichiers et peut communiquer avec l’ensemble. Les données ne transitent plus par deux commutateurs centraux redondants et une multitude de chemins sont envisageables. Le système est organisé pour qu’il y ait systématiquement plusieurs accès aux données, actifs simultanément, garantissant ainsi l’existence d’un chemin en cas de défaillance matérielle - réseau ou stockage – et ce, sans reconfiguration du système. Grâce à l’intelligence embarquée dans les lames, le système s’auto régule en permanence, équilibrant la charge pour optimiser les performances, et les maintenir en cas de défaillance. • Autre atout, cette architecture est facile à déployer et ne connaît pas de limite théorique : les nouveaux éléments de stockage s’intègrent au fur et à mesure dans le maillage réseau, et les données sont automatiquement redistribuées sur l’ensemble sans interruption du système A chaque ajout, les performances sont améliorées.
- Comment Graphical user interface (Interface utilisateur graphique). Image graphique affichée à l'écran et contenant la représentation des boutons, des glissières et des cadrans servant à contrôler le processus de montage.
- - Le format HD-DVD du DVD Forum
- Le format Blu-ray Disc de la Blu-Ray Disc Association (BDA) H.264 qui utilise les toutes dernières innovations de la technologie de compression vidéo pour fournir une incroyable qualité vidéo à partir d'un nombre minimum de données. Ceci signifie que vous pouvez véhiculer de la vidéo d'une netteté parfaite dans des fichiers de beaucoup plus petite taille, ce qui permet d'économiser de la bande passante et de réduire les coûts de stockage par rapport aux anciennes générations de codecs vidéo.
H.264 fournit la même qualité que le MPEG-2 pour un débit de données inférieur d'un tiers ou de moitié, tout en fournissant une résolution jusqu'à quatre fois supérieure à celle de la norme MPEG-4 Part 2 pour un débit de données identique. H.264 fait preuve de la meilleure efficacité en matière de compression pour un large éventail d'applications : diffusion, DVD, visioconférence, vidéo à la demande, streaming ou messagerie multimédia. Fidèle à sa conception avancée, H.264 fournit une excellent qualité dans différents formats, de la 3G à la HD, entre autres. Que vous ayez besoin de contenus vidéo de haute qualité pour votre téléphone mobile, iChat, Internet, une diffusion ou une transmission par satellite, H.264 fournit des performances exceptionnelles à des débits de données extrêmement faibles. L'incroyable efficacité du codec H.264 fait entrer davantage d'utilisateurs dans l'ère de la haute définition, vous permettant de profiter de la qualité HD sur les ordinateurs actuels. Avec H.264, un Apple Cinema HD Display et un Power Mac G5 biprocesseur, vous pouvez transformer votre bureau en véritable salle de cinéma personnelle et profiter d'images comme vous n'en avez jamais vues. Déjà reconnu comme faisant partie intégrante de la norme MPEG-4 Part 10 et du tout dernier standard de visioconférence d'ITU-T, H.264 est désormais obligatoire pour les spécifications HD-DVD et Blu-ray (les deux formats des DVD haute définition) et homologué dans les dernières versions des normes DVB (Digital Video Broadcasters) et 3GPP (3rd Generation Partnership Project). De nombreuses sociétés de diffusion, de câble, de visioconférence et d'électronique grand public considèrent H.264 comme le codec de référence pour leurs nouveaux produits et services. Cette adoption par une grande variété de standards ouverts signifie que n'importe quelle société au monde peut créer des périphériques (téléphones mobiles, décodeurs, lecteurs DVD, etc.) qui fonctionneront sans encombre avec QuickTime 7. "data-ajax="false">Comment H.264 (ou MPEG-4 AVC) est une norme de codage video développée conjointement par l'UIT-T Q.6/SG16 Video Coding Experts Group (VCEG) ainsi que l'ISO/CEI Moving Picture Experts Group (MPEG) et est le produit d'un effort de partenariat connu sous le nom Joint Video Team (JVT).
La norme UIT-T H.264 et la norme ISO/CEI MPEG-4 Part 10 (ISO/CEI 14496-10) sont techniquement identiques, et la technologie employée est aussi connue sous le nom AVC (Advanced Video Coding). Dans le cadre de MPEG, le nom AVC a été choisi par analogie avec le codec audio AAC MPEG-2 part 7 qui avait été nommé ainsi pour le différencier du codec audio MPEG-2 part 3. La norme est habituellement appelé H.264/AVC (ou AVC/H.264 ou H.264/MPEG-4 AVC ou MPEG-4/H.264 AVC) pour souligner l'héritage commun.
Le nom H.26L, rappelant son lien avec l'UIT-T est nettement moins commun mais toujours utilisé. De temps en temps, il est aussi appelé « le codec JVT », en référence à l'organisation JVT qui l'a développé. Il existe un précédent dans l'élaboration d'une norme de codage vidéo commune entre MPEG et l'UIT-T avec MPEG-2 et H.262 qui sont identiques. Cependant, ce codec a été développé dans le cadre de MPEG, l'UIT-T se contentant de l'adopter ensuite et de l'éditer en son sein.
Les deux principaux candidats à la prochaine génération de format de DVD HD, incluent le "H.264/AVC High Profile" en tant que caractéristique obligatoire des lecteurs avec notamment :
- Le format HD-DVD du DVD Forum
- Le format Blu-ray Disc de la Blu-Ray Disc Association (BDA) H.264 qui utilise les toutes dernières innovations de la technologie de compression vidéo pour fournir une incroyable qualité vidéo à partir d'un nombre minimum de données. Ceci signifie que vous pouvez véhiculer de la vidéo d'une netteté parfaite dans des fichiers de beaucoup plus petite taille, ce qui permet d'économiser de la bande passante et de réduire les coûts de stockage par rapport aux anciennes générations de codecs vidéo.
H.264 fournit la même qualité que le MPEG-2 pour un débit de données inférieur d'un tiers ou de moitié, tout en fournissant une résolution jusqu'à quatre fois supérieure à celle de la norme MPEG-4 Part 2 pour un débit de données identique. H.264 fait preuve de la meilleure efficacité en matière de compression pour un large éventail d'applications : diffusion, DVD, visioconférence, vidéo à la demande, streaming ou messagerie multimédia. Fidèle à sa conception avancée, H.264 fournit une excellent qualité dans différents formats, de la 3G à la HD, entre autres. Que vous ayez besoin de contenus vidéo de haute qualité pour votre téléphone mobile, iChat, Internet, une diffusion ou une transmission par satellite, H.264 fournit des performances exceptionnelles à des débits de données extrêmement faibles. L'incroyable efficacité du codec H.264 fait entrer davantage d'utilisateurs dans l'ère de la haute définition, vous permettant de profiter de la qualité HD sur les ordinateurs actuels. Avec H.264, un Apple Cinema HD Display et un Power Mac G5 biprocesseur, vous pouvez transformer votre bureau en véritable salle de cinéma personnelle et profiter d'images comme vous n'en avez jamais vues. Déjà reconnu comme faisant partie intégrante de la norme MPEG-4 Part 10 et du tout dernier standard de visioconférence d'ITU-T, H.264 est désormais obligatoire pour les spécifications HD-DVD et Blu-ray (les deux formats des DVD haute définition) et homologué dans les dernières versions des normes DVB (Digital Video Broadcasters) et 3GPP (3rd Generation Partnership Project). De nombreuses sociétés de diffusion, de câble, de visioconférence et d'électronique grand public considèrent H.264 comme le codec de référence pour leurs nouveaux produits et services. Cette adoption par une grande variété de standards ouverts signifie que n'importe quelle société au monde peut créer des périphériques (téléphones mobiles, décodeurs, lecteurs DVD, etc.) qui fonctionneront sans encombre avec QuickTime 7. - Comment Se dit d'un système ayant un maximum de composant redondant.
- Comment Télévision Haute Définition. Selon la définition publiée aux Etats-Unis par l'ATSC (Advanced Television Systems Committee) et d'autres organismes, l'appellation HD désigne tout format télévisuel possédant une résolution horizontale et verticale environ deux fois supérieure à celle de la télévision classique (format NTSC analogique, 486 lignes visibles), un rapport hauteur/largeur 16:9 et une fréquence d'images supérieure ou égale à 24 images par seconde.
Dans la pratique, cette définition s'avère moins stricte. En effet, l'appellation HD s'utilise également pour désigner le format 720 lignes x 1 280 pixels par ligne à balayage progressif. La meilleure résolution verticale obtenue avec le balayage progressif justifie en partie l'appellation HD de ce format.
Outre les considérations liées au format, la distinction entre télévision HD et SD se situe également au niveau du système colorimétrique. Fait assez rare pour être signalé, la norme établie en la matière est acceptée par l'ensemble des organismes au niveau international. Le format d'image 1 080 x 1 920 utilisé en HD se rapproche de la résolution 2K utilisée pour l'élaboration des films. On observe dès lors une réduction de la frontière entre télévision et cinéma. Cette frontière se réduit d'autant plus si l'on utilise une fenêtre 16:9 de la résolution 2K : la différence de taille devient alors à peine perceptible.
De manière générale, tout format affichant au minimum une définition supérieure ou égale à deux fois celle de la SD sur les axes H et V peut être qualifié de haute définition. Suite au débat sur les formats disponibles pour les futurs producteurs et stations de télévision HD, la reconnaissance du format vidéo 1080-HD à fréquence d'images variable en tant que format vidéo standard par l'UIT a permis de clarifier la situation. Les stations de télévision bénéficient d'une certaine latitude quant au choix du format. Si nécessaire, la conversion du format vidéo standard doit néanmoins pouvoir s'effectuer de manière systématique et produire un résultat de haute qualité.
Après de nombreux essais, tests, consortiums sans aboutissement d'une norme uniformément ratifiée, Sony décide de sortir et imposer le format HDCam en 1997. Son atout majeur réside dans la conception d'un caméscope donnant ainsi de la portabilité à la Haute Définition : jusqu'alors, le signal devait être enregistré sur un ou plusieurs magnétoscopes séparés de la caméra. Pour exemple, la chaîne Japonaise NHK, pionnière de la Haute Définition, devait utiliser en France pour son bureau local, deux magnétoscopes D1 en parallèle ; le premier enregistrait la trame du haut, le second, celle du bas ! Il a été à l'origine développé pour le tournage de Star Wars : épisode II - L'Attaque des clones à la demande de George Lucas puis utilisé pour le tournage de film tels que Vidocq. Son grand frère, de plus en plus utilisé au cinéma est le HDCam SR, laissant ainsi son cadet à la vidéo. - Comment En règle générale, la télévision utilise la vidéo à composantes 4:2:2 (Y,Cr,Cb). Le RVB 4:4:4 permet d’obtenir une qualité légèrement supérieure. De nombreuses caméras cinéma numériques offrent ce format de sortie adapté à l’échantillonnage aussi bien linéaire que logarithmique. La taille d’image HDTV 1 080 x 1 920 est proche de celle projetée en 2K. On peut donc considérer le HD RVB comme un croisement entre un format télé et cinéma, qui d’une part, tire profit des équipements TV rapides et économiques et d’autre part, garantit une qualité à la hauteur de la projection analogique (celluloïde).
- Comment Proposé par Sony, c’est la version caméscope HD du fameux Betacam numérique. Apparu en 1997 à des prix quasi équivalents à ceux du DigiBeta, il s’imposa alors comme format haute définition le plus abordable du marché. Depuis, la gamme s’est étendue et certains produits sont proposés à des prix encore plus compétitifs. Le HDCAM définit un format d’enregistrement sur bande ? pouce. Il existe par ailleurs toute une gamme de lecteurs et enregistreurs de studio, ainsi que des options pour la conversion en SD.
Dans le caméscope, la partie caméra comprend des capteurs CCD de 2,1 millions de pixels et 2/3 pouce pour la capture d’images 1 080 x 1 920. Compatibles avec les produits Betacam numérique et les lentilles HD acceptées, ses lentilles permettent d’obtenir des images d’une qualité exceptionnelle. L’enregistreur permet d’enregistrer jusqu’à 40 minutes sur une petite cassette. Ainsi, l’outil est adapté à des données issues de diverspour une grande variété de programmes, notamment les tournages en extérieur. Une procédure, comprenant notamment la compression intraimage 4.4:1, permet de ramener le débit de données vidéo de bande de base à 140 Mb/s. Le format prend en charge quatre canaux d’audio AES/EBU et la fréquence d’enregistrement globale sur bande est de 185 Mb/s. Le HDCAM échantillonne efficacement la vidéo selon un rapport de 3:1:1 et une résolution horizontale souséchantillonnée à 1 440 pixels.
Il répond aux besoins de la haute définition, mais il n’est pas fait pour être utilisé avec la technologie Blue Screen. La norme HDCAM prend en charge les formats vidéo de 1 080 x 1 920 pixels à une cadence de 24, 25 et 30 images/s pour les images progressives et 50 et 60 Hz pour les images entrelacées. Les vidéos tournées au format 24P peuvent être visualisées dans des environnements 50 Hz ou 60 Hz. En outre, la lecture vidéo à différentes fréquences d’image permet d’accélérer et de ralentir l’action. - Comment Le HDCAM SR permet d’enregistrer des vidéos RVB 4:4:4 ainsi que des vidéos HD 4:2:2 à composantes selon un débit de données net de 440 Mb/s.
Ce format emploie une légère compression MPEG-4 Studio Profile (ISO/CEI 14496- 2:2001-1) garantie « sans perte visuelle ». Les données sont enregistrées sur des cassettes 1/2 pouce.
Studio Profile répond aux besoins de la haute résolution. Utilisant exclusivement des images I, il présente des facilités incroyables pour le montage. Adaptez-le à vos besoins en choisissant le nombre de pixels (SD ou HD), la résolution (10 bits ou 12 bits) et la résolution couleur (à composantes ou RVB).
Il est idéal pour le montage et l’enregistrement HD haut de gamme, ainsi qu’en tant que format de masterisation pour l’échantillonnage.
Aujourd’hui, le HDCAM SR constitue sans doute le système d’enregistrement HD sur bande de la plus haute qualité. Les enregistreurs à débit supérieur requièrent normalement l’utilisation de disques durs ou de mémoire flash. Outre le mode SQ (à 440 Mb/s), le HDCAM SR propose le mode HQ pour des enregistrements à 880 Mb/s, ce qui permet d’appliquer une compression RVB 4:4:4 plus faible ou sur deux canaux 4:2:2. - Comment High Definition Television (Télévision haute définition). Image vidéo numérique dont la résolution est au moins deux fois celle des systèmes NTSC ou PAL. Le rapport largeur/hauteur HDTV est 16:9 (le rapport largeur/hauteur Analog TV est 4:3).
- Comment Le HDV (High Definition Video) est le premier format vidéo haute définition (par opposition à la vidéo simple définition telle celle de la télévision) pour camescopes grand public. Le format HDV a été créé par quatre compagnies : Canon Inc., Sharp Corporation, Sony Corporation, et Victor Company of Japan, Limited (JVC). Ce partenariat date de Septembre 2003. Ces compagnies ont été rejoint depuis par d'autres telles que Apple ou Pinnacle.
Le HDV constitue un système économique de tournage et d’enregistrement HD. Il définit les formats vidéo, un procédé de compression et utilise l’enregistrement DV ainsi que les cassettes DV classiques ou MiniDV. Le HDV est disponible aux normes HDV1 et HDV2.
Cependant, contrairement au DV, celles-ci utilisent la compression MPEG-2 avec un GOP long pour réduire la vidéo HD aux dimensions au même débit que le DV. Les deux normes appliquent l’échantillonnage couleur 4:2:0/8 bits. Les deux canaux audio 16 bits/48 Hz sont compressés (4:1) via MPEG-1 (couche Layer II) à 384 Kb/s.
HDV1 est un format de balayage progressif 1280x720 appliquant des fréquences d’image de 60, 50, 30 et 25 Hz.
Le format ProHD de JVC propose en outre une fréquence d’images de 24 Hz. La fréquence d’échantillonnage de la luminance est de 74,25 MHz.
La compression vidéo MPEG- 2 avec un GOP de 6 images assure un débit de données d’enregistrement de 19 Mb/s. Dans cette norme, une cassette MiniDV de 63 minutes enregistre 63 minutes de HDV et la répartition des données critiques sur toutes les pistes enregistrées permet de minimiser les pertes. HDV2 est un format de balayage entrelacé 1440x1080 appliquant une fréquence d’image de 60 ou 50 Hz. Le débit de données est de 25 Mb/s après application de la compression MPEG-2 avec un GOP de 15 images. Même si le nombre de pixels n’est pas conforme au rapport classique de 16:9 pixel/ligne, les images, elles, respectent ce rapport. Ainsi, la fréquence d’échantillonnage de la luminance est de 55,7 MHz et les pixels, étirés au lieu d’être carrés, présentent un format d’affichage de 1.33:1. - Comment Unité SI de fréquence correspondant à un cycle par seconde.
- Comment Image à contraste élevé (high contrast) utilisée pour créer des effets Matte Key (incrustations d'après découpe extérieure).
- Comment Acronyme de Host Image Independent Protocol. Marque déposée d'Avid Technology, Inc. Le protocole HIIP permet au système Avid d'importer et d'exporter des fichiers sous différents formats standard. Egalement appelé Image Independence.
- Comment Graphe utilisé, lors de la correction des couleurs, pour représenter la distribution des pixels dans une image en fonction de leur luminosité. Il permet de voir comment l'image est formée en terme de luminance relative.
- Comment Connexion ou déconnexion d'un composant "à chaud", sans arrêt du système.
- Comment Désigne une machine (serveur ou station de travail) sur laquelle le stockage va se connecter.
Périodiquement, les routeurs échangent des messages « Hello » pour s'assurer que les routeurs du groupe sont encore online. Si le routeur actif principal/nominal devient inaccessible, ou si le lien le reliant tombe, un autre routeur sera élu en remplacement : celui qui a la deuxième priorité la plus élevée. Tous les messages entre les routeurs sont échangés en utilisant l'adressemulticastUDP sur le port 1985. 224.0.0.2 (qui correspond à tous les routeurs du lien local) via Le routeur ayant la priorité la plus élevée comportera une adresse IP virtuelle ainsi qu'une adresse MAC adresse virtuelle (0000.0c07.ac0A). Ces deux paramètres s'ajoutant à la configuration classique du routeur.
Lorsque le routeur actif du groupe devient injoignable, un autre routeur prend le relais et récupère ainsi l'adresse IP virtuelle et l'adresse MAC virtuelle. Exemple : Soient deux routeurs (A et B) utilisant le protocole HSRP pour fournir une tolérance aux pannes. Le routeur A utilisera l'adresse IP 192.168.0.1 avec un masque de réseau de 255.255.255.0 ; le routeur B utilisera l'adresse IP 192.168.0.2 avec un masque de réseau ayant pour valeur 255.255.255.0. Nous allons définir le routeur A comme le routeur ayant la priorité la plus élevée puis ajouter le routeur B au groupe. Enfin, nous allons dire que l'adresse IP 192.168.0.3 (masque 255.255.255.0) sera l'adresse IP virtuelle. "data-ajax="false">Comment HSRP (Hot Standby Router Protocol). Protocole propriétaire Cisco qui permettant une redondance des accès/continuité de service. De ce protocole est dérivé VRRP (Virtual Router Redundancy Protocol), normalisé et utilisé chez la plupart des autres constructeurs (Nokia, Alcatel..) En pratique, HSRP permet qu’un routeur de secours (ou spare) prenne immédiatement, de façon transparente, le relais dès qu’un problème physique apparaît. Chaque routeur utilisant le protocole HSRP appartient à un groupe HSRP. Dans le groupe, un routeur sera élu comme ayant une priorité plus élevée. Il sera considéré comme routeur « actif » du groupe (les autres routeurs étant en "stanby").
Périodiquement, les routeurs échangent des messages « Hello » pour s'assurer que les routeurs du groupe sont encore online. Si le routeur actif principal/nominal devient inaccessible, ou si le lien le reliant tombe, un autre routeur sera élu en remplacement : celui qui a la deuxième priorité la plus élevée. Tous les messages entre les routeurs sont échangés en utilisant l'adressemulticastUDP sur le port 1985. 224.0.0.2 (qui correspond à tous les routeurs du lien local) via Le routeur ayant la priorité la plus élevée comportera une adresse IP virtuelle ainsi qu'une adresse MAC adresse virtuelle (0000.0c07.ac0A). Ces deux paramètres s'ajoutant à la configuration classique du routeur.
Lorsque le routeur actif du groupe devient injoignable, un autre routeur prend le relais et récupère ainsi l'adresse IP virtuelle et l'adresse MAC virtuelle. Exemple : Soient deux routeurs (A et B) utilisant le protocole HSRP pour fournir une tolérance aux pannes. Le routeur A utilisera l'adresse IP 192.168.0.1 avec un masque de réseau de 255.255.255.0 ; le routeur B utilisera l'adresse IP 192.168.0.2 avec un masque de réseau ayant pour valeur 255.255.255.0. Nous allons définir le routeur A comme le routeur ayant la priorité la plus élevée puis ajouter le routeur B au groupe. Enfin, nous allons dire que l'adresse IP 192.168.0.3 (masque 255.255.255.0) sera l'adresse IP virtuelle.- Comment Images par seconde. Mesure du débit d'images dans un film ou une vidéo
NTSC = 30 i/s
PAL = 25 i/s
SECAM = 25 i/s
Film = 24 i/s). - Comment Image vidéo intégrale. Une image contient deux trames vidéo, balayées à la vitesse NTSC d'approximativement 30 i/s ou à la vitesse PAL de 25 i/s.
- Comment Partie de l'image affichée par l'écran. Sur les systèmes à 525 et 625 lignes, par exemple, l'image active n'est respectivement constituée que de 487 et 575 lignes. De même, la durée totale est de 63,5 Ìs pour un système à 525 lignes et de 64 Ìs pour un système à 625 lignes, mais seulement 52 à 53.3Ìs contiennent réellement de l'information. Le signal continu utilise cet intervalle de temps supplémentaire pour revenir au début de la première ligne du haut de l'image et redémarrer le balayage.
Les formats SD échantillonnés numériquement contiennent 576 lignes et 720 pixels par ligne (système à 625 lignes) ou 480 lignes et 720 pixels par ligne (système à 525 lignes) mais toute l'information ne tient que dans 702 pixels. 720 pixels équivalent à 53,3 Ìs. L'échantillonnage du signal s'effectue lors de l'effacement du signal analogique (blanking). Il démarre juste avant l'extrémité gauche de l'image active et se termine après le retour au niveau de blanking du signal.
Ainsi, les limites gauche et droite de l'image numérisée sont incluses dans la ligne de balayage numérique. Ce mécanisme permet d'obtenir une continuité entre le signal invisible (blanking) et l'image active. Les systèmes HD sont généralement caractérisés par leur nombre de lignes actives. Un système à 1 080 lignes, par exemple, possède 1 080 lignes de vidéo active, chacune composée de 1 920 échantillons. Pour adapter ce système à une connexion analogique, il suffit de l'associer à une image plus grande, de type 1 125 lignes. - Comment Impulsion superposée au signal de la piste de contrôle. Les impulsions d'images sont utilisées pour identifier les emplacements de la piste vidéo contenant des impulsions synchrones verticales.
- Comment Impulsions contrôlant le balayage vertical champ par champ de l'image vidéo par le faisceau d'électrons.
- Comment Il s'agit du Timecode visible superposé de façon permanente (gravé) sur la source vidéo, habituellement sous forme de chiffres blancs dans un rectangle noir. Le timecode incrusté est utilisé normalement pour le suivi du timecode au cours des aperçus ou du montage maquette. Une bande vidéo contenant une incrustation est également appelée copie incrustée ou copie fenêtre.
Il s'agit aussi du terme général désignant le processus qui consiste à placer un élément ou une partie d’une image sur une autre image (du texte sur de la vidéo par exemple). Cette technique est très utilisée au journal TV par exemple.
Version vidéo du cache en film, l’incrustation implique des opérations en direct faisant appel à des outils interactifs. Cette procédure s’effectue en deux temps : le signal d’incrustation est d’abord dérivé, puis réappliqué pour produire le résultat escompté. En haute définition, il est impératif que les résultats soient convaincants et précis. Le recours croissant à la composition exige d’excellentes compétences en incrustation pour que les éléments incorporés (décors, objets, acteurs) s’intègrent harmonieusement à l’image d’origine. L’introduction de la technologie numérique et du montage non linéaire online a participé à l’essor rapide des outils d’incrustation.
Si les ressources utilisées ont été créées électroniquement (graphiques ou illustrations, par exemple), le signal d’incrustation est fourni avec la vidéo. Sinon, il existe des moyens élaborés pour le dériver. Habituellement, les objets sont photographiés sur un écran bleu ou vert, dont la couleur définit le signal d’incrustation. En réalité, la couleur d’incrustation déborde sur l’objet et des techniques de détourage doivent être appliquées. Les contours de l’élément incrusté exigent généralement un travail minutieux. Un soin particulier doit en effet être apporté afin d’adoucir les contours entre l’objet et l’arrière-plan et de rendre les contours plus naturels à l’aide de fondus.
Des techniques plus poussées permettent d’incruster des éléments translucides tels que la fumée, le brouillard et le verre. Elles utilisent souvent un procédé de mélange non additif qui équilibre la luminance du premier plan et celle de l’arrière-plan. Ces nouvelles techniques d’incrustation numérique ont considérablement contribué à l’essor du cinéma numérique. Leur efficacité a révolutionné le monde de la production, la simplification des prises et la diminution des tournages en extérieur ayant permis de réduire considérablement les coûts.
Dans les systèmes numériques, l’incrustation correspond à un signal de bande passante complète (comme Y, luminance) et est souvent stockée avec sa vidéo de premier plan. Les systèmes non linéaires sur disque permettent de stocker et de lire l’ensemble vidéo + incrustation en une seule opération, sinon cela nécessiterait deux magnétoscopes. - Comment Méthode de combinaison d'images ou de parties d'images provenant de deux sources différentes, en remplaçant la couleur unie d'une source par une image de la seconde source. Processus de dérivation et d’utilisation d’un signal d’incrustation formé à partir de zones d’une couleur donnée appartenant à une image (généralement le bleu, parfois le vert).
- Comment Combiner une image sélectionnée dans une source avec celle d'une autre source.
- Comment Ligne bleue verticale se déplaçant dans la barre de position et dans la timeline pour indiquer l'emplacement de l'image affichée dans la fenêtre.
- Comment Configuration du programme de montage de l'ordinateur aux conditions d'exploitation appropriées au début de la session de montage.
- Comment Interconnexion du matériel compatible d'un équipement audio ou vidéo sans conversion du signal au format analogique.
- Comment Période pendant laquelle l'image de l'écran de télévision disparaît tandis que le faisceau d'électrons retourne (retour du spot) du balayage d'un champ de vidéo pour commencer à balayer le suivant. L'intervalle de suppression images est parfois utilisé pour insérer du timecode, la syntonisation couleur automatique ou des informations dans le signal vidéo.
- Comment Unité de mesure de l'échelle de la forme d'onde vidéo servant au calcul des niveaux vidéo, définie à l'origine par l'Institute of Radio Engineers (IRE). L'échelle est divisée en 140 unités IRE, 100 unités au-dessus de la ligne de référence et 40 unités au-dessous.
- Comment Défini et maintenu par le groupe IETF (Internet Engineering Task Force), le protocole de stockage standard iSCSI offre les avantages d'un réseau de stockage (SAN) en termes de consolidation, d'évolutivité et de gestion, sans présenter le manque de convivialité, la complexité et les frais inhérents aux interconnexions SAN classiques. Egalement connu sous le nom d'Internet SCSI, le protocole iSCSI encapsule les commandes de stockage de niveau bloc SCSI dans des paquets Ethernet destinés à être transmis sur des réseaux IP, ce qui permet aux entreprises de créer des SAN abordables à partir d'infrastructures Ethernet classiques et standards.
Un SAN iSCSI peut constituer un choix idéal pour les entreprises souhaitant passer d'un stockage à connexion directe à un stockage réseau. Les réseaux de stockage iSCSI utilisent les mêmes commandes SCSI de niveau bloc que le stockage à connexion directe traditionnel. Ils sont tout à fait compatibles avec les logiciels serveur existants (systèmes de fichiers, bases de données ou applications). De même, comme l'iSCSI fonctionne sur des réseaux IP omniprésents classiques, il est inutile de déployer une nouvelle infrastructure réseau ou de former du personnel pour exploiter les avantages des SAN.
Contrairement au stockage à connexion directe, les solutions de stockage iSCSI vous permettent de partager les ressources de stockage sur plusieurs serveurs, d'augmenter facilement la capacité de stockage sans avoir à quitter des applications stratégiques et de consolider vos processus et opérations de protection des données. Vous améliorez ainsi la disponibilité des données tout en réduisant considérablement les coûts administratifs. Sous sa forme la plus simple, une solution de SAN iSCSI (IP SAN) est constituée de serveurs équipés soit de cartes réseaux Gigabit Ethernet standards et d'un « initiateur » logiciel iSCSI; soit de cartes bus host iSCSI et d'un logiciel pilote. Les cartes sont connectées via un commutateur Ethernet à un système de stockage iSCSI standard par des câbles Ethernet standards. Le pool de stockage réseau se présente pour chaque serveur comme un stockage de disque local dédié.
Le protocole iSCSI est doté d'options de sécurité appropriées qui permettent la création de SAN sur une gamme étendue de topologies réseau, depuis les sous-réseaux IP jusqu'aux réseaux locaux (LAN), étendus (WAN) départementaux ou de centres de données. Les solutions SAN iSCSI constituent un choix idéal pour la consolidation du stockage dans des environnements serveurs économiques dotés de l'architecture Intel®. Elles sont particulièrement intéressantes dans les centres de données départementaux, régionaux ou distants pour lesquels les solutions Fibre Channel ne se sont pas avérées rentables jusqu'à ce jour. L'iSCSI offre également aux centres de données d'entreprise des solutions abordables de stockage secondaire ou de protection des données. Les déploiements actuels de liSCSI couvrent un large éventail de secteurs et d'environnements informatiques. - Comment Isolation reel (bobine d'isolement). Dans une production à plusieurs caméras, la bobine source de l'enregistrement séparé (isolé) d'une caméra unique, accompagnée des enregistrements simultanés des autres caméras et d'une ligne de mélange en circuit.
- Comment Norme correspondant à la vidéo numérique à composantes, publiée par l'International Telecommunication Union sous la dénomination ITU-R BT.601-5 (auparavant CCIR -601). Cette norme définit la vidéo numérique à composante étant donné qu'elle est dérivée des systèmes NTSC et PAL. Elle constitue également la base des formats HDTV.
- Comment interface universelle. Les IU permettent à l'ordinateur de contrôler divers composants à distance, dans les systèmes de montage informatisés.
- Comment Just a Bunch Of Disk. Disques durs chaînés sans niveau de RAID particulier.
- Comment JPEG File Interchange Format. Format de fichier contenant des données d'images codées JPEG pouvant être partagées entre diverses applications.
Les résolutions JFIF permettent de stocker les données selon un débit constant, par exemple, le format JFIF 300 utilise 300 Ko pour chaque image qu'il stocke. Les résolutions JFIF sont conformes au format d'échange ISO-JPEG et à la norme ITU-R 601. Le format JFIF (JPEG File Interchange Format) est une méthode de compression utilisée sur les systèmes Avid non linéaires basés sur la technologie Meridien. Il applique le même débit de données aux clips numérisés, quelle que soit leur complexité, afin de garantir une qualité de résolution constante. Chaque résolution JFIF se définit par un débit de données cible et une table de quantification.
Lors de la numérisation, la table de quantification s'applique à l'échelle linéaire afin d'aligner le débit de données actuel sur le débit cible. Bien que les débits de données appliqués soient sensiblement les mêmes, la souplesse du format JFIF permet généralement d'obtenir une image compressée de meilleure qualité qu'en compression AVR. - Comment Ce système de codage avancé propose la même compression spatiale des images que le format JPEG, mais s'adapte à bien d'autres applications, des appareils numériques portables aux logiciels professionnels (scientifiques ou industriels). Mieux que le recours à la traditionnelle compression DCT, ce format utilise une technologie de pointe aussi appelée compression par ondelettes.
Plus gourmande que le format MPEG, la compression JPEG 2000 était considérée, jusqu'à très récemment, comme une technologie trop coûteuse pour le secteur audiovisuel. Mais l'arrivée sur le marché de nouvelles puces, plus économiques, devrait populariser ce format. Dans les secteurs audiovisuel et cinématographique qui utilisent les technologies numériques, sa qualité d'image exceptionnelle annonce l'ère du JPEG 2000.
Recommandée pour le D-cinéma, cette compression HD a déjà été adoptée par Grass Valley, qui l'a récemment intégrée à sa nouvelle gamme de caméra Infinity. Grâce à son analyse circulaire, zone par zone, la compression JPEG 2000 évite la génération d'artefacts en blocs. Un léger bémol est à noter concernant une certaine tendance à la dégradation des zones complexes, ce qui constitue toutefois un problème beaucoup moins flagrant. Néanmoins, la technologie JPEG 2000 est évolutive et progresse à mesure que le nombre de bits augmente. De fait, elle offre déjà une qualité d'image sans perte visible en HD et Dcinéma à haut débit (200 ou 300 Mb/s) et permet d'extraire les tailles d'images codées différentes sans recours au décodage. - Comment KDM (Key Delivery Message). Clé permettant la lecture d’un film pour une salle spécifiée, et durant une période donnée.
- Comment Marque d'Eastman Kodak Company. Système de numérotation de film d'Eastman Kodak permettant d'inscrire des informations optiques d'identification de la pellicule et de la vidéo sur le bord du film pendant sa fabrication.
- Comment 1. (Vidéo) Espace à respecter entre la tête d'un personnage et le haut de l'image lors de la composition d'un clip.
2. (Audio) Quantité d'amplification du gain disponible avant l'apparition d'effets de distorsion. - Comment Transfert d'une piste audio finale sur la bande vidéo du montage.
- Comment Procédé ou caractéristique d’un système de montage permettant de passer facilement de la lecture à la recherche lente ou rapide d’une vidéo.
- Comment Technologie permettant aux utilisateurs de visualiser un clip vidéo ou un film sur Internet tandis que la vidéo est copiée sur l'ordinateur.
- Comment Processus consistant à régler les valeurs de couleur dans un programme final de façon à ce qu'elles soient conformes aux standards de diffusion en terme de luminance, signal composite ou gamme RVB.
- Comment Procédé de réglage des pixels adjacents de couleurs différentes, visant à donner l'illusion d'une troisième couleur ; ceci a pour effet de simuler l'affichage de couleurs n'appartenant pas à la palette de couleurs actuelles.
- Comment Filtre d'application de l'anticrénelage aux graphiques créés dans l'outil Title.
- Comment Série de listes de sortie contenant les spécifications utilisées pour décrire la copie de travail du film ou le négatif.
- Comment Sous-liste de clips dupliqués de film nécessitant des tirages ou des copies de négatifs supplémentaires pour la finition du film.
- Comment Liste d'instructions produite par Film Composer et utilisée pour retrouver et comparer les différences entre deux versions d'une séquence numérique. Une liste des modifications est utilisée pour mettre à jour un travail de coupure d'une copie avec de nouvelles modifications et révisions.
- Comment Lo/Ro (Left Only / Right Only). Se dit d’un signal stéréo conventionnel.
- Comment Répartition dynamique de charge de travail (sur 2 contrôleurs RAID, sur 1 cluster).
- Comment Données enregistrées par les équipements concernant leur fonctionnement, et les atteintes éventuelles à la sécurité.
- Comment LS (Long shot). Plan d'ensemble.
- Comment Lt/Rt (Left Total / Right Total). Se dit d’un signal stéréo matricé Dolby®Surround ou Dolby® Pro Logic II™.
- Comment Transfert télécinéma ou tirage réalisé avec un réglage unique des valeurs de correction de la couleur. La lumière unique représente le type de transfert le plus facile, le plus rapide et le moins onéreux.
- Comment Transfert télécinéma ou tirage réalisé avec un réglage unique des valeurs de correction de la couleur. La lumière unique représente le type de transfert le plus facile, le plus rapide et le moins onéreux.
- Comment Le format M-JPEG (Motion JPEG) est une compression JPEG destinée aux images en mouvement. Afin de s'adapter au mieux à chaque image, cette compression peut être définie en fonction du volume de données (débit de données constant) ou de la qualité d'image (qualité constante).
- Comment Equivalent du format JPEG 2000 pour les images en mouvement.
- Comment Bloc de 16 pixels de côté, composé de quatre blocs DCT adjacents. Les macroblocs permettent de générer les vecteurs cinétiques utilisés dans le codage MPEG-2. La plupart des codeurs utilisent une technique de correspondance afin de déterminer l'emplacement de destination des blocs et ainsi générer les vecteurs cinétiques permettant de décrire le déplacement.
Ce procédé permet généralement d'obtenir de très bons résultats mais connaît également ses limites, observables notamment lors de fondus lents vers le noir, où les erreurs de placement de bloc apparaissent clairement. D'autres techniques, comme la corrélation des phases, permettent d'obtenir une meilleure interprétation des mouvements. - Comment Appareil d'enregistrement de bande audio. Dispositif d'enregistrement et de reproduction du son sur bande magnétique.
- Comment Appareil d'enregistrement de vidéos. Magnétoscope utilisant les formats de bande vidéo de qualité commerciale, tels que VHS, Betamax et Hi8.
- Comment Appareil d'enregistrement de bande vidéo.
- Comment Format de magnétoscope utilisant des bandes vidéo de 3/4 de pouce.
- Comment Le format 1080/24P possède des propriétés de conversion d'une définition et d'une efficacité optimales vers l'ensemble des principaux formats télévisuels. Les résultats obtenus après conversion sont toujours de haute qualité. Une bande maître montée dans ce format est parfois désignée sous l'appellation « maître universel ».
- Comment Procédé de montage vidéo dans lequel un ou plusieurs appareils (les esclaves) sont réglés pour reproduire les actions d'un autre appareil (le maître).
- Comment Matériel situé au-delà des points d'entrée et de sortie du clip dans une séquence. Le système Avid crée des marges lorsque vous décomposez ou consolidez le matériel. Les fonctions de décomposition et de consolidation permettent de créer des master-clips représentant des versions abrégées de celles d'origine. Les marges sont utilisées pour les fondus enchaînés et les retouches avec les nouveaux master-clips plus courts.
- Comment 1. Procédé utilisé pour entrer les timecodes de début et de fin d'un clip destiné à être monté dans une séquence.
2. Procédé de marquage ou de dérushage des numéros du timecode pour définir des clips pendant une session de dérushage, d’enregistrement ou de numérisation. - Comment Bordure placée, dans un film, sur une image de format 3:4 pour recréer l'aspect d'un autre format, tel que l'écran large.
- Comment Dans le chutier, il s'agit de l'objet média faisant référence aux fichiers médias enregistrés ou numérisés à partir d'une bande ou d'autres sources.
- Comment Procédure permettant de créer une liste de conformation de film à partir d'un projet vidéo contenant 30 images/seconde et utilisant le film comme matériel source.
- Comment Effet vidéo constitué de trois composantes : la vidéo de fond, de premier plan et la transparence ou canal alpha (noir et blanc ou échelle de gris) permettant de surimprimer une partie de l'image sur l'autre.
- Comment La vidéo, l'audio, les graphiques et les effets calculés pouvant être combinés pour former une séquence ou une présentation.
- Comment amme vedette des systèmes non linéaires d’Avid. Elle propose pléthore den combinaisons de plates-formes matérielles, cartes vidéo et boîtiers externes, à la fois pour Mac et PC. Standard de facto du montage offline et online, Media Composer compte des dizaines de milliers d’utilisateurs dans le monde et participe à la plupart des productions pour la télévision et le cinéma.
- Comment Effet calculé enregistré dans un fichier et référencé par une composition ou une séquence. Les applications peuvent prétraiter des effets qu'elles ne peuvent pas créer pendant la lecture.
- Comment Médias constitués d'images uniques, chacune d'elles étant numérisée dans le sens vertical à chaque passage.
- Comment Un million de cycles par seconde.
- Comment Les métadonnées sont des informations concernant les données de base. L’essence, c’est-à-dire la vidéo et l’audio, n’est pas grand-chose sans les informations relatives au montage et aux droits.
Sur le long terme, les métadonnées permettent également de tirer un meilleur parti des archives. Elles fournissent des informations sur le lieu, la date/l’heure (timecode) et la méthode employée pour une prise, ainsi que sur le détenteur des droits, le procédé utilisé ou à utiliser lors des phases de post-production et de montage, et enfin sur la destination suivante. Associées au format audio AES/EBU, les métadonnées décrivent la fréquence d’échantillonnage.
En AC3, elles facilitent la gestion des basses fréquences et la création de mixages stéréo. Contrairement aux essences vidéo et audio, les métadonnées sont souvent perdues pendant le processus de production. Avid, à travers le format OMF et l’association AAF, a beaucoup oeuvré pourrésoudre ce problème dans le cadre du montage et de la postproduction. - Comment Musical Instrument Digital Interface. Protocole permettant à l'utilisateur de contrôler un équipement musical électronique à partir d'un PC.
- Comment Autre dénomination du RAID 1
- Comment Transfert et montage de matériel pour réaliser une séquence complète, comprenant entre autres : décompte, mires de test, barres et tonalité, titres, génériques, logos, espace publicitaire, etc.
- Comment 1. Transition d'une source vidéo à une autre dans un mélangeur.
2. Produit d'une session d'enregistrement au cours de laquelle des pistes son séparées sont combinées à l'aide d'une table de mixage en son mono ou stéréo. - Comment Procédé permettant à l'utilisateur de combiner plusieurs pistes audio en une seule.
- Comment Méthode linéaire d'assemblage de la vidéo après montage. En mode A, le système réalise les montages dans l'ordre dans lequel ils apparaissent sur le master. Il s'arrête à chaque fois que l'EDL (liste de points de montage) sollicite une bobine qui n'est pas présente sur l'appareil.
- Comment Méthode d'assemblage non-séquentielle ou en échiquier. La liste de points de montage (EDL) est ordonnée en fonction des numéros de bande source. Le système de montage réalise tous les montages à partir des bandes présentes dans les appareils, en laissant des espaces vides qui seront complétés avec le matériel des bobines suivantes.
- Comment Méthode d'assemblage non séquentielle dans laquelle la liste de points de montage (EDL) est établie en fonction du numéro de la bande source et du timecode source croissant.
- Comment Liste de points de montage (EDL) en mode A dans laquelle tous les effets (fondus, fondus par volets, superpositions graphiques) sont réalisés à la fin.
- Comment Liste de points de montage (EDL) en mode C dans laquelle tous les effets (fondus enchaînés, fondus par volets et superpositions graphiques) sont réalisés à la fin.
- Comment Enregistrement avec le timecode LTC d’événements en direct, de spectacles multicaméra et de matériel vidéo provenant de routeurs. Permet d’enregistrer sur le système NewsCutter à partir de plusieurs sources externes en même temps que leur enregistrement sur bande.
- Comment Méthode d'assemblage déterminant l'ordre dans lequel le contrôleur de montage lit la liste de points de montage (EDL) et assemble la bande finale. Il existe cinq types de mode source : mode A, mode B, mode C, mode D et mode E.
- Comment 1. (Vidéo) Tube cathodique et circuits associés d'une image, sans sections tuner ou audio. Le moniteur permet l'affichage de médias source, de clips et de séquences. Dans les produits Avid, les moniteurs virtuels s'affichent à l'écran dans lequel vous pouvez monter des médias source, des clips et des séquences.
2. (Audio) Pour contrôler des pistes et des canaux audio spécifiques, ou autre nom qualifiant les haut-parleurs rendant le son audible. - Comment Montage dans lequel la dernière image du clip précédent est en synchronisation avec la première image du clip suivant, afin que ce dernier soit une extension de celui qui le précède.
- Comment Assemblage d'une séquence vidéo finale dans laquelle les scènes sont reliées sans physiquement coller bout à bout la bande. Le montage électronique nécessite l'utilisation d'au moins deux appareils : un pour la lecture et l'autre pour l'enregistrement.
- Comment Principe de base selon lequel un processus de montage ne nécessite que trois points entre les parties source et enregistrement pour calculer automatiquement le quatrième point et terminer le montage.
- Comment La sélection et le montage des prises de vue film et vidéo s’effectuent désormais à l’aide de systèmes de montage non linéaires. L’avènement d’équipements numériques performants et du montage non linéaire est à l’origine de l’essor de la post-production. La correction en postproduction est souvent plus économique qu’un nouveau tournage plateau.
- Comment Montage final utilisant les bandes de montage et la liste de points de montage (EDL) pour créer un programme final prêt à la distribution ; généralement associé aux montages et effets numériques informatisés de qualité supérieure.
- Comment Technique de montage sur bande obligeant l'utilisateur à assembler un programme du premier au dernier plan. Le moindre changement implique le réenregistrement complet de toutes les séquences en aval. La façon dont vous insérez le matériel vidéo dépend de la nature même du support utilisé (bande vidéo analogique, par exemple).
- Comment Montage préliminaire ou bout-à-bout (premier montage) produisant une EDL (liste de points de montage).
- Comment Technique de montage évitant d'assembler un programme du premier au dernier plan. La nature du support utilisé et le processus de manipulation du support n'imposent aucune contrainte particulière quant à l'ordre physique des éléments matériels. Cette technique s’emploie aussi bien lors du montage traditionnel de film ou du montage par insertion que lors de l’enregistrement ou de la numérisation d’images vidéo. Vous pouvez effectuer des modifications au début, au milieu ou à la fin de la séquence.
- Comment Montage où tous les signaux existant sur une bande (le cas échéant) sont remplacés par de nouveaux signaux. Le montage par assemblage permet d'ajouter, de manière séquentielle, de nouvelles informations sur une bande et de créer une piste de contrôle lors du montage. Le montage est effectué de façon linéaire et ajouté à la fin des éléments précédemment enregistrés.
- Comment Voir montage par chevauchement.
- Comment Montage électronique au cours duquel la piste de contrôle n'est pas remplacée pendant la procédure de montage. Le nouveau segment est inséré dans le matériel sous forme de programme déjà enregistré sur la bande vidéo.
- Comment Montage électronique au cours duquel la piste de contrôle n'est pas remplacée pendant la procédure de montage. Le nouveau segment est inséré dans le matériel sous forme de programme déjà enregistré sur la bande vidéo.
- Comment Montage dans lequel un segment de la séquence est écrasé ou remplacé par les données source de durée correspondante.
- Comment Montage instable sur le plan électronique, tel que celui réalisé à l'aide de la commande pause d'un appareil ou en utilisant un appareil à système d'asservissement sans cabestan.
- Comment Voir bobine A et B.
- Comment Voir convertisseur A/N.
- Comment Montage de durée nulle utilisé comme référence pendant les montages de transition (fondus enchaînés, fondus par volets, etc.) sur les systèmes de montage informatisés.
- Comment MOS (Mit Out Sprechen). De l'expression pseudo-allemande, "Mit Out Sprechen" signifiant "sans parler". Terme utilisé pour la prise de vue sans son.
- Comment MPEG-2 Norme ISO/CEI 13818-1. Ce système de compression vidéo a été initialement conçu pour transmettre les signaux audio et vidéo numériques à des taux de compression très élevés. Il s'agit actuellement du format de référence utilisé dans la plupart des transmissions DTV mondiales.
Il est également très répandu dans les créations de DVD, de projets SD et HD et dans une multitude d'applications nécessitant des taux de compression vidéo élevés. De nombreuses combinaisons sont possibles afin de répondre aux exigences de chaque application. A noter cependant que toutes ces combinaisons seraient impossibles sans la phase préalable de décodage en vidéo de bande de base, suivie de celle de recodage.
Délibérément asymétrique, le format MPEG-2 est beaucoup plus simple à décoder qu'à coder. C'est pourquoi les prix sont si bas pour les consommateurs et si élevés pour les diffuseurs. Ce codage s'effectue en deux temps. Sensiblement similaire à la compression JPEG, la première phase du codage consiste à compresser les données au format DCT intraframe (images I) puis à leur appliquer un facteur de quantification afin de réduire leur volume. Au cours de la seconde phase, une compression inter-image permet de calculer le mouvement des macroblocs et de remplacer ces informations par plusieurs images I successives, afin de former un GOP.
Le mouvement est ainsi transcrit en vecteurs cinétiques, chacun indiquant une direction et une distance. Le volume de données de tous les vecteurs additionnés est considérablement réduit par rapport à celui requis par les images I.
NB : le calcul des vecteurs cinétiques n'est pas une science exacte. La qualité d'image peut varier considérablement selon le type de compresseur MPEG. Cependant, en raison du caractère déterministe de la décompression, tous les décodeurs fonctionneront de la même façon.
Le processus de codage passe obligatoirement en revue plusieurs images à la fois, ce qui entraîne des retards considérables. De la même façon, le rendu des images est retardé au niveau du décodeur. Dans le cas des transmissions, ce retard peut atteindre une seconde.
De plus, le format MPEG-2 est parfois utilisé sur des circuits de diffusion dits « de contribution », provoquant un retard caractéristique. Lors d'un reportage en direct, par exemple, il se traduit par un décalage entre la question posée en studio et la réponse du journaliste sur le terrain. L’utilisation de taux de compression très élevés est essentielle à la transmission de données vidéo et audio HD dans de bonnes conditions.
A titre indicatif, le matériel HD 10 bits non compressé requiert une vitesse de transfert de 1 244Mb/s. Il s'agit ici de données 10 bits échantillonnées à la norme 4:2:2. Dans le cas de données 8 bits échantillonnées à 4:2:0, la transmission des données doit être de 746 Mb/s. Néanmoins, les canaux de transmission ATSC (19,2 Mb/s) ou DVB (20 Mb/s, variable selon la largeur du canal, notamment) requièrent une compression approximativement supérieure ou égale à 40:1. - Comment La norme MPEG-4 (ISO/CEI 14496) est un format de compression développé par le même groupe d'experts MPEG, actuellement utilisé dans de nombreuses applications.
En production audiovisuelle, il est essentiellement lié à la compression vidéo. Les formats MPEG-4 Part 10, AVC (Advanced Video Coding) et H.264 se rapportent tous au même système de compression. Le système en question se base également sur la compression DCT utilisée par le codage MPEG-2. Il permet ainsi de produire des codecs plus efficaces, par le biais de techniques inter-image et intra-image.
Plus complexe que le codage MPEG-2, le codage MPEG-4 garantit cependant des compressions de données pouvant atteindre 30 % environ, et parfois davantage.
Les nouvelles générations de services télévisuels sont conçues pour diffuser en MPEG-4, en particulier pour le matériel HD, plus exigeant en ressource de bande passante. Ce nouveau format permet donc d'obtenir une meilleure qualité d'image ou de rendre davantage de canaux sur une même bande passante. La compression MPEG-4 est parfois assimilée au codage WM 9, même s'il s'agit de deux formats différents. - Comment Se dit d'un RAID fonctionnant indépendamment du système.
- Comment Production ou scène filmée et enregistrée simultanément par plusieurs caméras.
- Comment Bande magnétique ou magnétoscope capable d'enregistrer plusieurs pistes simultanément.
- Comment MXF (Material eXchange Format). Standardisé par la spécification SMPTE 377M, le format MXF (Material eXchange Format) a le soutien du Pro-MPEG Forum. Conçu pour l’échange de ressources entre serveurs de fichiers, bandes continues et archives numériques, il contient habituellement une séquence complète, qui peut comprendre une séquence de clips et des segments de programmes.Dérivé du modèle de données AAF, il s’intègre parfaitement à ses fichiers et permet ainsi de rapprocher les transferts sur bande et sur fichier. Il facilite le passage des ressources de la phase de post-production basée sur les fichiers AAF à la phase de lecture en transit sur les réseaux standard. Cette configuration permet d’élargir les chemins d’accès aux métadonnées et aux essences, de sorte que les deux formats passent ensemble de la phase de création de contenu à la phase de diffusion. Le corps MXF renferme le contenu (vidéo non compressée, DV, MPEG, par exemple) accompagné d’une séquence entrelacée d’images, chacune avec son audio et ses données essencielles, plus les métadonnées liées à l’image.
- Comment MXF (Material eXchange Format). Format transitoire de copie numérique d’exploitation.
- Comment NAB (National Association of Broadcasters). Association nationale des industriels de la radio et de la télévision.
- Comment Marque d'appareil d'enregistrement audio largement répandue dans les industries de la production et de la postproduction de films.
- Comment Les produits NAS (Network Attached Storage) sont des serveurs de fichiers dédiés. Cela consiste en une "Boite Noire" sans clavier, ni souris, ni écran qui s'administre à distance avec un navigateur WEB standard. Le système d'exploitation est un système simplifié et optimisé pour la gestion des fichiers uniquement, ce qui permet : d'être plus rapide, et d'avoir un système d'exploitation plus réactif et plus stable dédié à une seule tache. Ce système est compatible aux différents environnements que l'on trouve sur le marché aujourd'hui (Tout dépend des systèmes NAS). Le paramétrage du système est simplifié grâce à une interface web et est configurable à distance.
- Comment La Translation d'Adresses Réseau (NAT) est une méthode permettant de connecter plusieurs ordinateurs à Internet (ou tout autre réseau IP) en utilisant une seule adresse IP. Ca permet aux particuliers et aux petites entreprises de connecter leur réseau à Internet de façon économique et efficace.
- Comment 1. Elément de film dont les zones sombres et claires sont inversées par rapport à la scène originale ; l'opposé d'un positif.
2. Pellicule vierge conçue pour saisir une image sous la forme d'un négatif. - Comment Pellicule vierge utilisée par la caméra pour filmer une scène.
- Comment Mesure quantitative d'un signal vidéo ou audio. Un niveau bas caractérise les parties sombres en vidéo et les passages doux ou plus calmes en audio ; à l'opposé, un niveau élevé désigne une image vidéo plus vive ou un signal audio plus fort. Le niveau du signal audio est directement proportionnel au volume du son reproduit.
- Comment Signal vidéo ne contenant pas les composantes de luminance ou de chrominance (à l'exception du signal de chrominance), mais contenant tous les autres éléments du signal vidéo. Le noir codé est le signal de référence couramment utilisé pour l'étalonnage des échantillons audio et vidéo.
- Comment Signal vidéo ne contenant pas les composantes de luminance ou de chrominance (à l'exception du signal de chrominance), mais contenant tous les autres éléments du signal vidéo. Le noir codé est le signal de référence couramment utilisé pour l'étalonnage des échantillons audio et vidéo.
- Comment Terme utilisé pour décrire les normes télévisuelles. Ces normes se présentent sous une forme globalement explicite. Toutefois, les fréquences de balayage vertical continuent de prêter à confusion. Par exemple, la norme 1080/60I implique une fréquence de 60 trames entrelacées par seconde pour un total de 30 images. La norme 1080/30P correspond donc à une fréquence de 30 images par seconde soumises à un balayage de type progressif. En principe, le dernier chiffre indique toujours le nombre de rafraîchissements verticaux par seconde. Toutefois, le tableau 3 (ci-dessous) utilise une méthode différente. Il définit les fréquences d'images (nombres d'images complètes), puis le type d'image (entrelacée ou progressive). Dans ce tableau, le code de fréquence d'images 5 équivaut à 30 Hz, ce qui correspond à 30 rafraîchissements verticaux pour des images progressives et à 60 rafraîchissements verticaux pour des images entrelacées. Attention !
- Comment Relatif à l'accès aléatoire et la manipulation instantanés de n'importe quelle image de matériel sur n'importe quelle piste et dans n'importe quelle couche d'une séquence de montage.
- Comment Norme internationale matérielle et logicielle destinée au transport des données à 100, 200 ou 300 mégabits par seconde (Mb/s).
- Comment NTFS (New Technology File System). Système de fichiers utilisé sur les ordinateurs Windows (WIN NT, 2000, XP, etc.) permettant d'ajouter des paramètres de droits / securité sur chaque dossier ou fichier.
- Comment National Television Standards Committee. Groupe ayant mis au point le système de transmission de la télévision couleur utilisé aux Etats-Unis, affichant 525 lignes d'informations scannées à la fréquence de 30 i/s approximativement.
- Comment Processus automatisé d'enregistrement sur disque (enregistrement numérique) de groupes de clips, de séquences, ou les deux.
- Comment Convertir des signaux vidéo et audio analogiques au format de signal numérique comprimé Avid.
- Comment 1. Numéros originaux d'identification de l'image appliqués à la pellicule par les fabricants de film. Les numéros de bord sont utilisés pour la conformation par le monteur de négatifs. Les listes de conformation et les listes des modifications de Film Composer font référence aux numéros de bord.
2. Numéros séquentiels imprimés mécaniquement ou par exposition optique sur le bord d'une bande de film, afin d'aider à retrouver les copies de travail correspondant aux négatifs. - Comment Noir-Vidéo-Noir. Mode de prévisualisation affichant du noir, la vidéo venant d'être insérée, puis de nouveau du noir.
- Comment Acronyme de Original Camera Negative. De part sa conception, le négatif original de la caméra, ou OCN, propose une vaste gamme de contraste. Il doit cependant être manipulé avec soin pour éviter d’être endommagé. Pour réaliser un programme, vous pouvez passer par traitement DI en numérisant l’OCN ou utiliser la chaîne intermédiaire photochimique en copiant l’OCN afin d’obtenir un interpositif.
- Comment En audiovisuel, offline caractérise les éléments non disponibles pour l'ordinateur (fichiers médias ou disques autonomes, par exemple). Off-line se dit aussi d'un service hors connexion au réseau (indirect), hors ligne.
- Comment Open Media Framework Interchange. Format standard pour l’échange de données de médias numériques entre des plates-formes hétérogènes.
Ce format est conçu pour englober toutes les données qu'exige l'échange de divers médias numériques : audio, vidéo, graphiques et images fixes, de même que les règles de combinaison et de présentation de ces médias.
Ce format contient les règles d'identification de l'origine du média numérique et peut englober les données de médias numériques comprimées ou non. - Comment Procédure de gestion des listes de points de montage consistant à ajuster les durées de tous les montages à la suite d'un montage de longueur modifiée.
- Comment Point de référence pour la mesure des sections de données échantillonnées enregistrées ou numérisées. La valeur d'objet média de fichier correspondant au point de début dans le média est exprimée en fonction de l'origine.
Bien que les mêmes données d’échantillons puissent être renumérisées ou réenregistrées et que des données d’échantillons supplémentaires puissent être ajoutées, l’origine reste la même afin que les clips source des compositions qui y font référence restent valides. - Comment Revêtement métallique recouvrant un film magnétique ou une bande vidéo, magnétisé pendant l'enregistrement.
- Comment Système d’enregistrement stable proposé par Panasonic pour l’enregistrement de vidéos DV, DVCPRO et DVCPRO HD sur mémoire flash.
La norme P2 assure meilleures vitesse et fiabilité des que l’enregistrements sur bande cependant, elle ne permet pas d’effectuer des enregistrements aussi longs et son prix de revient reste élevé.
Actuellement, les cartes P2 permettent de stocker jusqu’à 8 Go de données, soit environ 40 minutes en DV, 20 minutes en DVCPRO 50 ou 10 minutes en DVCPRO HD. Toutefois, grâce aux fonctionnalités d’enregistrement en boucle et d’accès aléatoire, cet espace est mieux optimisé que la longueur de bande équivalente.
Le processus peut inclure une sélection automatique de plans et un vidage ultra-rapide des données vers un emplacement de disque dur, à des fins de montage, le tout directement à partir de la caméra. - Comment PAL (Phase Alternating Line). Norme de la télévision couleur utilisée dans de nombreux pays. Le système PAL utilise 625 lignes d'informations scannées à la fréquence de 25 i/s.
- Comment Les normes PAL et NTSC n'existent pas en HD. Elles n'existent pas non plus dans la télévision numérique SD nouvelle génération (en dépit d'une conversion initiale dans les premiers formats d'enregistrement magnétique numérique). La norme PAL signifie Phase Alternating Line littéralement « ligne d'alternance de phase ») et constitue un système analogique de codage colorimétrique extrêmement répandu. La norme NTSC (National Television Standards Committee) désigne également un système analogique.
L'utilisation des termes PAL et NTSC pour faire référence aux fréquences d'images et aux formats vidéo plus ou moins liés à la technologie analogique constitue une source de confusion mais reste toutefois d'actualité. Le terme 1080 PAL peut donc désigner le format 1080/50I. - Comment Emplacement central pour tous les boutons sélectionnables par l'utilisateur que vous pouvez mapper sur différentes fonctions pour des raisons pratiques. La palette des commandes contient des boutons sélectionnables par l'utilisateur qui permettent d'exécuter un large éventail de commandes à l'aide d'un simple clic de la souris.
- Comment Palette chromatique est une gamme de couleurs disponibles dans un système d'imagerie. Les luminophores rouge, bleu et vert des écrans de télévision et les dispositifs de sélection de couleur RVB à couplage de charge ou les puces CMOS des caméras définissent les limites d'affichage des couleurs.
Ces limites sont désignées par le terme « palette chromatique ». De nombreux procédés interviennent entre la capture d'image sur caméra et la visualisation sur écran. La plupart de ces procédés se basent sur le format vidéo composante 4:2:2.
Toutefois, certaines combinaisons de valeur de composantes ne correspondent à aucune valeur RVB valide (par exemple, les combinaisons où Y est associé à une valeur nulle). Les équipements générant des images directement dans l'espace colorimétrique composante (comme certains engins graphiques) peuvent produire des images dépassants les limites de l'espace colorimétrique RVB et les limites imposées par les normes PAL et NTSC.
Ce type de situation peut entraîner une surcharge des équipements, notamment des transmetteurs, parfois équipés d'une fonction de désactivation automatique visant à prévenir tout risque d'endommagement. Certains équipements permettent de visualiser les zones de couleur dépassant les limites de palette chromatique de manière à les retoucher avant l'apparition des problèmes. - Comment Partie du signal vidéo composite qui commence avec l'annonce des informations de l'image et se termine avec le bord d'attaque de la synchro. horizontale.
- Comment Film ou bande enroulé sur une bobine dont la fin se trouve à l'intérieur près du moyeu et le début à l'extérieur.
- Comment Film ou bande enroulé sur une bobine dont le début se trouve à l'intérieur près du moyeu et la fin à l'extérieur.
- Comment Méthode d'attribution de l'espace disque, créant deux ou plusieurs disques virtuels à partir d'un disque physique unique (semblable à la création d'un répertoire).
- Comment Pellicule de film vierge à laquelle a été ajoutée une bande étroite de matériel d'enregistrement magnétique pour l'enregistrement d'une piste son.
- Comment Niveau de performance mesuré en nombre d'opération d'entrée / sortie (I/O) par secondes.
- Comment Dans un projet basé sur un transfert 24 i/s à 30 i/s NTSC, image vidéo de début du master-clip : A, B, X, C ou D. La phase de compensation représente la relation entre la compensation et le timecode. Egalement appelée image de pullin.
- Comment Phase horizontale. Intervalle d'espacement horizontal utilisé pour synchroniser deux ou plusieurs signaux vidéo.
- Comment Phase de la sous-porteuse. Méthode utilisée pour calibrer la portion de la giclée de signaux de couleur d'un signal vidéo composite.
- Comment Phase de la sous-porteuse sur phase horizontale. Rapport des phases entre la giclée de signaux de couleur et le point de référence d'un signal vidéo. Elle est utilisée pour synchroniser deux ou plusieurs signaux vidéo.
- Comment Numéros d'identification des images utilisés pour conformer une copie de travail. Les listes de conformation et les listes des modifications de Film Composer font référence aux numéros de piétage.
- Comment Outil de prélèvement de la couleur d'une image écran afin de l'utiliser pour le texte ou les graphiques.
- Comment 1. Partie de la bande sur laquelle est enregistré le signal. Egalement appelée un canal.
2. Partie son d'un programme vidéo.
3. Région d'un clip ou d'une séquence sur laquelle est placé l'audio ou la vidéo.
4. Canal de lecture représenté dans une séquence sous forme de piste vidéo ou audio. Les pistes sont composées d'un ou plusieurs segments reliés par des transitions. - Comment Partie de l'enregistrement vidéo utilisée pour contrôler le déplacement longitudinal de la bande au cours de la lecture. La piste de contrôle équivaut aux perforations d'entraînement électroniques de la bande vidéo.
- Comment Désignation commune d'une piste son simple contenant de la musique et des effets sonores mais pas de dialogue.
- Comment Piste son enregistrée sur film d'enregistrement magnétique du son.
- Comment Eléments d'un effet créé en combinant deux ou plusieurs couches d'une façon particulière, en nichant, par exemple, une piste en tant que couche à l'intérieur d'une autre couche.
- Comment Pixels carrés Les pixels carrés désignent un format d'affichage dans lequel les pixels décrivent une zone carrée de l'image affichée. Ce type de format caractérise notamment les normes de diffusion HD dans lesquelles les formats d'image décrivent la longueur de ligne (nombre de pixels par ligne) et le nombre de lignes, pour un rapport exact de 16:9 (qui correspond également aux proportions d'affichage des images). Certains types de pixels utilisés dans le cadre du format HD ne sont pas carrés.
Le format HDCAM, très répandu à l'heure actuelle, sous-échantillonne les lignes HD de 1 920 pixels et réduit ainsi la luminance à 1 440 échantillons. Il s'agit là d'une fonction réservée au fonctionnement interne de l'enregistreur : les données entrantes et sortantes sont en effet constituées de pixels carrés.Sur le même principe, le format 1080I HDV(2) se base également sur une luminance à 1 440 échantillons par ligne.
Globalement, la pixellisation des images générées par ordinateur repose sur le format carré, ce qui n'est pas le cas des images de télévision HD numérique. Ce facteur est par conséquent déterminant lors des transferts de données entre différentes applications ou du traitement de la proportion des images (préservation des formes circulaires).Voir aussi : Anamorphique, Format d'affichage - Comment Prise de vue servant de scène de base, dans laquelle tous les plans de coupe et les gros plans sont insérés au moment du montage. Il s'agit généralement d'un plan d'ensemble dans lequel tous les personnages et l'action de la scène sont visibles.
- Comment Effet produit par un équilibreur à plateau dont la courbe de réponse atteint un « plateau » aux extrémités du spectre audio pour une plage donnée du spectre de fréquence (fréquence haute ou basse, par exemple). En égalisation audio, les réglages effectués sur le plateau affectent toutes les fréquences de la plage de la courbe de réponse.
- Comment Commande disponible dans la console Avid Software.
- Comment Ligne se prolongeant à partir d’un point de contrôle qui détermine la direction d’une courbe de Bézier. Chaque point de contrôle possède deux poignées de direction. Ces deux poignées affectent la manière dont la courbe passe à travers le point de contrôle. Une des poignées détermine la manière dont la courbe apparaît avant le point de contrôle tandis que l’autre poignée détermine la manière dont la courbe apparaît après le point de contrôle.
- Comment Ligne se prolongeant à partir d’un point de contrôle qui détermine la direction d’une courbe de Bézier. Chaque point de contrôle possède deux poignées de direction. Ces deux poignées affectent la manière dont la courbe passe à travers le point de contrôle. Une des poignées détermine la manière dont la courbe apparaît avant le point de contrôle tandis que l’autre poignée détermine la manière dont la courbe apparaît après le point de contrôle.
- Comment Emplacement sur la courbe de Bézier qui contrôle sa direction. Chaque point de contrôle possède deux poignées de direction qui peuvent dépasser.
- Comment En égalisation audio, point à partir duquel la courbe paramétrique d’un plateau donné recommence à tendre vers zéro.
- Comment Point final d'un montage, ou marque sur un clip indiquant un point de transition. Egalement appelé marque de sortie.
- Comment Voir la définition de Gamma.
- Comment Valeur de luminance dans une image vidéo définie par rapport au noir de référence lors du réglage des couleurs. Comparez-le au white point (point blanc).
- Comment Points d'entrée et de sortie dans la timeline.
- Comment Période de temps prédéterminée pendant une prévisualisation lorsque la lecture d'un clip se poursuit au-delà du point de sortie avant l'arrêt ou le rembobinage.
- Comment Résultat d'une composition spécifiant la lecture d'un média au niveau des clips de remplissage présents dans chaque piste.
- Comment Phase de la postproduction audio au cours de laquelle la musique, les effets sonores, le remplacement du dialogue et les pistes annonces sont ajoutés à la multipiste principale avant le mixage final.
- Comment Processus de rembobinage des bandes vidéo jusqu’à un point de repère prédéterminé (6 secondes, par exemple) afin que les bandes soient stabilisées et à la vitesse appropriée lorsqu’elles atteignent le point de montage sélectionné (au moment de l’enregistrement ou de la numérisation du matériel source d’un magnétoscope).
- Comment Première image du clip d'un film ou d'un segment de vidéo.
- Comment Prise du tournage d'un film repérable pour utilisation ou tirage par un nombre encerclé sur la feuille de rapport image.
- Comment Prise n'étant pas sélectionnée pour être incluse dans le produit final.
- Comment Pro Logic II™ : Technologie de Dolby qui combine cinq canaux audio en un signal codé matricé sur deux canaux Lt/Rt.
- Comment La production cinématographique numérique désigne le tournage de films à l’aide de caméras électroniques. A cet effet, un certain nombre de caméras ont été conçues comme alternative au 35 mm : Viper de Thomson, la gamme CineAlta de Sony et DVCPRO HD de Panasonic. Elles produisent des formats HD, s’exécutent en mode 24i, filment dans une gamme de contraste plus vaste que les caméras de télévision et n’utilisent pas les courbes de correction gamma TV.
Origin de Dalsa et D20 d’ARRI permettent d’obtenir de plus grandes images au format Dcinéma, respectivement de 4K et 3 018 x 2 200 de pixels actifs. La caméra D20 présente également des fréquences d’images comprises entre 1 et 60 images/seconde. Bien que ces caméras constituent une alternative aux caméras 35 mm, toute autre caméra vidéo peut être utilisée dans le cadre de la production cinématographique numérique. - Comment Dans le cas du progressif, chaque image est reconstituée au moyen d'un spot décrivant une suite simple de lignes, qui commence en haut et à gauche de l'écran pour s'achever en bas et à droite avant de revenir, évidemment, à son point de départ. Il n'y a pas d'impératif sur la parité du nombre de lignes.
Dans le cas de l'entrelacé, le spot descend deux fois plus vite et le nombre de lignes constituant l'image doit être impair. Une première trame débute encore en haut et à gauche de l'écran mais pour s'achever, cette fois, en bas et au milieu tandis que pour la suivante, le spot repart du même milieu mais en haut de l'écran pour terminer son parcours, cette fois, en bas et à droite.
Tous les systèmes de télévision analogique actuels pratiquent le balayage entrelacé de l'image, pour des raisons de compromis technico-économique concernant l'acheminement hertzien (afin de réduire l'occupation des bandes de fréquences) L'affichage sur écran informatique est progressif. - Comment Séquence de balayage d'image. Le balayage vertical s'effectue de la première à la dernière ligne en une seule passe. La TVHD utilise plusieurs fréquences d'image verticales progressives (rafraîchissement).
La fréquence 24 Hz est très utilisée en raison de sa compatibilité avec le format cinématographique et de sa facilité de conversion vers l'ensemble des formats télévisuels utilisés à l'échelle mondiale.
Les fréquences 25 et 30 Hz correspondent aux fréquences d'image SD existantes (celles-ci utilisent toutefois le balayage entrelacé). Les fréquences 50 et 60 Hz sont également prises en charge. Toutefois, en raison des restrictions de bande passante, elles sont limitées en termes de taille d'image (par exemple, 720/60P et 720/50P). A l'heure actuelle, le balayage progressif s'utilise énormément dans le secteur de la production d'écrans d'ordinateur et d'écrans de téléviseur nouvelle génération. La stabilité des images progressives facilite la perception des détails. Ce type d'image facilite également la tâche des concepteurs (aucune difficulté liée aux différences entre les deux trames d'image). L'inconvénient du balayage progressif se situe toutefois au niveau de la fréquence de rafraîchissement vertical.
A des fréquences de 24, 25 et 30 Hz, fréquences pouvant être utilisées en télévision HD avec les formats 1080 lignes, le phénomène de scintillement risque par conséquent de devenir important. Pour éviter ce phénomène, chaque image doit être traitée de manière à s'afficher deux fois (procédé comparable à la double obturation des projecteurs cinématographiques). Une faible fréquence de rafraîchissement risque également d'entraîner un problème de fluidité du mouvement (phénomène de bégaiement) lors d'une scène d'action ou lors de plans panoramiques. Grâce au double rafraîchissement vertical par image, le balayage entrelacé possède un avantage dans ce domaine. - Comment ProHD est la version JVC du mode d’enregistrement HDV 720p. Il offre un balayage progressif supplémentaire à 24 images (24P), non applicable au format 1080 lignes. C’est le format idéal pour créer des vidéos présentant l’aspect des productions cinématographiques, des films ou dans le cadre du D-cinéma.
En effet, il permet d’éviter le processus de désentrelacement dont les résultats ne sont jamais impeccables. Outre le balayage 24 images, ProHD utilise des formats de compression et de débit identiques à ceux du HDV.
Le format ProHD permet aujourd'hui d'enregistrer sur carte SDHC au format QuickTime (.mov) pour Final Cut Pro™, et optionnellement sur media SxS compatible avec le format XDCAM EX™ de SONY. L'enregistrement au format natif d'un système de montage non linéaire élimine l'étape de numérisation, accélérant ainsi le flux de production, avancée sans précédent pour JVC et l'industrie audiovisuelle. Comme le permettaient déjà les camescope de Panasonic (P2) ou Sony (SxS, Xdcam, etc.).
La gamme ProHD enregistre nativement au format QuickTime. Les clips vidéo sont transférés directement des cartes SDHC vers la fenêtre de montage du logiciel Final Cut Pro™. Il n’y a plus de transcodage ni de conversion de format, d’où un gain de temps et d’espace disque. Du fait qu'il n'y ait pas de ré-encodage, la qualité d’image d’origine est conservée. La caméra peut accueillir 2 cartes, amenant ainsi sa capacité de stockage jusqu'à 64Go – soit plus de 6 heures d'enregistrement continu en HD. Le caméscope enregistre automatiquement sur la deuxième carte quand la première est pleine. Quand la deuxième carte est pleine, en fonction de la configuration des menus, l'enregistrement bascule à nouveau sur la première carte, autorisant ainsi une captation illimitée.
Les cartes SDHC sont économiques, fiables et leur concept d'enregistrement génère une baisse de consommation énergétique de 20%, comparé à un système sur bande ou sur disque dur. Le coût par minute d'une mémoire SDHC est comparable à celui d'une bande magnétique. Cela en fait de facto le premier système d'archivage sur mémoire. Avec l'adaptateur optionnel KA-MR100G fixé à l'arrière du GY-HM700 ou de certains camescopes de la gamme ProHD, il devient possible d'enregistrer au format MP4 des fichiers XDCAM EX de SONY™ sur cartes SxS, voir également sur les cartes SDHC.
Cette solution procure ainsi 2 copies de la captation, assurant une sécurité sans précédent des prises de vues. L'encodage propriétaire MPEG2 de JVC fournit des flux compréssés jusqu'à 35Mbits/s. Le GY-HM700 délivre des images dans toutes les résolutions HD, à savoir 1920x1080, 1440x1080 et 1280x720. - Comment Présentation des programmes de film et de vidéo ou de la vidéo préliminaire.
- Comment Périphérique de données utilisé pour organiser le travail effectué sur un programme ou une série de programmes. Les chutiers, les arrêts et les réglages sont organisés dans la fenêtre Project. Les chutiers de projet contiennent tous vos clips, séquences, effets et pointeurs de fichiers médias.
- Comment Copie (double) d'une bande principale, généralement créée immédiatement après l'enregistrement du master. Elle sert de copie de sauvegarde dans le cas où le master viendrait à être endommagé.
- Comment Terme propre à Avid formé par l'association de Pulldown (compensation) et IN point (point d'entrée). Le pullin est la colonne dans laquelle l’utilisateur établit la phase de compensation du timecode de début comme A, B, X, C ou D. L’utilisateur peut modifier ce champ avant et après l’enregistrement ou la numérisation.
- Comment Terme propre à Avid formé par l'association de Pulldown (compensation) et OUT point (point de sortie). Il s'agit de la colonne dans laquelle l'utilisateur établit la relation de compensation au point de synchronisation du point de sortie (timecode de fin) comme étant A, B, C ou D. Ce champ ne peut pas être modifié par l'utilisateur et est calculé par le système en fonction du pullin et de la durée du clip.
- Comment 1. La quantification se rapporte à l'échantillonnage : il s'agit du nombre de bits utilisés pour réaliser l'échantillonnage numérique d'un signal. En vidéo, la norme 8 bits est très répandue au niveau des produits grand public comme le DV. La vidéo HD utilise également la norme 8 bits. Le format 8 bits peut définir 28 soit 256 nombres ou niveaux assignés à des niveaux de luminosité d'image pour la conversion numérique d'enregistrements vidéo analogiques.
Pour une meilleure précision et une meilleure gestion des différents niveaux de traitement post-production, les applications vidéo de studio utilisent généralement un échantillonnage à 10 bits, générant ainsi 1 024 niveaux.
En principe, la distribution des niveaux entre les zones de lumière et les zones sombres s'effectue de manière linéaire (continue).
Toutefois, dans le cas de la numérisation de films négatifs précédant l'intégration dans la chaîne intermédiaire numérique, la distribution s'effectue souvent sous forme logarithmique de manière à resserrer progressivement les niveaux vers les zones les plus sombres de l'image. En effet, les films négatifs comportent de nombreuses informations de contraste sur la scène d'origine, et les niveaux situés dans les zones sombres ou ombragées sont plus importants et plus visibles que ceux situés dans les zones de lumière. L'échantillonnage logarithmique redistribue les niveaux numériques disponibles en conséquence (d'où l'échantillonnage logarithmique sur 10 bits). Ce procédé est considéré aussi efficace que la quantification linéaire sur 13 bits. NB : la quantification possède un autre sens.
2. La quantification désigne le procédé utilisé pour la réduction des données vidéo contenues dans une image I dans le cadre des méthodes de compression DCT (par exemple, AVC, JPEG, MPEG-2 et MPEG-4).
La quantification intervenant lors du procédé DCT permet de réduire de manière sélective les coefficients DCT correspondant aux éléments les moins visibles de l'image (fréquences les plus élevées et amplitudes les plus faibles). La réduction de nombreux éléments à une valeur nulle permet de réduire la quantité de données de manière significative.
L'utilisation d'un niveau de quantification constant produit un résultat de qualité homogène avec un débit de donnée variable selon la quantité de détails des images. Il est également possible d'utiliser un niveau de quantification variable. Ce procédé entraîne alors un débit de données constant mais des images de qualité variable. La quantification variable s'utilise lorsque les données doivent correspondre à une taille de stockage ou à un canal définis (par exemple, lors d'un enregistrement magnétique ou de l'utilisation d'un canal de transmission). L'objectif est alors de se rapprocher du seuil de capacité de stockage, sans le dépasser.
La capacité à atteindre cet objectif constitue l'un des critères d'évaluation de l'efficacité des procédés de compression DCT. - Comment RF (RadioFréquence). Zone à haute fréquence du spectre électromagnétique utilisée pour la transmission des signaux de télévision et de radio.
- Comment RAID (Redundant Array of Independent Disks). Normes de dispositif de stockage tolérant les défaillances et permettant la réparation du système si un lecteur ne fonctionne pas correctement. Egalement utilisé pour augmenter le débit des données enregistrées. Un groupe de recherche de l'université Californienne de BERKELEY a défini sept niveaux de RAID. Chaque niveau correspond à la manière dont les données sont stockées sur les différents disques (un compromis entre coût, sécurité et vitesse). La compréhension de ces niveaux est importante car chaque niveau est optimisé pour une utilisation différente.
- Comment En mode RAID 0, la donnée à stocker est répartie sur différents disques synchronisés. Aucune information de redondance n'est stockée, ce qui en résulte une vitesse de transfert importante. Néanmoins, la moindre panne de disque entraîne la perte irrémédiable de données. Le nombre minimum de disques requis, pour ce mode est de 2. Ce niveau de RAID est aussi appelé mode " STRIPING".
Généralement ce mode est réalisé directement par le système d'exploitation de la machine " hôte " ou serveur, entraînant ainsi une charge non négligeable de la CPU. Ce mode requiert au minimum 2 disques et est communément appelé " MIRRORING " lorsqu'il est réalisé sur le même canal SCSI, et " DUPLEXING " lorsque 2 canaux SCSI sont utilisés. "data-ajax="false">Comment En mode RAID 1, la donnée est intégralement dupliquée d'un disque sur un autre, d'où une redondance importante en cas de panne d'un disque. Néanmoins ce mode n'admet pas le " HOT SWAP " des disques. Les performances sont supérieures à un disque seul mais le coût du Méga octet est très élevé.
Généralement ce mode est réalisé directement par le système d'exploitation de la machine " hôte " ou serveur, entraînant ainsi une charge non négligeable de la CPU. Ce mode requiert au minimum 2 disques et est communément appelé " MIRRORING " lorsqu'il est réalisé sur le même canal SCSI, et " DUPLEXING " lorsque 2 canaux SCSI sont utilisés.- Comment En mode RAID 2, chaque bit du mot de la donnée est stocké sur un ou plusieurs disques de données et le système génère et stocke sur un ou plusieurs disques ECC un code de correction d'erreur selon l'algorithme de Hamming. L'avantage de ce système est un taux de transfert possible très élevé et une correction d'erreur à la volée sans dégradation des performances. Néanmoins ce système à 'un coût élevé par rapport aux performances obtenues. D'autre part, aujourd'hui tous les périphériques SCSI possèdent en interne leur propre gestion de correction d'erreur. De ce fait le RAID 2 n'est pratiquement plus utilisé.
- Comment En mode RAID 3, la donnée a stocker est répartie (STRIPED) en octet sur différents disques synchronisés de données. Le système génère et stocke une parité sur un seul disque de parité. Il en résulte des taux de transfert très importants en lecture mais aussi en écriture. La panne d'un disque de données a très peu d'impact sur la performance et le nombre minimum de disques pour l'utilisation de ce niveau 3 est de 3. La complexité du contrôleur est moyenne en mode RAID 3.
Néanmoins, il est très difficile de le réaliser uniquement par logiciel. En réalité, très peu de constructeurs implémentent un réel RAID niveau 3. En général la taille minimum d'une information stockée est de la taille d'un secteur typiquement 512 octets. - Comment En mode RAID 4, un bloc entier de données est stocké sur un seul disque. Le système génère et stocke une parité de plusieurs blocs provenant de différents disques de données sur un seul disque de parité. Les taux de transferts sont très importants en lecture de larges fichiers mais ce mode est peu performant en écriture. D'autre part, du fait du partage de la parité sur des blocs entiers de données, la reconstruction des données peut s'avérer difficile en cas de panne d'un disque.
La panne d'un disque a un impact moyen sur les performances du système. Dans ce mode, les disques de données sont indépendants et ne sont pas lus en parallèle sauf dans le cas où les données proviennent de disques différents. La taille d'un bloc peut varier en fonction de la taille d'un secteur et plusieurs Méga octets suivant le contrôleur utilisé. Le coût du méga octets est relativement faible en mode 4. - Comment En mode RAID 5, les informations sont stockées de manière similaire au mode 4, par contre la parité est générée et stockée de façon distribuée sur les disques de données. Les performances sont importantes pour la lecture de larges fichiers, bonnes pour la lecture de petits fichiers et en mode écriture. D'autre part, du fait du partage distribué de la parité sur des blocs entiers de données, la reconstruction des données peut s'avérer difficile en cas de panne d'un disque.
La panne d'un disque a un impact moyen sur les performances du système. Dans ce mode, les disques de données sont indépendants et ne sont pas lus en parallèle sauf dans le cas où les données proviennent de disques différents. La taille d'un bloc peut varier en fonction de la taille d'un secteur et plusieurs Méga octets suivant le contrôleur utilisé.3 Le coût du Méga octet est relativement faible en mode 5. Ce mode requiert au minimum 3 disques. - Comment Le mode RAID 6 est similaire au mode 5 mais utilise plusieurs disques de parité. De ce fait, le mode 6 admet de perdre plus d'un disque de données et de continuer à fonctionner en mode dégradé.
RAID niveau 53 : Combinaison du mode 0 (" STRIPING ") et du mode 3. Ce mode accroît davantage encore la combinaison des performances avec la sécurité. "data-ajax="false">Comment En mode RAID 7, les informations à stocker sont réparties sur plusieurs disques de données avec un ou plusieurs disques de parité. Le mode 7 met en jeu une carte microprocesseur fonctionnant sous un noyau temps-réel qui contrôle toutes les opérations des canaux SCSI hôtes et des disques, le calcul de la parité, la gestion du cache ainsi que la surveillance des disques. Tous les transferts sont en mode asynchrone ce qui accroît de 1,5 à 6 fois les performances en écriture par rapport aux autres niveaux RAID. Ce mode supporte la perte de plusieurs disques suivant le nombre de disques de parité assignés, et d'autre part peut supporter théoriquement 12 canaux hôtes et 48 disques connectés.
La plupart des contrôleurs de RAID 7 peuvent être paramètrés et administrés sur une liaison Ethernet à travers un agent SNMP. Certains constructeurs de contrôleur RAID propose des combinaisons de plusieurs niveaux de RAID, en voici quelques exemples :
RAID 5+1ou RAID niveau 1+0 : Combinaison du mode 0 (" STRIPING ") et du mode 1 (" MIRRORING "). Ce mode à l'avantage de combiner les performances avec la sécurité.
RAID niveau 53 : Combinaison du mode 0 (" STRIPING ") et du mode 3. Ce mode accroît davantage encore la combinaison des performances avec la sécurité.- Comment RAM (Random-Access Memory). Mémoire vive, non-rémanente de l'ordinateur. Les informations qui se trouvent dans la RAM sont effacées lorsque l'ordinateur est éteint.
- Comment Rapport entre un signal désiré et un signal parasite.
- Comment Endommagement de la bande vidéo par froissement ou pliage.
- Comment Redéfinition des limites de l'image, généralement en supprimant électroniquement une partie du haut, du bas ou des côtés droit ou gauche de l'image.
- Comment Déplacement avant ou arrière image par image.
- Comment Visualisation de la vidéo à une vitesse supérieure à la normale.
- Comment Recherche dans l'audio à diverses vitesses tout en écoutant la variation de la fréquence du son.
- Comment 1. Montage dans lequel la vidéo existante, l'audio ou les deux à la fois sont remplacées par le nouveau matériel.
2. Montage au cours duquel le matériel déjà présent sur la piste vidéo ou audio est allongé par l'ajout de nouveau matériel inséré en tout point de la séquence. - Comment Procédé employé pour la lecture des données d'une piste par une autre piste. La piste de référence indique le clip source dans la piste référencée.
- Comment Hautes lumières provoquées par la réflexion de la lumière sur un objet dans une image. La réflexion spéculaire n'est pas la méthode de base utilisée pour définir le véritable point blanc d'une image.
- Comment Renamemediafiles (nothing) est une commande disponible dans la console Avid Software.
- Comment Marque ajoutée à une image sélectionnée pour désigner un emplacement particulier dans la séquence. Des commentaires créés par l'utilisateur peuvent être ajoutés au niveau des repères.
- Comment Lire une séquence dans la timeline de la prélecture à la postlecture.
- Comment Lire une séquence de la timeline de la position actuelle jusqu'à la postlecture.
- Comment Lire une séquence de la timeline de la prélecture jusqu'à la position actuelle.
- Comment Sortie d'une séquence, généralement enregistrée sur bande.
- Comment Quantité et niveau de détail d'une image vidéo, mesurés le long des axes vertical et horizontal. Généralement, le nombre de points ou de lignes disponibles contenus dans les dimensions horizontale et verticale de l'image. Correspond également au nombre de valeurs de couleurs ou de niveaux de gris pouvant être ajoutées, généralement indiqué en bits, tel que 8 bits ou 24 bits. L'unité point par pouce (ppp) est parfois attribuée à la résolution, bien que sa définition correcte soit la densité de l'écran.
- Comment Procédé d'ajustement des transitions d'une séquence depuis la timeline.
- Comment Le début et la fin des images du clip changent, car seul le contenu du clip est modifié. Les images précédant et suivant le clip ne sont pas affectées.
- Comment Les images sortantes (côté A) et entrantes (côté B) sont modifiées puisque le clip reste fixe alors que les données vidéo qui l’entourent sont retouchées.
- Comment Voir WAVE.
- Comment Removable magnetic disk (disque magnétique amovible). Les RMAG sont utilisés avec un châssis ; chacun pouvant contenir deux modules de disque amovible.
- Comment Nuancier de forme circulaire permettant de sélectionner des valeurs de teinte et de saturation différentes selon que vous déplacez le réticule sur la circonférence ou le rayon, respectivement. La roue chromatique permet de contrôler le niveau de teinte et de retoucher les couleurs secondaires à partir de l'outil de correction des couleurs.
- Comment Spécification émise par l'Electronic Industries Association concernant les équipements vidéo servant à la diffusion NTSC. RS-170A spécifie la synchronisation des analyses et des suppressions nécessaires au décodage des signaux chromatiques.
- Comment Interface standard de l'Electronic Industries Association relative à la connexion des périphériques série. Elle porte généralement le nom de la norme d'origine : RS-232, et prend en charge deux types de connecteurs : un connecteur de type D à 25 broches et un connecteur de type D à 9 broches. La longueur de ligne maximale autorisée dans le cadre de la spécification est d'environ 15 mètres.
- Comment Interface standard de l’Electronic Industries Association relative à la connexion des périphériques série. RS-422 est la version améliorée de la norme RS-232C. Elle permet des débits de transfert des données plus élevés et une longueur de ligne pouvant atteindre 1200 m.
- Comment RVB (Rouge, Vert et Bleu). Dans les systèmes informatiques, couleurs primaires additives utilisées pour créer toutes les autres couleurs affichées à l'écran. Les caméras, les équipements télé cinématographiques et la plupart des équipements informatiques produisent des images comprises dans cet espace colorimétrique.
Dans le cadre d'un échantillonnage numérique, les trois couleurs sont prélevées de manière uniforme au niveau de bande passante le plus élevé. Les images 4:4:4 sont donc susceptibles de constituer une meilleure base de travail pour les opérations d'incrustation chromatiques avancées. En contrepartie, elles occupent un espace de données 1,5 fois plus important que les images 4:2:2.
En outre, aucun dispositif d'enregistrement magnétique n'est en mesure de traiter les images 4:4:4 ; celles-ci doivent donc être stockées sur un enregistreur de données ou sur disque.
Enfin, aucune technique télévisuelle ne permet de relier ces images. Les opérations de constitution de réseaux d'image doivent donc s'effectuer à l'aide des technologies informatiques. Les images 4:4:4 s'utilisent en principe uniquement pour les tâches de post-production. La distribution des produits finis s'effectue généralement au format 4:2:2. - Comment SAN (Storage Area Network). Le système de fichier se trouve dans un serveur qui répond aux requêtes des clients, mais contrairement au NAS, les clients ont un accès direct à l’ensemble du stockage et les données elles mêmes ne transitent donc pas par le serveur. Il n’y a donc plus de goulot d’étranglement et pour répondre à l’augmentation des besoins, tant en capacité de stockage qu’en bande passante, il suffit d’augmenter le nombre de disques.
Les clients peuvent être connectés en Ethernet, économique mais limité en débit, ou en Fibre Channel, plus coûteux mais offrant une bande passante plus élevée. Du fait de ses propriétés et performances, c’est généralement la technologie de double boucle Fibre Channel qui est préférée en architecture SAN pour les applications vidéo réclamant des très hauts débits. Cependant le nombre de ports maximum étant de 127, la capacité totale est limitée en fonction de la taille des disques utilisés (1 disque = 1 port). - Comment Mesure de la chrominance. La saturation est la densité de couleur du signal vidéo.
- Comment Copie d'un fichier ou d'une disquette placée dans un autre endroit dans le cas où le fichier ou la disquette viendrait à être corrompu.
- Comment SECAM (Séquentiel Couleur A Mémoire). Norme de la télévision couleur développée en France et utilisée dans toute l'Europe.
- Comment SEG (Special Effects Generator). Générateur d'effets spéciaux : Section d'un mélangeur capable de réaliser des volets de motifs variés.
- Comment Section d'une piste ou d'un clip dans une séquence de la timeline qui peut être montée.
- Comment Voir arrachements de bande.
- Comment Méthode de sélection d'une piste dans un groupe, seule la piste sélectionnée est lue. Un sélecteur de piste peut, par exemple, indiquer laquelle des quatre vues possibles d'une scène doit être lue.
- Comment Composition après montage qui comporte souvent des clips audio et vidéo et des effets calculés connectés par des transitions appliquées. Le système Avid propose une timeline représentant, de façon graphique, la séquence montée.
- Comment Commande disponible dans la console Avid Software
- Comment Système international d'unités. Equivalent français de l'International System of Units. Il correspond plus ou moins au système métrique.
- Comment Signal de fréquence audio constant enregistré au début d'une bande à zéro unité de volume (0 VU) destiné à servir de référence ultérieurement. Enregistré généralement en conjonction avec les barres couleur.
- Comment Signal de synchronisation de la couleur inclus comme élément de l'ensemble du signal vidéo composite. En comparaison avec le signal de la sous-porteuse couleur, le signal de référence de la couleur détermine la teinte de l'image vidéo.
- Comment Espace vierge (noir) des pistes audio d'une timeline ne contenant aucun matériel audio.
- Comment SMPTE (Society of Motion Picture and Television Engineers). L'une des principales organisations de normalisation dans l'industrie du film et de la vidéo.
- Comment Fonction de sauvegarde logicielle de "cliché instantané".
- Comment Enregistrement du son sur bande vidéo ou audio sans une image d'accompagnement.
- Comment Marque d'Avid Technology, Inc. Format de fichier audio utilisé pour l'importation et l'exportation de pistes audio numériques.
- Comment Dans un système d'échantillonnage numérique, le souséchantillonnage désigne le procédé de réduction du nombre d'échantillons prélevés sur un signal analogique par rapport au nombre de pixels disponibles dans l'image numérique. De manière générale, le sous-échantillonnage permet de réduire la quantité de données utilisées pour former une image. Dans le système d'échantillonnage 4:2:2 utilisé en vidéo de qualité studio, chaque échantillon de luminance correspond à un pixel (représenté par le chiffre 4).
En revanche, la fréquence d'échantillonnage des deux signaux de chrominance est réduite de moitié (un échantillon pour deux pixels). Ce procédé est appelé sous-échantillonnage de chrominance, terme fréquemment utilisé pour désigner les rapports d'échantillonnage en général (par exemple, 4:2:2, 4:1:1, etc.). - Comment En matière de télévision numérique, les fréquences d’échantillonnage sont définies par des formules abrégées, qui ont, à plusieurs égards, un rapport assez éloigné avec le concept qu’elles décrivent. Ces formules numériques ne sont pas des nombres absolus, mais expriment des rapports de fréquences d’échantillonnage ; un certain effort d’interprétation est donc nécessaire pour comprendre leur signification précise. Le terme « sous-échantillonnage de la chrominance » fait référence à ces rapports de fréquence d’échantillonnage.
La plupart du temps, les premiers chiffres expriment la luminance (Y) et les deux derniers la chrominance (à l’exception de 4:4:4 ou 4:4:4:4 abordés plus en détail ciaprès). Le premier chiffre est quasi systématiquement un 4, signifiant que la luminance est échantillonnée une fois par pixel produit dans l’image.
Dans quelques rares cas, une fréquence d’échantillonnage plus faible pourra être utilisée pour la luminance. C’est le cas par exemple du HDCAM, qui a généralement recours au format 3:1:1. Le terme souséchantillonnage désigne l'utilisation d'une fréquence d’échantillonnage inférieure au nombre de pixels final.
Les deux chiffres suivants correspondent aux fréquences d’échantillonnage des composantes de couleur pure numérisée de Rouge-Y et Bleu-Y, intitulées Cr et Cb. Selon le principe télévisuel exploitant les limites de perception de l’oeil humain dans le domaine de la couleur pure, les coupes permettant de réduire la quantité de données sont généralement effectuées au niveau de la chrominance plutôt qu’au niveau de la luminance. Le format d’échantillonnage le plus couramment utilisé en studio est le 4:2:2 : sur chaque ligne, la fréquence d'échantillonnage des deux composantes de couleur est deux fois moins élevée que la fréquence d'échantillonnage de luminance. - Comment Onde sinusoïdale utilisée comme signal de référence de couleurs.
- Comment STP (Spanning Tree Protocol). Protocole réseau permettant une topologie réseau sans boucle dans les LAN avec pont. Il est défini dans la norme IEEE 802.1D. Les réseaux doivent avoir un unique chemin entre deux points, cela s'appelle une topologie sans boucle. En effet, la présence de boucle génère des tempêtes de diffusion (broadcast storm en anglais) qui paralysent le réseau. Cependant, un bon réseau doit aussi inclure une redondance des matériels pour fournir un chemin alternatif en cas de panne.
L'algorithme de « spanning tree minimum » garantit l'unicité du chemin entre deux points du réseau en affectant un port dédié (root port), celui qui a le chemin le plus court vers le root bridge, à chaque segment du LAN (domaine de collision). Élection des root ports : Un root port est un port qui sera utilisé pour transmettre les données (par opposition à un port bloqué). Chaque commutateur doit avoir un seul root port. L'élection d'un root port est effectuée d'après les champs path cost et port ID d'un paquet BPDU. En cas d'égalité, c'est le port ayant le port ID le plus faible qui sera élu. Un port bloqué peut émettre et recevoir des paquets BPDU.
Les autres ports d'un commutateur sont des designated ports, ce sont eux qui transmettent les paquets BPDU. Élection des root ports : Les BID et autres informations du protocole spanning tree sont transportés dans des unités de trames de données spéciales nommées BPDU (Bridge Protocol Data Units). Les BPDU sont échangées régulièrement (toutes les deux secondes) et permettent aux commutateurs de garder une trace des changements sur le réseau afin d'activer ou de désactiver les ports requis. Quand un commutateur ou un pont est raccordé au réseau, il commence par envoyer des BPDU afin de déterminer la topologie du réseau, avant de pouvoir commencer à transférer des données. - Comment Technique particulière de suivi des mouvements utilisée pour éliminer les mouvements indésirables (déplacement d'une caméra, par exemple) dans un clip. Le processus consiste à repérer un objet fixe par essence dans le clip et à repositionner chaque image ou trame vidéo de façon à ce que l'objet reste stationnaire.
- Comment Commande disponible dans la console Avid Software
- Comment Autre dénomination du RAID 0.
- Comment 1. Partie montée d'un clip. Un sub-clip peut être lié dans une séquence, par toute variation des débuts de clips, des fins de clips et des points d'entrée et de sortie.
2. Un sub-clip est créé en définissant des points d'entrée et de sortie dans un clip, puis en enregistrant les images situées entre ces points. Le sub-clip ne contient pas de pointeurs vers les fichiers médias. Il fait référence au master-clip, qui lui contient les pointeurs vers les fichiers médias. - Comment Subsys monpane debug (nothing) est une commande disponible dans la console Avid Software.
- Comment Structure associée à une zone d'intérêt spécifique et contenant un ensemble de points de données au cours d'une opération de suivi des mouvements. Vous pouvez recourir à plusieurs suiveurs sur le même clip pour définir un mouvement complexe.
- Comment Processus permettant d'obtenir des informations de position servant à décrire un objet en mouvement dans un clip (déplacement d'un véhicule, par exemple). Ces données permettent de contrôler le mouvement des effets.
- Comment Terme utilisé par Avid pour désigner un morceau après montage. Un sujet est créé par montage de plusieurs clips et de séquences.
- Comment Pellicule de film 16 mm produite pour un format spécial avec zone agrandie de l'image. Le super-16 est conçu pour être copié sur film 35 mm en vue de sa commercialisation.
- Comment Acronyme de Silicon X-tal Reflective Display (X-tal étant l’abréviation de cristal), SXRD désigne la technologie d’affichage de Sony adaptée à la projection numérique. Elle doit sa notoriété au fait qu’elle a été à l’origine de la première taille 4K (4 096 x2 160 pixels) viable incorporée aux projecteurs Sony SXRD. Cet affichage à cristaux liquides réfléchissant a également été conçu pour améliorer le contraste, accélérer la fréquence d’images jusqu’à 200 i/s, réduire le maculage et allonger la durée de service.
- Comment Dispositif permettant à une source vidéo asynchrone, telle qu'un satellite ou une alimentation par micro-ondes, d'être utilisée dans un environnement vidéo chronométré en saisissant des images entières.
- Comment 1. Procédé de synchronisation d'un générateur de timecode secondaire au timecode principal sélectionné.
2. Impulsions contenues dans un signal vidéo composite destinées à fournir une référence de synchronisation pour l'échantillonnage du signal. Désigne également un signal indépendant pouvant alimenter divers équipements.
3. Son enregistré sur une bande son séparée mais synchronisé simultanément à la prise de vue filmique ou de bande vidéo. - Comment Tout système de film pour lequel l'image et le son sont enregistrés sur des médias séparés. Le système double bande nécessite la resynchronisation de l'image et du son au stade de la postproduction.
- Comment Voir décollement du niveau de noir.
- Comment Taux de compression Il s’agit du rapport données (vidéo ou audio) non compressées sur données compressées. Ce taux ne définit pas la qualité audio ou vidéo obtenue après compression, qui dépend également des performances du système utilisé. Dans le cadre d'applications de studio, la compression se situe normalement entre 2:1 et 7:1 pour la SD (formats d'enregistrement magnétique D1 et D5 non compressés également disponibles).
Pour la HD, la compression se situe à l'heure actuelle entre 6:1 et 14:1 (suivant les formats d'enregistrement magnétique) et utilise exclusivement des images I. Pour la diffusion, les valeurs dépendent de l'utilisation de la bande passante disponible. Le taux se situe aux alentours de 40:1 pour la SD et autour de 50 ou 60:1 pour la HD (suivant le format utilisé). Pour augmenter le taux de compression, les procédés de transmission se basent sur les images I et les images prédictives.
Le format HDV permet d'enregistrer des données sur bande à 19-25 Mbits/s, un débit comparable à la transmission HD à un taux de compression d'environ 40:1, suivant la norme utilisée. Le débit de transmission et des enregistreurs vidéo est généralement constant ; les images d'origine pouvant contenir une quantité de détail hétérogène, la qualité des images compressées peut varier.
Les DVD utilisent en revanche souvent un débit variable pour une qualité uniforme. Les taux de compression varient donc en fonction des exigences du matériel et produisent un résultat homogène. Ceci explique en partie la qualité du rendu des DVD, même à débit relativement faible (environ 4 Mbit/s). - Comment TBC (Time-Base Corrector). Correcteur de base de temps, dispositif électronique qui améliore la stabilité des signaux vidéo en corrigeant les erreurs de datation inhérentes aux appareils mécaniques d'enregistrement de bande vidéo.
- Comment Commande disponible dans la console Avid Software.
- Comment Attribut de perception des couleurs. Le rouge, le vert et le bleu constituent le modèle de couleurs utilisé, en proportions variables, pour créer toutes les couleurs affichées en vidéo et sur les écrans d'ordinateur. Appelée également phase couleur.
- Comment Dispositif permettant de transférer des images de film cinématographique sur bande vidéo.
- Comment Outil permettant le contrôle d'un appareil grâce à des fonctions standard, telles que la recherche rapide, la lecture, l'avance rapide, le rembobinage, l'arrêt et l'éjection.
- Comment Temps réel auquel l'événement se produit.
- Comment Partie du timecode SMPTE indiquant la fin de chaque image et la direction du défilement de la bande.
- Comment Texte se déplaçant horizontalement, tel que les tickers de scores en sport et des films qui s’affichent en bas de l’écran de télévision.
- Comment Texte se déplaçant verticalement. Un des exemples de texte déroulant sont les remerciements à la fin des films et des émissions de télévision.
- Comment Gros plan très rapproché.
- Comment Un timecode est une référence temporelle, utilisée dans les domaines du son et de l'image, pour la synchronisation et le marquage de matériaux enregistrés. Le timecode (TC) s'exprime en heures, minutes, secondes et images (00:00:00:00).
Il est enregistré parallèlement à chaque son et à chaque image. Développé à l'origine aux États-Unis pour la télévision à l'époque du noir et blanc, il est utilisé pour la vidéo (cinéma également) que pour le son. - Comment Timecode audio ou LTC (Longitudinal TimeCode) est enregistré sur une piste audio.
- Comment Type de timecode SMPTE conçu pour correspondre exactement au temps réel. Deux trames de code sont omises chaque minute à la minute, à l'exception de la dixième minute, afin de corriger le fait que le cycle de trames se déroule à la vitesse de 29,97 i/s et non pas à celle de 30 i/s exactement. Le timecode drop-frame est enregistré avec des points virgules séparant les chiffres, comme suit : 1;00;10;02.
- Comment Timecode correspondant approximativement à l'heure du jour (de l'horloge).
- Comment Format de timecode SMPTE accompagnant continuellement la vidéo NTSC à la vitesse de 30 i/s sans délaisser d'images pour compenser la véritable vitesse de la vidéo NTSC de 29,97 i/s. Par conséquent, le timecode non-drop-frame ne coïncide pas avec le temps réel. Deux points séparent les chiffres du timecode non drop-frame à l'enregistrement, comme suit : 1:00:10:02.
- Comment Système de numérotation d'images développé par la SMPTE (Society of Motion Picture and Television Engineers), utilisé principalement pour l'identification et le montage électroniques de programmes vidéo. Il attribue un numéro à chaque image vidéo, définissant le nombre d'heures, de minutes, de secondes écoulées et le nombre d'images.
- Comment Représentation graphique de chaque modification apportée à une séquence.
La compression MPEG-2 se base sur les détails spatiaux et sur les mouvements des images. L'augmentation considérable de ces deux facteurs risque d'affecter la qualité finale de l'image. C'est le cas notamment pour les sports rapides (par exemple, le football). Les images de faible qualité peuvent révéler une faible tolérance à la compression. Les parasites sonores sont interprétés comme des mouvements par les encodeurs MPEG-2 et MPEG-4 et génèrent des informations occupant l'espace nécessaire aux données utiles.
Les conversions de fréquence d'images de faible qualité entraînant des sautes d'image peuvent également fausser l'interprétation des mouvements, augmentant également la quantité de données superflues au détriment des détails spatiaux pertinents. De tels parasites constituent par ailleurs un facteur d'erreur d'interprétation des mouvements, qui peut se traduire par un blocage de l'image. Pour éviter ce type de problème, la chaîne de production doit reposer sur des équipements de qualité. Le choix du format vidéo peut également s'avérer déterminant. Par exemple, les mouvements sont moins nombreux avec 25 images balayées en mode progressif qu'avec 50 trames entrelacées, ce qui facilite les opérations de compression. Le taux de réussite peut ainsi augmenter de 15 à 20%. "data-ajax="false">Comment Les matériaux produisant de bons résultats suite à l'application d'un procédé de compression sont qualifiés de "tolérants à la compression". Ce facteur peut s'avérer important lors de la transmission impliquant une bande passante de données très limitée et des taux de compression élevés. Les métrages comportant d'importantes zones de couleur uniforme, peu de détail et peu de mouvement (par exemple, les dessins animés, les gros plans et certaines pièces de théâtre) tolèrent en général très bien les procédés de compression.
La compression MPEG-2 se base sur les détails spatiaux et sur les mouvements des images. L'augmentation considérable de ces deux facteurs risque d'affecter la qualité finale de l'image. C'est le cas notamment pour les sports rapides (par exemple, le football). Les images de faible qualité peuvent révéler une faible tolérance à la compression. Les parasites sonores sont interprétés comme des mouvements par les encodeurs MPEG-2 et MPEG-4 et génèrent des informations occupant l'espace nécessaire aux données utiles.
Les conversions de fréquence d'images de faible qualité entraînant des sautes d'image peuvent également fausser l'interprétation des mouvements, augmentant également la quantité de données superflues au détriment des détails spatiaux pertinents. De tels parasites constituent par ailleurs un facteur d'erreur d'interprétation des mouvements, qui peut se traduire par un blocage de l'image. Pour éviter ce type de problème, la chaîne de production doit reposer sur des équipements de qualité. Le choix du format vidéo peut également s'avérer déterminant. Par exemple, les mouvements sont moins nombreux avec 25 images balayées en mode progressif qu'avec 50 trames entrelacées, ce qui facilite les opérations de compression. Le taux de réussite peut ainsi augmenter de 15 à 20%.- Comment La moitié des lignes de balayage d'une image vidéo entrelacée. Dans la plupart des systèmes, les lignes à numéros impairs forment une trame et celles à numéros pairs forment la seconde. La vidéo NTSC contient approximativement 60 trames (30 images) par seconde, et la vidéo PAL en contient 50 (25 images) par seconde.
- Comment Application Avid prévue pour transférer des médias d'un groupe de travail à un autre. Un réseau Fibre Channel relie les systèmes Avid et l'application TransferManager à l'environnement Avid Unity MediaNet.
- Comment Lecture en boucle utilisée en mode de retouche. Vous pouvez modifier la durée de la prélecture, de la postlecture et des pauses depuis la boîte de dialogue Trim Settings.
- Comment 1. Source vidéo ne comportant aucune image.
2. Source spéciale utilisée pour réaliser des fondus en ouverture et en fermeture ou pour effectuer d'autres effets. - Comment Organisation des clips dans une colonne de chutier par ordre alphabétique ou numérique, en fonction de la colonne sélectionnée par l'utilisateur.
- Comment Pellicule de film magnétique contenant trois bandes de revêtement magnétique métallique.
- Comment Réduction du nombre de bits utilisés pour la description d'une valeur. La troncation se pratique au quotidien. En effet, on pourra dire 1 000 au lieu de 1 024 ou encore, lorsqu'il s'agit d'argent, omettre les centimes pour mentionner uniquement les valeurs entières.
La troncation s'utilise également dans les systèmes vidéo numériques. Lorsqu'elle est effectuée à bon escient, la troncation n'entraîne aucune altération de l'image. Dans le cas contraire, elle risque d'affecter la qualité vidéo. Décimale : 186 x 203 = 37758 Binaire : 10111010 x 11001011 = 1001001101111110
En arithmétique binaire, la multiplication, très courante dans le domaine du traitement vidéo (par exemple, lors du mixage d'images), génère un résultat dont la longueur équivaut à la somme des deux nombres. Ainsi, la multiplication de deux valeurs vidéo de 8 bits génère un résultat de 16 bits. Cette longueur augmente à chaque nouveau traitement. Certains équipements ont la capacité de traiter ce type de données. Toutefois, le résultat devra en définitive être tronqué afin de pouvoir être exploité par d'autres dispositifs.
Dans le cas de systèmes HD, il peut s'agir d'une interface HD-SDI 10 bits ou d'un encodeur MPEG-2 8 bits. Dans cet exemple, si l'on décide de tronquer le résultat en supprimant les huit derniers bits, la valeur est réduite de 01111110, soit 126. En fonction du contenu vidéo et des traitements ultérieurs susceptibles d'aggraver l'erreur, cette troncation peut ou non avoir des répercussions. Généralement, ce type d'altération se traduit par un effet de bande sur les zones unies (sans détail) peu lumineuses. Ce type de parasite peut notamment affecter les images générées par ordinateur.
Le choix de l'emplacement de troncation lors de la manipulation des équipements détermine la qualité de conception et ne doit provoquer aucun défaut visible, même après plusieurs traitements. Pour ce qui est des manipulations externes, la connexion de dispositifs 10 bits et 8 bits nécessite une attention particulière. La troncation intelligente est appelée "arrondissage". - Comment Prise de vue réalisée spécifiquement pour être intégrée à un plan avec effets spéciaux composite.
- Comment Effets spéciaux créés dans un laboratoire de films par un processus appelé tirage de bobine A et B. Ce procédé fait intervenir une manipulation spécifique du négatif du film pour créer un négatif contenant l'effet. Les trucages optiques les plus couramment utilisés dans les montages sont les fondus, les fondus enchaînés et les surimpressions.
- Comment Unité centrale. La partie la plus informatique d'un ordinateur qui interprète et exécute les instructions.
- Comment Ultrahigh frequency. Un des signaux de télévision destiné à la diffusion aux Etats-Unis selon les normes FCC. Sa fréquence est située entre les très hautes fréquences (VHF) et les super-hautes fréquences (SHF).
- Comment Unité de mesure utilisée lors de l'enregistrement ou de la numérisation des données médias depuis une source physique, telle qu’une bande vidéo. Les données médias contiennent leur propre fréquence d'échantillonnage et la taille en octets de chaque échantillon.
- Comment USB (Universal Serial Bus). Bus informatique sur 4 fils (masse GND, alimentation Vbus, données D+ et D-) qui permet de connecter des périphériques externes à un ordinateur (hôte dans la littérature USB).
Il supporte le branchement simultané de 127 périphériques, en série. Le bus supporte les branchements et débranchements à chaud (sans avoir besoin de redémarrer l'ordinateur) et fournit l'alimentation électrique des périphériques, dans la limite de 15 Watts maximum par périphérique.
La version 1.1 du bus peut communiquer dans deux modes : lent (1,5 Mbit/s) ou rapide (12 Mbit/s). Le mode lent permet de connecter des périphériques qui ont besoin de transférer peu de données, comme les claviers et souris.
Le mode rapide est utilisé pour connecter des imprimantes, scanners, disques durs, graveurs de CD et autres périphériques ayant besoin de plus de rapidité. Néanmoins, il est insuffisant pour beaucoup de périphériques de stockage de masse (par exemple, il ne permet que la vitesse 4x sur les lecteurs/graveurs de CD). La version USB 2.0 du bus est rétro-compatible avec l'USB1 et comporte un troisiéme mode permettant de communiquer à 480 Mbit/s.
Il est utilisé par les périphériques rapides : disques durs, graveurs, etc. - Comment Marque déposée de Videomedia, Inc. Protocole industriel standard pour le contrôle des appareils vidéo. Le réseau V-LAN permet à une application de contrôler et de synchroniser tous les magnétoscopes, mélangeurs, lecteurs DAT, tables de mixage et effets vidéo numériques.
- Comment Données réelles associées à une propriété particulière dans un objet OMF Interchange.
- Comment OMF (Open Media Framework). Format de fichier non tributaire du type de plate-forme. Il permet de transférer des médias numériques (vidéo, audio, graphisme, animation) tout en y ajoutant des informations de traitements.
- Comment Mesure, exprimée en pourcentage, de la probabilité pour le système de repérer l'élément recherché lors d'une opération de suivi des mouvements. Lors de ce type d'opération, Avid Symphony calcule une valeur confidentielle pour chaque point de repère créé.
- Comment VC-1 est une spécification de codec vidéo en cours de normalisation par la SMPTE (SMPTE 421M) et mise en oeuvre par Microsoft dans son profil avancé WMV 9 AD.
- Comment Subdivision du spectre de couleurs complet définie par des valeurs de teinte et de saturation. La correction de couleurs secondaire utilise des vecteurs pour déterminer les zones spécifiques de l'image nécessitant des ajustements.
- Comment Utilisés dans les systèmes de compression MPEG-2 et MPEG-4, les vecteurs cinétiques décrivent la direction et la distance parcourue par les macroblocs (16 pixels de côté) entre les images. L'envoi des informations de mouvement implique une quantité de données inférieure à l'envoi d'une image I et permet donc de limiter le flux de données vidéo.
- Comment Affichage graphique représentant le motif électronique de la partie couleur d'un signal vidéo. Il est utilisé pour régler la saturation des couleurs et la teinte à l'aide d'une référence de couleur stable, telle que les barres couleur. La fenêtre Avid Vectorscope utilise un affichage à ligne unique.
- Comment Dans le domaine de la diffusion, il s'agit d'un système dans lequel le générateur de synchro interne d'un appareil (une caméra, par exemple) se verrouille et se synchronise d'après un signal entrant.
- Comment Very high frequency. Un des signaux de télévision destiné à la diffusion aux Etats-Unis selon les normes FCC. Sa fréquence est située entre les hautes fréquences (HF) et les ultra-hautes fréquences (UHF).
- Comment Système vidéo grand public (Video Home System). Format de cassette vidéo de 1/2 de pouce développé par JVC, destiné au marché commercial et industriel.
- Comment Une vidéo est une partie visuelle d'une séquence de film.
Une vidéo défini aussi toutes les télévisions autres que celle par télédiffusion. - Comment Définition de la structure du signal vidéo dans laquelle les signaux de couleur et de luminance sont conservés séparément en utilisant la méthode de soustraction des couleurs Y (luminance), Cb (le bleu moins la luminance) et Cr (le rouge moins la luminance), le vert étant dérivé par combinaison. Les deux autres formats à composantes sont texte déroulant et YUV.
- Comment La plupart des téléviseurs numériques classiques prennent en charge la vidéo composante, c'est-à-dire un mélange de luminance (Y) et de couleur pure basée sur la différence de couleur des signaux R-Y et B-Y (analogique) ou Cr et Cb (numérique). Ces composantes sont dérivées du RVB proposé par les appareils d'imagerie ou de télécinéma, les caméras, les ordinateurs, etc.
- Comment Signal vidéo dans lequel les composantes de luminance et de chrominance sont combinées (codées) comme dans les formats PAL, NTSC ou SECAM.
- Comment Le standard de haute définition utilisé en europe est 1080i 25. Le standard se définit donc en trois termes :
1. le nombre de lignes en HD (720 ou 1080), en SD (480 ou 576).
2. La nature de l'image : P (progressive), i (interlaced = entrelacé) et PSF ( image segmentée progressive), on utilise essentiellement le P et le i.
3. le nombre d'images par seconde (la cadence) : 23.98, 24, 25, 29.97, 30, 50, 59.94, 60. - Comment Signal vidéo ne contenant pas d'impulsion de synchronisation horizontale et verticale.
- Comment Flux de données vidéo enregistrées ou numérisées qui n'est pas traité par un programme de compression des données. Le signal vidéo demeure non comprimé à chaque étape du processus : entrée, stockage et sortie. La vidéo non comprimée est conforme à la norme ITU-R 601.
- Comment Système vidéo numérique décrit dans la documentation technique ITU-R -601 (CCIR 601). 4:2:2 correspond au format de la fréquence d'échantillonnage des trois composantes du signal vidéo : la luminance et les deux canaux de la couleur.
- Comment Marque d'Avid Technology, Inc. Marque de composants matériels qui synchronisent les entrées, les sorties et les conversions de signaux, sélectionne les cadences d'images audio et la compensation des images vidéo.
- Comment La cassette vidéo aussi appelée vidéocassette est un document magnétique qui peut être visionné à l'aide d'un magnétoscope. Elle contient un film vidéo. Le plus souvent elle contient deux bobines de bande magnétique l'une contenant la bande au départ et l'autre servant à enrouler la bande déjà lue. Pour la lecture ou l'enregistrement, la bande est enroulée autour d'un tambour rotatif qui comporte les têtes de lectures. Les pistes sont enregistrées sur le modèle hélicoïdal, c’est-à-dire en tranches obliques sur la bande.
Le plus souvent, une tranche correspond à une image, ou trame du film vidéo. L'enregistrement peut être analogique (FM), ou numérique ; il existe plusieurs formats de cassette vidéo : U-matic, Betacam, Betamax, VCR, VCR-LP, SV, V2000, VHS, VHS-C, S-VHS, S-VHS-C, Video 8, Hi-8. - Comment VITC (Vertical Interval TimeCode). Timecode inséré dans l'intervalle de suppression images. Comparez-le au LTC.
- Comment Point auquel une bande vidéo a atteint une vitesse stable, tous les systèmes d'asservissement sont verrouillés et le temps de prélecture est suffisamment long pour permettre le montage, l’enregistrement ou la numérisation.
- Comment Mesure du nombre d'unités pouvant être montées par seconde dans un morceau de données médias, dans les compositions (par exemple, 30 i/s pour NTSC, 25 i/s pour PAL et 24 i/s pour les films).
- Comment Effet accélérant ou ralentissant la présentation de média sur une piste.
Le seul moyen pour communiquer entre des machines appartenant à des VLAN différents est alors de passer par un routeur. Pour que les VLAN soient propagés sur différents commutateurs à partir d'un seul lien physique via "trunk", l'organisme IEEE (qui s'occupe également de la normalisation d'Ethernet et du Wi-Fi) a développé la norme 802.1Q. IEEE 802.1Q (qui succède à ISL) est aujourd'hui le protocole prédominant. Dans le contexte de VLAN, le terme "trunk" indique un lien de réseau supportant des VLAN multiples entre 2 commutateurs ou entre un commutateur et un routeur, cela fonctionne en utilisant un protocole adapté. En effet pour tenir compte des raccordements multiples sur un lien, les trames d'un VLAN doivent être identifiées avec un protocole commun. "data-ajax="false">Comment VLAN (Virtual Local Area Network). Un réseau virtuel, communément appelé VLAN (pour Virtual LAN), est un réseau informatique logique indépendant. De nombreux VLAN peuvent coexister sur un même commutateur réseau (switch). L'intérêt d'un VLAN est multiple. La Segmentation : réduire la taille d'un domaine de broadcast. La flexibilité permet de travailler au niveau 2 (couche liaison) (Adresse MAC) ou au niveau 3 (IP). Les VLAN fonctionnent au niveau de la couche 2 du modèle OSI.
Toutefois, un VLAN est souvent configuré pour se connecter directement à un réseau IP, ce qui donne l'impression de travailler plutôt au niveau de la couche 3. Les VLAN peuvent aussi se baser sur les ports physiques des commutateurs (attention à ne pas confondre les ports "physiques" avec les ports "logiques" du protocole) (en anglais : "port-based" ) ce qui correspond au niveau 1 du modèle OSI et non au numéro de port du niveau 4 (par exemple : le port 80 en TCP qui "pointe" vers le service HTTP). La sécurité permet de créer un ensemble logique isolé pour améliorer la sécurité.
Le seul moyen pour communiquer entre des machines appartenant à des VLAN différents est alors de passer par un routeur. Pour que les VLAN soient propagés sur différents commutateurs à partir d'un seul lien physique via "trunk", l'organisme IEEE (qui s'occupe également de la normalisation d'Ethernet et du Wi-Fi) a développé la norme 802.1Q. IEEE 802.1Q (qui succède à ISL) est aujourd'hui le protocole prédominant. Dans le contexte de VLAN, le terme "trunk" indique un lien de réseau supportant des VLAN multiples entre 2 commutateurs ou entre un commutateur et un routeur, cela fonctionne en utilisant un protocole adapté. En effet pour tenir compte des raccordements multiples sur un lien, les trames d'un VLAN doivent être identifiées avec un protocole commun.- Comment Marque déposée de Videomedia, Inc. Série de contrôleurs permettant de contrôler et de synchroniser l'équipement vidéo professionnel pour l'animation, le montage vidéo, la télévision haute définition et la télédiffusion.
- Comment VNV (Vidéo-Noir-Vidéo). Mode de prévisualisation affichant une scène enregistrée au préalable, un segment noir puis de nouveau la scène précédemment enregistrée.
- Comment Effet de fondu par volet d'une image à une autre dont la transition est floue et diffuse.
- Comment Volume unit meter. Instrument de mesure des niveaux sonores.
- Comment VVV (Vidéo-Vidéo-Vidéo). Mode d'aperçu affichant une scène enregistrée au préalable, la nouvelle vidéo insérée, puis de nouveau la scène enregistrée précédemment.
- Comment Valeur de luminance dans une image vidéo définie par rapport au blanc de référence lors du réglage des couleurs.
- Comment Le format Windows Media Video 9 est un système de compression audio et vidéo (codec) développé par Microsoft. Souvent assimilé à la norme MPEG-4 AVC, ce système semble légèrement plus performant, dans la mesure où il garantit des débits de données plus bas.
En outre, il est supposé posséder un processus plus simple et s'adapter particulièrement aux créations de contenu de type DVD HD. - Comment XDCAM est le caméscope Sony qui utilise des supports Professional Disc. Il permet d’enregistrer le format Sony MPEG IMX (compatible avec MXF).
Ce format MPEG-2 8 bits utilisant des images I (uniquement) à 50, 40 ou 30 Mb/s assure une qualité Digital Betacam numérique avec des débits de données exceptionnels. Les débits autorisent respectivement 45, 57 et 68 minutes d’enregistrement.
Avec certains modèles, vous pouvez également enregistrer le format DVCAM 8 bits avec une compression de 5:1 et un rapport d’échantillonnage de 4:1:1 pour le système 480/60I (NTSC) et de 4:2:0 pour le système 576/50I (PAL). Avec En DVCAM, le temps d’enregistrement est de 85 minutes.
Deux choix de codecs de compression sont possibles : HQ Mode : MPEG-2 Long Gop MP@HL en 4 :2 :0, 35Mbits/s VBR en 1920x1080 ou 1280x720 SP Mode : MPEG-2 Long Gop MP@H14 en 4 :2 :0, 25Mbit/s CBR en 1440x1080 (comme le HDV).
Un premier boitier lecteur/enregistreur SBAC- US10 en USB est disponible ainsi qu'un lecteur plus haut de gamme XDCAM EX. Il inclu des sorties HDMI, HD-SDI, Composantes HD/SD et S-Vidéo et Composite SD. Le support de report et de stockage mis en avant par Sony est le DVD HD du XDCAM. Sony propose à la vente des bundles caméscope, portable VAIO et l’utilitaire Clip Browser. Un produit positionné face au P2 de Panasonic. "data-ajax="false">Comment Sony a commercialisé un caméscope de poing PMW-EX1 avec 3 capteurs CMOS 1/2" Full HD, optique grand angle Fujinon 14x avec 3 bagues de diaph, zoom et mise au point ainsi qu’un large viseur et écran couleur LCD 16 :9 avec affichage des vignettes comme dans le XDCAM. Audio en XLR. Sorties IEEE ou USB en standard. Le stockage des images s'effecte sur des cartes PC Express nommées SxS (se prononce S by S). La caméra dispose de deux slots. Ce support PC Express, au format carte mémoire se retrouve déjà sur les nouveaux MacBook Pro Apple. Ce support est plus compact que le PCMCIA, est annoncé avec une vitesse de transfert de 800Mbps avec une très faible consommation d’énergie. Elles sont aujourd’hui disponibles en carte de 8 et 16 Go, pour 50 à 70 minutes au maximum 16Go).
Deux choix de codecs de compression sont possibles : HQ Mode : MPEG-2 Long Gop MP@HL en 4 :2 :0, 35Mbits/s VBR en 1920x1080 ou 1280x720 SP Mode : MPEG-2 Long Gop MP@H14 en 4 :2 :0, 25Mbit/s CBR en 1440x1080 (comme le HDV).
Un premier boitier lecteur/enregistreur SBAC- US10 en USB est disponible ainsi qu'un lecteur plus haut de gamme XDCAM EX. Il inclu des sorties HDMI, HD-SDI, Composantes HD/SD et S-Vidéo et Composite SD. Le support de report et de stockage mis en avant par Sony est le DVD HD du XDCAM. Sony propose à la vente des bundles caméscope, portable VAIO et l’utilitaire Clip Browser. Un produit positionné face au P2 de Panasonic.- Comment Le format XDCAM HD 420 de Sony enregistre la vidéo HD 1080I 4:2:0 selon les débits de données 18, 25 et 35 Mb/s sur supports Professional Disc (Blu-Ray). Constant, le débit de 25 Mb/s permet le transfert vidéo en HDV. Les deux autres débits sont variables. Vous pouvez effectuer des enregistrements de 2 heures avec le débit de 18 Mb/s, des enregistrements de 90 et 60 minutes avec les deux autres débits. Il est possible d’utiliser plusieurs débits de données sur un même disque. De même que le format HDV, le XDCAM HD applique la compression MPEG-2 avec un GOP long.
- Comment Le Format XDCAM HD 422 est le modèle haut de gamme de la ligne XDCAM. Une qualité d'image HD remarquable, un débit de 50 Mb/s, des capteurs 2/3 pouces à résolution 1920x1080, une conversion A/N sur 14 bits et un enregistrement 4:2:2 renforceront l'attrait du Professional Disc pour la production de documentaires et feuilletons télévisés mais également pour les programmes de divertissement grand public nécessitant une image de grande qualité.
L'acquisition sur Professional Disc et l'utilisation de vignettes et de Proxy permettent une diffusion rapide d'informations et des applications en direct où la vitesse de production est une condition essentielle. - Comment Signal de luminance du système couleur à composantes de la norme vidéo NTSC. Le signal est composé des proportions suivantes de rouge, vert et bleu : 0,299R + 0,587V + 0,114B
- Comment Luminance et signaux de différence de couleur du système couleur à composantes de la norme vidéo NTSC. Egalement appelée YCrCb.
- Comment Format numérique de vidéo composante. Y, Cr, Cb correspond à la forme numérique de Y, R-Y, B-Y.
- Comment La plupart des téléviseurs numériques classiques prennent en charge la vidéo composante, c'est-à-dire un mélange de luminance (Y) et de couleur pure basée sur la différence de couleur des signaux R-Y et B-Y (analogique) ou Cr et Cb (numérique). Ces composantes sont dérivées du RVB proposé par les appareils d'imagerie ou de télécinéma, les caméras, les ordinateurs, etc.
- Comment Désignation alphabétique de la luminance, de la luminance moins le rouge et de la luminance moins le bleu. Les lettres YUV sont les signaux de différence de couleur et de luminance de la norme vidéo à composantes PAL. Egalement appelée YCrCb.
- Comment Partie d'une image faisant l'objet d'une opération de suivi des mouvements. Appelée également zone de recherche.
- Comment Partie d'une image faisant l'objet d'une opération de suivi des mouvements.
- Comment Parties de l'image vidéo en principe exclues du recadrage lors de son application ou de l'introduction de titres à l'écran, compte tenu des variations de réglage des moniteurs vidéo ou des récepteurs de télévision.
La zone de sécurité action représente 90 % de la surface de l'écran mesurée depuis son centre.
La zone de sécurité titre en représente 80%. - Comment Abréviation de résolution 1 080 lignes, balayage entrelacé. Il s’agit du format le plus couramment utilisé en haute définition. Il correspond à 1 080 lignes et 1 920 pixels par ligne, avec balayage entrelacé. Mais la mention 1080I à elle seule ne permet pas de spécifier la fréquence d’images, pouvant être 25 ou 30 Hz, selon les normes SMPTE ou UIT.
- Comment Format d’image TV de 1 080 par 1 920 lignes, avec balayage progressif. La fréquence d’images peut être 25 et 30 Hz, comme pour le 1080I, mais également 24, 50 ou 60 Hz.
- Comment Fréquence d’échantillonnage utilisée pour le codage numérique 601 de la vidéo SD. Cette valeur étant un multiple des fréquences des systèmes de télévision à 525 et 625 lignes, elle permet un certain niveau de compatibilité entre les systèmes numériques. La vitesse d’échantillonnage est telle que les informations de luminance les plus détaillées présentes dans les images en SD sont fidèlement reproduites, même à la fréquence la plus élevée (5,5 MHz).
Pour la plupart des normes HD, l’échantillonnage numérique de la luminance s’effectue à 74,25 MHz, soit 13,5 MHz multipliés par 5,5. - Comment Il s’agit du plus petit multiple commun aux fréquences de lignes TV 525/59,94 et 625/50, soit respectivement 15,734265 kHz et 15,625 kHz. Bien que rarement évoqué, ce format a son importance puisqu’il constitue la base de toutes les fréquences d’échantillonnage de composantes numériques, pour la définition standard comme pour la haute définition.
- Comment Média progressif 24 i/s. Le système Avid génère un média 24i en associant (désentrelaçant) deux trames vidéo pour créer une seule image complète et reconstruite. Dans le cas des transferts film à bande NTSC, Avid génère un média 24i en supprimant les trames supplémentaires ajoutées par la compensation 2:3 et en créant des images progressives.
- Comment 24P est l'abréviation du format 24 images, balayage progressif. La plupart du temps, ce format fait référence au format d’image HD à 1080 lignes et 1920 pixels par ligne (1080x1920/24P). Cette fréquence d’images est également utilisée en définition standard à 480 et 576 lignes, avec 720 pixels par ligne. C’est souvent le cas dans le cadre d’un montage hors ligne en 24P haute définition ou pour la création de versions « Pan and Scan » recadrées après conversion en HD.
A l’instar des projecteurs cinématographiques, les écrans 24P ont généralement recours à la technique de double obturation ; chaque image est affichée deux fois ce qui permet de réduire le scintillement susceptible de se produire à cette faible fréquence d’images. - Comment Les images sont ensuite enregistrées sur bande sous forme de deux trames (segments), l’une comprenant les lignes impaires et l’autre les lignes paires concordantes dans le temps, et Understanding HD with Avid format 720P offre l'avantage de rafraîchir l'image à une fréquence suffisamment élevée afin de reproduire les mouvements en toute fidélité.
Il est donc recommandé pour la diffusion de compétitions sportives, les ralentis sur des actions, etc. 74,25MHz Fréquence d'échantillonnage couramment utilisée pour la luminance (Y) ou pour les valeurs RVB de la vidéo HD. Equivalant à 33 x 2,25 MHz, cette fréquence fait partie de sont alors parfaitement adaptées aux enregistreurs TV.
D’un point de vue électronique, ces images sont strictement identiques à celles d’un film ou d’une transmission télé cinématographique, à la seule différence que la vitesse de l’enregistreur est de 24 images/s. Cela confère au métrage obtenu un aspect plus « cinématographique ».
Toutefois, en raison d'une fréquence d'image plus réduite, le rendu des mouvements peut comporter certains défauts. La norme UIT-R BT. 709-4 inclut également le 25 PsF et le 30PsF. - Comment Média progressif 25 i/s. Le système Avid génère un média 25i en associant (désentrelaçant) deux trames vidéo pour ne faire qu'une seule image progressive entière et reconstruite.
- Comment Le 2K est un format d’images numérisées à partir d’une pellicule cinématographique de 35 mm, ainsi qu’un format légèrement différent pour la projection en salle de cinéma.
En termes de production, il correspond à 1 536 lignes de 2 048 pixels chacune et à une image au format d’affichage 4 x 3. L’échantillonnage 4:4:4 RVB d’une précision logarithmique sur 10 bits permet de transmettre fidèlement la netteté et le contraste des négatifs 35 mm.
Ce format n’est pas utilisé en télévision. Il sert à la numérisation des pellicules 35 mm dans le cadre des effets spéciaux, et de plus en plus fréquemment, de l’étalonnage, du montage et de la mastérisation. Il est cependant possible de sélectionner un affichage 16:9 (1 080 x 1 920) et 4 x 3 à partir du 2K pour la distribution HD et SD à la télévision.
Enfin, ce format convient à la reconversion analogique de qualité supérieure ou à la projection directe en D-cinéma. Comme pour la pellicule, l’image d’origine ne s’affiche pas en totalité à l’écran. En projection numérique, le 2K désigne une image de 2 048 x 1 080 lignes offrant un large format d’affichage. - Comment L'un des premiers formats de cassette vidéo composite, dans lequel le signal composite est enregistré sur une bande de largeur égale à ¾ de pouce. Utilisé pendant de nombreuses années, particulièrement dans les enregistrements en extérieurs, le format U-matic est progressivement remplacé par des systèmes plus performants et plus légers.
- Comment En matière de télévision numérique, les fréquences d’échantillonnage sont définies par des formules abrégées, qui ont, à plusieurs égards, un rapport assez éloigné avec le concept qu’elles décrivent. Ces formules numériques ne sont pas des nombres absolus, mais expriment des rapports de fréquences d’échantillonnage ; un certain effort d’interprétation est donc nécessaire pour comprendre leur signification précise. Le terme « sous-échantillonnage de la chrominance » fait référence à ces rapports de fréquence d’échantillonnage. La plupart du temps, les premiers chiffres expriment la luminance (Y) et les deux derniers la chrominance (à l’exception de 4:4:4 ou 4:4:4:4 abordés plus en détail ciaprès).
Le premier chiffre est quasi systématiquement un 4, signifiant que la luminance est échantillonnée une fois par pixel produit dans l’image. Dans quelques rares cas, une fréquence d’échantillonnage plus faible pourra être utilisée pour la luminance. C’est le cas par exemple du HDCAM, qui a généralement recours au format 3:1:1. Le terme souséchantillonnage désigne l'utilisation d'une fréquence d’échantillonnage inférieure au nombre de pixels final.
Les deux chiffres suivants correspondent aux fréquences d’échantillonnage des composantes de couleur pure numérisée de Rouge-Y et Bleu-Y, intitulées Cr et Cb. Selon le principe télévisuel exploitant les limites de perception de l’oeil humain dans le domaine de la couleur pure, les coupes permettant de réduire la quantité de données sont généralement effectuées au niveau de la chrominance plutôt qu’au niveau de la luminance. Le format d’échantillonnage le plus couramment utilisé en studio est le 4:2:2 : sur chaque ligne, la fréquence d'échantillonnage des deux composantes de couleur est deux fois moins élevée que la fréquence d'échantillonnage de luminance.
Le format 4:1:1, utilisé par certains formats DV et par le DVCAM, effectue, sur chaque ligne, un échantillonnage de Cr et Cb tous les 4 points d’échantillonnage de Y. Il permet néanmoins d’atteindre un niveau de détail de chrominance supérieur au PAL ou au NTSC. On peut également raisonner de la façon suivante : si on effectue un sous-échantillonnage horizontal de la chrominance, comme c’est le cas en 4:1:1, la même opération réalisée dans le sens vertical devrait, en toute logique, permettre une répartition plus uniforme des informations de couleur. Ainsi, au lieu d’échantillonner Cr et Cb sur la même ligne, l’échantillonnage de Cr s'effectue sur la première ligne et celui de Cb sur la deuxième. La fréquence d’échantillonnage augmente alors sur chaque ligne pour passer à une valeur Y sur deux. Ce type de procédé est appelé échantillonnage 4:2:0 (soit 4:2:0 sur une ligne et 4:0:2 sur la suivante) utiliséen MPEG-2 et dans la plupart des processus de compression JPEG. En règle générale, il est conseillé d’associer aux images un signal clé (signal alpha). Pour synthétiser, une image clé est une image complète dont on n’a gardé que les valeurs de luminance. Il est donc logique d’ajouter le chiffre 4 à la formule ; on parle alors de format 4:2:2:4.
Techniquement parlant, le 4:4:4 peut correspondre à un échantillonnage complet du RVB ou, beaucoup plus rarement, des signaux des composantes Y, Cr et Cb. Si un canal clé est associé au RVB, on parle alors de codage en 4:4:4:4. Dans certaines situations, des techniques non standard seront plus indiquées, telles que le sur-échantillonnage, qui permet une amélioration de la qualité d’image, à condition d’être traité correctement. Vous pourrez voir dans ce cas des formats de codage du type 8:8:8, correspondant à deux échantillonnages par pixel dans le cas du RVB. Ce rapport d’échantillonnage est utilisé aussi bien en SD que pour la vidéo haute définition. Même si la taille d’échantillonnage est généralement 5,5 fois supérieure, le format 4:2:2 reste le plus largement répandu en studio HD.
Pourquoi le chiffre 4 ? En toute logique, le premier chiffre devrait être un 1, qui représenterait une relation d’équivalence avec les pixels de 1:1, mais les normes télévisuelles restent largement tributaires des formats existants. En effet, au début des années soixantedix, les premières tentatives de numérisation de signaux de télévision portaient sur des formats PAL et NTSC codés. Dans un cas comme dans l’autre, la fréquence d’échantillonnage devait nécessairement être calquée sur celle de l’onde sousporteuse couleur, elle-même régie par un rapport fixe du nombre de lignes/fréquences d'images. En NTSC, la fréquence du signal de sous-porteuse équivaut à 3,579545 MHz et celle du standard PAL-I à 4,43361875 MHz.
En comparaison, l’échantillonnage des systèmes numériques équivaut généralement à 4 fois le signal de sous-porteuse NTSC ou 3 fois le signal pour le PAL, soit respectivement 14,3 et 13,3 MHz. Une nouvelle étape déterminante a ensuite été franchie avec l’apparition de la vidéo à composantes Y, B-Y et R-Y (valeur de luminance plus deux composantes de couleur pure, appelée également signal de différence de couleurs), simplifiant considérablement le traitement de toutes les opérations courantes effectuées sur les images (redimensionnement, lissage, conversions à diverses normes ou compression, entre autres). La même logique a été conservée dans le cadre du développement de la norme d’échantillonnage pour ce type de vidéo. Une certaine harmonisation entre les deux systèmes de balayage 525/60I et 625/50I utilisés dans les différents pays a également été introduite. Cette norme est connue sous le nom de norme UIT-R BT.601 pour l’échantillonnage SD. ‘601’ définit la fréquence d’échantillonnage de la luminance à 13,5 MHz (produisant 720 pixels par ligne active) et chaque signal de différence de couleurs à la moitié de cette fréquence, soit 6,75 MHz.
Et pour la petite histoire, on s’aperçut un beau jour que cette valeur de 13,5 MHz était quasiment identique aux 14,3 MHz équivalent à 4 fois le signal de sous-porteuse du NTSC. En poussant un peu plus loin le raisonnement, il aurait été facile d’établir une correspondance encore plus proche entre cette fréquence de 13,5 MHz et la multiplication par 3 du signal de sous-porteuse du standard PAL, ce qui aurait permis de simplifier largement le jargon pour le moins complexe utilisé actuellement. Voilà pourquoi ce nombre qui aurait pu être un 3 et aurait dû être un 1 est devenu par convention un 4. En haute définition, les fréquences d’échantillonnage étant 5,5 fois plus rapides que pour la SD, l’échantillonnage 4:2:2 largement répandu en studio équivaut en réalité à 74,25 MHz pour les valeurs Y et 37,125 MHz pour Cr et Cb. - Comment Le 4K correspond à un format d’images de production de films numériques de 3 072 lignes de 4 096 pixels chacune, soit quatre fois la définition du 2K. Chaque image comportant 32 Mo de données, la lecture et le traitement de rushes 4K en temps réel requièrent une station de travail puissante, sans compter un espace disque énorme.
Malgré les défis techniques à relever, un nombre croissant de professionnels préfèrent utiliser le 4K dont l’avenir semble plus prometteur.
En outre, il est possible de créer en 4K des prises d’effets pouvant être réinsérées, en toute transparence, dans un film 2K. Les avantages indéniables du 4K en matière de coûts et d’utilisation laissent prévoir son développement en tant que format de mastérisation numérique, aux dépens du 2K. - Comment Fréquence d'échantillonnage couramment utilisée pour la luminance (Y) ou pour les valeurs RVB de la vidéo HD. Equivalant à 33 x 2,25 MHz, cette fréquence fait partie de la structure hiérarchique utilisée pour le SD et le HD. Elle est définie par les normes SMPTE 274M et UIT-R BT.709.
- Comment Abréviation du format 720 lignes, balayage progressif. Défini par le standard SMPTE 296M et inclus aux normes de télévision ATSC et DVB, ce format se caractérise par 1280 pixels par ligne, 720 lignes et 60 images par seconde balayées progressivement.
Il est majoritairement utilisé par les professionnels de la diffusion devant transmettre dans une définition 720P. Grâce à son balayage progressif de 60i/s, le format 720P offre l'avantage de rafraîchir l'image à une fréquence suffisamment élevée afin de reproduire les mouvements en toute fidélité. Il est donc recommandé pour la diffusion de compétitions sportives, les ralentis sur des actions, etc. - Comment 100 Base Voice-Grade. Topologie combinée Ethernet et Token Ring développée par HP, améliorée par IEEE spécifiée 802.12. Elle supporte le format des paquets Ethernet et Token Ring et est basée sur la Méthode de demande de Priorité (Access Priority). Sa vitesse minimum de Transmission est de 100 Mb/s, son supPort câblage en UTP, STP et Fibre optique
- Comment Nouvelle génération gigabite Ethernet disponible depuis 1998 sur Fibre optique et Fil de cuivre, utilisée en premier pour la Transmission Backbone, spécification de EIA/TIA 568-A et IEEE
- Comment TYPE d'UART montée sur les PC.
- Comment TYPE d'UART montée sur les PC et fonctionnant correctement jusqu'à 115 200 Bps.
- Comment Composant électronique capable de transformer les données numériques en données analogiques. Par exemple transformer les données numériques d'un Fichier en données qu'un Modem pourra envoyer via le réseau téléphonique.
- Comment Microprocesseur AMD couramment employé dans les imprimantes LASER.
- Comment Abréviation courante pour la ligne d'Accès de Base. Signifie deux canaux B plus un Canal D.
- Comment Organisation fondée à l'initiative de Nicholas Negroponte et destinée à former les jeunes aux nouvelles technologies dans les pays défavorisés.
- Comment Les images en 2D NE présentent que 2 dimensions, hauteur et largeur.
- Comment Coprocesseur graphique développé par Texas Instruments. Largement répandu sur les cartes graphiques.
- Comment Coprocesseur graphique développé par Texas Instruments. Largement répandu sur les cartes graphiques.
- Comment Le i80386, présenté en 1985, a marqué chez Intel le début de l'ère des 32 BITS. Avec 2 75 000 fonctions de transistor, on réalisait sur une seule Puce un processeur à registres de 32 BITS, Bus de données de 32 BITS et Bus d'adresses de 32 BITS. L'adressage de la Zone d'Adresse de 4 Go pouvait s'effectuer avec ou sans Segmentation, une MMU intégrée venant gérer la mémoire. De 16 MHz au départ, la Fréquence d'horloge fut portée à 40 Mhz.
En 1986, la société Compaq présenta le premier PC 386, le Deskpro 386/16. IBM suivit UU AN plus tard seulement, en tentant de se débarrasser des fabricants de clones avec ie PC de la série IBM-PS/2.
En 1988 est apparu le i80386 SX, équipé d'un Bus de données réduit à 16 BITS, qui devait rééditer, en plus grand, le "coup" du i8088 dont il était une variante moins onéreuse. A la différence du processeur SX, Ie processeur originel reçut l'appellation "Dx". - Comment Portage du Système d'exploitation UNIX pour les ordinateurs possédant un processeur Intel. Contrairement à Linux, ce Système d'exploitation est développé par une équipe fermée de programmeurs. (Souvent connue sous le nom de "NetBSD").
- Comment Représentation de la hauteur, de la largeur et de la profondeur dans l'espace. De plus en plus de jeux utilisent un affichage en 3D par soucis de réalisme.
- Comment Jeu d'instructions développé par AMD. Il est composé d'intructions prenant en charge la virgule flottante SIMD, le traitement de signaux numériques (DSP, Digital Signal Processing) et les opérations sur les nombres entiers.
- Comment Constructeur de cartes graphiques, à la base des cartes Voodoo. 3DFX propose aux programmeurs une bibliothèque de programmes permettant d'exploiter au maximum leurs cartes. C'est le fameux Driver Glide. La société a été rachetée par Nvidia pour un montant de 112 millions de $ en décembre 2001.
- Comment 3DML (3D Markup Language). Langage de description de mondes virtuels développé par la société Flatland.
- Comment 3GPP (Third Generation Partnership Project). Organisation de Normalisation internationale issue d'une collaboration entre les membres de l'ETSI et des instances de normalisation américaines, japonaises et coréennes, afin de parvenir à la détermination d'une norme unique pour les systèmes mobiles de troisième génération (UMTS), notamment par la Définition d'une Interface radio commune. L'ETSI a transféré les activités du comité SMG pour l'UMTS au 3GPP.
- Comment CODEC vidéo payant développé par la société belge Happy Machines, permettant de gagner encore 40 à 60% de place par rapport au Divx.
- Comment Message d'erreur HTTP signifiant que le serveur n'a pu localiser le document demandé.
- Comment Le i80486 DX, à la Fréquence d'horloge de 33 MHz, amorça une nouvelle étape avec sa sortie en 1989 : il possédait un coprocesseur intégré à la Puce, qu'il fallait autrefois acquérir séparément. A quelques détails près cependant, le 486 correspondait au 386. Le i80486 SX à 25MHz, variante sans coprocesseur opérationnel, fut lancé sur le marché, occupant le BAS de la gamme de prix des ordinateurs 486.
- Comment Nom non officiel donné au Pentium d'Intel. Le nom Pentium a été choisit pour des raisons de copyright. En effet il n'est pas possible de déposer une suite de nombres, ce qui aurait permis aux concurrents de sortir des processeurs avec le même nom.
- Comment Standard IEEE pour l'interopérabilité des réseaux sans fil initié en 1990 et finalisé en 1997. Il existe 3 TYPE de produits 802.11 dont la transmission par infrarouge (IR) et la Transmission par onde radio sur la Bande ISM 2.4Ghz. 802.11 Offre des débits maximums théoriques de l'ordre de 2Mbit/s.
- Comment Standard IEEE pour l'interopérabilité des réseaux sans fil initié en 1990 et finalisé en 1997. Evolution du 802.11 utilisant la bande ISM 5Ghz, permettant un débit maximum théorique de l'ordre de 54Mbit/s. Du fait de la fréquence employée 802.11a est incompatible avec le standard 802.11 et son évolution 802.11b.
- Comment Standard IEEE pour l'interopérabilité des réseaux sans fil initié en 1990 et finalisé en 1997. Première évolution du standard IEEE 802.11 ayant vu le jour en 1999, elle permet d'atteindre un Débit maximum théorique de 11Mbit/s en utilisant la Bande ISM 2.4Ghz. 802.11b s'avère rétrocompatible avec le standard IEEE 802.11.
- Comment Standard IEEE pour l'interopérabilité des réseaux sans fil initié en 1990 et finalisé en 1997. Evolution du standard IEEE 802.11 ratifiée en juin 2003. Cette évolution permet une augmentation du Débit maximum théorique à 54Mbit/s sur la Bande de fréquence 2.4Ghz tout en étant rétrocompatible avec les standaRDS 802.11 et 802.11b.
- Comment Norme de transmission de données sans fil.
- Comment Standard IEEE de connectique pour les réseaux Ethernet, il comprend le 10Base-2, 10Base-5, et le 10Base-T.
- Comment Standard IEEE pour les réseaux Token Ring.
- Comment Coprocesseur arithmétique (FPU) donnant à un microprocesseur 80486 SX les capacités qui le manque par rapport au 80486 DX.
- Comment Microprocesseur 8bits lancé par Intel en 1974. Souvent employé par les micro-ordinateurs sous CP/M. Obsolète dès 1980.
- Comment Coprocesseur arithmétique optionnel des microprocesseurs Intel 8086, 8088, 80186 et 80188.
- Comment Microprocesseur Intel (29 000 transistors) avec registres internes sur 16 bits et Bus de données sur 8 bits. Fréquence comprise entre 4.77 et 10 Mhz. Monté dans les PC de 1981 à 1987. C'est une version du 8086 avec un Bus de données réduit à 8 bits.
- Comment Microprocesseur dédié à la gestion de la Mémoire cache dans les micro-ordinateurs fondés sur les microprocesseurs 80386 et 80486.
- Comment Carte graphique couleur introduite en 1987 par IBM pour les PC et compatibles. Elle offre une Définition de 1024 sur 768 en 256 couleurs sur une palette de 262 144.
- Comment Norme technique permettant le transport des caractères sur 8 bits, et donc, sous certaines conditions, de des caractères accentués sur Usenet.
- Comment 16/9e est le rapport d'image (largeur/hauteur) qui se rapproche le plus de ceux que l'on retrouve au cinéma (1.66 :1, 1.85 :1 et 2.35 :1) et qui permet de visualiser de manière optimum les films enregistrés sur un DVD au format cinéma et certaines émissions TV.
Il existe des écrans cathodiques, LCD et Plasma au format 16/9e, ainsi que des vidéoprojecteurs dont la matrice reprend ce rapport, mais on peut également en profiter sur un écran 4/3 traditionnel en perdant une partie de la surface de l'écran. - Comment 2,5G est un terme générique désignant un système de télécommunication cellulaire à commutation de paquets dont le débit est intermédiaire entre celui disponible sur le GSM et celui disponible sur les systèmes 3G (UMTS par exemple). Parmi les systèmes 2,5G, on peut citer notamment le GPRS et l'i-mode.
- Comment 3G est la 3ème génération de téléphones. La deuxième génération, née au début des années 1990, était basée sur le réseau GSM (Global System for Mobile communication), avec l'avénement de la téléphonie mobile. La 3G est elle basée sur l'UMTS (Universal Mobile Telecommunications Systems), en rupture totale avec les réseaux précédents.
En effet, cette technologie nécessite que de nouvelles antennes soient installées et que de nouveaux téléphones soient vendus. - Comment Le Print regroupe tous les médias imprimés : presse, affichage, flyer, etc.
Le print se distingue par exemple des médias de l'audiovisuel : TV, radio, cinéma. - Comment AAC (Advanced Audio Coding). Également appelé MPEG-2 AAC ou MPEG-2 NBC, ce format s'annonce comme le successeur du MP3. Les fichiers AAC codés à un débit binaire de 96 kbit/s offrent une qualité audio légèrement meilleure que celle des MP3 codés à 128 kbit/s.
- Comment Service d'une agence ou société spécialisée chargés de trouver les talents (et de négocier les contrats) : dessinateurs, photographes, chorégraphes, musiciens, etc., adaptés au style de la campagne.
- Comment AACC : Association des Agences Conseils en Communication.
- Comment Littéralement, « au-dessus de la ligne ». Désigne, dans un budget de communication les dépenses faites dans les six grands médias : presse, télévision, affichage, radio, cinéma et Internet. Above the line est synonyme de publicité, Below the line de dépenses hors-média.
- Comment Tranche horaire précédant le prime time, de 19 heures à 20 heures.
- Comment Serveur distribuant les bannières sur les espaces programmés.
- Comment Logiciels de suivi et de mesure des campagnes de publicité sur Internet.
- Comment Jeu conçu à des fins publicitaires. Contraction d’advertising (publicité) et de game (jeu).
- Comment Contraction d’advertising (publicité) et d’entertainment (divertissement). Il s’agit d’un divertissement ayant des fins publicitaires qui peut recouvrir des formats très variés, du spot de télévision à la conception et la diffusion de programmes, voire de séries.
- Comment AEPM (Audience et Etudes pour la Presse Magazine). Organisation professionnelle qui étudie l’audience de la presse magazine et dont les enquêtes se sont substituées à celles du CESP.
- Comment Elle conçoit et produit des campagnes faisant appel aux grands médias (presse, TV, affichage, radio, cinéma et Internet). Les agences sont dites « à service complet » lorsqu’elles proposent à leurs clients, les annonceurs, un ensemble de prestations allant des études à la formulation de la stratégie publicitaire, la conception des campagnes et la production des messages. Ce service dit complet mérite d’être nuancé. D’une part, l’achat d’espace est fait aujourd’hui par des agences médias. D’autre part, une partie de la réalisation des campagnes est sous-traitée.
- Comment Les Agence médias sont des entreprises spécialisées, originellement dans l’achat d’espace (les agences médias sont issues des centrales d’achat), et dont la création a répondu au besoin croissant des annonceurs de rationaliser leurs achats d’espace et de négocier de façon groupée les budgets de leurs différentes marques.
Les centrales d’achat se sont donc installées dans le paysage en se dédiant à l’achat d’espace et à la négociation avec les médias, puis elles ont progressivement intégré des prestations de stratégie médias, de moins en moins couvertes par les agences de publicité. - Comment Médiaplanning sur Internet.
- Comment Le Marketing relationnel est un ensemble d’outils permettant d’établir des relations individualisées et interactives avec les clients, en vue de créer et d’entretenir chez eux des attitudes positives et durables à l’égard d’une entreprise ou d’une marque déterminées.
On parle de programme relationnel lorsque l’on envisage une relation durable avec le consommateur, alors que le marketing direct et la promotion des ventes sont envisagés lorsque l’on recherche un changement de comportement ponctuel du consommateur. - Comment Marketing direct utilisant le téléphone. On dit parfois « phoning », alors que les Anglo-Saxons disent telemarketing.
- Comment Se dit souvent « mailing ». Courrier envoyé à un prospect pour lui faire une offre d’achat ou à un client pour entretenir une relation avec la marque. Un publipostage comprend au minimum l’enveloppe (décisive pour inciter le correspondant à l’ouvrir et à prendre connaissance du message), le message qui comporte l’offre et le formulaire de réponse.
- Comment Capteur fixé à un mobile permettant de mesurer l’accélération.
- Comment Outil du SDK (kit de développement Android) permettant d’exécuter des commandes sur un téléphone Android depuis un PC, plutôt que les exécuter depuis le téléphone.
- Comment Régie publicitaire et plateforme de publicité mobile qui propose des solutions de publicité et de monétisation d’application mobile.
- Comment Programme gratuit permettant aux éditeurs Internet de générer des revenus en diffusant des annonces ciblées sur une large gamme de supports Web.
- Comment Entreprise qui réalise sa promotion par le biais de l’affilié.
- Comment Action de promotion d’un site Internet sur des sites d’affiliateurs mettant en avant une publicité contre une rémunération par action réalisée (vente effectuée, formulaire souscrit…) et non au coût par clic,
- Comment Site internet qui héberge la promotion de l’affiliateur.
- Comment Android est un système d'exploitation open source utilisant le noyau Linux, pour smartphones, tablettes tactiles, PDA et terminaux mobiles. Ce système d'exploitation a été conçu par Android, une startup rachetée par Google le 5 novembre 2007.
- Comment Anciennement Android Market, aujourd'hui Google Play Store, est la place de marché officielle des applications Android. Les utilisateurs peuvent découvrir et télécharger des applications payantes et gratuites.
- Comment Système d’exploitation pour téléphone utilisant le langage Java pour permettre a des développeurs de créer des applications.
- Comment Kit gratuit mis à disposition par Google incluant tous les outils utiles pour développer des applications Android.
- Comment Entité qui a recours à la communication.
- Comment Une application mobile est un programme téléchargeable de façon gratuite ou payante et exécutable à partir du système d’exploitation du téléphone.
- Comment Mesure de la population ayant « utilisé » un media.
- Comment Capacité d’une entreprise à valoriser auprès de ses clients une offre perçue comme différente des concurrents.
- Comment Potentiel d'attraction du point de vente matérialisé par le nombre de clients qui le fréquente.
- Comment Achat non prémédité qui est décidé subitement, grâce par exemple à une tête de gondole.
- Comment Entreprise gérant des budgets de communication pour le compte d'annonceurs, elle propose une stratégie de communication et se charge de la diffusion de la manière la plus efficace possible des messages véhiculant cete stratégie.
- Comment Méthode qui permet de structurer un argumentaire en passant 4 phases : attirer l'Attention, susciter l'Intérêt, provoquer le Désir, inciter à l'Achat.
- Comment Théorie qui découpe la personnalité de chaque individu en 3 catégories : l'état parent, l'état adulte et l'état enfant. Cette méthode permet d'améliorer l'efficacité des vendeurs lors de négociations.
- Comment Elément fort d’une information ou d’une communication chargée d’attirer l’attention du lecteur, de l’auditeur, du prospect dans le cadre d’un premier contact.
- Comment Cahier des charges adressé à des fournisseurs précisant le service attendu.
- Comment Premiers utilisateurs d'une application.
- Comment Transmission d’informations, de jugements ou de recommandations de personne à personne par voie orale ou par email. Le marketing viral ou le buzz marketing cherche souvent à susciter ou entretenir un bouche-à-oreille.
- Comment Projet ou une activité qui doit générer des revenus.
- Comment Slogan qui sert de signature d'un produit, d'une marque, d'une entreprise dans une publicité.
- Comment Cahier des charges à l'intention des créatifs. Se conçoit et s’expose au sein de l'agence, en dehors de la présence de l'annonceur.
- Comment Cahier des charges à l’intention du service médias, pour choisir les médias et les supports à mettre en oeuvre pour une campagne.
- Comment Ensemble des données disponibles sur les clients (ou les prospects) qui permettent de personnaliser et d'anticiper les relations avec eux.
- Comment Processus d'évaluation des produits et méthodes d'entreprises (concurrentes ou non) reconnues comme étant les meilleures, dans le but de s'en inspirer.
- Comment C'est un état de manque et d'insatisfaction ressenti par un individu qui le pousse à se procurer un bien ayant la propriété de faire cesser cet état.
- Comment Méthode de recherche collective d'idées neuves. Elle sépare nettement la phase d'imagination, au cours de laquelle toute idée qui vient à l'esprit d'un membre du groupe est formulée, de la phase de sélection au cours de laquelle les idées précédentes sont critiquées et triées.
- Comment Business to Business. Abréviation utilisée pour désigner le commerce entre professionnels.
- Comment Business to Consumer. Relations commerciales d'entreprises vers des consommateurs.
- Comment Business to Business to Consumer. Abréviation utilisée pour désigner le commerce entre une entreprise et le grand public par l'intermédiaire d'un réseau de revendeurs.
- Comment Business to Employee. Désigne les relations entre l'entreprise et ses collaborateurs.
- Comment Business to Mobile. Commerce par mobile. Désigne la vente de services par l'intermédiaire du web mobile.
- Comment Succession d'intermédiaires acheminant un bien depuis le producteur jusqu'aux consommateurs. Un circuit de distribution est un ensemble de canaux de distribution.
- Comment Segment de clientèle que l'entreprise souhaite atteindre.
- Comment Processus par lequel un émetteur fait passer un message par l'intermédiaire d'un vecteur, à un récepteur dont généralement il attend une réponse (feed-back).
- Comment Forme de communication qui passe par l'un des 6 grands médias : télévision, radio, presse, cinéma, affichage, internet.
- Comment Stratégie de communication qui consiste à utiliser des médias différents en fonction des cibles visées.
- Comment Forme de communication passant par un vecteur direct comme le publipostage ou la téléprospection.
- Comment Manière dont s'y prend le consommateur pour acheter.
- Comment Ensemble organisé et limité dans le temps d’actions de communication.
- Comment Valeur de la marque due à sa capacité à générer des opinions, des attitudes et des comportements spécifiques auprès de ses clients.
- Comment Carte mémoire que l’on peut rajouter à son téléphone.
- Comment Carte mémoire interne au téléphone.
- Comment Politique de marketing sollicitant et encourageant la collaboration et la participation des clients, pour concevoir et réaliser une offre, communiquer ou gérer la relation clients.
- Comment Démarche qui consiste à surveiller, influencer, contrôler et défendre la réputation d’une marque ou société sur Internet ou autres canaux ou médias à dimension communautaire. Le Community Manager est le responsable, le garant de cette démarche.
- Comment Démarche qui consiste à surveiller, influencer, contrôler et défendre la réputation d’une marque ou société sur Internet ou autres canaux ou médias à dimension communautaire. Le Community Manager est le responsable, le garant de cette démarche.
- Comment Situation de marché dans laquelle des entreprises ou organisations proposent des offres substituables en cherchant à être préférées par les clients. Il s'agit de l'éternelle rivalité entre entreprises qui ont la même cible.
- Comment Concurrence de produits similaires et facilement substituables à ceux que propose une entreprise.
- Comment Concurrence de produits substituables à ceux que propose une entreprise, mais qui relèvent d’un autre segment de produit.
- Comment CRM (Customer Relationship Management) est une stratégie d'une entreprise visant à comprendre, anticiper et gérer les besoins de ses clients actuels et potentiels.Techniques d’acquisition et de fidélisation.
- Comment Version 1.5 d'Android.
- Comment Recherche et Développement. Service de l'entreprise chargé du développement des nouveaux produits.
- Comment Personne responsable des budgets d'une ou plusieurs campagnes de communication
- Comment La capacité à développer une offre spécifique et différente qui soit valorisée par le client et d’avoir un avantage concurrentiel.
- Comment Version en ligne de la publicité classique avec achat d’espace et utilisation d’éléments graphiques ou visuels.
- Comment Version 1.6 d'Android.
- Comment Création d'objets aux caractéristiques esthétiques et fonctionnelles.
- Comment Publipostage électronique via le courrier électronique.
- Comment Elle permet d'obtenir des données non quantifiables telles que les motivations d'achat, l'image du produit, etc.
- Comment Elle permet d'obtenir des données chiffrées sur un marché : CA, nombre de clients, prix pratiqués, etc.
- Comment FCS (Facteur Clé de Succès). Elément important pour être performant sur un marché.
- Comment Personne travaillant à son compte.
- Comment Facebook est un réseau social permettant le partage d’informations d’ordre privé (par le biais de photographies, liens, textes, etc) à la constitution de pages et de groupes visant à faire connaitre des institutions, des entreprises ou des causes variées.
- Comment La fidélisation est la démarche marketing qui cherche à favoriser la fidélité des clients.
- Comment Attachement durable, préférentiel ou exclusif, à une entreprise ou une marque.
- Comment Flashcode est une marque désignant un format de données propriétaire de codes-barres 2D (datamatrix), développé par l’Association française du multimédia mobile. Ces pictogrammes composés de carrés peuvent notamment être décodés par des téléphones mobiles disposant du lecteur flashcode.
La photographie d'un flashcode, comme celle d'autres types de code-barre 2D, avec un portable peut déclencher différentes actions, telles que se connecter à un site Web pour consulter un article, envoyer un SMS, un MMS ou un courrier électronique, faire un appel téléphonique, enregistrer une carte de visite dans ses contacts. - Comment Page xml avec un contenu dynamique de sites ou de blogs. On l’utilise généralement pour les news, les actualités ou les billets d’un blog.
- Comment Politique de prix consistant à proposer gratuitement une offre et à se rémunérer sur des produits améliorés dits « premium » ou des produits complémentaires, tels que des prestations de service ou de la publicité.
- Comment Le code QR est un type de code-barres en deux dimensions (ou code matriciel datamatrix) constitué de modules noirs disposés dans un carré à fond blanc.
En anglais, QR est l’abréviation de Quick Response, signifiant que le contenu du code peut être décodé rapidement. Destiné à être lu par un lecteur de code-barres, un téléphone mobile, un smartphone, ou encore une webcam, il a l’avantage de pouvoir stocker plus d’informations qu’un code à barres, et surtout des données directement reconnues par des applications, permettant ainsi de déclencher facilement des actions comme naviguer vers un site internet, ou mettre l’adresse d’un site en marque-page, faire un paiement direct via son cellulaire (Europe et Asie principalement), ajouter une carte de visite virtuelle (vCard, MeCard) dans les contacts, ou un événement (iCalendar) dans l’agenda électronique, déclencher un appel vers un numéro de téléphone ou envoyer un SMS, montrer un point géographique sur Google Maps ou Bing Maps, coder un texte libre, etc.
Publié au Japon en 1999 sous un format de données libre, le code QR fait l'objet d'une normalisation ISO 18004. - Comment Approche fondée sur la géographie des populations et de la consommation.
- Comment Version 2.3 d'Android.
- Comment Conférence annuelle de deux jours, organisée par Google au Moscone Center de San Francisco, en Californie.
- Comment Version 3.0 d'Android.
- Comment Regroupe l'ensemble des techniques de communication autres que les 6 grands médias. C'est-à-dire le sponsoring, le mécénat, la promotion des ventes, les relation publiques, le marketing direct, les foires, les salons. Elles représentent environ 60% des dépenses de communication.
- Comment Version 4.0 d'Android.
- Comment Politique de positionnement consistant à rattacher une offre à une catégorie de produits dans l’esprit du client.
- Comment Eléments visuels permettant aux consommateurs de reconnaître une marque, un produit, une entreprise.
- Comment Représentations mentales (connaissances, croyances, évocations) associées à une marque (ou à un produit) par un public déterminé.
- Comment L'innovation est l'un des principaux moyens pour acquérir un avantage compétitif en répondant aux besoins du marché. Innover, c'est créer de nouveaux produits, développer des produits existants, mais aussi adopter les dernières technologies issues de la recherche fondamentale. Il faut distinguer l'innovation de l'invention.
- Comment Version 4.1 d'Android.
- Comment Personne ayant un statut, une expertise ou une audience qui lui permet d’influencer un public plus ou moins étendu.
- Comment Réseau social de mise en relation professionnelle.
- Comment Symbole visuel désignant une entreprise ou une marque.
- Comment Cession du droit d'exploitation d'un savoir-faire par le détenteur d'un brevet.
- Comment Equivalent du e-commerce mais appliqué aux mobiles.
- Comment Coupon sur mobile. Coupon de réduction sur mobiles.
- Comment Personne naviguant sur Internet à partir d’un téléphone mobile.
- Comment MWC (Mobile World Congress). Un des plus grands salons européens consacrés aux annonces de produits High Tech.
- Comment Ensemble des techniques et actions qui participent à la commercialisation d'un produit ou d'un service.
- Comment Il consiste à considérer que tous les consommateurs peuvent être satisfaits par la même offre (à la différence du marketing différencié ou One to One).
- Comment Consiste à proposer une offre spécifique à chaque consommateur.
- Comment Techniques de communication personnalisée, voire individualisée et de vente à des individus (particuliers et entreprises) identifiés dans des fichiers : publipostages, télémarketing, e-mailing.
- Comment Marketing ciblé en fonction d'une population, d'une langue ou d'une couleur de peau.
- Comment Désigne les moyens dont dispose une entreprise pour conquérir un marché : Règle des 4P : Produit, Prix, Promotion, Place (distribution).
- Comment L'identification de la cible est basée sur une typologie spécifique de consommateurs
- Comment Marketing centré autour de clients spécifiques peu nombreux, les produits et services sont généralement très différenciés et très spécialisés.
- Comment Service de diffusion de l’information sans nécessité d’ouvrir une application ou un programme. Une « notification push » sur mobile est souvent sous forme textuelle, type message (SMS).
- Comment Forme de collecte des données personnelles des utilisateurs de services Internet et mobiles.L’accord de l’utilisateur est un pré requis à toutes sollicitations via le mobile.
- Comment Technique mercatique qui consiste à proposer une offre spécifique à chaque consommateur.
- Comment Aussi nommé Télémarketing, il s'agit d'une méthode de prospection, de vente ou d'enquête réalisée par téléphone. Il peut être réalisé vers des cibles professionnelles alors on parlera de télémarketing B to B ou bien vers des cibles de particuliers, et donc dans ce cas il s'agira de télémarketing B to C.
- Comment Document de synthèse regroupant le budget de communication, l'affectation des dépenses de campagne média par média, des dépenses hors médias et les outils de contrôle.
- Comment Se définit comme une association active de différents intervenants qui, tout en maintenant leur autonomie, acceptent de mettre en commun leurs efforts en vue de réaliser un objectif commun.
- Comment Technique de distribution qui consiste à recourir au circuit ou au réseau d’une entreprise plus importante, et/ou déjà implantée dans la zone de commercialisation visée. Appliqué au mobile, ce concept permet de diffuser une publicité de son application (ou autre) dans une autre application.
- Comment Ensemble des insertions publicitaires d’une campagne dans le support mobile.
- Comment Publicités présentent au sein d’un programme ou d’une application. De nombreuses applications mobiles (souvent gratuites), utilisent la publicité intégrée pour générer des revenus.
- Comment La stratégie « Pull » consiste à communiquer à l’attention du consommateur final (ou du prescripteur) en utilisant notamment la publicité, pour l’attirer vers le produit.
- Comment La stratégie « Push » vise à pousser le produit vers le consommateur final (ou prescripteur), à l’aide des techniques de vente (force de vente notamment).
- Comment Messages envoyés par une entreprise, une marque ou un distributeur sans avoir été sollicités par les destinataires.
- Comment Sites Internet permettant à leurs membres d’entretenir un réseau d’amis ou connaissances professionnelles et de participer à la vie de ces réseaux à travers la mise à disposition d’outils et interfaces de présentation, de communication et d’interaction.
- Comment Ou SEO (Search Engine Optimization). Désigne l’ensemble des techniques qui visent à positionner un site internet ou un ensemble de pages favorablement sur les premiers résultats naturels (ou organiques) des moteurs de recherche correspondant aux requêtes tapées par les internautes. Le référencement naturel se distingue du référencement payant (liens sponsorisés, publicité dispaly, etc.)
- Comment Ensemble des techniques du référencement naturel appliquées sur les stores d’applications (comme Google Play Store) pour permettre à une application d’apparaître dans les premiers résultats sur des requètes particulières lors de recherches d’utilisateurs.
- Comment Ensemble des techniques payantes de promotion d’un site pour améliorer sa visibilité. Le référencement payant est possible notamment grâce aux liens sponsorisés. Pour imager, le site internet qui utilise le référencement payant achète sa visibilité.
- Comment Service interne d’un support ou entreprise qui travaille pour le compte d’un support ou de plusieurs supports pour vendre de l’espace publicitaire de ce ou ces supports.
- Comment Le rootage est l’ajout des droits d’un super utilisateur (root) à la session utilisateur Android. Android étant basé sur un noyau linux, on retrouve la gestion des droits à la manière du noyau open source.
- Comment Ensemble de techniques variées destinées à développer une relation de confiance, d’estime et d’adhésion entre une entreprise, une marque et de multiples publics.
- Comment Recherche et Développement. Service de l'entreprise chargé du développement des nouveaux produits.
- Comment Caractère périodique d’un phénomène, d'une affluence.
- Comment Un segment est un sous ensemble homogène d’une population.
- Comment SEM (Social Media Management). Ensemble des techniques de management utilisés pour la gestion des profils et pages dans les réseaux sociaux-professionnels.
- Comment SEO (Search Engine Optimization). Aussi appelé référencement naturel. Techniques destinées à améliorer la visibilité d'un site dans les pages de résultat des moteurs de recherche: optimisation des meta, titres des pages, libellés des titres, mots-clés dans les titres et le corps du texte, rédaction suivant le principe de la pyramide inversée, échange de liens, etc.
- Comment SoLoMo (Social Local Mobile). Ensemble des programmes et applications mobiles liées (plus ou moins) simultanément aux applications sociales, locales et mobiles.
- Comment Statistiques qui présentent la manière dont l'application est utilisée : temps d'utilisation, installer, désinstaller, etc.
- Comment Coordonner les actions réelles et virtuelles de marketing et de communication en cohérence avec l’identité de la marque.
- Comment C’est le rapport entre le nombre de téléchargement d’une application (ou un service, produit) et le nombre d’installation. Une app téléchargée 100 fois mais installée 50 fois aura un taux d’installation de 50%.
- Comment C’est le rapport entre le nombre de téléchargement d’une application et le nombre de désinstallation.
- Comment C’est le rapport entre le nombre de désinstallation d’une application et le nombre d’installation.
- Comment Ensemble du trafic d’un site généré par les résultats de recherche naturels. Les internautes provenant d’un lien commercial ou d’une annonce publicitaire ne sont donc pas comptabilisé.
- Comment Site ou réseau social de Micro-blogging.
- Comment Type de campagne publicitaire scindée en deux parties. La première a pour but d'interloquer sans dévoiler de quel produit dont il s'agit. La seconde présente le produit dont il est question.
- Comment Celui qui consomme et/ou se sert du produit et/ou bénéficie d’une prestation de service.
- Comment Démarche organisée visant à améliorer la compétitivité de l’entreprise par la collecte, le traitement d’informations et la diffusion de connaissances utiles à la maîtrise de son environnement et à la prise de décision. Une veille peut être stratégique, marketing, concurrentielle, opérationnelle, etc.
- Comment Site internet (ou réseau social) d’hébergement et de partage en ligne de vidéos. Les utilisateurs ont la possibilité, en plus de visualiser les milliers de vidéos présentes, de laisser des commentaires et créer leur propre chaine. Youtube est la propriété de Google.
- Comment Audio Interchange File Format.
- Comment Bibliothèque statique utilisé sous UNIX.
- Comment AAC (Advanced Audio Coding). Également appelé MPEG-2 AAC ou MPEG-2 NBC, ce format s'annonce comme le successeur du MP3. Les fichiers AAC codés à un débit binaire de 96 kbit/s offrent une qualité audio légèrement meilleure que celle des MP3 codés à 128 kbit/s.
- Comment Audio Codec 3. Fichier audio pour codec Dolby Digital pouvant contenir jusque six canaux.
- Comment fichier compressé avec WinAce.
- Comment image 3D du logiciel "Intérieur 3D" de Micro Application.
- Comment image 3D du logiciel "Intérieur 3D" de Micro Application.
- Comment Adobe Font Metrics. Fichier complémentaire à une police de caractère.
- Comment Applixware.
- Comment Anark Media (images 3D).
- Comment Fichier texte ASCII ou UTF8 contenant du code Anubis.
- Comment Archos Operating System. Fichier protégé de mise à jour et de plug-ins pour appareils Archos.
- Comment Application Android.
- Comment AppleScript Applet.
- Comment APPlications Apple.
- Comment Archive. Format de fichier de compression développé par SEA.
- Comment Fichier compressé avec ARJ.
- Comment Archive. Format de fichier de compression développé par SEA.
- Comment Remedy Action Request System, Client Macro
- Comment Fichier vectoriel issu de Adobe Streamline, équivaut à un fichier Adobe Illustrator avec prévisualisation EPS.
- Comment Adobe Swatch Exhange. Format pour échanger des nuanciers entre les applications de l'Adobe Creative Suite.
- Comment Advanced Streaming Format.
- Comment Active Server Pages.
- Comment Fichier source Assembleur.
- Comment Active Server Pages .NET.
- Comment Advanced Stream Redirector. Fichier XML de stockage de listes de fichiers dans Windows Media.
- Comment Fichier XML conçu pour la syndication de contenu périodique.
- Comment Fichier son dans un format défini par Sun Microsystems, souvent utilisé sur les systèmes Unix. En général en qualité téléphonique (8 kb/s mono) et compression µlaw, bien que le format permette de nombreuses autres possibilités.
- Comment Fichier de script Autoit compilable. Programme associé : AutoIt.
- Comment Fichier de travail du logiciel Audacity (enregistrement et retouche son).
- Comment Auxiliary. Fichier auxiliaire LaTeX.
- Comment Format 3D utilisé en jeux vidéo. Format utilisé par Blitz3D.
- Comment Backup. Peut-être de n'importe quel type (extension parfois double: .exe.bak) : il sauvegarde la version précédente d'un fichier.
- Comment Fichier source BASIC.
- Comment BATch. Fichier contenant un programme de traitement par lots.
- Comment BibTex.
- Comment Extension d'archive utilisé dans de nombreux jeux.
- Comment Binary
- Comment Blender. Modèle 3D sous Blender.
- Comment Bracket Markup Language. Fichier source BML.
- Comment Binary Space Partitioning.
- Comment Batch To Memory.
- Comment Biovision Hierarchy. Fichier d'animation de personnages.
- Comment Broadcast Wave Format. Extension du format de fichier wav utilisé par de nombreux systèmes d'enregistrement audio professionnels comme format d'enregistrement. Inventé par Aaton, les premières spécifications ont été faites par l'Union européenne de radio-télévision en 1997, et mise à jour en 2001 et en 2003. Le but de ce format est de pouvoir contenir des fichiers multipistes, d'ajouter des métadonnées pour faciliter l'échange de données son entre des plateformes informatiques ou des applications différentes. Parmi les métadonnées stockées, le timecode permet de synchroniser l'audio avec d'autres éléments (RF64 Synonyme de MBWF). Les métadonnées sont stockées dans une section d'extension du format WAV standard.
- Comment BZip. Fichier compressé en Bzip sous Unix.
- Comment Bzip 2.
- Comment fichier source de C.
- Comment Fichier du logiciel de 3D Cinema 4D de Maxon.
- Comment Fichier de source C++.
- Comment Compact Disc Audio track.
- Comment CD-R, données de CD-Audio brut ou fichier de CorelDraw.
- Comment ConFiGuration. Fichier de configuration d'un programme.
- Comment Common Gateway Interface.
- Comment Computer Graphics Metafile.
- Comment CHKDSK. Fragments de fichiers récupérés créés par chkdisk, scandisk et defragment pour stocker les fragments de fichier perdus.
- Comment Kodak Cineon. Format d'image Kodak.
- Comment Fichier java compilé (exécutable par une machine virtuelle Java).
- Comment Fichier de projet ClassicLadder.
- Comment Command. Script exécutable.
- Comment Chemical Markup Language. Format pour les données chimiques.
- Comment Custom Menu Plug-in. Plug-in pour Internet Explorer.
- Comment Format de données biomédicales.
- Comment Command.
- Comment CONFiguration. Fichier de configuration d'un programme. Spécifique à Unix et ses descendants.
- Comment CONFIGuration. Fichier de configuration d'un programme.
- Comment Fichier source C#.
- Comment Format d'archivage.
- Comment Fichier source C++.
- Comment Fichier Corel Photo-Paint.
- Comment Fichier en cours de téléchargement par Google Chrome.
- Comment C Sharp (C#).
- Comment Fichier d'émulation pour la PSP.
- Comment Comma Separated Values.
- Comment ClarisWorKs. Document ClarisWorks.
- Comment ClarisWorks Spreadsheet. Classeur produit avec le tableur de la suite bureautique ClarisWorks.
- Comment Direct Access Archive. Image disque du programme PowerISO.
- Comment Data. Fichier de données.
- Comment Data Base Files. Base de données dBase.
- Comment Mails d'Outlook Express version 5.
- Comment DirectDraw Surface.
- Comment Debian package.
- Comment Fichier de First Assistant, logiciel destiné aux assistants à la mise en scène.
- Comment Projet Dev-C++.
- Comment Device Independent Bitmap. Image Bitmap spécifique à Microsoft Windows.
- Comment Data Interchange Format.
- Comment Disque virtuel utilisé par Linux quand il est installé comme une application Windows.
- Comment AppleScript Dialect.
- Comment Image Disque Mac OS X.
- Comment Fichier dump de Microsoft Windows.
- Comment Document. Fichier texte généralement de Microsoft Word (jusqu'à la version 2003).
- Comment Document Microsoft Word avec macros (à partir de la version 2007).
- Comment Document Microsoft Word sans macros (à partir de la version 2007).
- Comment Document Template. Modèle de document Microsoft Word (jusqu'à la version 2003).
- Comment Modèle de document Microsoft Word avec macros (à partir de la version 2007).
- Comment Modèle de document Microsoft Word sans macros (à partir de la version 2007).
- Comment Serif DrawPlus Animation. Fichier d'animation. Cette extension peut aussi être un fichier d'archive.
- Comment AppleScript Droplet.
- Comment Delphi Project.
- Comment Digital Picture Exchange. Format d'image non compressée dérivé du format cineon.
- Comment Fichier de "dose" pour le logiciel I-Doser.
- Comment Modèle de document de mise en plan du programme SolidWorks.
- Comment Format de données biomédicales du programme BrainStorm.
- Comment Disque virtuel de VMware.
- Comment Fichier de données du logiciel Stata.
- Comment Document du programme de PAO Greenstreet Publisher.
- Comment Device independent.
- Comment DraWinG. Utilisé par AutoCAD.
- Comment Drawing eXchange Format.
- Comment Bibliothèque statique utilisé sous Mac OS X.
- Comment Fichiers du logiciel de comptabilité EBP.
- Comment Ehanced MetaFile. Métafichier amélioré, lisible avec Visio.
- Comment eMail Microsoft Outlook Express.
- Comment Ehanced Metafile Zipped. Métafichier compressé, lisible avec Visio.
- Comment Encapsulated PostScript.
- Comment Elder Scrolls Plugin. Fichier de plugin pour Skyrim, Oblivion et Morrowind, modifiable dans le Construction Set.
- Comment Enlightenment Theme. Configuration des thèmes d'enlightenment.
- Comment Fichier produit par un programme de traitement de diffraction X.
- Comment Open EXR. Format d'image ouvert développé par ILM, pouvant stocker de multiples couches, et des images à grande dynamique.
- Comment Fortran.
- Comment Financial BacKup. Sauvegarde Base de données Microsoft Business Solution Navision du Programme Microsoft Dynamics NAV.
- Comment FilmBox. Permet d'importer et d'exporter des objets 3D, des objets 2D avec épaisseur, des lumières, des caméras et des matériaux.
- Comment Financial Data Base. Fichier Base de données Microsoft Business Solution Navision du programme Microsoft Dynamics NAV. Il correspond à des entreprises de taille moyenne (10 à 1000 salariés). La base de données fonctionne en format propriétaire (C-Side) ou sur un serveur SQL.
- Comment Flexible Image Transport System.
- Comment Flash. Fichier du programme Adobe Flash. Il est compilé par Adobe Flash en un fichier SWF.
- Comment Free Lossless Audio Codec.
- Comment Financial Licence File. Fichier de licence Microsoft Business Solution Navision du Programme Microsoft Dynamics NAV.
- Comment Fruity Loops Project.
- Comment Financial Object File. Fichier d'objet Microsoft Business Solution Navision du programme Microsoft Dynamics NAV.
- Comment Flat (XML) OpenDocument Graphics.
- Comment Flat (XML) OpenDocument Presentation.
- Comment Flat (XML) OpenDocument Spreadsheet.
- Comment Flat (XML) OpenDocument Text.
- Comment GameBoy. Fichiers ROMs pour l'émulation de la Gameboy.
- Comment GameBoy Advance. Fichiers ROMs pour l'émulation de la Gameboy Advance.
- Comment GameBoy Color. Fichiers ROMs pour l'émulation de la Gameboy Color.
- Comment GEDCOM. Voir : Norme GEDCOM.
- Comment GENesis. Fichiers ROMs pour l'émulation de la MegaDrive.
- Comment WxGeometrie. Fichier du logiciel WxGeometrie.
- Comment Generic Font. Format de fichier décrivant une police Metafont.
- Comment Game Gear. Fichiers ROMs pour l'émulation du Game Gear ou Google Gadget. Gadget Google Desktop.
- Comment GeoGebra. Fichier du logiciel GeoGebra.
- Comment Graphical System for Presentation. Format d'animation créé par GRASP.
- Comment Game Maker 6. Format de fichiers de projets sous Game Maker 6.
- Comment Fichier scène Gmax.
- Comment Format de fichiers de projets sous Game Maker 7.
- Comment Format de fichier du logiciel de tablature Guitar Pro 3.
- Comment Format de fichier du logiciel de tablature Guitar Pro 4.
- Comment Format de fichier du logiciel de tablature Guitar Pro 5.
- Comment Fichier decoupé par l'utilitaire gsplit.
- Comment Fichier ArchiCAD ou fichier audio US Robotics pour modem.
- Comment Format de fichier créé par INTERWRITE® Workspace (logiciel pour Tableau Blanc Interactif).
- Comment Format de fichier de GNU Zip.
- Comment Matrice Z Gaussian. Format utilisé par le logiciel Avogadro,un éditeur de molécules de KDE.
- Comment Header. Fichier de sources du langage C.
- Comment C++ Header. Fichier de sources C++.
- Comment C++ Header. Fichier de sources C++ contenant des templates.
- Comment Fichier source du langage C++ (Header).
- Comment Fichier audio Macintosh.
- Comment HTML (HyperText Markup Language). Langage dans lequel sont écrites les pages Web. Il ne s'agit pas d'un langage de programmation mais plutôt d'un langage de description de pages dont les bases sont assez faciles à assimiler.
- Comment Fichier de compte iBank
- Comment Fichier d'icône
- Comment Fichier du logiciel iCalendar
- Comment IEF (Image Exchange Format).
- Comment IFF (Interchange file format).
- Comment Fichier d'information de DVD vidéo.
- Comment Fichier du logiciel de CAO Arcplus, associé obligatoirement à un fichier .ddd et un fichier .icn
- Comment Fichier du logiciel InDesign.
- Comment Fichier autorun.inf permettant l'exécution automatique d'un programme sur un périphérique, généralement à partir d'un CD-ROM.
- Comment Fichier de configuration
- Comment Fichier d'application iOS
- Comment Fichier du logiciel Autodesk Inventor.
- Comment Fichier image à graver sur un CD ou un DVD.
- Comment Fichier du logiciel iTunes
- Comment Fichier du logiciel iTunes
- Comment Fichier archive Java
- Comment Fichier source Java
- Comment Fichier source Java
- Comment JPS (Joint Photographic Stereoscopic).
- Comment Fichier du langage JavaScript.
- Comment JSP (JavaServer Pages).
- Comment KAL (Kalgebra). Fichier de sauvegarde de script du logiciel KAlgebra.
- Comment KAR (KarAoKé). Fichier MIDI contenant aussi les paroles de la chanson.
- Comment KDB (Keepass DataBase). Conteneur chiffré de mots de passe.
- Comment KDB (Keepass DataBase version 2). Conteneur chiffré de mots de passe.
- Comment KML (Keyhole Markup Language).
- Comment Fichier temporaire qui bloque l'accès à des fichiers modifiés.
- Comment LDF (Log Database File). Fichier du logiciel Microsoft SQL Server.
- Comment Fichier des logiciels LDraw et MLCAD.
- Comment Fichier de licence.
- Comment Fichier binaire, format de raccourcis sous Windows depuis Windows 95.
- Comment Fichier d'historique d'évènements.
- Comment Ficher de mixage de son du logiciel Logic Pro.
- Comment Fichier du logiciel de 3D Lightwave.
- Comment Fichier source de MATLAB, Mathematica, Miranda ou Objective-C.
- Comment Animation 3D générée par le logiciel CorelMotion 3D ou modèle 3d de pièce créé avec le logiciel de CAO KOMPASS-3D de Ascon Group
- Comment Format de sonneries pour Iphone et Ipod Touch.
- Comment Fichier des logiciel Mathematica et Autodesk Maya.
- Comment Fichier Microsoft Access (module).
- Comment Fichier Microsoft Access (forme).
- Comment Fichier Microsoft Access (raccourci de diagramme).
- Comment Fichier Microsoft Access (macro).
- Comment Fichier Microsoft Access (requête).
- Comment Fichier Microsoft Access (rapport).
- Comment Fichier Microsoft Access (procédure stockée).
- Comment Fichier Microsoft Access (raccourci de table).
- Comment Fichier audio Amiga.
- Comment Fichier Microsoft Access (vue).
- Comment Fichier Microsoft Access.
- Comment Fichier de scène d'objets modélisés en 3D avec le logiciel 3D Studio Max.
- Comment Fichier des logiciels Mathematica et Autodesk Maya.
- Comment Fichier d'avatars animés du logiciel MSN Messenger.
- Comment Fichier du logiciel Super Macro.
- Comment Fichier Microsoft Access (add-in).
- Comment Fichier Microsoft Access (base de données).
- Comment Fichier Microsoft Access (base de données html).
- Comment Fichier Microsoft Access (add-in compilé).
- Comment MDF (Main Database File). Fichier du logiciel Microsoft SQL Server.
- Comment MDL (model ou modèle 3d). Fichier du logiciel Quake.
- Comment Fichier Microsoft Access (modèle).
- Comment Fichier Microsoft Access (modèle vide).
- Comment Fichier Microsoft Access (groupe de travail).
- Comment Fichier Microsoft Access (assistant de modèle).
- Comment Collection de liens de téléchargement (FTP, P2P,etc.) vers un fichier.
- Comment Collection de liens de téléchargement (FTP, P2P,etc.) vers un fichier.
- Comment MFA (Multimedia Fusion Application). Fichier du logiciel Multimedia Fusion 2.
- Comment MID (Musical Instrument Digital Interface).
- Comment MID (Musical Instrument Digital Interface).
- Comment Bibliothèque de matériaux utilisée par le logiciel AutoCAD.
- Comment Fichier du logiciel QuickTime. QuickTime est un framework multimédia développé par Apple. Cette technologie a été créée en 1989, puis mise sur le marché en 1991 pour le Macintosh.
Elle fut portée sur Windows en 1992 afin d'accélérer son adoption par l'industrie. Un fichier QuickTime contient une ou plusieurs pistes, chacune comporte un type de données particuliers : audio, vidéo, effet ou texte (pour des sous-titres par exemple). Chaque piste contient une piste media, soit le stream codé numériquement (avec un codec tel Cinepak, Sorenson, MP3, JPEG, DivX...) ou une référence à un media situé dans un autre fichier ou sur un réseau. En interne, les fichiers QuickTime maintiennent ce format dans un arbre d'atomes. Chacun utilise un identifiant de quatre octets pour déterminer sa structure. Un atome peut être le parent d'autres atomes ou peut contenir des données (mais il ne peut être les deux à la fois). - Comment MPEG-1 Audio Layer II. Fichier audio supplanté par le mp3.
- Comment Fichier vidéo MPEG-4.
- Comment Moving Picture Experts Group.
- Comment Moving Picture Experts Group.
- Comment Fichier du logiciel Microsoft Project Plan.
- Comment Fichier d'image 3D du logiciel MilkShape 3D.
- Comment Microsoft Installer.
- Comment Fichier de message du logiciel de messagerie Mozilla Thunderbird.
- Comment MW (Maple Worksheet File).
- Comment Abréviation de Macintosh, gamme de micro-ordinateurs personnels et professionnels concue par la firme Apple. Le premier Macintosh, le Macintosh 128K, est lancé le 24 janvier 1984. Il constitue le premier succès commercial pour un ordinateur utilisant une souris et une interface graphique. Le Macintosh remplace ainsi l'Apple II.
Cependant les parts de marché d'Apple baissent, avant un renouveau des Macintosh en 1998, avec la sortie de l'ordinateur grand public tout-en-un iMac, qui permet à Apple d'échapper à une probable faillite et marque même un succès pour la société.
Entre 1984 et 1994, les Macintosh fonctionnaient avec des processeurs de la famille 68000 de Motorola, puis entre 1994 et 2006 des processeurs PowerPC de l'Alliance AIM. Depuis 2006, les Mac utilisent les processeurs x86 d'Intel. - Comment NeXTSTEP est le système d'exploitation sorti le 18 septembre 1989, avec les ordinateurs conçus par NeXT, basé sur un micro-noyau Mach, un environnement BSD 4.3 et une interface graphique efficace fondée sur le Display PostScript. NeXTSTEP était conçu au départ pour fonctionner sur les machines de NeXT (NeXTCube, NeXTStation N&B et couleur) mais comme ce matériel se vendait mal, NeXT décida de porter son système d'exploitation sur les plateformes Sparc, PA-RISC et x86. C'est sur une machine NeXT sous NeXTSTEP que Tim Berners-Lee développa WorldWideWeb, le premier navigateur Web (plus tard rebaptisé Nexus), alors qu'il travaillait au CERN. Suite au rachat de NeXT par Apple en 1996, NeXTSTEP devint le noyau de base de Mac OS pour donner naissance à Mac OS X.
- Comment Domaine de l'Ascension. Vestige de la décision de l’IANA d’autoriser en 1996 l’utilisation des codes de la liste de réserve de l’ISO 3166-1 alpha-2, destinés à l’Union postale universelle. Cette décision a été annulée par la suite.
- Comment Domaine de Andorre et aussi utilisé par des agences de publicité (advertising).
- Comment Domaine des industries de transport aérien.
- Comment Domaine de l'Arménie et aussi utilisé par des radios FM.
- Comment Domaine de l'asie.
- Comment Domaine de l'ARPA (Address and Routing Parameter Area). Zone des paramètres d’adressage et de routage (anciennement Arpanet)
- Comment Domaine des affaires (business).
- Comment Domaine de la culture et la langue catalane.
- Comment Domaine de la République démocratique du Congo et aussi utilisé par des vendeurs de CD
- Comment Domaine de la Colombie mais aussi depuis juin 2010 de la communication, communauté (sans beaucoup de restrictions).
- Comment Domaine des organisations commerciales (sans restriction).
- Comment Domaine des coopératives.
- Comment Domaine de l'éducation destiné aux institutions éducatives accréditées aux États-Unis ainsi que les institutions éducatives d’autres pays dont les formations ont été approuvées aux États-Unis tels que polytechnique.edu, l’École Polytechnique en France.
- Comment Domaine pour l'Union Européenne.
- Comment Domaine pour les organismes gouvernementaux américains.
- Comment Domaine de l'information.
- Comment Domaine des organismes internationaux.
- Comment Domaine pour les sites d’offres d’emploi.
- Comment Domaine du Monténégro et aussi utilisé pour des sites de particuliers (« me » signifie « moi » en anglais).
- Comment Domaine pour les organismes militaires américains.
- Comment Domaine pour l’Internet mobile (profil XHTML-MP).
- Comment Domaine de l'île Maurice et aussi utilisé par des sites à vocation musicale.
- Comment Domaine pour les musées.
- Comment Domaine d'un individu, par nom de famille et/ou prénom.
- Comment Domaine d'un réseau (networks).
- Comment Domaine de Niue et aussi utilisé par des sites érotiques francophones ou par divers sites à cause de sa ressemblance avec new (nouveau) en anglais ou avec nu (maintenant) en suédois et en néerlandais.
- Comment Domaine d'une organisation à but non lucratif.
- Comment Domaine d'un professionnel qualifié.
- Comment Domaine de l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques (disparu de la norme).
- Comment Domaine du Suriname et aussi utilisé en Amérique du Sud par les sites destinés aux séniors.
- Comment Domaine pour la téléphonie sur IP.
- Comment Domaine pour l’industrie du voyage.
- Comment Domaine de Tuvalu et aussi utilisé par des sites en relation avec la télévision et par des sites de vidéo érotiques.
- Comment Domaine d'un contenu pour adulte.
- Comment Fichier de jeu pour l'émulation Nintendo Entertainment System.
- Comment Fichier de jeu pour l'émulation Nintendo 64.
- Comment Fichier de sauvegarde de Nokia.
- Comment NDF (Next Database File). Fichier du logiciel Microsoft SQL Server.
- Comment Fichier de jeu pour l'émulation Nintendo DS.
- Comment Fichier accompagnant généralement des fichiers ou dossiers pirates. Marque de fabrique (souvent avec des logos en ASCII art) des différentes équipes travaillant sur des projets de crackage et de piratage de logiciels, tel que des jeux, des programmes multimédia, ou des logiciels utilitaires.
Il est écrit en texte brut. Pour voir l'art ACSII fait en nfo, utilisez notepad avec une petite taille de police, ou un lecteur spécialisé comme DAMN NFO Viewer. Il est aussi possible de visualiser un fichier .nfo avec le wordpad de windows en choisissant l'option (ouvrir avec…) et de sélectionner Wordpad.
Microsoft Windows utilise aussi les fichiers d'extension nfo par le programme System Information, mais la fréquence de ces fichiers est beaucoup plus rare. - Comment Fichier de cache servant à la fonction de suggestion des noms dans Outlook depuis la version 2003.
- Comment Fichier image du logiciel Nero Burning ROM.
- Comment NRT (Nokia RingTone). Fichier de sonnerie de téléphone Nokia.
- Comment NTH (Nokia Thème). Fichier des thèmes des téléphone Nokia.
- Comment ODD (OpenDocument Database). Fichier de base de donnée de la suite bureautique Open Office.
- Comment ODC (OpenDocument Chart). Fichier de la suite bureautique Open Office.
- Comment ODF (OpenDocument Formulae). Fichier de formule mathématique de la suite bureautique Open Office.
- Comment ODG (OpenDocument Graphics). Fichier de dessin de la suite bureautique Open Office.
- Comment ODP (OpenDocument Presentation). Fichier de présentation de la suite bureautique Open Office.
- Comment ODS (OpenDocument Spreadsheet). Fichier de tableur de la suite bureautique Open Office.
- Comment ODT (OpenDocument Text). Fichier de document texte de la suite bureautique Open Office.
- Comment Fichier audio compressé.
- Comment OMFI (Open Media Framework Interchange). Format de transfert de médias numériques.
- Comment OTF (OpenType Format). Format de police numérique développé conjointement par Adobe et Microsoft.
- Comment Fichier modèle de dessin odf de la suite bureautique LibreOffice.
- Comment Fichier modèle de document html de la suite bureautique LibreOffice.
- Comment Fichier modèle de présentation ou de classeur de la suite bureautique LibreOffice.
- Comment Fichier modèle de texte odf de la suite bureautique LibreOffice.
- Comment Fichier source perl ou pascal.
- Comment Fichier du logiciel Pages 09.
- Comment PAK (Packed). Archive utilisé par id Software pour ses Quake.
- Comment PBM (Portable BitMap). Format de fichier graphique utilisés pour les échanges, définis et utilisés par le projet NetPBM. Ils proposent des fonctionnalités très basiques et sont utilisés pour convertir les fichiers de type pixmap, graymap et bitmap entre différentes plates-formes. Plusieurs applications désignent cet ensemble de trois formats comme le format PNM (portable anymap).
- Comment Fichier de lancement de jeux au format PSP.
- Comment Fichier image Kodak Photo-CD du logiciel hpcdtoppm.
- Comment Fichier image sur Mac.
- Comment PDB (Program DataBase). Fichier contenant des informations de débogage.
- Comment PFC (Personal filing Cabinet). Messages (mails), carnet d'adresses, autres préférences personnelles de AOL.
- Comment Fichier du logiciel PhotoFiltre (Studio).
- Comment PFM (Printer Font Metrics) de Adobe.
- Comment Fichier de sélection du logiciel PhotoFilre (Studio).
- Comment PGM (Portable GrayMap).
- Comment PGN (Portable Game Notation). Format standard de codage des parties d'échecs. Il est principalement utilisé pour la retransmission des parties sur internet et dans les bases de données de parties. Il utilise la notation algébrique abrégée. La plupart des programmes d’échecs la reconnaissent. L’extension habituelle est .pgn. Le fichier PGN d’une partie d'échecs est composée de deux parties : la première est une liste d’en-têtes qui décrivent la date et le lieu de la rencontre, les noms des protagonistes, etc. La seconde est constituée des coups joués et d’éventuels commentaires et qui est ponctuée par le résultat.
- Comment Fichier Pivot Stick Animation.
- Comment Fichier Perl ou Prolog.
- Comment PLS (PLayliSt). Format de fichier qui, comme l'indique sa signification en anglais (abréviation de PLayliSt), permet de créer et lire des listes de lectures de fichiers multimédia. Format fermé, PLS appartient à Winamp et iTunes, mais il peut aussi être lu par foobar2000 et VLC media player.
Media Player Classic avec le codec K-Lite installé fonctionnera avec le format PLS mais celui-ci ne le détectera pas automatiquement.
Windows Media Player est incapable de lire un fichier PLS. L'extension de fichier utilisée la plupart du temps est .pls. Le format PLS inclut des métadonnées supplémentaires comme le titre de la chanson, la durée. Ces infos sont maintenant disponibles dans la version étendue du format M3U.
Ce format reste néanmoins peu répandu car il est moins pratique à utiliser que le M3U, notamment par l'obligation de numéroter les morceaux de la liste de lecture, et d'indiquer le nombre total de morceaux. - Comment PNM (Portable aNyMap).
- Comment Fichier modèle du logiciel PowerPoint.
- Comment Portable pixmap.
- Comment Fichier diaporama du logiciel Microsoft PowerPoint.
- Comment Fichier de travail du logiciel Microsoft PowerPoint.
- Comment Fichier de travail du logiciel Microsoft PowerPoint version 2007.
- Comment Fichier pièce 3D du logiciel Pro/ENGINEER.
- Comment Fichier modèle de document pièce du logiciel SolidWorks.
- Comment PostScript. Le PostScript est un langage informatique spécialisé dans la description de pages, mis au point par Adobe. Il repose sur des formulations vectorielles de la plupart de ses éléments. Il sait aussi traiter les images matricielles (en mode point).
Ce langage inter-plateformes permet d'obtenir un fichier unique comportant tous les éléments décrivant la page (textes, images, polices, couleurs, etc.). PostScript est devenu pratiquement un standard, la plupart des imprimantes lasers haut de gamme peuvent traiter directement le format PostScript. Sur les autres ou les plus anciennes, il fallait utiliser un filtre logiciel en entrée pour convertir le langage PostScript au format raster compréhensible par les anciennes imprimantes.
Le développement du PostScript est arrêté par Adobe depuis 2007, afin que le PDF puisse prendre la relève. - Comment Fichier du logiciel Adobe Premiere Pro.
- Comment Fichier du logiciel Paint Shop Pro.
- Comment Fichier texte et images avec mise en page du logiciel Publisher.
- Comment PY (PYthon). Fichier texte contenant du script Python.
- Comment Fichier texte contenant du script Python s'exécutant sans ouvrir de terminal.
- Comment QIF (Quicken Interchange Format). Format d'échange de données financières. Les données sont stockées au format ASCII. Ainsi, les fichiers QIF peuvent facilement être éditables par n'importe quelle application. À l'origine, le format QIF était un format d'échange du logiciel de comptabilité personnelle Quicken.
- Comment Fichier du logiciel WordPerfect Office.
- Comment Fichier du logiciel QuickTime Movie.
- Comment Fichier du logiciel Sphinx.
- Comment Fichier du logiciel Quark Xpress.
- Comment Fichier du logiciel Quark Xpress.
- Comment RA (Real Audio). Le format RealAudio est très ancien, il permet de diffuser de la musique sur internet en utilisant la technique du streaming. Ce format audio propriétaire vient de la société RealNetworks et est lisible avec RealPlayer, on peut le créer avec RealProducer. Helix Player et aussi Real Alternative.
- Comment RAM (Real Audio Metadata). Le format RealAudio est très ancien, il permet de diffuser de la musique sur internet en utilisant la technique du streaming. Ce format audio propriétaire vient de la société RealNetworks et est lisible avec RealPlayer, on peut le créer avec RealProducer. Helix Player et aussi Real Alternative.
- Comment RAR (Roshal ARchive). Format de fichier permettant la compression de données. Ce format a été inventé par Eugene Roshal (Roshal ARchive). Il permet de découper des archives en plusieurs fichiers ayant chacun en en-tête l'identifiant en tant que tel. Il permet aussi de stocker des informations de récupération, permettant, en cas de corruption d'une archive, d'effectuer une réparation pour récupérer un maximum de données.
- Comment Sun Raster Graphic.
- Comment Format de fichier pour les images numériques. Ce n'est pas un format standard, mais plutôt la désignation d'un certain type de fichier créé par des dispositifs tels que les appareils photo numériques ou les scanneurs et caractérisé par le fait de n'avoir subi que peu de traitement informatique. RAW peut aussi être un fichier audio.
- Comment Fichier Ruby. Langage de programmation libre. Il est interprété, orienté objet et multi-paradigme.
- Comment Fichier de programmation graphique du logiciel Lego Mindstorms NXT.
- Comment Fichier de programmation graphique du logiciel Lego Mindstorms NXT.
- Comment Fichier d'inscription dans la base de registre de Windows avec le logicel regedit.
- Comment Fichier de ressource compilé notamment en C++ ou C.
- Comment Fichier du logiciel RedGenerator.
- Comment Fichier image du logiciel Lego Mindstorms NXT.
- Comment Fichier du logiciel 2D PAINTER.
- Comment RM (Real Media).
- Comment RMVB (Real Media Variable BitRate).
- Comment Fichier du logiciel Roff.
- Comment Fichier de base de données SQL.
- Comment Fichier son du logiciel Lego Mindstorms NXT.
- Comment RSS (Really Simple Syndication). Format de données basés sur XML et utilisés pour la syndication de contenu Web. On parle aussi souvent de RSS pour désigner le format Atom. Un flux RSS est une ressource Web dont le contenu est produit automatiquement (sauf cas exceptionnels) en fonction des mises à jour d’un site Web. Les flux RSS sont souvent utilisés par les sites d'actualité et les blogs pour présenter les titres des dernières informations consultables en ligne.
- Comment RTF (Rich Text Format). Format de fichier développé par la société Microsoft. Ce format descriptif non compressé est reconnu par la plupart des logiciels de traitement de texte comme OpenOffice.org Writer, LibreOffice Writer ou Word.
Sa vocation initiale est d'être un format pivot entre logiciels et plates-formes hétérogènes. Il est utilisé par défaut dans l'éditeur TextEdit de Mac OS X, dans WordPad de Windows, et dans le traitement de texte Ted, courant sous les systèmes de type Unix. Il existe une variante du format RTF qui, en plus du texte formaté, peut contenir des images, ainsi que d'autres documents. C'est le format RTFD, qui n'est pris en charge que par le système Mac Os X, avec les applications TextEdit et Pages. - Comment RV (Real Video). Format très ancien permettant de diffuser de la musique sur internet en utilisant la technique du streaming. Ce format audio propriétaire vient de la société RealNetworks et est lisible avec RealPlayer, on peut le créer avec RealProducer. Helix Player et aussi Real Alternative.
- Comment Fichier du logiciel RPG Maker XP.
- Comment Fichier du logiciel Seed7.
- Comment Fichier de données du logiciel SAS.
- Comment Fichier de sauvegarde de tous types d'émulation
- Comment Fichier audio.
- Comment Fichier crypté avec Security BOX.
- Comment Fichier Scilab.
- Comment Fichier Scilab.
- Comment Fichier d'écran de veille pour windows.
- Comment Fichier du logiciel Seed7.
- Comment Fichier Draw de la suite bureautique LibreOffice.
- Comment Fichier Calc de la suite bureautique LibreOffice.
- Comment Fichier Impress de la suite bureautique LibreOffice.
- Comment Fichier Math de la suite bureautique LibreOffice.
- Comment Fichier Impress de la suite bureautique LibreOffice.
- Comment Fichier Chart de la suite bureautique LibreOffice.
- Comment Fichier Writer de la suite bureautique LibreOffice.
- Comment SGF (Smart Game Format). Fichier associé à plusieurs jeux comme le jeu de go ou le backgammon.
- Comment Fichier du logiciel Bourne shell.
- Comment SHP (SHapeFile). Fichier du logiciel SIG ArcGIS.
- Comment Document web analysé avant émission par le serveur.
- Comment Fichier de présentation du logiciel WordPerfect Office.
- Comment Fichier pour l'éditeur de partitions musicales Sibelius.
- Comment Fichier de signature (souvent SHA-1) pour vérifier qu'un executable n'a pas été modifié, volontairement ou non.
- Comment Fichier de dessin 3D du logiciel de dessin 3D SKETCHUP de Google.
- Comment Fichier du logiciel de PAO Scribus.
- Comment SLDASM (Assemblage SolidWorks). Fichier du logiciel SolidWorks.
- Comment Fichier de mise en plan du logiciel SolidWorks.
- Comment Fichier de fond de plan du logiciel SolidWorks.
- Comment Fichier de fonction de bibliothèque du logiciel SolidWorks.
- Comment Fichier d'une pièce du logiciel SolidWorks.
- Comment SLK (Symbolic LinK). Format d'échange de données créée par la société Microsoft. Destiné à l'origine aux échanges entre tableurs il permet aussi l'échange avec d'autres type de logiciels : traitements de texte, base de données. Par rapport au CSV, ce format demande un léger effort en plus pour être généré, mais il a l'avantage d'intégrer les formules mathématiques, de contrôler le format des nombres à virgules, et quelques propriétés sur les cellules, comme l'alignement et la présence de cadre ou non. De plus les cases du tableur peuvent être remplies dans le désordre, ce qui représente un gros avantage pour le programme qui génère un tel fichier.
De plus, le format SYLK, n'est pas dépendant de la langue du programme Excel, ni de la manière dont il arrive dans Excel. Le format CSV utilise la virgule ou le point-virgule comme séparateur, suivant la langue du programme Excel, mais aussi suivant le fait que le fichier provient d'une URL internet ou d'un fichier local.
Cependant, Microsoft ne publie pas réellement de spécification du format SYLK. Plusieurs variantes différentes sont reconnues dans Multiplan, Microsoft Excel, Microsoft Works, OpenOffice.org, et Gnumeric. Mais chaque variante du format n'est pas reconnue par chaque version d'Excel (compatibilité ascendante et descendante non intégrale). - Comment Fichier de solution du logiciel Microsoft Visual Studio ou fichier XML de solution Windows Installer.
- Comment Fichiers ROMs pour l'émulation de la Super Nintendo.
- Comment Fichier du logiciel StarOffice Mail.
- Comment SMIL (Synchronized Multimedia Integration Language).
- Comment Fichier audio du logiciel Turtle Beach Systems.
- Comment SMS (Sega Master System). Fichiers ROMs pour l'émulation de la Master System
- Comment Fichiers audio (format audio brut) sur Macintosh Sound Resource, NeXT Sound.
- Comment Bibliothèque dynamique utilisé sous Unix et Linux.
- Comment Fichier musical du logiciel Audacity.
- Comment Site Publisher Profile.
- Comment Fichier libre et sans brevets du codec Speex. Il compresse avec perte de données (comme MP3 et Vorbis) et est spécialisé et optimisé pour la voix humaine. Speex, projet né indépendant, a été intégré au projet Ogg le 11 octobre 2002.
- Comment SQL (Structured Query Language). Langage informatique normalisé servant à effectuer des opérations sur des bases de données. La partie langage de manipulation de données de SQL permet de rechercher, d'ajouter, de modifier ou de supprimer des données dans les bases de données. En plus du langage de manipulation de données, la partie langage de définition de données permet de créer, et de modifier l'organisation des données dans la base de données, la partie langage de contrôle de transaction permet de commencer et de terminer des transactions, et la partie langage de contrôle de données permet d'autoriser ou d'interdire l'accès à certaines données à certaines personnes.
Créé en 1974, normalisé depuis 1986, le langage est reconnu par la grande majorité des systèmes de gestion de bases de données (abrégé SGBD) du marché. SQL fait partie de la même famille que les langages SEQUEL (dont il est le descendant), QUEL ou QBE (Zloof). - Comment Fichier modèle de classeur des suites bureautiques OpenOffice 1.0 et LibreOffice.
- Comment Fichier modèle de classeur des suites bureautiques OpenOffice 1.0 et LibreOffice. Il s'agit aussi de l'état suspendu VMware.
- Comment Fichier modèle de présentation des suites bureautiques OpenOffice 1.0 et LibreOffice.
- Comment Fichier modèle de texte des suites bureautiques OpenOffice 1.0 et LibreOffice.
- Comment SW (Signed Word). Fichier audio codé par mot de 16 bits.
- Comment SWA (ShockWave Audio). Fichier audio.
- Comment SWF (ShockWave Flash). Fichier du logiciel Adobe Flash.
- Comment Fichier composant de la plate-forme Adobe.
- Comment Fichier de classeur des suites bureautiques OpenOffice 1.0 et LibreOffice.
- Comment Fichier de dessin des suites bureautiques OpenOffice 1.0 et LibreOffice.
- Comment Fichier de présentation des suites bureautiques OpenOffice 1.0 et LibreOffice.
- Comment Fichier de formule des suites bureautiques OpenOffice 1.0 et LibreOffice.
- Comment Fichier de texte des suites bureautiques OpenOffice 1.0 et LibreOffice.
- Comment Fichier système.
- Comment Fichier du langage de formatage de texte Troff historiquement lié à UNIX et à ses dérivés (BSD, Linux...).
- Comment Fichier texte organisé en tableau, format de sauvegarde du logiciel Toporobot.
- Comment Fichier Rom pour émulateur ZX Spectrum
- Comment TAR (Tape ARchiver). Fichier d'archive des systèmes de type UNIX. Il a été créé dans les premières version d'UNIX et standardisé par les normes POSIX.1-1988 puis POSIX.1-2001. Il existe plusieurs implémentations tar, la plus couramment utilisée étant GNU tar.
- Comment Fichier du logiciel de composition de documents TeX ou fichier LaTeX.
- Comment TTF (TrueType Format). Format de police numérique créée par Apple qui peut aussi servir pour les fontes OpenType.
- Comment TGA (Truevision TArga). Format de fichier image qui a été développé par Truevision à partir de 1984. Le format TGA supporte les images de n'importe quelle taille. Il est principalement utilisé dans les milieux professionnels pour la création d'images couleur. Il permet de développer des images selon trois techniques :
1. Pseudo-Color : chaque pixel est défini simplement par un indice qui fait référence à une couleur définie dans la palette graphique.
2. True-Color : chaque pixel est directement défini par les intensités des couleurs primaires RVB.
3. Direct-Color : chaque pixel est défini par trois indices indépendant faisant référence à l'intensité des couleurs primaires RVB définies dans une palette. Il est capable de coder les couleurs entre 1 et 24 bits, et 8 bits supplémentaires sur le canal alpha. - Comment Theme de bureau sous Windows 95+ ou SuperKaramba.
- Comment TOC (Table of Contents). Fichier de sommaire utilisé notamment par LaTeX ou fichier audio spécifique à la console PSP de Sony ou fichier de données Toccata.
- Comment Fichier contient les informations de téléchargement
- Comment TPU (Turbo Pascal Unit). Unité compilée en Turbo Pascal.
- Comment Fichier du logiciel Troff.
- Comment TRN (Transaction File (journal d'archive). Fichier du logiciel Microsoft SQL Server Desktop Engine.
- Comment TSV (Tab Separated Values). Format texte ouvert représentant des données tabulaires sous forme de « valeurs séparées par des tabulations ». Ce format de fichier peut être notamment utilisé pour exporter ou importer des données d'une base de données ou d'un tableur. Chaque ligne correspond à une rangée du tableau et les cellules d'une même rangée sont séparées par une tabulation.
- Comment TXT (TeXTe). Fichier dont le contenu représente uniquement une suite de caractères.
- Comment Fichier d'installation U3. L'U3 ou Smart Drive est un format de clé USB comprenant une plate-forme logicielle spéciale qui permet aux développeurs d'écrire des applications spécialement conçues pour fonctionner depuis une clé de ce type. Une application U3 est dite portable car elle peut être utilisée sur différents ordinateurs sans nécessiter une installation sur chacun d'entre eux : le programme ainsi que ses données et sa configuration sont stockés sur la clé et non sur les ordinateurs hôtes.
SanDisk et M-Systems ont créé un mini-environnement avec une sorte de menu de démarrage appelé LaunchPad qui ne fonctionne que sous Windows. Celui-ci permet aux utilisateurs de lancer les applications installées sur la clé et de configurer leur « clé intelligente ». Un site web dédié aux clés U3 permet aux propriétaires d'une de ces clés de télécharger de nouvelles applications portables. - Comment UB (Unsigned Byte). Fichier audio sur Amiga et Q40.
- Comment Fichier de jeu de go.
- Comment Unified Office format Presentation.
- Comment Unified Office format Spreadsheet.
- Comment Unified Office format Text.
- Comment URL (Uniform Resource Locator). Les URL sont une invention du World Wide Web et sont utilisées pour identifier les pages et les sites web. Elles sont aussi appelées adresses web et sont consultables sur Internet à l'aide d'un navigateur. Elle se compose du protocole (http), du serveur web (www), du nom du site et du suffixe (.com, .fr, .net, etc.).
- Comment UW (Unsigned Word). Fichier audio brut codé par mot de 16 bits.
- Comment Fichier ROM de Nintendo 64.
- Comment VB (Visual Basic). Langage de programmation de troisième génération ainsi qu'un environnement de développement intégré, créé par Microsoft pour son modèle de programmation COM. Visual Basic est directement dérivé du BASIC et permet le développement rapide d'applications, la création d'interfaces utilisateur graphiques, l'accès aux bases de données en utilisant les technologies DAO, ADO et RDO, ainsi que la création de contrôles ou objets ActiveX. Les langages de script tels que Visual Basic for Applications et VBScript sont syntaxiquement proches de Visual Basic, mais s'utilisent et se comportent de façon sensiblement différente.
- Comment VBE (Visual Basic Scripting Edition).
- Comment Visual Basic Project.
- Comment Visual Basic Scripting Edition.
- Comment VDI (Virtual Disk Imag). Fichier du logiciel VirtualBox.
- Comment VMDK (VMware DisK). Disque virtuel du logiciel VMware.
- Comment Fichier de pagination de VMware.
- Comment Méta-donnée de snapshot de VMware.
- Comment Snapshot de Vmware.
- Comment Etat suspendu de VMware.
- Comment Données d'équipe VMware.
- Comment Configuration de VMware.
- Comment Configuration d'équipe VMware.
- Comment VOB (Video OBject file). Fichier objet du logiciel Vue d'Esprit.
- Comment Fichier audio propriétaire développé par Creative Labs.
- Comment Fichier template des suites bureautiques StarOffice, OpenOffice et LibreOffice.
- Comment VRO (Video RecOrder). Format vidéo pour enregistrement de DVD, utilisé avec .IFO
- Comment Fichier de diagrammes et de synopsis du logiciel Microsoft Office Visio.
- Comment Fichier template de diagrammes et de synopsis du logiciel Microsoft Office Visio.
- Comment VSM (VisSim). Langage de programmation visuelle distingué par sa capacité à modéliser et à simuler des systèmes dynamiques complexes. VisSim associe une interface intuitive d’assemblage de blocs de diagrammes (par glisser/déposer) à un puissant moteur de simulation. Il est développé par la société américaine Visual Solutions, de Westford.
- Comment Fichier shapeware du logiciel Microsoft Office Visio.
- Comment Fichier utilisé pour le dessin et la modélisation 3D avec le logiciel VectorWorks
- Comment carnet d'adresses mail d'Outlook Express.
- Comment WAR (Web ARchive). Fichier JAR utilisé pour contenir un ensemble de JavaServer Pages, servlets, classes Java, fichiers XML, et des pages web statiques (HTML, JavaScript…), le tout constituant une application web. Cette archive est utilisée pour déployer une application web sur un serveur d'application.
- Comment WAV (WAVEform audio file format). Standard permettant de stocker de l'audio numérique de Microsoft et IBM. il s'agit d'un conteneur capable de recevoir des formats aussi variés que le MP3, le WMA, l'ATRAC3, l'ADPCM, le PCM. C'est ce dernier qui est cependant le plus courant, et c'est pour cela que l'extension .wav est souvent — et donc à tort — considérée comme correspondant à des fichiers « sans pertes » (communément désignés par le mot anglais lossless). Le format WAV est standardisé sous Windows ; son pendant sous la plate-forme Macintosh est l'AIFF/AIFC.
- Comment WMA (Windows Media Audio). Format propriétaire de compression audio développé par Microsoft. Le format WMA offre la possibilité de protéger dès l’encodage les fichiers de sortie contre la copie illégale par une technique nommée gestion des droits numériques (ou GDN, ou DRM en anglais).
- Comment WMF (Windows Metafile). Format d'image numérique sur les systèmes Windows, conçu au début des années 1990 et de moins en moins utilisé depuis l'avènement d'Internet et de l'utilisation massive d'autres formats comparables comme GIF, JPEG, et PNG.
C'est un format supportant le dessin vectoriel, mais qui permet aussi l'inclusion d'images matricielles. WMF est un format 16-bit, introduit avec Microsoft Windows 3.0; une nouvelle version 32-bit, « améliorée », est appelée Enhanced Metafile (EMF). - Comment Fichier vidéo jeu Microsoft Xbox 360.
- Comment WMV (Windows Media Video). famille de codecs vidéo propriétaires développé par Microsoft. Sur Internet, il est fréquent de rencontrer ce type de fichiers vidéo, que ce soit en téléchargement ou en streaming. Comme la plupart des codecs vidéo propriétaires, cette famille s'est d'abord appuyé sur des technologies issues de normes internationales (ISO/IEC MPEG, ITU-T H.26x).
- Comment WP (WordPerfect Office). Fichier de sous-document du logiciel WordPerfect.
- Comment WP (WordPerfect Office). Document du logiciel WordPerfect.
- Comment Fichier graphique du logiciel WordPerfect Office.
- Comment Fichier texte du logiciel Microsoft Works.
- Comment Fichier texte correspondant au write de Window 3.x (avant 1995). La commande write sur une version de Windows plus récente appelle en fait wordpad.
- Comment WRL (Virtual Reality Markup Language). Langage de description d'univers virtuels en 3 dimensions. Ce langage interprété est une norme internationale ISO et les fichiers VRML ont habituellement pour extension .wrl.
Il s'agit d'un langage de présentation (et non de programmation), puisque comme pour le langage HTML par exemple, un fichier VRML ne contient généralement pas une suite d'instructions mais plutôt les informations permettant au visionneur d'afficher ensuite les éléments (formes, senseurs, lumières, etc). Le but premier de ce langage est de permettre la représentation d'univers interactifs 3D virtuels.
Les fichiers .wrl sont des fichiers texte décrivant les scènes virtuelles à l'aide du langage VRML. Les fichiers .wrl, qui peuvent être stockés localement sur un ordinateur ou téléchargés depuis un serveur web, sont visualisés à l'aide d'un visionneur, qui est soit un plugin ajouté au navigateur web ou encore un logiciel autonome indépendant du navigateur web, qui est installé sur l'ordinateur de l'utilisateur. Les programmes VRML peuvent décrire des formes simples (points, lignes, polygones) ou complexes (sphères, cubes, cônes, cylindres...), du texte, des images, des animations, des éclairages, des sons, des hyperliens, ainsi que leur agencement dans l'espace, leur texture, leur couleur, leur matériau, etc. - Comment XAR (eXtensible ARchive format). Format de fichier d'archivage et logiciel de compression de données open source. Il a été créé dans le cadre du projet OpenDarwin et est utilisé depuis Mac OS X 10.5 pour les images disques, ainsi que comme extension du navigateur Safari depuis la version 5.01.
- Comment XBM (X BitMap). Format d'image numérique monochrome originellement conçu pour le système X Window, notamment pour les images de pointeur et d'icône. Le format XBM décrit les images en langage C, ce qui permet à un programmeur d'intégrer très facilement des images XBM à un logiciel écrit en C.
- Comment XCF (eXperimental Computing Facility). Format d'image natif du logiciel GIMP. La sauvegarde des données de l'image se fait via l'algorithme RLE.
- Comment XHTML (eXtended HyperText Markup Language). Langage de balisage servant à écrire des pages pour le World Wide Web. Conçu à l'origine comme le successeur d'HTML, XHTML se fonde sur la syntaxe définie par XML, plus récente, mais plus exigeante que celle définie par SGML sur laquelle repose HTML : il s'agit en effet de présenter un contenu affichable non seulement par les ordinateurs classiques, mais également sans trop de dégradation par des PDA bien moins puissants.
- Comment XLA (Excel Add-in). Fichier du logiciel Microsoft Excel.
- Comment XLAM (Excel Add-in Macro). Macro du logiciel Microsoft Excel.
- Comment XLC (Excel Chart). Fichier du logiciel Microsoft Excel.
- Comment Feuille de calcul du logiciel Microsoft Works.
- Comment Fichier du logiciel Microsoft Excel (avant la version 2007).
- Comment Fichier avec macro du logiciel Microsoft Excel (avant la version 2007).
- Comment Fichier du logiciel Microsoft Excel (à partir de la version 2007).
- Comment XLT (Excel Template). Fichier modèle du logiciel Microsoft Excel (avant la version 2007).
- Comment Fichier modèle du logiciel Microsoft Excel (à partir de la version 2007).
- Comment Fichier modèle avec macro du logiciel Microsoft Excel (à partir de la version 2007).
- Comment XML (eXtended Markup Language). langage informatique de balisage générique qui dérive du SGML. Cette syntaxe est dite extensible car elle permet de définir différents espaces de noms, c'est-à-dire des langages avec chacun leur vocabulaire et leur grammaire, comme XHTML, XSLT, RSS, etc. Elle est reconnaissable par son usage des chevrons (< >) encadrant les balises.
L'objectif initial est de faciliter l'échange automatisé de contenus complexes (arbres, texte riche,etc.) entre systèmes d'informations hétérogènes (interopérabilité). Avec ses outils et langages associés une application XML respecte généralement certains principes comme la structure d'un document XML définie et validable par un schéma, et un document XML est entièrement transformable dans un autre document XML. - Comment Extension Mozilla.
- Comment XPM (X PixMap). Format d'image spécialisé dans les icônes des environnements graphiques. Il est utilisé entre autres par X11, le système standard d'interaction graphique avec l'utilisateur sur UNIX, Linux et les BSD.
- Comment XSL (Extensible Stylesheet Language Transformations). Langage de transformation XML de type fonctionnel. Il permet notamment de transformer un document XML dans un autre format, tel PDF ou encore HTML pour être affiché comme une page web.
- Comment XSPF (XML Shareable Playlist Format). Format de fichier qui a pour but de stocker une liste de fichiers multimédia (audio, vidéo). Ce projet vise à remplacer les fichiers de type M3U, PLS ou ASX par une alternative libre. Ce projet est soutenu par Xiph.org (qui soutient aussi Ogg, Vorbis, FLAC, Speex, Theora, etc.).
- Comment XWD (X Window Dump). Environnement graphique de type « fenêtré » qui gère l'interaction homme-machine par l'écran, la souris et le clavier de certains ordinateurs en réseau. Il est souvent appelé X Window à ne pas confondre avec x windows. C'est le système standard ouvert d'interaction graphique avec l'utilisateur sur les UNIX (Linux, BSD, etc.).
Le serveur X est optionnel sur Mac OS X (qui utilise nativement Quartz). Il est possible d'installer un serveur X sur la plupart des systèmes d'exploitation, dont Windows. On dit communément d'une application qu'elle tourne sous X lorsqu'elle est conçue pour l'environnement X. - Comment Archive Amiga du logiciel Yabba.
- Comment YAB (Yet Another Basic). Interprète du langage BASIC pour les plateformes Unix, Windows et PlayStation 2. Similaire au Commodore BASIC du Commodore 64, il supporte le mode graphique couleur et a des possibilités d'impression. Il est aussi relativement petit : environ 200 kilo-octets.
- Comment YSM (Yamaha Studio Manager). Fichier de paramètres du logiciel Studio Manager, pilote de tables de mixage numériques Yamaha.
- Comment Z3D (Zanoza 3D). Modèle 3d du logiciel ZModeler.
- Comment Fichier image ROM de Nintendo 64.
- Comment Fichier du logiciel FileWrangler.
- Comment Document texte compressé du logiciel Zview.
- Comment Données graphiques du logiciel DesignPro 3.5 à 5.0.
- Comment Fichier de dessin du logiciel LOGOCAD Triga.
- Comment Données graphiques du logiciel ZenoGraphics.
- Comment Fichier compressé Mac.
- Comment Format de fichier permettant l'archivage (utilisation d'un seul fichier pour stocker plusieurs fichiers) et la compression de données (diminution de l'espace occupé sur le support numérique) sans perte de qualité. Le format de fichier zip peut poser des problèmes d'interopérabilité au niveau des noms de fichiers contenant des caractères autres que des caractère latins non accentués, notamment lorsque des plateformes différentes Windows-Linux sont utilisées et/ou dans des régions utilisant des paramètres de localisation différents.
- Comment Fichier de construction géométrique du logiciel Zirkel und Lineal.
- Comment Données vocales du logiciel Zyxel Z-Fax.
- Comment Fichier du logiciel 3d studio.
- Comment 3GP (3rd Generation Partnership Project Multimedia). Conteneur vidéo défini par 3GPP destiné au téléphone mobile de troisième génération (3G). C'est une version simplifiée du MPEG-4 partie 14 (MP4). Les fichiers 3GP ont pour extension .3gp ou .3g2. Ces fichiers sont lisibles sur un ordinateur en utilisant MPlayer, Media Player Classic, VLC media player, Totem, PVPlayer, QuickTime ou RealPlayer. Ils peuvent aussi être lus sur un téléphone mobile soit lors du téléchargement, soit après avoir été entièrement téléchargés.
- Comment Format d'archivage ayant une architecture ouverte. La méthode de compression par défaut du format 7z est l'algorithme de compression LZMA, qui permet la création d'archives beaucoup plus compactes que la compression avec les formats ZIP, voire avec les formats RAR ou ACE, lorsque les fichiers à compresser ne sont pas des fichiers multimédia (images ou musique).
Le format 7z n'était à l'origine supporté que par le logiciel 7-Zip, mais est supporté depuis 2011, par la plupart des logiciels d'archivage (à l'exception notable, toutefois, du gestionnaire d'archives de Windows). - Comment APN (Access Point Note). Routeur GPRS qui connecte la partie hertzienne du réseau mobile à internet. Ce sigle désigne aussi la fonction Appareil Photo Numérique du téléphone mobile.
- Comment ARCEP (Autorité de Régulation des Communications Ectroniques et des Postes). Autorité administrative chargée d'organiser la mise en oeuvre de la concurrence dans le secteur des télécommunications en France.
- Comment ARPU (Average Revenu Per User). Revenu mensuel moyen ht par client calculé en divisant le chiffre d'affaires généré sur les douze derniers mois par l'utilisation du réseau (appels sortants, appels entrants, frais d`accès au réseau, revenus du roaming des clients d'autres réseaux et revenus provenant des services à valeur ajoutée) par la moyenne pondérée du nombre de clients sur la même période. Les niveaux d'ARPU changent considérablement en fonction du pays et si on analyse les revenus voix et data de l'ARPU en Europe, c'est toujours les revenus voix qui dominent. Les revenus Data sont dominés par 85% le SMS et le reste ce sont les sonneries, jeux, etc. Des relais de croissance sont à trouver, la tv-mobile, la musique, le m-bancking, etc.
- Comment Système de mise au point automatique de la distance présente permettant d'obtenir une image nette sans réglage particulier.
- Comment Traduit la capacité d'un téléphone à fonctionner en veille (activé et prêt à émettre/recevoir des appels, sans être utilisé) ou en mode d'utilisation. L'autonomie dépend essentiellement de la nature et l'état de la batterie.
- Comment Réglage permettant de compenser les écarts de température de lumière en lumière artificielle (trop rouge) ou dans des conditions de lumières naturelles particulières (neige, plage - trop bleu).
- Comment La batterie d'un mobile sert à l'alimenter en énergie. Il existe plusieurs technologies couramment utilisées pour les batteries qui équipent les mobiles : 1, Cadmium Nickel (NiCd) qui équipaient les premiers téléphones mobiles. On remarquait souvent un effet mémoire, c'est-à-dire, la perte de capacité lorsque la batterie n'est pas complètement déchargée avant la recharge suivante. 2. Nickel-métal Hydrure (Ni-Mh) qui est peu polluante, elle n'a pas d'effet mémoire à condition de respecter scrupuleusement la procédure de charge. 3. Lithium Ion (Li-ion) qui est la dernière génération de batterie lancée sur le marché souvent plus légère que les précédentes à autonomie égale sans effet sur la mémoire. 4. Lithium Ion Polymère (Li-poly) qui disposent d'une densité supérieure aux Lithium Ion mais pour un coût plus élevé.
En France, les terminaux bi-bandes fonctionnent sur les réseaux GSM 900 et DCS 1800. Un téléphone tri-bande utilise trois bandes de fréquences : GSM 900/1800/1900. Vous pouvez donc l'employer en Europe, en Afrique, en Asie ainsi que dans la presque totalité de l'Amérique du Nord et de l'Australie. Le quadri-bande pourra être utilisé sur les réseaux japonais par exemple. "data-ajax="false">Comment Pour fonctionner, les information du réseau téléphonnique circulent sur des bandes de fréquence. On trouve des téléphones bi-bande et de nos jours plus communément des modèles tri-bande et aussi quadri-bande. Le terme "bi-bande" désigne un téléphone pouvant fonctionner sur deux bandes de fréquences différentes, ce qui permet une amélioration de la couverture ainsi qu'une diminution des problèmes de saturation du réseau.
En France, les terminaux bi-bandes fonctionnent sur les réseaux GSM 900 et DCS 1800. Un téléphone tri-bande utilise trois bandes de fréquences : GSM 900/1800/1900. Vous pouvez donc l'employer en Europe, en Afrique, en Asie ainsi que dans la presque totalité de l'Amérique du Nord et de l'Australie. Le quadri-bande pourra être utilisé sur les réseaux japonais par exemple.- Comment Technologie de transmission de données mise au point par Ericsson et développée par Bluetooth Special Interest Group. Bluetooth utilise la fréquence de 2,4 Ghz, et permet de gérer les connexions sans fil de type onde radio entre plusieurs appareils dans un périmètre de 10 mètres avec des vitesses de transmission atteignant 1Mbps. Cette technologie concurrence fortement IrDA.(infrarouge)
- Comment Perturbation photo qui se manifeste dans les conditions limites d'utilisation des appareils, par exemple par des points clairs dans les zones foncées, ou par des hachures de taille variable introduisant un flou. La taille du capteur et sa sensibilité influent sur le bruit, qui peut être maîtrisé pour créer des effets.
- Comment Modèle de tél classique qui se présente sous la forme d'une "barre".
- Comment Mémoire flash amovible permettant d'augmenter la mémoire incorporée dans le tél et ainsi stocker davantage de données. Il existe des cartes mémoire Flash de différentes capacités cependant, plus sa capcité est grande, plus le téléphone risque de ralentir. Il existe un grand nombre de types de carte mémoire en fonction de la marque du téléphone. Elles se distinguent en particulier par leur vitesse de transfert des données.
- Comment SIM (Subscriber Identity Module). La carte SIM est une carte à puce, véritable microprocesseur intelligent, qui supporte dans sa mémoire l'ensemble des paramètres de l'abonnement et des services auxquels un abonné au téléphone mobile a souscrits.
Sa principale fonction est d'identifier le possesseur au réseau, de faire fonctionner son mobile en fonction des paramètres délivrés par l'opérateur, mais également de protéger son appareil, principalement contre le vol. Elle contient un répertoire téléphonique sur lequel le possesseur peut enregistrer ses numéros de téléphone les plus importants (jusqu'à 250 pour certains modèles de téléphone portable).
Ainsi, s'il rencontre un problème avec son portable, le possesseur peut tout de même récupérer tous les numéros enregistrés sur la carte SIM. La carte SIM se décline en 4 formats : Standard SIM, Mini SIM (le plus répandu sur téléphone mobile), Micro SIM, Nano SIM. - Comment Mobicarte pour Orange, La Carte pour SFR et Nomad pour Bouygues Telecom. Ces cartes comprennent un crédit de communication. Une fois ce crédit écoulé, il suffit de recharger la carte pour continuer d'appeler. Elle fonctionne sans abonnement.
- Comment Modèle de téléphone à clapet. Le clapet permet de protéger l'écran principal.
- Comment Code PIN (Personal Identification Number). En français, Numéro d'Identification Personnel. Code de quatre à huit chiffres permettant l'utilisation de la carte SIM. Il doit être entré à chaque fois que l'on utilise le téléphone. Il est vivement conseillé de sélectionner un code pour éviter tout emprunt non souhaité. Généralement, le fait de composer trois codes PIN erronés consécutifs, génère le blocage de la carte et demande un code PUK pour la débloquer.
- Comment Code PIN (Personal Identification Number). En français, Numéro d'Identification Personnel. Ce second code PIN, s'il est activé, vous sera demandé pour accéder à la mémoire des numéros prioritaires et au coût des appels. ce code est utile pour les gestions de groupes d'appels et de tarifications (dans les flottes professionelles ). En théorie ce code ne sera JAMAIS communiqué par l'opérateur.
- Comment En cas de triple fausse manœuvre dans la saisie du code PIN d'accès au réseau, la carte à puce (SIM), qui stocke les données relatives à l'abonné, devient inutilisable. Pour la remettre en service, il faut obtenir auprès de l'opérateur un code (personnel) de déblocage appelé PUK (mêmes numéros d'appel qu'en cas de perte ou vol).
- Comment CDMA (Code Division Multiple Access). Technologie dominante sur les réseaux de téléphonie mobile aux Etats-Unis. Le CDMA (Multiplexage par code) est, par le nombre d'utilisateurs, l'une des plus répandues dans le monde après la technologie TDMA (Multiplexage par le temps) utilisée sur le réseau GSM notamment en Europe. La technologie CDMA, et plus précisément son évolution W-CDMA, a servi de base au standard de téléphonie mobile de troisième génération UMTS.
- Comment CSD (Circuit Switching Data).Transfert de données par commutation de circuit (norme GSM de 1G ). Le CSD est aujourd'hui remplacé par la commutation de paquet (norme GPRS de 2G) voir même la 3G.
- Comment DAS (Degré d'Absorption Spécifique). Le DAS (ou SAR - Specific Absorption Rate en anglais) est la valeur à ne pas dépasser concernant les ondes émises par les téléphones mobiles sur le corps humain. Le DAS s'exprime en puissance absorbée par kilogramme de tissus (W/kg pour watts par kilogramme). On parle de DAS sur le corps entier ou de DAS local, pour la tête. Les mesures de DAS sont réalisées grâce au fantôme SAM (Specific Anthropomorphic Mannequin) (norme EN50361). SAM est constitué d'une coque en forme de tête, perméable aux rayonnements électromagnétiques. Cette dernière, remplie d'un liquide aux caractéristiques physiques proches de celles du cerveau humain, est scrutée au moyen d'une sonde miniature. Les différents relevés de mesures sont effectués pour quatre positions du téléphone mobile : oreilles droite et gauche, téléphone collé et décollé du visage.
- Comment Un téléphone vendu en pack opérateur est bloqué pour ne fonctionner qu'avec la carte SIM incluse dans ce pack : on dit qu'il est simlocké. Le désimlockage permet à votre mobile de fonctionner avec n'importe quelle autre carte SIM, et s'effectue grâce à un code fourni par l'opérateur. Cette opération est gratuite 6 mois après l'achat.
- Comment Technologie java pour i-mode (Bouygues Telecom).
- Comment Appareil électronique connecter au port USB d'un PC (ou en infrarouge) afin de pouvoir communiquer avec un téléphone mobile équipé de la technologie bluetooth.
- Comment DRM (Digital Right Management). Mesures et outils techniques permettant d'assurer la protection du copyright des oeuvres presentes sur mobiles. Cela se traduit souvent par un bridage de la possibilité de télécharger gratuitement des musiques sur son mobile.
- Comment DTMF (Dual Tone Multiple Frequency). Technique qui consiste à émettre un signal composé deux sons lorsque l'on appuie sur les touche du téléphone. Le premier son étant en haute fréquence, l'autre en basse fréquence, le signal ne peut être confondu avec la voix et permet ainsi d'activer certaines fonctions à distance.
- Comment Système d'écriture accélérée. Chaque touche pouvant actionner trois lettres, le logiciel du mobile compare la séquence de touches actionnées avec un dictionnaire intégré et propose le mot le plus probable. Il existe plusieurs types d'écriture prédictive, le plus connu s'appelle le T9.
- Comment EDGE (Enhanced Data rate for GSM Evolution). Cette technologie est intermédiaire entre le GPRS (plus lent) et l'UMTS (plus rapide). Elle a été adoptée par Bouygues Telécom et Orange pour équiper leurs réseaux courant 2005. EDGE offre un débit théorique de 384 Kbps pour améliorer la navigation sur les services multimédia.
- Comment Phénomène de diminution de capacité des batteries de type NICD ou NIMH. Il intervient lorsque l'on recharge une batterie qui n'est pas complètement vide et augmente avec le temps
- Comment EFR (Enhanced Full Rate). L'EFR est une norme de codage de la voix qui garantit une meilleure restitution et donc une qualité d'écoute améliorée. Bouygues Telecom la commercialise sous le nom de "son DHR".
- Comment EGSM (GSMétendu). L'EGSM ou extented global systeme for mobile communications est un dérivé du GSM. Il utilise une fréquence de 10mhz.
- Comment EMS (Enhanced Messaging Service). Première évolution du SMS avant le MMS. Permet l’envoi de fichiers attachés du type logos, sonneries, images et sons. Technologie appartenant à Ericsson.
- Comment Logiciel résidant en ROM. Le firmware (matière ferme) est entre le hardware (matière dure) et le software (matière molle). Il est principalement utilisé pour contrôler directement le matériel et fourni par la firme qui fabrique ce matériel.
Sur un téléphone c'est le logiciel développé par le fabriquant pour contrôler les fonctions du mobile (écran, APN, caméra, appels, consommation d'énergie, SMS, agenda, etc).
Un firmware peut être mis à jour car les constructeurs développent de nouvelles versions du firmware au fur et à mesure de l'exploitation du mobile. Cela peut parfois améliorer certaines fonctionalités. - Comment Opération consistant à changer le firmware du téléphone. Si le flash est mal fait il peut rendre le téléphone inutilisable. Il faudra alors le flasher avec la bonne version du flash pour réparer ce problème. Flasher un téléphone peut permettre de retirer les menus de l'opérateur ou de changer la langue du firmware.
- Comment Une génération de mobile est définie en fonction du réseau exploité. Les mobiles de première génération utilisaient le réseau GSM, les mobiles de deuxieme génération le réseau GPRS et les 3G le réseau UMTS.
- Comment Système qui permet d'être localisé géographiquement par le biais de son téléphone mobile afin de recevoir des informations propres à l'endroit où l'on se trouve. Généralement, il suffit d'indiquer son code postal. On peut ainsi savoir quels sont les restaurants ou cinémas les plus proches.
- Comment GPRS (General Packet Radio Service). C'est le réseau GSM de deuxième génération permettant de transmettre des "paquets" de données à haut débit (115 Kbits/s), selon le modèle Internet. Avec un débit jusqu'à dix fois plus élevé que celui du GSM, le réseau assure une connexion quasi-instantanée et une connexion permanente
- Comment GSM (Global System for Mobile Communications). Norme de téléphonie mobile numérique exploitée par SFR, Orange et Bouygues Telecom (GSM 900 et GSM 1800 ou DCS 1800). La norme GSM est exploitée en Europe et dans beaucoup d'autres pays exceptés le Japon et les Etats-Unis.
- Comment Action de capter un réseau puis un autre, ou passer d'un réseau à l'autre en cours de communication. Par exemple, le roaming implique un handover à la frontière entre le réseau local et le réseau du pays étranger. Une autre utilisation du Handover est lorsqu'un mobile passe du réseau UMTS au réseau GSM.
- Comment HDML (Handheld Devices Markup Language). Langage adapté du HTML qui permet d'afficher des pages Web sur les écrans des téléphones portables, des assistants numériques personnels (PDA), etc. en tenant compte des contraintes spécifiques à ces terminaux comme la taille de l'écran par exemple.
- Comment HLR (Home Location Registrer). Dans les réseaux GSM, c'est le nom de la base de données dans laquelle sont enregistrés les abonnements et les caractéristiques du mobile de l'abonné. Ainsi, quand un abonné passe un appel, une requête est émise vers le HLR, afin de déterminer la position courante de l'utilisateur et définir sa zone d'appel. Ces données permettent aux opérateurs d'effectuer la facturation du client.
- Comment Lieu public de passage délimité et à fort trafic dans lequel il est possible de se connecter à un réseau haut débit sans fil (WiFi) pour recevoir ses e-mails, se connecter à Internet, etc. Les aéroports, les gares, les hôtels, les centres de conférences par exemple, sont des hotspots.
- Comment IMEI (International Mobile Equipment Identity). Numéro d'identification unique à chaque téléphone mobile. Il peut être utilisé afin de bloquer un appareil volé. Il est donc conseillé de le noter au préalable. Ce code à 15 chiffres est présenté sous la forme de quatre nombres séparés par -, /, ou des espaces ou d'un seul nombre à 15 chiffres. Il se trouve au dos du mobile sous la batterie, ainsi que sur l'étiquette du coffret d'emballage. Il est également consultable directement depuis son mobile en composant : *#06# sur le clavier.
- Comment IRDA (InfraRed Data Association). Connexion sans câble entre deux appareils utilisant les ports infrarouges des deux appareils.
- Comment Dernier standard JavaT pour terminaux mobiles : cette nouvelle version améliore significativement l'interface utilisateur, apportant le support de fonctions sonores évoluées, une interface de jeu optimisant les fonctions graphiques, une connectivité à l'Internet Mobile, ainsi que plusieurs autres possibilités liées à la sécurisation des échanges ou à l'exécution d'applications téléchargées.
- Comment Les écrans à matrice active utilisent la technologie TFT (transistor à couches minces). Monnaie courante sur les ordinateurs portables, les écrans TFT contiennent un transistor pour chaque pixel ; ils produisent ainsi des images plus nettes et plus lumineuses. Toutefois, les écrans TFT sont également plus onéreux et consomment plus d'énergie. Mais face à la demande du public pour disposer d'écrans couleur de bonne qualité, ils deviennent de plus en plus répandus sur le marché.
- Comment Les écrans à matrice passive sont constitués d'un système de grille utilisant des fils verticaux et horizontaux pour diriger des charges électriques vers une coordonnée précise, allumant ainsi le pixel correspondant. Les temps de réponse sont inférieur et la luminosité moins forte que les écrans à matrice active ; la lisibilité de l'écran au soleil est difficile. Les écrans STN (à simple balayage) sont une illustration populaire de la technologie de matrice passive.
Dans la pratique, cela permet d'appeler un correspondant directement (après avoir vérifié sa disponibilité grâce à un indicateur de présence), sans avoir à composer le numéro. Cela suppose deux prérequis : être équipé d'un téléphone compatible et souscrire au service ad-hoc (et payant) auprès de son opérateur mobile. En France, des services "Push-to-talk" sont proposés par les opérateurs Orange et Bouygues Telecom. "data-ajax="false">Comment Technologie de communication audio, fonctionnant sur un principe similaire à celui du "talkie-walkie". Elle permet à deux ou plusieurs individus de converser entre eux, chacun leur tour, en appuyant sur une touche de leur téléphone pour parler.
Dans la pratique, cela permet d'appeler un correspondant directement (après avoir vérifié sa disponibilité grâce à un indicateur de présence), sans avoir à composer le numéro. Cela suppose deux prérequis : être équipé d'un téléphone compatible et souscrire au service ad-hoc (et payant) auprès de son opérateur mobile. En France, des services "Push-to-talk" sont proposés par les opérateurs Orange et Bouygues Telecom.- Comment Téléphone équipé d'un clavier coulissant sous l'écran.
- Comment Littéralement "téléphone intelligent", est un terme utilisé pour désigner les téléphones évolués, qui possèdent des fonctions similaires à celles des assistants personnels et autorisent l'ajout de nombreux programmes spécifiques.
- Comment SMS (Short Message Service). Ce sont des messages texte, envoyés d'un téléphone à un autre. Limités à 140 ou 160 caractères, ils ont engendré le langage qui porte leur nom, composé d'abréviations les plus courtes possibles.
- Comment Système d'exploitation pour téléphone mobile (souvent des Nokia). Développé par un consortium de constructeurs du secteur, il se destine aux téléphones dits intelligents, également appelés smartphones. Ces appareils disposent de fonctions d'agenda, de carnet d'adresses, ils acceptent aussi des programmes supplémentaires.
- Comment UFB (Ultra Fine & Brigh). Dévoilée en mars 2002, la technologie UFB (ultra fin et lumineux) a été développée par Samsung. Censés offrir de riches couleurs et les temps de réponses rapides des écrans à matrice active, tout en garantissant la faible consommation d'énergie des écrans à matrice passive. Les écrans UFB ont fait leur apparition sur les mobiles Samsung récents.
- Comment UMTS (Universal Mobile Telecommunications System). Aussi appelé "3G" ou "Troisième Génération". Cette norme offre un débit effectif de 400 Kbps contre 384 Kbps pour l'EDGE et 115 Kbps pour le GPRS. Grâce à ce débit rapide l'UMTS offre la possibilité de faire de la visiophonie ou du streaming vidéo.
- Comment Service multimédia de communication entre deux personnes associant la voix et l'image. La visiophonie est aujourd'hui possible grâce à l'UMTS sur les téléphones portables et permet de voir son correspondant pendant l'appel à condition de disposer d'un téléphone équipé d'une caméra frontale et d'un forfait 3G.
- Comment WAP (Wireless Application Protocol). Ce protocole a été lancé par un consortium de constructeurs de téléphones mobiles, dont Nokia, Ericsson et Motorola. Avec l'essor d'Internet et le développement des mobiles, il devient intéressant d'accéder à Internet depuis son téléphone portable. WAP est donc une version allégée de HTTP pour permettre l'affichage de pages WML, adaptées à des petits écrans, à une bande passante réduite, à une mémoire en petite quantité, à de faible capacité en terme de processeur et à une autonomie restreinte.
- Comment Wi-Fi (WIreless Fidelity). Réseau permettant d'accéder via un ordinateur, un PDA ou un mobile compatible à Internet et aux messageries électroniques sans câble et à haut débit (entre 5 et 25 mégabits/s).
- Comment Système d'exploitation pour Smartphone concurrent de Symbian. Il permet de configurer son téléphone mobile de manière très poussée grace à de nombreux logiciels compatibles.
- Comment Erreur 100 : Statut information. Attente de la suite de la requête.
- Comment Erreur 101 : Statut information. Acceptation du changement de protocole.
- Comment Erreur 102 : Statut information. Traitement en cours (évite que le client dépasse le temps d’attente limite).
- Comment Erreur 118 : Statut information. Délai imparti à l'opération dépassé.
- Comment Erreur 200 : Statut succès. Requête traitée avec succès.
- Comment Erreur 201 : Statut succès. Requête traitée avec succès avec création d’un document.
- Comment Erreur 202 : Statut succès. Requête traitée mais sans garantie de résultat.
- Comment Erreur 203 : Statut succès. Information retournée mais générée par une source non certifiée.
- Comment Erreur 204 : Statut succès. Requête traitée avec succès mais pas d’information à renvoyer.
- Comment Erreur 205 : Statut succès. Requête traitée avec succès, la page courante peut être effacée.
- Comment Erreur 206 : Statut succès. Une partie seulement de la requête a été transmise.
- Comment Erreur 207 : Statut succès. Réponse multiple.
- Comment Erreur 210 : Statut succès. La copie de la ressource côté client diffère de celle du serveur (contenu ou propriétés).
- Comment Erreur 300 : Statut redirection. L’URL demandée se rapporte à plusieurs ressources.
- Comment Erreur 301 : Statut redirection. Document déplacé de façon permanente.
- Comment Erreur 302 : Statut redirection. Document déplacé de façon temporaire.
- Comment Erreur 303 : Statut redirection. La réponse à cette requête est ailleurs.
- Comment Erreur 304 : Statut redirection. Document non modifié depuis la dernière requête.
- Comment Erreur 305 : Statut redirection. La requête doit être ré-adressée au proxy.
- Comment Erreur 307 : Statut redirection. La requête doit être redirigée temporairement vers l’URI spécifiée.
- Comment Erreur 310 : Statut redirection. La requête doit être redirigée de trop nombreuses fois, ou est victime d’une boucle de redirection.
- Comment Erreur 400 : Erreur du client. La syntaxe de la requête est erronée.
- Comment Erreur 401 : Erreur du client. L'erreur 401 signifie que vous ne possédez pas l'autorisation nécessaire à la consultation de la page demandée.
- Comment Erreur 40 : Erreur du client. Paiement requis pour accéder à la ressource (non utilisé).
- Comment Erreur 403 : Erreur du client. L’authentification est refusée. Contrairement à l’erreur 401, aucune demande d’authentification ne sera faite.
- Comment Erreur 404 : Erreur du client. L’erreur 404 est un code d’erreur dans le protocole HTTP qui est renvoyé par un serveur HTTP pour indiquer que la ressource demandée (généralement une page web) n’existe pas.
- Comment Erreur 405 : Erreur du client. Méthode de requête non autorisée.
- Comment Erreur 406 : Erreur du client. Toutes les réponses possibles seront refusées.
- Comment Erreur 407 : Erreur du client. Accès à la ressource autorisé par identification avec le proxy.
- Comment Erreur 408 : Erreur du client. Temps d’attente d’une réponse du serveur écoulé.
- Comment Erreur 409 : Erreur du client. La requête ne peut être traitée à l’état actuel.
- Comment Erreur 410 : Erreur du client. La ressource est indisponible et aucune adresse de redirection n’est connue.
- Comment Erreur 411 : Erreur du client. La longueur de la requête n’a pas été précisée.
- Comment Erreur 412 : Erreur du client. Préconditions envoyées par la requête non-vérifiées.
- Comment Erreur 413 : Erreur du client. Traitement abandonné dû à une requête trop importante.
- Comment Erreur 414 : Erreur du client. URL trop longue.
- Comment Erreur 415 : Erreur du client. Format de requête non-supportée pour une méthode et une ressource données.
- Comment Erreur 416 : Erreur du client. Champs d’en-tête de requête « range » incorrect.
- Comment Erreur 417 : Erreur du client. Comportement attendu et défini dans l’en-tête de la requête insatisfaisable.
- Comment Erreur 418 : Erreur du client. "Je suis une théière". Ce code est défini dans la RFC 2324 datée du premier avril 1998, Hyper Text Coffee Pot Control Protocol. Il n’y a pas d’implémentation de ce code.
- Comment Erreur 422 : Erreur du client. L’entité fournie avec la requête est incompréhensible ou incomplète.
- Comment Erreur 423 : Erreur du client. L’opération ne peut avoir lieu car la ressource est verrouillée.
- Comment Erreur 424 : Erreur du client. Une méthode de la transaction a échoué.
- Comment Erreur 426 : Erreur du client. Le client devrait changer de protocole.
- Comment Erreur 449 : Erreur du client. Code défini par Microsoft. La requête devrait être renvoyée après avoir effectué une action.
- Comment Erreur 450 : Erreur du client. Code défini par Microsoft. Cette erreur est produite lorsque les outils de contrôle parental de Windows sont activés et bloquent l’accès à la page.
- Comment Erreur 500 : Erreur du serveur. Erreur interne du serveur.
- Comment Erreur 501 : Erreur du serveur. Fonctionnalité réclamée non supportée par le serveur.
- Comment Erreur 502 : Erreur du serveur. Mauvaise réponse envoyée à un serveur intermédiaire par un autre serveur.
- Comment Erreur 503 : Erreur du serveur. Service temporairement indisponible ou en maintenance.
- Comment Erreur 504 : Erreur du serveur. Temps d’attente d’une réponse d’un serveur à un serveur intermédiaire écoulé.
- Comment Erreur 505 : Erreur du serveur. Version HTTP non gérée par le serveur.
- Comment Erreur 507 : Erreur du serveur. Espace insuffisant pour modifier les propriétés ou construire la collection.
- Comment Erreur 509 : Erreur du serveur. Utilisé par de nombreux serveurs pour indiquer un dépassement de quota.
- Comment Le processus d’encodage entropique adaptatif utilisé dans le MPEG-4 AVC/H.264 utilise le CAVLC (Context Adaptive VLC) et le CAVBAC (Context Adaptive Binary Arithmetic Coding) qui sont tous deux capables de s’adapter de manière dynamique au contexte. Le MPEG-2 utilise quant à lui une table de compression fixe lors du codage VLC, ce qui ne permet pas d’obtenir une compression efficace avec certains types d’images. A l’inverse, avec l’encodage adaptatif, la compression s’adapte de manière dynamique aux images et de ce fait on bénéficie toujours d’une compression efficace.
- Comment CAVLC (Context Adaptive VLC).
- Comment CAVBAC (Context Adaptive Binary Arithmetic Coding).
- Comment La téléphonie mobile, ou téléphonie cellulaire est un moyen de télécommunications par téléphone sans fil (téléphone mobile). Ce moyen de communication s'est largement répandu à la fin des années 1990. La technologie associée bénéficie des améliorations des composants électroniques, notamment leur miniaturisation, ce qui permet aux téléphones d'acquérir des fonctions jusqu'alors réservées aux ordinateurs.
L'appareil téléphonique en lui-même peut être nommé « mobile », « téléphone portable », « portable », « téléphone cellulaire » en Amérique du Nord, « cell » au Québec dans le langage familier, « natel » en Suisse, « GSM » en Belgique et au Luxembourg, « vini » en Polynésie française. Quand il est doté de fonctions évoluées, c'est un smartphone ou téléphone intelligent. - Comment Numéro anti spam créé à l’initiative du gouvernement qui permet aux utilisateurs d’avertir les autorités lorsqu’ils réceptionnent des SMS indésirables.
- Comment Système mobile de deuxième génération basés sur GSM.
- Comment Evolution du réseau 3G qui permet une nouvelle augmentation des débits pour le téléchargement et le transfert de données. Elle est basée sur la technologie HSDPA (High Speed Dowlink Packet Access).
- Comment Terme utilisé pour décrire les évolutions à venir dans la communication mobile (réseau de quatrième génération).
- Comment AFOM (Association Française des Opérateurs Mobiles). Association regroupant les opérateurs français de téléphonie mobile.
- Comment AFMM (Association Française du Multimedia Mobile).
- Comment Le terme « analogique » désigne un mode de transmission selon lequel l’onde acoustique, provoquée par la voix de l’abonné, est transformée en signal électrique. En opposition au mode « numérique », où le signal analogique est converti numériquement. Le numérique permet une meilleure qualité.
- Comment Le terme « numérique », désigne un signal analogique converti numériquement. Le numérique permet une meilleure qualité que l'« analogique » qui désigne un mode de transmission selon lequel l’onde acoustique, provoquée par la voix de l’abonné, est transformée en signal électrique.
- Comment Service de téléchargement en ligne d’applications mobiles disponible sur iTunes pour les terminaux iTouch et iPhone d’Apple. D’autres plateformes similaires existent chez Google et Nokia.
- Comment PDA (Personal Digital Assistant). Ordinateur de poche complémentaire à l’ordinateur de bureau ou à l’ordinateur portatif. Il intègre de multiples fonctions de gestion qui lui permettent d’être utilisé comme un outil de travail accompagnant une personne dans ses déplacements.
- Comment Téléphones fonctionnant sur deux fréquences hertziennes différentes (GSM 900/DCS 1800) et permettant de bénéficier d’une meilleure couverture dans les zones à faible densité de population. Les téléphones tri-bandes vous permettent l’accès aux réseaux des opérateurs partenaires fonctionnant sur du 1900 Mhz.
- Comment Terminal de messagerie électronique de poche qui utilise le réseau téléphonique à haut débit GPRS. Il permet de recevoir, de répondre, d’archiver ou d’effacer au fil de l’eau ses messages électroniques. Les mails ou les demandes de rendez-vous arrivent exactement comme si vous étiez à votre bureau, sans aucune manipulation.
- Comment Il s’agit de deux cartes SIM identiques fonctionnant avec le même numéro et le même abonnement.
- Comment Il s’agit d’un carré ou d’un rectangle dont les pixels prennent une valeur booléenne (0 ou 1) représentée visuellement par le noir et le blanc. (différentes symbologies QR Code, Datamatrix, MobileTag ou eZcodeetc.)
- Comment Fonction des téléphones qui permet le transfert à distance de données ou de fax, d’ordinateur portable à ordinateur. La vitesse de transfert des informations s’exprime en bauds.
- Comment Téléphone mobile équipé en interne d’un modem lui permettant, une fois connecté à un ordinateur portable (par câble ou infrarouge) de faire de la transmission de données (fax, Internet, etc.).
- Comment Réseau numérique fonctionnant sur la fréquence 1800 MHz conçu pour éviter la saturation du réseau GSM 900 MHz. Bouygues Telecom a déployé son réseau national en 1800 MHz. SFR et Orange complètent leur couverture 900 MHz par des bornes 1800 MHz.
- Comment EIR (Equipment Identity Registrer). Base de données mondiale regroupant les caractéristiques des mobiles volés, perdus ou non homologués, identifiés par leur numéro IMEI. L’EIR permet aux opérateurs d’identifier les utilisateurs de mobiles volés et ainsi de les empêcher d’accéder à leur réseau.
- Comment Désigne le prestataire technique mettant à disposition de l’éditeur son raccordement technique aux réseaux des opérateurs mobiles.
- Comment Flashcode est une marque de l’Association Française du Multimedia Mobile. Elle désigne des codes-barres 2D de type Flashcode, destinés à être lus par des téléphones compatibles disposant du lecteur flashcode.
- Comment Entreprise affiliée à un opérateur réseau qui fournit des services de téléphonie mobile à ses clients.
- Comment Moteur de recherche de l’Internet mobile permettant l'accès à une multitude de contenus et services multimédias quel que soit l’opérateur. Référence des sites Internet mobiles.
- Comment Jusque là, afin de contrôler la diffusion du contenu pour téléphone portable, les opérateurs avaient instauré les portails ou encore Gallery, par lesquels les éditeurs de sites Web devaient passer pour atteindre les utilisateurs. Le hors portail permet d’abolir l’aval des opérateurs. Les utilisateurs peuvent accéder aux sites off-portal en tapant directement l’URL du site, via un moteur de recherche ou par des campagnes publicitaires.
- Comment HSDPA (High Speed Downlink Packet Access). Protocole pour la téléphonie mobile parfois appelé 3,5 G ou encore 3 G+. Le protocole 3,5 G offre des performances 10 fois supérieures à la 3 G dont il est une évolution logicielle. Cette évolution permet d’approcher les performances.
- Comment HSUPA (High-Speed uplink pocket access). Variante de HSPDA sur la voie montante. Elle permet d’émettre facilement des contenus volumineux vers d’autres mobiles
- Comment Petit pictogramme représentant une action, un objet, un type de fichier, etc. Les icônes servent d’outils pour rendre les environnements graphiques des téléphones mobiles plus simples d’utilisation aux novices.
- Comment L’i-mode est l’appellation commerciale d’un ensemble de services et de protocoles permettant de connecter des téléphones portables à Internet. L’i-mode est un concurrent du WAP, bien que les téléphones i-mode permettent également d’afficher du contenu WAP. En France l’i-mode est exclusivement disponible chez Bouygues Telecom.
- Comment Ensemble de sites, contenus ou services en ligne spécialement conçus pour les téléphones mobiles.
- Comment L'iPhone est un téléphone intelligent (smartphone) commercialisé depuis juin 2007 par la société Apple. Premier mobile commercialisé sans mode d’emploi et avec un seul bouton : l'interface dépourvue des touches traditionnelles est composée d'un écran tactile multi-touch, permettant d'accéder aux fonctionnalités du smartphone : appareil photo / caméra, iPod, Internet, etc.
- Comment Fonction qui désactive les émetteurs et récepteurs radios et permet ainsi d’utiliser certaines fonctions dans des endroits tels que les avions ou les hôpitaux.
- Comment Fonction qui désactive les émetteurs et récepteurs radios et permet ainsi d’utiliser certaines fonctions dans des endroits tels que les avions ou les hôpitaux.
- Comment MVNO (Mobile Virtual Network Operator). Opérateur mobile virtuel qui ne possède pas de réseau télécoms en propre. Il loue les capacités à d’autres. Le MVNO possède ses propres cartes SIM, achète des minutes en gros à un opérateur disposant d’un réseau et a une totale liberté pour fixer ses tarifs et proposer ses services. Il gère lui-même la facturation et assure le service client.
- Comment NFC (Near Field Communication). La technologie NFC promet de nouveaux usages mobiles parmi lesquels on trouvera le paiement sans contact, l’authentification ou la billetterie dématérialisée.
- Comment Numéro Court, Short ID ou Shortcode est un code à 5 chiffres qui identifie le service de l’éditeur d’un service SMS.
- Comment Système d'exploitation permettant l'utilisation d'un téléphone mobile comme Android, iPhone, Symbian, Windows, Rim.
- Comment Carte modem qui permet de relier un ordinateur portable à un téléphone portable.
- Comment Si les premières sonneries de téléphones mobiles ressemblaient à des bip-bip (sonneries monophoniques), elles permettent désormais de jouer plusieurs instruments en même temps (sonneries polyphoniques). Plus le nombre de tons est élevé, plus la sonnerie sera riche musicalement.
- Comment Permet de conserver votre numéro de téléphone lorsque vous changez d'opérateur.
- Comment Permet à l’appelé de voir sur l’écran de son téléphone (mobile ou fixe), le numéro des personnes qui l’appellent.
- Comment Fait référence au processus par lequel un individu initie une requête via son téléphone mobile.
- Comment Un Push désigne l’envoi d’informations au consommateur directement sur son téléphone mobile, sous réserve de son accord, le plus souvent via l’envoi de SMS ou MMS.
- Comment RIO (Relevé d’Identité Opérateur). Code attribué par tout opérateur mobile à chaque numéro mobile actif dans le cadre de la portabilité des numéros mobiles en métropole. Il est comparable au RIB. Il est nécessaire à toute demande de conservation du numéro lors de l’ouverture d’un nouveau contrat.
- Comment La radio-identification plus usité sous le sigle RFID est une méthode pour mémoriser et récupérer des données à distance en utilisant des marqueurs appelés « radio-étiquettes » (« RFID tag » ou « RFID transponder » en anglais).
- Comment Nouvelle façon de transmettre les informations par téléphone. Les lignes RNIS permettent d’avoir une ligne de données et une ligne de conversation sur la même ligne terrestre. Le RNIS présente un débit très élevé (64 kilobits par seconde) en comparaison d’une ligne terrestre standard (33,2 kilobits par seconde).
- Comment Transfert d’une communication du réseau d’origine à un autre réseau. Le client qui se déplace, en Europe par exemple, a la possibilité de garder le même numéro de téléphone.
- Comment SCS (Société de Commercialisation et de Services). Ce sont des sociétés qui gèrent et facturent les services fournis par un opérateur.
- Comment Le SIM Tool Kit est une nouvelle génération de cartes SIM permettant à l’opérateur de personnaliser les services offerts à l’utilisateur, moyennant l’utilisation d’un GSM approprié.
- Comment Association fondée par les trois opérateurs mobiles qui a pour objet de gérer les numéros courts et traiter les réservations des numéros courts émanant des éditeurs.
- Comment Le principe du Push to talk (PTT) consiste à utiliser son téléphone comme un talkie-walkie, simplement en poussant un bouton pour dialoguer les uns avec les autres. La technologie se veut l’équivalent voix du SMS.
- Comment Un téléphone dont la partie supérieure pivote sur elle-même. On parle également de téléphones rotatifs. Le Motorola V70 est le premier swivel à être apparu sur le marché.
- Comment Permet à l’utilisateur de bloquer l’usage des touches pour ne pas composer accidentellement de numéro quand l’appareil se trouve dans une poche ou un sac.
- Comment à demain. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment à plus tard. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment à un de ces quatre. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment adresse. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment à la prochaine. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment à mon avis. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment à mon humble avis. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment après. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment appelle-moi. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment à ta disposition. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment avant. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment boite aux lettres. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment numéro de carte bancaire. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment bonne après-midi. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment bavarder. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment because (parce que). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment beaucoup. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment before (avant). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment bientôt. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment bise. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment bonjour. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment au revoir. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment c'est. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment ça a l'air chaud. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment carnet d’adresses. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment c'est béton. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment c'est quand ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment je sais pas. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment je suis énervé. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment c’est qui ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment c’est quoi ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment c'est quoi le programme ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment see you (à bientôt). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment cordialement. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment cool. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment décidé. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment d’accord. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment début. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment dépasser. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment dictionnaire. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment document. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment easy (facile). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment fin de semaine. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment faire. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment for your information (pour info). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment j'ai faim. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment j'ai un problème. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment galère. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment j’ai acheté. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment généralement. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment généralement. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment humour. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment idée. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment information. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment je t’aime. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment je suis KO. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment je suis occupé. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Je suis OK. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Je te quitte. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment kiss (bisous). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment cassette. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment café. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment cassé. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment cadeau. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment que. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment qui. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment qui est là ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment comme. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment comment. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment causer. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment léger. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment love. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment manque. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment mais c'est où ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment merci. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment mort de rire. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment mobile. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment merde. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment message. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment no problemo !. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment énervé. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment je ne sais pas. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment on s’écrit. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment occupé. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment pas de quoi. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment please (s'il te plaît). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment pourquoi. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment pourquoi. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment pourquoi. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment pourquoi tant de haine ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment parce que. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment projet. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment quand. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment quand est-ce que tu viens ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment que fais-tu ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment qu'est-ce que tu as ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment qu'est-ce que tu deviens ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment qu'est-ce que tu dis ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment qu'est-ce que tu fais ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment quoi de neuf ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment quoi de neuf bébé ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment quelqu’un. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment rien de neuf. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment rien à signaler. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment rendez-vous. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment réunion. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment ça me fait kiffer (ça me plait). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment seulement ou salut. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment j’ai de la peine. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment cerveau. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment s’il te plait. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment what’s up ? (quoi de neuf ?). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment see you soon (à bientôt). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment t’es amoureux dingue. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment t'as l'air énervé. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment t'es pas là ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment t'as le code ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment t'es un génie. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment ne t’inquiètes pas. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment tu es là ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment tout le monde. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment tu es où ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment temps. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment très très bien. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment trop délire. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment tu m'appelles. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment tu me manques. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment tu sais quoi ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment texte. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment up to you (comme tu veux). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment with (avec). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment week-end. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment week-end. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment excellent. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment il y a. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment il n’y a qu’à. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment de ou deux. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment demain. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment today (aujourd’hui). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, 365 jours par an. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment forever (pour toujours). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment ciné. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment cité. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment cette. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment argent. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment âge, sexe, ville. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment beaucoup. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment dépassé. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment dépêche. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment il faut. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment tu piges ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment idée. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment je suis excité. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment elle. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment maintenant. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment énervé. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment pas du tout. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment répond moi s'il te plait. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment toujours. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment où es-tu ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment exact. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment emergency, call me (appelle moi en urgence). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment tomorrow (demain). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment For you (Pour toi). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment be home late (je serai en retard). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment call you back later (je te rappelle plus tard). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Call Your Office (rappelle ton bureau). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment free To Talk (disponible pour parler). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment great (super). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment good luck (bonne chance). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment I see (je vois). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment in meeting (en réunion). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment hello (salut). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment Please Forgive Me (oublie moi). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment wait (attend). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment where are you (où es-tu ?). Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment à un de ces quatre. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment bien sûr. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment bonsoir. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment c'est à dire. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment désolé. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment juste une minute. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment rien à faire. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment tu viens demain ?. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment accro. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment cafard. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment câlin. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment canon. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment clair. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment coeur. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment cruel. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment de la balle. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment désespéré. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment dingue. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment enfer. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment fier. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment génial. Cette expression est utilisée dans le chat ou les SMS.
- Comment signifie Domaine de la France.
- Comment EPUB (Electronic PUBlication). Format ouvert standardisé pour les livres numériques proposé par l'International Digital Publishing Forum (IDPF). EPUB est conçu pour faciliter la mise en page du contenu, le texte affiché étant ajusté pour le type d'appareil de lecture. Il est également conçu comme le seul format pouvant à la fois satisfaire les éditeurs pour leurs besoins internes et la distribution. Ce format englobe le standard Open eBook.
La dernière version standardisée, EPUB3 repose sur l'HTML5, ce qui ouvre la voie à de nombreuses extensions. Elle offre de nouvelles caractéristiques telles que la prise en charge de l'affichage de toutes les langues, un espace spécifique pour les métadonnées, un développement de l'interactivité permettant l'ajout de contenus enrichis (graphismes, typographies, multimédias). Excepté l'Amazon Kindle, toutes les liseuses sont compatibles avec le format EPUB. Diverses applications de lecture supportant l'EPUB sont également disponibles pour les ordinateurs personnels, les tablettes tactiles et les smartphones. - Comment Worldwide Interoperability for Microwave Access (WiMAX). Le WiMAX désigne un standard de communication sans fil. Aujourd'hui surtout utilisé comme mode de transmission et d'accès à Internet haut débit, portant sur une zone géographique étendue.
- Comment Une liseuse (e-Reader en anglais) permet de stocker et lire un texte sous format numérique. Une liseuse permet, par la miniaturisation croissante des composants électroniques de se rapprocher du livre papier traditionnel : autonome, portable, léger. De plus, la technologie e-Ink permet un confort de lecture comparable à celui du papier. Une liseuse peut avoir différentes tailles, proche de celle d'un ouvrage papier, restant généralement inférieur au format A4. La liseuse permet de stocker de plusieurs milliers d'ouvrages, elle se situe donc entre la bibliothèque nomade et le livre numérisé. Quelques fonctions annexes propres au format numérique sont introduites, telles que le choix de la taille des caractères, une table des matières numérique, la recherche de mots, la prise de notes, l'usage de dictionnaires numériques, le zoom, l'orientation de l'affichage (mode portrait ou paysage), une interface d'échange notamment USB, etc. Les liseuses les plus évoluées permettent en plus d'écouter de la musique ou de regarder des films, se rapprochant ainsi des tablettes numériques.
- Comment Le papier électronique (également appelé e-paper), est une technique d'affichage sur support souple (papier, plastique), modifiable électroniquement, cherchant à imiter l'apparence d'une feuille imprimée et qui, comme le papier, ne nécessite pas d'énergie pour laisser un texte ou une image affichée. Contrairement aux techniques d'affichage classiques qui nécessitent un rétro-éclairage ou l'émission de photons, le papier électronique est purement réflectif et utilise la lumière ambiante de la même manière que le papier classique. Un papier électronique doit pouvoir afficher du texte et des images indéfiniment, sans consommer d'énergie, que ce soit pour l'affichage ou pour un éventuel système de traitement de données, et doit permettre le changement de ce qu'il affiche. La plupart des papiers électroniques consomment de l'énergie uniquement lorsque le contenu affiché est modifié. Les pixels d'un tel système doivent donc posséder plusieurs états distincts stables, de manière à garder intact le contenu affiché en l'absence de source d'énergie. Le papier électronique a été développé dans le but de surmonter certaines limitations liées aux écrans d'ordinateur classiques. Par exemple, le rétro-éclairage de certains écrans peut être agressif pour l'œil humain, alors que le papier électronique reflète la lumière tout comme une feuille de papier classique le ferait. Ainsi, il est très facile de lire sur du papier électronique, quel que soit l'angle sous lequel on le regarde. De plus, le papier électronique est léger, durable, et très flexible par rapport aux autres types d'affichages (mais moins flexible que du papier). Les applications futures envisagées vont des liseuses capables de stocker les versions numérisées de nombreux livres, aux posters permettant de changer la décoration d'une pièce, en passant par les étiquettes électroniques ou la mesure industrielle ou la domotique.
- Comment Une tablette tactile (ou tablette électronique, ardoise électronique ou bien encore tablette numérique) est un ordinateur mobile en forme de tablette dépourvue de clavier et de souris, dont la principale interface est un écran tactile.
- Comment Le skyscraper est une bannière publicitaire verticale destinée à Internet aux dimension 120x600px ou 160x600px avec un poids de 50 Ko en moyenne. Le format vertical est plus adapté pour une création graphique que du texte.
- Comment Membre de l'équipe O'Reilly et Créateur du Global Network Navigator, premier site commercial en 1993 qui fut racheté par Aol en 1995.
- Comment O'Reilly Media (anciennement O'Reilly & Associates) est une maison d'édition américaine, fondée par Tim O'Reilly en 1978, et dont l'activité principale est la publication de livres concernant l'informatique.
À l'origine exclusivement centrés sur l'administration et la programmation des systèmes Unix, les livres publiés par O'Reilly couvrent en 2005 tous les domaines de l'informatique. La publication de The Whole Internet User's Guide & Catalog en 1992, en s'adressant aux nouveaux utilisateurs des réseaux, a marqué le début de la diversification de l'éditeur. - Comment Un hyperlien ou lien hypertexte ou simplement lien, est une référence dans un système hypertexte permettant de passer automatiquement d'un document consulté à un document lié. Les hyperliens sont notamment utilisés dans le World Wide Web pour permettre le passage d'une page Web à une autre d'un clic. Un lien hypertexte ou hyperlien permet en cliquant dessus d'atteindre un autre endroit de la page, une autre page ou un autre site évalué comme pertinent par l'auteur. C'est un mode d'organisation d'un document. Il a une source (ou origine) et une destination (ou cible). L'activation de l'élément source d'un hyperlien permet de passer automatiquement à sa destination. La source d'un hyperlien est généralement un élément (mots, phrases, images) d'un document hypertexte. La destination peut être un autre élément du même document, il s'agit alors d'un hyperlien interne au document. La destination peut également être un autre document, voire un élément précis d'un autre document. Certains systèmes hypertextes ne garantissent pas que la destination existe : dans ce cas on risque de suivre des hyperliens dits brisés, cassés ou morts.
- Comment Vinton « Vint » Gray Cerf, né le 23 juin 1943 à New Haven, Connecticut, États-Unis, est un ingénieur américain, chercheur et co-inventeur avec Bob Kahn du protocole TCP/IP. Il est considéré comme l'un des pères fondateurs d'Internet.
- Comment Robert E. Kahn, dit Bob Kahn né le 23 décembre 1938, Brooklyn, New York est un ingénieur américain au DARPA et co-inventeur avec Vinton Cerf du protocole TCP/IP. Consultant chez Bolt, Beranek et Newman, il a élaboré le premier protocole de communication par paquets pour répondre à la nécessité de connecter rapidement des ordinateurs différents en cas de guerre. Il expérimente sa technologie sur quatre sites et crée ainsi l'embryon du réseau Arpanet, un projet militaire financé par la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA).
Après de multiples nuits passées à écrire avec Vinton Cerf des programmes révolutionnaires, il réalise une première démonstration en octobre 1972. Le réseau Arpanet devient opérationnel en juillet 1975, un an après la publication par Robert Kahn et Vinton Cerf des principes de l'architecture et des protocoles de base du futur réseau Internet. Robert Kahn est aujourd'hui président de la Corporation for National Research Initiatives (CRNI), un organisme sans but lucratif qu'il a fondé en 1986.
Leurs travaux ont valu aux deux hommes de recevoir la médaille Graham Bell décernée par l'Institut des ingénieurs électriques et électroniques (IEEE). Il est entré en 1997 au Musée National d'Histoire Américaine, aux côtés de Seymour Cray, Roland Moreno, Tim Berners-Lee et Gordon Moore. - Comment Domaine de Wallis et Futuna
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- Comment Selon les lois de la physique, l’énergie cinétique est l’énergie d’un corps en mouvement. Dans le domaine du cinéma, l’énergie cinétique s’applique au mouvement de la caméra. Celle-ci peut être déplacée de multiples façons, et chaque mouvement exprimer une intention particulière. Parmi les appareils les plus fréquemment utilisés pour faire des mouvements de caméra, il y a le chariot de travelling, le Steadicam, la caméra portée, la grue, la Louma. Les secousses qui résultent d’une prise de vue à la caméra portée dynamisent une scène. Les séquences dont le mouvement doit être ample et régulier sont tournées avec un Steadicam. Les grues, Louma et autres chariots de travelling permettent des mouvements de caméra également réguliers mais limités par la structure des appareils. Il existe toutes sortes de moyens originaux de déplacer la caméra, comme de la fixer sur un chariot de montagnes russes, de l’attacher à une balançoire, un manège, ou à tout autre objet qui peut être mis en mouvement.
Par exemple, Peckinpah utilise la caméra portée dans Les Chiens de paille.
Dans Rosemary’s Baby, l’héroïne est filmée en caméra portée alors qu’elle lutte pour s’échapper.
Dans Le Bon, la Brute et le Truand, la caméra se met à tourner rapidement au moment où un personnage cherche l’or caché dans un cimetière.
La séquence de chasse de La Planète des singes est tournée en caméra portée.
Aussi importante qu’elle puisse être, l’énergie cinétique ne fait pas tout. Dans la plupart des plans du Parrain, la caméra est quasiment statique, mais cette absence d’effet de mouvement ne nuit absolument pas à la puissance dramatique du film. - Comment Dans le panoramique horizontal, la caméra pivote sur son axe horizontal de la gauche vers la droite ou de la droite vers la gauche. Pour vous faire une idée de ce qu’est un panoramique horizontal, il vous suffit de rester bien droit et de tourner la tête de gauche à droite ou de droite à gauche. Le panoramique horizontal est communément utilisé pour découvrir un très large panorama qui n’entre pas dans le cadre fixe de la caméra (un paysage, par exemple). Il permet également de suivre des personnages ou des véhicules en mouvement ; c’est ce qu’on appelle «recadrer un plan».
- Comment Dans le panoramique vertical, la caméra pivote sur son axe vertical. Quand la caméra «panoramique» verticalement, elle filme de haut en bas ou de bas en haut. Pour se faire une idée du panoramique vertical, il suffit de rester bien droit et de pivoter la tête de haut en bas ou de bas en haut. Le panoramique vertical est fréquemment utilisé pour filmer des bâtiments élevés, une cathédrale ou un immeuble de bureaux par exemple. Tout comme le panoramique horizontal, cette technique permet de suivre des personnages ou de recadrer un plan.
- Comment Dans un travelling (travelling, tracking, tracking shot en anglais), la caméra se déplace horizontalement dans l’espace. Dans sa dynamique, cette technique est comparable à une personne se déplaçant sur un plateau en mouvement (un fauteuil roulant, par exemple).
Les travellings peuvent, se faire au moyen d’un chariot ou avec un plateau posé sur des roues et que l’on déplace le long de rails. Les rails permettent d’éviter un mouvement de caméra irrégulier et tremblotant, en particulier sur les terrains accidentés.
Le Steadicam s’utilise aussi pour réaliser des travellings sans l’effet heurté qui, d’ordinaire résulte des plans de la caméra portée. A l’image, il donne l’impression que la caméra «flotte» dans l’air. Toutefois, si l’opérateur de prise de vue utilise un bras anti-vibratoire, les plans de caméra portée peuvent rivaliser de souplesse avec ceux réalisés au moyen d’un chariot de travelling. - Comment Les mouvements d’appareil permettent de réaliser des prises de vues singulières et intéressantes. Les grues et les Louma sont les appareils les plus fréquemment utilisés. Ils peuvent être équipés d’une plate-forme sur laquelle on peut se tenir. La caméra est fixée au bout d’un «bras» mécanique articulé sur un pivot, ce qui offre au réalisateur une grande liberté d’action et lui permet d’imprimer à la caméra des mouvements majestueux et saisissants. Il existe de nombreux autres appareils, chacun produisant un mouvement particulier qui influe, d’une certaine façon, sur la signification d’un plan ou d’une séquence.
- Comment Le choix des objectifs joue un rôle important dans l’atmosphère, la qualité et le rendu final du film. La distance focale, ou focale, d’un objectif désigne la distance qui sépare le foyer (lieu où l’image se forme avec netteté) du centre de l’objectif. C’est elle qui détermine la portion d’espace que l’objectif embrasse. Ainsi, une focale large ouvre le champ, mais déforme les objets du premier plan ; cette déformation peut servir les intentions du réalisateur, par exemple s’il cherche à donner une note psychédélique à son film. Plus la focale est large, plus la déformation est grande.
Le fish-eye est une des focales les plus larges qui existent. Une distance focale courte implique un grand angulaire et une focale longue un téléobjectif. Les téléobjectifs permettent de filmer de loin. En compressant les perspectives, ils rapprochent les éléments filmés les uns des autres. Les scènes de cascades ressortent bien mieux quand elles sont filmées de cette façon, car les cascadeurs paraissent plus proches des explosions ou des voitures lancées à leur poursuite qu’ils ne le sont réellement.
Les objectifs jouent également avec la perception que nous avons de la vitesse. À travers un téléobjectif, des acteurs marchant perpendiculairement à la caméra sembleront se déplacer rapidement ; l’effet sera le même avec un grand angulaire s’ils marchent en direction de la caméra. - Comment On peut considérer la mise au point comme une technique naturelle de prise de vue. En effet, nos yeux font le point chaque fois que nous regardons, dans un champ de vision donné, des objets situés à des distances différentes. Nous pouvons fixer notre regard soit sur un objet très rapproché, soit sur un autre très éloigné.
Mais parce que nous ne pouvons fixer les deux objets en même temps, nos yeux sont obligés de faire successivement la mise au point pour compenser la différence de distance. Il est rare, tout au long de la réalisation d’une scène, de pouvoir garder uniformément le même «point» : à un moment ou à un autre, la mise au point s’avère nécessaire.
Lorsque la caméra est en mouvement, un membre de l’équipe technique, appelé «pointeur», ajuste le point en fonction de ce qui est filmé. Pour se faire une idée de cette technique, il suffit de fixer son regard sur des objets situés à des profondeurs de champ différentes. - Comment Les objectifs zooms permettent d’ajuster graduellement la distance focale et de passer d’un plan large à un gros plan sans changer la caméra de place. Le zoom, qui désigne donc tout autant l’objectif que le mouvement lui-même, est considéré comme une technique non-naturelle, parce que nos yeux ne peuvent changer de façon différentielle leur distance focale. Dans des endroits où il n’y a pas de place pour installer des rails et un chariot, un zoom très lent peut être une alternative astucieuse au travelling. Un zoom très rapide – ou zoom vif – permet, dans un décor, d’attirer l’attention sur certains objets.
Par exemple, Dans La Couleur de l’argent, on trouve de nombreux zooms lents et rapides. Dans L’Équipée sauvage, une grande variété de zooms est utilisée : lents, rapides, courts, longs, avant et arrière. - Comment L’image peut, au cinéma, se trouver chargée de valeurs et de sens différents en fonction de la forme même de son expression. Elle peut tirer vers l’imaginaire, le symbole, la métaphore, ou encore avoir un simple rôle d’illustration et rehausser l’émotion d’une scène sans dialogue. De violentes images d’archives peuvent par exemple s’insérer dans une conversation ayant trait à la guerre.
De même, le plan d’une fleur peut signifier la paix ou l’amour, et celui d’un pistolet, la guerre. À cet égard, les images dont on peut jouer sur le sens premier, par exemple celle d’une belle fleur, mais vénéneuse, restent les plus intéressantes.
Parmi tous les films de David Lynch, qui jouent abondamment avec l’imaginaire, signalons plus particulièrement Lost Highway. Marathon Man utilise à plusieurs reprises les images symboliques d’un coureur de marathon.
Dans Apocalypse Now, l’image hyperbolique des pales d’un hélicoptère se substitue à celle d’un ventilateur de plafond.
Dans La Maison du docteur Edwardes, l’imaginaire prend la forme d’une séquence de rêve, inspirée par les peintures de Salvador Dali.
Dans Le Cuirassé Potemkine, les images des marins pendus au mat ont évidemment valeur de symbole. L’Échelle de Jacob est truffé d’illustrations également cauchemardesques.
Dans M. le Maudit, la balle de l’enfant qui sort du bois en roulant n’est rien moins que l’image de sa mort. - Comment Une transition est un moyen de passer d’un plan à un autre.
La transition la plus simple est le cut (coupe franche). Selon le montage, le cut sera peu perçu par le public ou au contraire marquera de brusques ellipses dans l’espace et dans le temps.
La transition par un fondu est très employée comme le fondu enchaîné dont le principe est la superposition d'une nouvelle image sur une plus ancienne, intensifiant progressivement la nouvelle image jusqu’à ce que l’ancienne disparaisse produisant ainsi une transition douce.
La transition par fondu simple permet de passer lentement d’une couleur à une image, ou l’inverse. Le fondu se fait couramment au noir. Un fondu au blanc, par exemple, provoque une transition que l’on peut qualifier d’explosive. On associera plus aisément des images de sang à un fondu au rouge, et celles de l’océan à un fondu au bleu.
Certains effets de transition permettent de passer d’un plan à un autre de façon particulière comme par exemple, les pages tournantes, les volets simples, les volets au noir et le morphing.
Dans cette dernière acception, le meilleur commentaire sur le montage est donné par Sergueï Eisenstein, un des pères du cinéma moderne. Selon lui, même si le montage fait partie de l’activité cinématographique, son essence est à rechercher dans la littérature, dans la musique, dans l’art. Cette définition ouvre à une conception plus large du montage, considéré comme assemblage «d’éléments» affectant la vue et l’ouïe qui donne naissance à quelque chose de nouveau. La mise en rapport de deux plans n’est pas la simple addition des sens dont ils sont porteurs, mais leur multiplication.
Parce que le montage est un aspect très important du film, il peut lui porter préjudice s’il n’est pas fait correctement. Le grand critique de films André Bazin soutient que l’absence de montage peut être bénéfique à certains types de films, et permettre une perception plus réaliste du temps et de l’espace de l’histoire. Dans un film sans montage, un réalisateur ne pourra pas couper les plans pour cacher ses maladresses et ses erreurs. C’est ce qu’André Bazin appelle le «cinéma de la transparence». "data-ajax="false">Comment Le montage est la sélection et l'assemblage de différentes séquences visuelles et/ou sonores (pour un film, une émission radio, etc.). Le montage se traduit en anglais par "editing". La langue française désigne par le même terme montage trois opérations distinctes sur le matériau «brut» du tournage : une opération matérielle (on coupe et on colle la pellicule), une opération stylistique (on écrit le film en composant le sens et le rythme de l’oeuvre cinématographique avec les images, le son, les plans, les raccords, les séquences) et enfin, une opération sémiologique (deux plans successifs créent des rapports conceptuels et symboliques).
Dans cette dernière acception, le meilleur commentaire sur le montage est donné par Sergueï Eisenstein, un des pères du cinéma moderne. Selon lui, même si le montage fait partie de l’activité cinématographique, son essence est à rechercher dans la littérature, dans la musique, dans l’art. Cette définition ouvre à une conception plus large du montage, considéré comme assemblage «d’éléments» affectant la vue et l’ouïe qui donne naissance à quelque chose de nouveau. La mise en rapport de deux plans n’est pas la simple addition des sens dont ils sont porteurs, mais leur multiplication.
Parce que le montage est un aspect très important du film, il peut lui porter préjudice s’il n’est pas fait correctement. Le grand critique de films André Bazin soutient que l’absence de montage peut être bénéfique à certains types de films, et permettre une perception plus réaliste du temps et de l’espace de l’histoire. Dans un film sans montage, un réalisateur ne pourra pas couper les plans pour cacher ses maladresses et ses erreurs. C’est ce qu’André Bazin appelle le «cinéma de la transparence».- Comment Le vocabulaire courant utilisé pour le cadrage d’un plan s’applique tout autant aux acteurs qu’aux objets. Le gros plan d’un téléphone ou le très gros plan de la fente d’un monnayeur en sont des exemples. Un réalisateur diversifie souvent, au tournage, la valeur de ses plans pour avoir du choix au moment du montage et pouvoir affirmer ses intentions esthétiques et/ou symboliques. Voici les plans les plus souvents utilisés :
- Plan général/plan d’ensemble (une personne dans un paysage)
- Plan moyen (une personne), Plan américain (une personne coupée à mi-cuisse)
- Plan rapproché épaule (une personne coupée à l'épaule)
- Gros plan (visage)
- Très gros plan (les yeux) - Comment Un réalisateur peut choisir entre plusieurs types de pellicule. Chaque type possède des caractéristiques physiques et chimiques qui vont déterminer le rendu de l’image. Il existe également un grand nombre de formats : le 8 mm (réservé, jusqu’à l’arrivée du caméscope, à un usage privé), le 16 mm (utilisé pour le documentaire et les films à petit budget), et le 35 mm (format standard des films de fiction). On peut également y inclure la vidéo, depuis que de nombreux réalisateurs ont fait l’expérience de mélanger images vidéo et images argentiques, voire de réaliser entièrement des films en vidéo.
Il existe encore d’autres formats, destinés aux très grandes salles de cinéma, mais ils font appel à des moyens beaucoup trop lourds pour entrer dans le cadre d’une production courante. Plus la taille de la pellicule est grande, meilleure est sa définition. En mélangeant différents formats et en jouant sur la diversité des textures qu’ils proposent, le réalisateur peut créer des effets réellement intéressants. De nombreux films d’Oliver Stone jouent avec ce mélange des formats.
Drugstore Cowboys inclut des séquences de films familiaux réalisés en 8 mm. Dans The Game, le 16 mm est utilisé pour appeler, sous forme de flash-back, l’enfance du personnage. - Comment Bien que le montage son ne soit pas, à proprement parler, une technique visuelle, nous ne devons pas oublier que le cinéma, lui, est un art audiovisuel. Le son est indissociable de l’écriture cinématographique. Que l’on pense à ce que serait La Guerre des étoiles sans la musique ! Le film perdrait beaucoup de son caractère grandiose. Si vous enlevez la bande son souvent très expressive d’un film d’horreur, il y a fort à parier qu’il perdra de sa capacité d’épouvante. Il faut du temps pour que la musique donne l’ambiance d’une scène, mais les sons que le public ne remarque pas sont encore plus puissants et subtils.
Il est fréquent, en cours de montage, de rajouter des sons pour donner plus de relief au film, comme des chants d’oiseau, des ronflements de moteurs de voiture, ou encore le bruit de l’eau qui coule. Employée dans de nombreux films, la voix off est un aspect particulier du montage son. Ce n’est que le doublage d’une voix, celle d’un personnage ou d’un narrateur, qui court sur les images.
Il y a, dans Le Parrain, un exemple intéressant de la puissance expressive du son. Alors que Michael Corleone prépare l’assassinat de ses premières victimes, le bruit effréné d’un train nous parvient en fondu puis s’estompe, symbolisant le flux et le reflux de ses émotions. Comme il se rend à un dîner pour commettre le meurtre, le bruit du train revient submerger la scène. Observez, dans n’importe quel film incluant de la musique, la façon dont elle modèle l’ambiance.
Dans Le Lauréat, le volume de la musique baisse au moment où la voiture de Ben tombe en panne d’essence. Dans de nombreux films d’épouvante, des effets de son grandiloquents viennent appuyer les moments de surprise et d’horreur.
Les Affranchis est en partie raconté par la voix off de Ray Liotta.
Dans Duel, les pensées du héros sont exprimées en voix off.
Une voix off court sur tout le début de Citizen Kane. - Comment Une Louma est une grue de prise de vues à laquelle est fixée une caméra, film ou vidéo, munie d'un système de contrôle à distance. Ce dispositif a été mis au point par deux Français, Jean-Marie Lavalou et Alain Masseron, d'où le nom, composé à partir des patronymes LavaLOU et MAsseron. La Louma fut la première grue permettant de télécommander la caméra depuis le sol. Louma est une marque déposée. Munie d'un bras rigide modulaire, de 90 centimètres à 9,70 mètres de long à partir du point de pivot, la louma permet des mouvements de caméra très variés. L'opérateur contrôle le cadre sur un moniteur vidéo, à partir d'une régie dotée de manivelles, comme une tête classique. Dans le même mouvement, l'axe optique peut aller d'une hauteur de 15 cm à plus de 8 mètres ; ce débattement vertical est augmenté si la Louma est installée en surplomb.
La Louma est entièrement démontable. La tête est équilibrée dans tous les axes (rotation autour de l'axe optique, panoramique vertical et horizontal) autour du centre d'inertie de la masse qu'elle forme avec la caméra. L'effort mécanique des moteurs étant ainsi réduit, cela apporte une grande fluidité aux mouvements. Par ailleurs, le bras (flèche) de la grue lui-même est équilibré autour de son centre d'inertie, de manière à ce qu'il reste immobile quelle que soit sa position. De ce fait, la Louma est une grue dont le chef-machiniste peut lâcher le bras quelle que soit sa position, sans qu'il cherche à revenir à sa position d'équilibre. Ce bras équilibré dans toutes ses positions permet au chef-machiniste une grande aisance dans l'exécution des mouvements, et une économie en termes d'effort physique.
La Louma dispose également d'un dispositif d'aide au cadre. Appelé SmartPan, inventé par Nicolas Pollacchi et Andy Romanoff, réglable selon la sensibilité de l'opérateur, il compense automatiquement le panoramique de la tête caméra en sens inverse de celui du bras de la grue. Cela permet au cadreur d'éviter de mouliner de la main droite pendant un panoramique de grande ampleur ; mais il reste totalement maître de son cadre, qu'il peut modifier à tout moment pendant le mouvement d'appareil. Seule la Louma dispose d'une telle aide au cadre. Elle fut développée dans le cadre de l' Établissement Cinématographique et Photographique des Armées, pour résoudre un problème de travelling dans un sous-marin ; certaines parties étaient en bois.
Les créateurs continuèrent de travailler sur la caméra, et c'est Polanski qui lui fait confiance avec le long plan du générique du film Le Locataire (film) (1976). Les créateurs, souhaitant montrer leur invention à Steven Spielberg, l'installèrent sur le toit de son hôtel au cours du Festival de Cannes. Par la suite, Pascal Aubier (Le Chant du départ), et Wim Wenders (L'Ami américain) l'utiliseront également. Elle fait son apparition dans les fictions télévisées, puis dans les retransmissions de concerts notamment. Connue dans le monde entier, la Louma a obtenu un Oscar technique en 2005, ce qui est exceptionnel pour une machine inventée trente ans auparavant. - Comment La nouvelle génération (Louma 2) est une grue téléscopique de 9,75 m. Son mécanisme permet de modifier la longueur de la flèche pendant l'opération, ce qui permet, par exemple, de transformer le mouvement de rotation en véritable travelling (frontal, arrière ou latéral), dont tous les paramètres (hauteur caméra, places d'arrivée et de départ, vitesse...) sont modifiables à volonté.
Elle bénéficie d'une assistance informatique qui aide le cadreur et le machiniste à accomplir des mouvements de caméra complexes (modification automatique de la longueur de la flèche en compensation de l'arc de la grue pour réaliser un travelling droit).
Elle dispose aussi du système « Back Pan », qui est une compensation automatique de la tête caméra lors du débattement du bras. La Louma 2 possède sa propre tête 2 ou 3 axes, commandée par manivelles, mais elle peut aussi être équipée d'autres têtes. - Comment Broadcast est un verbe anglais composé par broad (autour) et cast (distribuer), signifiant «diffuser». Ce terme est essentiellement utilisé par les techniciens de télévision pour qualifier le niveau d'un équipement, d'un système de diffusion ou d'une source qui respectent les normes professionnelles («qualité broadcast»).
Par extension, le nom commun broadcasting est employé dans plusieurs secteurs d'activité. Dans le domaine de la télévision et des télécommunications, broadcasting signifie télédiffusion ou radiodiffusion. Dans le domaine de l'informatique, le broadcasting désigne une méthode de transmission de données à l'ensemble des machines d'un réseau.
Les intermittents du spectacle utilisent l'expression «être Broadcast» pour qualifier un travail soigné, propret, carré, relativement plat mais pas dénué d'une haute estime de soi. - Comment Un intermittent du spectacle est en France un artiste ou technicien qui travaille par intermittence (alternance de périodes d'emploi et de chômage) pour des entreprises du spectacle vivant, du cinéma, et de l'audiovisuel et qui a le droit de bénéficier des allocations chômages suivants des critères de nombres d'heures travaillées et de métiers exercés. Il y avait 105 826 allocataires en 2009.
- Comment Un artiste est un individu faisant (une) œuvre, cultivant ou maîtrisant un art, un savoir, une technique, et dont on remarque entre autres la créativité, la poésie, l'originalité de sa production, de ses actes, de ses gestes. Ses œuvres sont source d'émotions, de sentiments, de réflexion, de spiritualité ou de transcendances.
- Comment Auguste Lumière (Auguste Marie Louis Nicolas Lumière, né le 19 octobre 1862 à Besançon et mort le 10 avril 1954 à Paris 7ème) et Louis Lumière (Louis Jean Lumière, né le 5 octobre 1864 à Besançon et mort le 6 juin 1948 à Bandol dans le Var) sont deux ingénieurs français qui ont joué un rôle primordial dans l'histoire du cinéma et de la photographie.
Ils sont souvent désignés comme les frères Lumière. Les frères Lumière ont déposé plus de 170 brevets, essentiellement dans le domaine de la photographie. Ils sont à l'origine de la commercialisation des plaques photographiques instantanées en 1881. La vente de ces plaques dites Plaques Étiquettes-Bleues fera leur fortune. Ils sont à l'origine du cinématographe qui lance définitivement l'industrie du cinéma en 1895.
Ils sont à l'origine de l'obtention de la couleur sur plaque photographique en 1907. Cette plaque, dite « autochrome », était considérée par Louis Lumière comme sa plus prestigieuse invention, celle à laquelle il consacra plus de dix années de sa vie. Le premier film tourné par Louis Lumière est Sortie d'usine plus connu aujourd'hui sous le nom de La Sortie des Usines Lumière. Il a été tourné à Lyon, rue Saint-Victor (aujourd'hui rue du Premier-Film, où se trouve l'Institut Lumière) le 19 mars 1895.
La première représentation privée du cinématographe Lumière eu lieu à Paris le 22 mars 1895 dans les locaux de la Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale. Dans la foulée, Louis Lumière tourne en été 1895 le célèbre Jardinier qui deviendra plus tard L'Arroseur arrosé. C'est le film le plus célèbre des frères Lumière. En attendant la première séance publique, on montre le Cinématographe à de nombreux scientifiques. Le succès est toujours considérable.
Le 11 juin pour le Congrès de photographes à Lyon, le 11 juillet à Paris, à la Revue générale des sciences, le 10 novembre devant l’Association belge de photographes, le 16 novembre dans l’Amphithéâtre de la Sorbonne… La première projection publique des Lumière a lieu le 28 décembre 1895 au Salon indien du Grand Café, boulevard des Capucines à Paris. La séance est présentée par Antoine Lumière devant trente-trois spectateurs. Charles Moisson, le constructeur de l’appareil sera le chef mécanicien et supervisera la projection. Le prix de la séance sera fixé à 1 Franc. - Comment Un anaglyphe (en grec ancien : «ciselure en relief», «bas-relief», «ouvrage sculpté», composé d’ana, «du bas vers le haut» et de glyphe, «ciselure») est une image imprimée pour être vue en relief, à l’aide de deux filtres de couleurs différentes (lunettes 3D) disposés devant chacun des yeux de l’observateur.
Ce principe est fondé sur la notion de stéréoscopie qui permet à notre cerveau d’utiliser le décalage entre nos deux yeux pour percevoir le relief. Le principe est décrit en 1853 par Rollman. Charles d’Almeida fait connaître ce mode de restitution du relief à l’Académie des sciences de Paris. Louis Ducos du Hauron le perfectionne, finit de le mettre au point en 1891 (il lui donne aussi ce nom). Les anaglyphes sont alors l’objet d’une importante production destinée au tourisme, à l’enseignement, aux loisirs, à la publicité… Louis Lumière adapte le procédé au cinéma en 1936, mais le procédé y reste marginal.
Ce principe est utilisé au XXIe siècle en recherche spatiale, la NASA crée des images numériques trichromes déphasées en mode anaglyphique depuis la surface de Mars lors des missions Mars Exploration Rover et Phoenix.
Un anaglyphe est constitué de deux images superposées (appelées homologues) de couleurs complémentaires représentant la même scène mais vue de points légèrement décalés : le plus souvent la vue gauche en rouge et la vue droite en cyan. Ces images homologues ne sont donc pas identiques : le décalage (appelé parallaxe ou disparité) n’est pas le même pour tous les éléments de l’image ; il est d'autant plus grand, dans un sens ou dans l'autre, que les éléments sont situés près du plan de l'image physique, par exemple imprimée, projetée sur un écran ou affichée sur l'écran d'un ordinateur ou d'un téléviseur.
La restitution du relief est donnée en plaçant un filtre de l’une de ces deux couleurs complémentaires sur un œil et un filtre de l’autre couleur sur l’autre œil : ainsi, chaque œil ne perçoit que les éléments de l'image visibles à travers le filtre de la même couleur (si le fond de l'image est noir) ou de la couleur complémentaire (si le fond de l'image est blanc). Si deux éléments d'image gauche et droite sont vus suffisamment proches, avec un décalage seulement horizontal, le cerveau les interprétera comme représentant le même objet. Cet objet sera vu plus ou moins loin devant ou derrière le plan sur lequel l'image est physiquement formée, selon la valeur et le sens du décalage, appelé parallaxe, entre les éléments gauche et droit.
Ainsi, si le décalage est différent pour divers éléments de l’image, celui qui regarde l’image à travers des filtres aura l’impression de voir une image dont les points sont situés dans tout l'espace. On voit alors cette image en relief. - Comment Le réalisateur (Director en anglais) est à la fois patron, chef d’équipe, créateur, gestionnaire et technicien.
Le réalisateur de films de fiction pour le cinéma est un véritable chef d’orchestre et son travail commence bien avant le tournage, par la mise au point du scénario et son découpage en plans, précisant tous les détails concernant les décors, l’image et le son. Un projet qui doit se plier autant aux contraintes financières de la production que répondre à ses propres envies créatrices.
Ensuite, le réalisateur doit mettre en place les castings, les repérages, choisir le matériel et l’équipe de techniciens. Au moment du tournage, il doit faire face à des impératifs aussi différents que diriger les acteurs, coordonner le travail des techniciens, établir des plannings, tenir les délais, désamorcer les conflits, affronter les imprévus inévitables.
Son travail ne s’arrête pas là : le montage est en effet un moment clé de l’activité créatrice du réalisateur. C’est grâce à lui que les images brutes s’organisent en un film à part entière, avec ses qualités plastiques, son rythme et sa valeur artistique. Autant d’activités qui, bien sûr, s’effectuent en étroite collaboration avec les techniciens, du chef opérateur à l’ingénieur du son, en passant par le cadreur, le monteur ou la scripte.
En dehors du cinéma, la liberté laissée au réalisateur est beaucoup moins importante. Si vous réalisez des téléfilms, par exemple, vous êtes employé par une chaîne qui apporte le scénario, le budget et décide des conditions de production. En tant que réalisateur de plateau, votre activité consiste à concevoir et à mener à bien une émission de télévision, en respectant des critères bien précis. Pour les documentaires, vous travaillez sur du réel, avec ses faits objectifs et ses contraintes. Quant aux films d’entreprise, ce sont des films de commande, dont le seul objectif est de faire passer un message publicitaire. - Comment Le cloud computing (ou en français informatique dans le nuage) consiste à stocker sur des serveurs distants des traitements informatiques traditionnellement localisés sur le poste de l'utilisateur.
Ce concept vu comme une évolution majeure par certains analystes et comme un piège marketing par Richard Stallman entre autres, permet à l'utilisateur par exemple de modifier ses données personnelles (photos, musique, etc.) depuis son téléphone mobile et retrouver sans action supplémentaire les modifications sur un autre support (tablette, PC, etc.). - Comment Le cost killer, est un spécialiste de la réduction des coûts. Le rôle du cost killer est de limiter les dépenses telles que les charges fiscales et sociales, les frais supplémentaires, etc. et aussi pour saisir les opportunités d’achats les plus avantageuses. Il étudie tout d'abord les comptes de l’entreprise, la structure des coûts et analyse ses besoins afin de proposer ensuite des solutions pour les minimiser.
Le cost killer procède ensuite à une étude des marchés afin de repérer les meilleures opportunités de prix afin de procéder à la négociation de certains contrats ou pousser l’entreprise à lancer de nouveaux appels d’offres. - Comment Le 30 septembre 1986, la Commission Nationale de la Communication et des Libertés (CNCL) remplace la Haute autorité. Créée en 1982, la Haute autorité veillait au respect des libertés attribuées notamment aux radios libres. La CNCL hérite de ce même rôle de régularisation de l’audiovisuel. Les membres en seront élus dès le mois de novembre et chacun provient d’un des grands groupes de l’audiovisuel. Elle sera finalement à son tour remplacée par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) le 17 janvier 1989.
Le CSA délivre des autorisations d'émettre aux radios privées et aux chaînes de télévision privées, nationales, régionales ou locales, diffusées par voie hertzienne. Les services de radio et de télévision diffusés par satellite et/ou par câble ou par ADSL entrent également dans son champ de compétence.
Pour les radios et les chaînes de télévisions diffusées par voie hertzienne numérique ou analogique, la procédure d'autorisation commence par la publication, au Journal officiel, d'un appel aux candidatures. Après la conclusion d'une convention avec l'opérateur retenu, le CSA délivre des autorisations, pour une durée de cinq ans en radio, de dix ans en télévision.
Ces autorisations peuvent être reconduites par le CSA, hors appel aux candidatures, dans la limite de deux fois et pour une durée de cinq ans. Des radios et des télévisions temporaires peuvent également être autorisées par le CSA, hors appel aux candidatures, pour une durée n'excédant pas neuf mois. - Comment Le producteur finance ou coordonne les financements d'un film et contrôle les dépenses par rapport au budget. De plus, il aide le réalisateur lors de l'écriture du scénario, du choix des acteurs, des lieux de tournage, de l'équipe et sera l'interlocuteur privilégié en cas de problèmes ou conflits. Il a donc aussi bien un rôle artistique que financier.
- Comment Le producteur délégué (en Europe) est le responsable juridique et financier d'un film, notamment vis-à-vis des autres investisseurs. C'est un métier spécifique aux productions d'œuvres audiovisuelles (cinéma, télévision, radio, publicité) et multimédia (jeux vidéo, éditions interactives). Le producteur délégué est souvent à l’initiative du projet et, en télévision, celui qui permet qu'un projet devienne bon à diffuser.
- Comment le producteur exécutif (en Europe) est mandaté par le producteur délégué pour prendre en charge le tournage d'un film, sans être détenteur de droits de production de ce film, à la différence du producteur délégué. Il encadre la production, joue un rôle de gestionnaire mais n'endosse pas la responsabilité, qui est laissée à son mandant, le producteur délégué.
Le producteur exécutif assure concrètement la fabrication du film ou du programme, dans le cadre du budget arrêté. À ce titre, il engage les équipes et établit les contrats conformes au droit du travail et aux conventions collectives. Il réunit des moyens techniques en faisant appel à des prestataires techniques et est présent sur le tournage. Il assure le suivi de la fabrication du programme et contrôle le budget et les délais. - Comment En cinéma et télévision, le régisseur est le responsable de l'organisation matérielle et logistique d'un tournage en collaboration directe avec le directeur de production. Il participe au repérage des décors et lieux afin d'y permettre le tournage. Il est responsable des autorisations de tournage auprès de particuliers, des autorités (mairie, préfecture de police, DDT, etc.), l'organisation des accès et le stationnement des véhicules techniques (camion machinerie, éclairage, régie, loges, cantine, ...), l'organisation du transport et de l'hébergement, etc. Pendant le tournage, il doit assurer la coordination de diverses opérations prévues au plan de travail et autres plannings.
Il doit donc organiser les transports (de comédiens, d'intervenants, etc.), la prise en charge et les rendus de matériels, et de manière générale régler les problèmes pratiques. Avec le 1er assistant réalisateur, il supervise chaque jour la feuille de service pour le lendemain. - Comment Un ingénieur du son enregistre ou mixe des programmes sonores ou musicaux.
- Comment Un accessoiriste est le technicien chargé sur un tournage (ou au théâtre) de gérer les objets suggérés par le scénario, et le dépouillement définis par le metteur en scène.
- Comment Le maquilleur (ou maquilleuse), est apparu au départ dans le domaine du cinéma pour le maquillage des acteurs. Aujourd'hui, la maquilleuse peut exercer aussi bien au cinéma, qu'au théâtre, à la télévision et est incontournable dans les défilés et photos de mode. Son rôle est d'aider à la création du personnage, par exemple, vieillir ou enlaidir. Les maquilleurs se font surtout connaitre grâce aux films fantastiques dans le domaine des effets spéciaux.
- Comment Le Centre National du Cinéma et de l'image animé est un établissement public administratif dépendant du Ministère de la Culture, chargé de mettre en œuvre la politique de l'État dans les domaines du cinéma et des autres arts et industries de l’image animée, notamment ceux de l’audiovisuel, de la vidéo et du multimédia, dont le jeu vidéo.
- Comment Le 16 mm est un format de pellicule cinématographique lancée par Kodak en 1923. Créé d'abord pour le cinéma amateur, mais aussi pour la prise de vue en reportage.
- Comment Le 17,5 mm est un format de film cinématographique d'une largeur de 17,5 mm (moitié du 35 mm standard) lancé par Pathé en 1927 sous le nom Pathé Rural. Ce système sera stoppé net en 1942.
- Comment Le 2:2 pulldown est une technique permettant de copier un film d'une cadence de 25 images par seconde en un signal vidéo PAL ou SECAM à 50 trames par seconde.
- Comment Le 3:2 pulldown est une technique permettant de copier un film d'une cadence de 24 images par seconde en un signal vidéo NTSC à 30 images par seconde (60 trames par seconde).
- Comment Le 35 mm est un standard de pellicule photographique d'une largeur de 35 millimètres. Créé à l'origine pour le cinéma, il a été introduit par la suite en photographie argentique sous le code 135. Il reste relativement inchangé depuis son introduction en 1892 par William Dickson et Thomas Edison. Le défilement standard pour le cinéma est de quatre perforations par image, soit environ 53 images par mètre.
- Comment Le 70 mm est un format de pellicule cinématographique de 70 mm de largeur en projection et de 65 mm en prise de vues. Après quelques essais sans suite dans les années 1930 il sera popularisé au cinéma à partir des années 1950.
- Comment Le 8 mm est un format de film de cinéma amateur lancé en 1932 par Kodak.
- Comment Le 9,5 mm est un format de film d'une largeur de 9,5 mm, lancé par Pathé en 1922. La particularité de ce film réside dans ses perforations d'entraînement centrales, entre chaque image, permettant ainsi d'utiliser toute la largeur du film.
- Comment Après « Moteur », « ça tourne », « action », généralement dit par le réalisateur, va lancer le jeu des comédiens.
- Comment L'amorce est une bande de film perforée, collée avant la première image et après la dernière image de chaque bobine et de longueur normée. L'amorce facilite la manipulation de la bande. En photographie l'amorce est un objet ou personnage disposé en avant-plan du sujet ou de l'action principale.
- Comment Le dépôt légal des films sur support photochimique a été confié au Centre National du Cinéma et de l'image animée, pour les Actualités Françaises filmées entre 1940 et 1969, elles sont déposées à l'Institut national de l'audiovisuel (INA). Les archives sont consultables à la Bibliothèque Nationale de France pour les films numérisés et à Bois-d'Arcy, dans les Yvelines pour les supports argentiques.
- Comment L'arrière plan est le décor ou les personnages qui se trouvent derrière l'action ou derrière les comédiens sur lesquels se fait la Mise au point.
- Comment L'American Standards Association (ASA) est l'indice de sensibilité des films, normalisé ISO.
- Comment Le Back light (lumière de derrière) est un éclairage à contre-jour.
- Comment Le Banc-titre est un système permettant de filmer des documents.
- Comment La Bande-annonce est le résumé de une à deux minutes d'un film projeté au cinéma avant sa sortie.
- Comment Le Bout-à-bout est un montage vidéo sommaire des plans, dans l'ordre du scénario et sans raccord affiné.
- Comment Un Bout d'essai est une prise de vue destinée à tester un comédien, un effet, un filtre, etc.
- Comment Le Box-office est le nombre d'entrées en salle, classement des entrées.
- Comment Un Bruit de fond est un bruit parasite en fond sonore.
- Comment Le Bullet time est un type de ralenti très détaillé réalisé grâce à une série d'appareils photo disposés autour de l'action.
- Comment Le Cadre est ce que voit le cadreur dans le viseur de la caméra. Suivant le format choisi pour la diffusion, le cadre de la caméra peut être supérieur au cadre diffusé. Il lui faudra alors disposer de repères pour savoir ce qui est hors-cadre. Avec les techniques numériques, il est courant de procéder à des recadrages en posproduction.
- Comment Les Cahiers du cinéma est une revue de cinéma française créée en avril 1951 par André Bazin, Jacques Doniol-Valcroze, Joseph-Marie Lo Duca et Léonide Keigel.
- Comment Un carton, hérité du cinéma muet, est intercalé entre deux plans pour commenter ou expliquer la situation. Les génériques (de début et de fin) sont composés de cartons incrustés dans une image ou sur fond neutre (en général un fond noir) de la liste des castings artistique et technique.
- Comment « Ça tourne ! » est la réponse des équipes techniques (image et son) au « moteur » du réalisateur.
- Comment En France, une commission désignée par le CNC va délivrer un visa de censure qui va définir l'âge minimum des spectateurs pouvant voir le film.
- Comment Une séquence est tournée en champ / contre-champ quand les plans, filmés par la caméra, se succèdent suivant deux axes symétriques. Par exemple, dans une séquence entre deux comédiens, chacun sera à son tour de face à la caméra, la différence d'angle ne dépassant pas les 180°.
- Comment En production, une chute est la partie de pellicule vierge non impressionnée au tournage. En postproduction il s'agit de rushes non montés.
- Comment Les rushes constituent l'ensemble des documents originaux (bobines de film, bandes sons, cassettes vidéo) produits au tournage et issus de la caméra et/ou de l'appareil d'enregistrement sonore. Une partie seulement de ces documents originaux sera utilisée au montage et en postproduction.
- Comment Le Clap tient son nom des danseurs de claquettes. C'est le son produit par une ardoise (le clap ou la « claquette ») sur laquelle est inscrit le titre du film, le numéro de la séquence, du plan et le numéro de la prise. Le clap, sert, au montage, à resynchroniser la bande image et la bande sonore tirés des rushes du tournage.
- Comment La Contre-plongée est un axe de prise de vue du bas vers le haut. La caméra est placée plus bas ou au pied du sujet. C'est l'inverse de la plongée.
- Comment La Copie-zéro est la première copie étalonnée sortie du laboratoire. La copie-zéro peut être tirée muette ou sonore. Elle sert à valider l'étalonnage.
- Comment Une coproduction regroupe plusieurs producteurs, pouvant être de pays différents qui participent au financement d'un film. L'un d'entre-eux est producteur délégué à la fabrication et la garantie de bonne fin.
- Comment « Coupez ! » est prononcé par le réalisateur pour interrompre la prise au tournage.
- Comment Un Court métrage est un film court dont la durée est en principe inférieure à 60 minutes.
- Comment Le Cycliode est un projecteur tungstène à face ouverte et réflecteur symétrique conçu pour donner un éclairement uniforme sur un mur lorsqu'il est situé à l'aplomb de celui-ci, souvent utilisé pour éclairer des cycloramas.
- Comment Le cyclorama est un rideau tendu semi-circulaire. Il se développe entre les murs cour, lointain et jardin. Il peut suivre une ligne courbe continue, ou n'être courbe que dans les angles lointain, cour et jardin.
- Comment Un Cyclo est un plateau comportant une zone « sans angles » (les angles sont arrondis pour obtenir un rendu optique infini). Généralement peint de couleur neutre, il peut être blanc pour présenter des personnages « sans fond » par exemple. Le bleu ou vert servant à tourner des séquences dans lesquelles seront incrustés des fonds provenant d'autres images filmées.
- Comment La nuit américaine est une technique cinématographique qui permet, grâce à une sous-exposition de la pellicule et/ou à l'utilisation d'un filtre, de tourner de jour des scènes, généralement en extérieur, censées se dérouler diégétiquement la nuit.
- Comment Dans la boîte est une expression signifiant que la « prise » tournée est bonne et qu'on peut passer au tournage du plan suivant.
- Comment Le fisheye est un objectif photographique de très courte focale ne couvrant pas toujours le format de prise de vues et formant dans ce cas une image ronde.
- Comment Le générique recense l'ensemble des personnes physiques ou morales qui ont participé à la création d'une œuvre cinématographique et présente leurs noms au début ou à la fin du film.
- Comment La girafe est un support de micro ou d'accessoire muni d'un déport de grande longueur utilisé en particulier en studio de doublage son.
- Comment L'IMAX (Image MAXimum) est un format de pellicule créé par l'IMAX Corporation, au Canada, qui a la capacité d'exposer des images d'une plus grande taille et d'une meilleure résolution que les pellicules conventionnelles. Un écran standard IMAX mesure 22 mètres de long et 16 mètres de haut, le plus grand se trouvant à Sydney avec 35,73 sur 29,42 mètres.
- Comment « Moteur ! » est un terme traditionnel utilisé pour demander que la caméra et le son tournent. La réponse usuelle est « ça tourne » suivi de « action » pour donner le signal aux comédiens qu'ils peuvent commencer à jouer.
- Comment Numérique regroupe l'ensemble des techniques de traitement informatique des images et des sons, par opposition à analogique (magnétique) ou traditionnel (photochimique).
- Comment Le piqué est la définition, la netteté d'une image.
- Comment Une plongée est un plan réalisé du haut vers le bas, la caméra est placée au-dessus d'un axe horizontal, elle plonge vers le sujet (inverse de contre-plongée).
- Comment La programmation consiste à planifier la date de la sortie publique d'un film, le nombre de copies à « tirer » en fonction du nombre de salles prévues. L'opération est délicate, elle consiste à répartir le nombre de films à diffuser dans un nombre de salles donné.
- Comment Un raccord est la cohérence de cadre entre deux plans successifs.
- Comment Silence est un terme prononcé au début du tournage d'un plan, précédant « Moteur », « ça tourne », « action ».
- Comment Une Société pour le Financement de l'Industrie Cinématographique et Audiovisuelle (SOFICA) est une société de droit français de capital-investissement spécialisé dans les œuvres cinématographiques ou audiovisuelles bénéficiant d'avantages fiscaux. Les SOFICA sont des sociétés anonymes de droit français ayant pour activité exclusive le financement en capital d'œuvres cinématographiques ou audiovisuelles agréées par le ministère français de la culture. Elles ont été créées par la loi française du 11 juillet 1985.
- Comment Les sous-titres sont les textes projetés en bas de l'écran et comportant généralement les dialogues du film traduits dans une langue différente de la langue entendue.
- Comment Un storyboard est un outil de travail sous forme de bande dessinée (traditionnellement des croquis) illustrant un scénario. Le but est de spécifier et de prévoir les axes de caméra, les raccords entre les plans, l’ensemble des plans et mouvements de caméra, les indications sonores et le déplacement des acteurs. Le storyboard permet d'avoir une vue d'ensemble d'une production et de gagner du temps au moment du tournage.
- Comment Le synopsis est un résumé du scénario qui décrit les grandes lignes de l'histoire et qui permet de se faire une idée globale du thème, de l'histoire et de l'évolution des personnages.
- Comment Wipe est un terme anglais signifiant « essuyer » qui désigne une transition entre deux plans, appelée en français un volet. Une barre traverse l'écran, changeant au passage une image en une autre.
- Comment Le Xénon est un gaz utilisé dans certaines lampes de forte puissance, dont le spectre est proche de la lumière du jour. Le Xénon est utilisé sur les projecteurs des salles d'exploitation et sur les projecteurs de poursuite de forte puissance, en spectacle vivant et productions cinématographiques.
- Comment Le zootrope est un jouet optique inventé simultanément en 1833 par William George Horner et l'autrichien Stampfer. Se fondant sur la persistance rétinienne, le zootrope permet de donner l'illusion de mouvement. Le zootrope est un tambour percé de dix à douze fentes sur sa moitié supérieure abrite à l'intérieur une bande de dessins décomposant un mouvement cyclique. Le tambour est fixé sur un axe dans sa base inférieure, ce qui permet de le faire tourner. On perçoit les mouvements des séquences animées en boucle en regardant l'intérieur du tambour à travers les fentes pendant la rotation.
- Comment Le phénakistiscope est un jouet optique donnant l'illusion du mouvement fondé sur la persistance rétinienne. Il a été inventé par le Belge Joseph Plateau en 1832. Le phénakistiscope comporte un disque en carton, percé de dix à douze fentes, sur lequel un mouvement est décomposé en une séquence d'images fixes, et un manche permettant son maintien pendant sa rotation. Pour percevoir le mouvement, le spectateur se place en face d'un miroir et positionne ses yeux au niveau des fentes du disque, du côté opposé aux dessins. Il fait ensuite tourner le carton. Les fentes servent d'obturateur en ne laissant apparaître l'image reflétée dans le miroir qu'un très court instant. L'œil ne voit donc que des images fixées par la persistance rétinienne, les unes après les autres, ce qui reconstitue le mouvement lorsque le disque tourne à une vitesse suffisante.
- Comment Le praxinoscope fut la première invention d'Émile Reynaud en 1876. Brevetée en 1877, il s'agissait d'un jouet optique donnant l'illusion du mouvement. Le praxinoscope améliore le zootrope de William George Horner dont il emprunte le principe de la bande de douze dessins décomposant un mouvement cyclique.
Comme dans le zootrope, cette bande interchangeable est disposée à l'intérieur d'un tambour qui tourne autour d'un axe servant accessoirement de pied. Mais dans le praxinoscope, Émile Reynaud a ajouté à l'intérieur du tambour un cylindre à facettes sur lequel sont disposés douze petits miroirs.
Cette « cage de miroirs » (Émile Reynaud emploie l’expression « cage de glaces » dans son brevet1) tourne en même temps que le tambour et la bande à animer. Chacun des miroirs reflète l’un des douze dessins de la bande (celui qui lui fait face). Si chaque miroir est placé exactement à mi distance entre le dessin qu’il reflète et l’axe général de rotation, la réflexion de ce dessin se produit exactement sur ledit axe, de sorte qu'au cours de la rotation de l’appareil les images réfléchies des douze images de la bande se substituent les unes aux autres sans quitter le centre de l’appareil. - Comment Synthèse d’une analyse marketing identifiant les forces (Strengths), les faiblesses (Weaknesses), les opportunités (Opportunities) et les menaces (Threats).
- Comment Domaine de la République du Congo.
- Comment Domaine du Soudan du Sud.
- Comment Domaine de la Serbie.
- Comment Un microprocesseur est ensemble de circuits intégrés permettant de traiter l'information (opérations arithmétiques et logiques) au sein d'un ordinateur. Les principaux processeurs sont le Pentium de la société Intel et l'Athlon de la société AMD.
- Comment URL (ou nom de domaine) est l'adresse d'un site sur Internet. Une personne souhaitant se rendre sur votre site Internet devra donc taper cette adresse dans la barre d'adresse de son navigateur.
- Comment Microsoft Word est un logiciel de traitement de texte faisant aujourd'hui partie de la suite Microsoft Office.
- Comment Microsoft Office est une suite bureautique fonctionnant avec les plates-formes Windows et Macintosh. La version de base contient Word, Excel, PowerPoint, Outlook et OneNote. Elle propose désormais une version web utilisable sur les ordinateurs Linux via un navigateur ainsi qu'une version pour téléphones mobiles.
- Comment Unix est un système d'exploitation multi-utilisateur et multi-tâche mis au point en 1969 par Ken Thompson et Dennis Ritchie, au sein des laboratoires Bell en collaboration avec AT&T et General Electric. Sa principale évolution a été son écriture en langage C dans la première moitié des années 1970 facilitant son portage sur tout type de processeur. La plupart des grands constructeurs ont ensuite offert leur propre version d'Unix : AIX chez IBM, HP-UX chez Hewlett-Packard, Solaris chez Sun, etc.
Il a inspiré le développement du système libre Linux. Le nom Unix serait un clin d'oeil à son prédécesseur, MULTICS (Multiplexed Information and Computing Service), développé à la fin des années 1960 au Massachusetts Institute of Technology. Celui-ci mettait en oeuvre pour la première fois le modèle de système d'exploitation en couches, encore en vigueur aujourd'hui. Pour afficher ses origines, Unix s'est d'abord écrit UNICS (UNiplexed Information and Computing Service). - Comment Une boîte de messagerie est un logiciel qui sert à lire et envoyer des courriers électroniques. Une boîte de messagerie peut être un logiciel installé sur un ordinateur (client lourd) ou bien une application Web (webmail). Une boîte de messagerie les plus connus sont Microsoft Outlook, Lotus Notes (IBM) et Mail (Apple).
Une boîte de messagerie est aussi désignée par les termes « logiciel de messagerie », « client de courrier électronique », « client courriel », « courrielleur », « client e-mail », ou « MUA » (Mail User Agent). - Comment Un client lourd est un logiciel proposant des fonctionnalités complexes avec un traitement autonome. Contrairement au client léger, le client lourd ne dépend du serveur que pour l'échange des données dont il prend généralement en charge l'intégralité du traitement.
- Comment Un ver informatique est un logiciel malveillant qui se reproduit sur plusieurs ordinateurs en utilisant un réseau informatique. Contrairement à un virus informatique, un ver n'a pas besoin d'un programme hôte pour se reproduire : il exploite les différentes ressources de l'ordinateur qui l'héberge pour assurer sa reproduction.
L'objectif du ver est d'espionner l'ordinateur où il se trouve, offrir une porte dérobée à des pirates informatiques, détruire des données sur l'ordinateur où il se trouve ou y faire d'autres dégâts, envoyer de multiples requêtes vers un serveur Internet dans le but de le saturer (déni de service). Un ver a pour effet le ralentissement de la machine infectée. - Comment Un cheval de Troie (Trojan Horse en anglais) est un logiciel conçu pour exécuter des actions nocives (détourner, diffuser ou détruire des informations) à l’insu de l'utilisateur. Il a généralement l'apparence d'un logiciel sérieux et recommandé, d'où son nom qu'il tire de la légende greque dans laquelle Ulysse envahit la ville de Troie en se dissimulant dans un cheval de bois.
- Comment Avid est un logiciel professionnel de montage vidéo de la société américaine Avid Technology, Inc spécialisée dans le développement d'outils informatiques de production audiovisuelle.
- Comment Le tournage (shooting en anglais) est l'action de tourner un film, de filmer les scènes. Le tournage s'appuie traditionnellement sur un storyboard.
- Comment WHATWG (Web Hypertext Application Technology Working Group) est un groupe fondé par Mozilla Foundation, Opera Software et Apple afin de favoriser les évolutions des langages de programmation Internet. Le WHATWG joue un rôle moteur dans le processus de développement et d’adoption du HTML5.
- Comment Apple est une société lancée par Steve Jobs et Steve Wozniac (dit Woz), qui produit des machines dotées d'une interface visuelle conviviale et d'une souris. Apple est surtout connu pour ses Macs (abbréviation de Macintosh) qui sont largement utilisés dans les domaines de la communication (audiovisuel, PAO, publicité).
Apple est aujourd'hui reconnu pour ses produits innovants comme iPod, iPhone et iPad. - Comment Stephen Gary Wozniak est né le 11 août 1950 à San José en Californie ; il est aussi appelé Woz ou Steve Wozniak. C'est un informaticien et électronicien américain d'origine polonaise co-fondateur de la société Apple Computer avec Steve Jobs et concepteur des premiers ordinateurs Apple : Apple I, Apple II, Apple III, Lisa, etc.
- Comment L'iPod est un baladeur numérique commercialisé depuis 2001 par la société Apple. La première version de l'iPod était un simple lecteur audio, puis d'autres fonctionnalités ont été ajoutées comme les photos et la lecture vidéo.
L'iPod peut contenir des milliers de chansons, il doit pour cela être synchronisé avec un ordinateur (Mac ou Windows). On peut considérer que le père du baladeur numérique est Tony Fadel, qui avait proposé auparavant son idée à plusieurs entreprises, sans succès.
L'iPod est aussi à l'origine de l'expression podcaster. - Comment L'iPad est une tablette tactile conçue et développée par Apple. Celle-ci est particulièrement orientée vers les médias tels que les livres, journaux, magazines, films, musiques, jeux, mais aussi vers l'Internet et l'accès à ses courriers électroniques.
- Comment OpenOffice est une suite bureautique, composée de logiciels permettant la création de documents textuels, de tableaux de chiffres, ou de présentations. La suite bureautique OpenOffice est le concurrent direct de la suite bureautique Microsoft Office.
OpenOffice est composée des modules suivants : - Writer permettant l'édition et la mise en forme de documents textuels.
- Calc qui est un tableur disposant de nombreuses fonctions : de multiples utilisateurs peuvent travailler sur la même feuille de calcul, traitement de certaines macros d'Excel, traitements et analyses de données, génération de graphiques, etc.
- Impress permettant l'édition et la mise en forme de présentations sous forme de diapositives.
- Base permettant la création de bases de données.
- Draw permettant de créer des dessins vectoriels (flèches, figures géométriques, étiquettes, cotations).
- Math permettant la composition de formules mathématiques peuvant être incluses dans les autres documents de la suite OpenOffice. - Comment LibreOffice est une suite bureautique dans la lignée de OpenOffice. Elle est composée de logiciels permettant la création de documents textuels, de tableaux de chiffres, ou de présentations.
LibreOffice est composée des modules suivants :
- LibreOffice Writer permettant l'édition et la mise en forme de documents textuels.
- LibreOffice Calc qui est un tableur disposant de nombreuses fonctions : de multiples utilisateurs peuvent travailler sur la même feuille de calcul, traitement de certaines macros d'Excel, traitements et analyses de données, génération de graphiques, etc.
- LibreOffice Impress permettant l'édition et la mise en forme de présentations sous forme de diapositives.
- LibreOffice Base permettant la création de bases de données.
- LibreOffice Draw permettant de créer des dessins vectoriels (flèches, figures géométriques, étiquettes, cotations).
- LibreOffice Math permettant la composition de formules mathématiques peuvant être incluses dans les autres documents de la suite OpenOffice. - Comment OPS (Office Profile Settings File). Les fichiers OPS sont des fichiers de paramètres associés généralement à Office Profile Settings File (Microsoft Corporation). Ces fichiers peuvent s'ouvrir avec le logiciel associé au profil. Une association incorrecte de fichier OPS peut altérer les performances du système Windows.
- Comment Un site Internet Responsive Web Design (RWD) définit un site développé avec la technologie CSS3 media queries. Cette technologie permet d'adapter le site à la taille de l'écran de l'utilisateur. Ainsi, le site peut être consulté confortablement et sans scroll horizontal sur tous les terminaux (bureau, mobile, tablette, etc.). Cela permet aussi de développer un site unique qui s'adapte à tous les supports, plutôt que plusieurs sites pour tous les terminaux.
- Comment La bureautique est l'ensemble des logiciels nécessaires aux tâches d'un travail de bureau : traitement de texte, présentation, feuilles de calcul.
- Comment Timothy John Berners-Lee est né en 1955 à Londres. Il est l'un des inventeurs du World Wide Web (WWW), avec pour ambition le partage à l'international des documents informatiques entre scientifiques. Depuis 1994, il préside le World Wide Web Consortium (W3C), organisme qu'il a fondé.
- Comment Web Content Accessibility Guidelines (WCAG). Norme d'accessibilité comportant 14 directives dont 65 points de contrôle pour la norme WCAG 1.0 concernant les thématiques des contenus, structures, du graphisme et mise en forme, de l'interactivité et de la navigation.
- Comment Version 4.4 d'Android.
- Comment Version 5 d'Android.
- Comment Version 6 d'Android.
- Comment Version 7 d'Android.
- Comment Version 1.2 d'Android.
- Comment Version 2.2 d'Android.
- Comment Version 8.0 d'Android.
- Comment Version 9.0 d'Android.
- Comment Version 10 d'Android.
- Comment Version 11 d'Android.
- Comment Version 12 d'Android.
- Comment Version 13 d'Android.
- Comment Version 14 d'Android.
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